Heureusement qu'une ouverture suffisamment grande laissait émaner dans la boutique de Dilon Deraborne un brin de lumière, car le travail du métal s'annoncerait difficile...
Pour pénétrer à l'intérieur de l'établissement, Pandoora dût baisser sa tête pour éviter de se cogner contre le mur en pierre.
Elle était un peu effrayée à l'idée de faire une démarche "cordiale" et "professionnelle" en se promettant à elle même qu'elle ne ferait ni blessés, ni morts. Elle tenait fermement sa boîte qui se trouvait dans sa poche de ceinture de sa main gauche, et de l'autre elle tenait un sac en toile brun.

Elle s'avança d'un pas lent mais peu discret, au son des sabots, et vit un homme au travail. Il était brun aux cheveux longs... les cheveux... ceux de l’homme étaient un peu similaires à ceux de son frère qui reposaient paisiblement dans la boîte, ondulés, secs au bout et longs.

Pandoora déposa son sac en toile devant l'homme, et l'ouvrit. 30 minerais de fer s'y trouvaient. De sa main à présent libre, elle tira de sa ceinture une petite bourse et en sortit 15 pièces d'or qu'elle fit claquer une à une en les comptant dans sa tête, sur un espèce de comptoir tiède.

D'un signe de la main, tremblante, elle désigna une épée posée près du feu. C'était une Orchid'épée. Elle aurait bien tenté le coup, d'aligner quelques mots pour faire sa requête, mais elle en était incapable, à la limite du bégaiement. Elle se retint alors, espérant que sa gestuelle sera suffisante.

Le fait que cet homme n'ait dans son regard, aucun signe d'un quelconque jugement, rassurait la jeune hybride qui se détendit un petit peu et n'avait aucunes pensées négatives dans son esprit. Les moments comme ça étaient rares.

Dilon était en train de s'affairer derrière son comptoir, il cherchait un parchemin qu'il avait perdu : la conception de l'orchid'épée. Il faisait beau ce jour-là, et il avait laissé la porte de l'Âme et l'art mûr entrouverte, des fois qu'un étranger passant par là aurait eu la bonne idée de passer pour commander chez le guerrier.

Le stratagème publicitaire sembla fonctionner, puisqu'au bout d'une demi-heure, la cloche tinta. L'homme se retourna pour faire face à l'une de ses plus étranges rencontres : un être hybride venait de pénétrer à l'intérieur de sa boutique d'armes. Composé d'un buste de femme ajusté sur un corps de cheval, l'être en question était beaucoup plus grande que Dilon, et passait difficilement la porte. C'était un centaure, ces créatures vivaient apparemment auprès des elfes dans la forêt Sylfaën, il était rare d'en trouver par ici.

L'homme l'accueillit avec un "Bonjour !" joyeux, découvrant toutes ses dents. Mais il n'eut pas besoin de lui demander ce qu'il pouvait faire pour cette personne que déjà elle désignait une orchid'épée avant de sortir sa bourse et de compter les piécettes. Le message était très clair, et le Deraborne, d'habitude lent d'esprit, le comprit aussitôt. Engagé, il dit :

- Fort bien m'dame ! Je vous conseille de repasser d'ici deux jours, dans l'après-midi si possible, l'arme sera prête.

L''inconnue semblait connaître le même langage puisque, même muette, elle tourna les talons, ou sabots, ahah, et repartit, indiquant d'un signe de tête qu'elle avait compris le message.




Deux jours plus tard. Dans l'après-midi. La commanditaire arriva à l'heure, galérant toujours à pénétrer dans la boutique de Dilon. Celui-ci paraissait satisfait de son oeuvre, et il lui remit avec joie sa nouvelle épée, espérant qu'elle en ferait bon usage... Mais peu importe !  Il empocha les sous et nota le nom de la personne dans les personnes qui pourraient devenir des membres fidèles

[COMMANDE DE PANDOORA]

De passage à Stellaraë, Saigo déambulait dans les rues de la capitale. Au détour d'un croisement, il était tombé sur une boutique, nommée L'Âme et l'art mûr. Il avait trouvé le jeu de mot pitoyable, mais à l'intérieur, il avait vu des dagues, et cela l'avait poussé à entrer. Ouvrant la porte sans ménagement, il se dirigea sans un bonjour vers ses armes fétiches. Il y en avait de vraiment très belle, mais aussi de vraiment très cher, et l'Exécuteur n'avait pas encore les moyens de s'offrir une dague de tout premier ordre. Celle qu'il visait, il le savait depuis quelques temps déjà, c'était la Double-dague de Catharsis. Mais elle était vraiment hors de prix. Toutefois, plus bas sur un écriteau, le stryge solitaire découvrit qu'il était possible de récupérer les matériaux nécessaires à la fabrication de l'arme, et de les apporter directement au forgeron, le propriétaire de cette boutique.

Saigo se pencha pour savoir ce qu'il lui faudrait rassembler: 25 minerais de diamant, une fiole de venin d'acromentule, et une Dague émeraude. Tiens, il fallait posséder une arme également disponible dans cette forge? Il s'intéressa à ladite dague. 500 pièces d'or. C'était dans ses cordes, mais il pouvait bien réduire le prix en trouvant les matériaux nécessaires. 25 minerais de cuivre et 1 émeraude. C'est parti. Sans même dire au revoir, il sortit de la boutique.

Il revint quelques heures plus tard, les mains vide. Il n'avait pas trouvé la moindre émeraude en vente dans le coin. Il aurait pu venir seulement avec les minerais de cuivre, mais il doutait que cela suffise. Et puis, il n'avait pas de temps à perdre. Sa dague actuelle était encore en assez bon état, et elle lui rendrait probablement de très bons services à l'avenir, mais elle commençait à ressentir le poids des combats incessants que l'Exécuteur menait. Alors lorsqu'il pénétra dans la boutique du dénommé Dilon Deraborne, il rejoignit immédiatement le comptoir et déclara avec assurance: Une Dague émeraude. Et tout en parlant, il sortit la monnaie.

Spoiler:

Saigo perd 25 minerais de cuivre, 1 émeraude et 60 pièces d'or. Dilon gagne 60 pièces d'or.

Bonsoir !!!
J'étais heureux et relâché lorsque j'ai pénétré l'enceinte de L'âme et l'art mûr. Il y régnait une bonne atmosphère, l'endroit était accueillant, et les odeurs de forge qui s'en dégager laisser penser à un artisan de renom fortement pris par son travail. Je m'accoudais au comptoir et me mis a patienter simplement, préférant attendre que le bruit du marteau contre l'enclume ai fini de résonné. Cela mis peut-être une heure ou deux, mais je restais là, sans broncher, de peur de déranger le forgeron en plein effort. Lorsque les bruits cessèrent, je put en fin faire la rencontre du très célèbre Dilon Deraborne.
Enchanté Mr Deraborne. Je suis ici dans le but d'acquérir une deuxième Faux Khön.
J'étalais alors sur le comptoir l'ensemble des matériaux nécessaire à l'entreprise, ainsi qu'une bourse pleine d'or. Alors ? Qu'en dites-vous ?

Kiloë perd 20 minerais d'argent, 3 bois de sapin, 1 plume d'aigle des Baldor et 120 pièces d'or. Dilon gagne 120 pièces d'or.

.....Le marchand m'avait parus un instant en mauvaise posture puis il s'était rétablis comme si de rien n'était. Il déposa tout son attirail et vint m'accueillir. Il paraissait fort sympathique. Pour ma part il me semblait l'avoir déjà croisé mais je n'aurais su me souvenir où, du mois pas sur le moment.

«Bonjour. Non je ne suis effectivement jamais venu chez vous mais il se trouve qu'un de mes amis, Kiloë, ma parlé de cette boutique en bien alors je viens chez vous en toute confiance. Je suis à la recherche d'une arme puissante telle qu'un marteau par exemple. J'en ais déjà un en ma possession mais je m’imagine sans mal en manier deux.»

«Bonjour. Non je ne suis effectivement jamais venu chez vous mais il se trouve qu'un de mes amis, Kiloë, ma parlé de cette boutique en bien alors je viens chez vous en toute confiance. Je suis à la recherche d'une arme puissante telle qu'un marteau par exemple. J'en ais déjà un en ma possession mais je m’imagine sans mal en manier deux.»

Dilon voyait exactement ce dénommé Kiloë. C'était un elfe noir, un "drow" comme on les appelle dans le milieu, qui était venu à la rencontre de l'humain pour commander une faux.. Ou bien était-ce deux faux ? Le guerrier ne savait pas très bien, mais il se souvenait clairement que le prénom "Kiloë" lui disait quelque chose. Il nota tout de même que le nouveau venu ne déclina pas -pour le moment en tout cas- son identité. Ce n'était pas chose étrange dans le coin, mais c'était toujours intéressant à noter.

- Oh, je vois parfaitement ce dont vous voulez parler. Vous êtes guerrier ? Paladin peut-être ? C'est le genre d'attirail que ces classes aiment porter et avoir dans leurs inventaires d'armes. Et quel marteau pourrait vous faire plaisir ? Vous avez des matériaux à disposition ?

Il désigna un coin de la boutique du doigt

- Vous pourrez aller vori là-bas un ensemble de marteaux, dites-moi celui ou ceux qui vous plaisent.

.....Dla pièce où les marteaux semblaient comme posséder leur propre royaume. Ils allaient du plus lourd au plus léger, du plus fin au plus épais. Certains était simplement de lourdes armes de guerre de métal, d'autres sertis de belles pierres semblaient être décoratif, sans tout autant perdre de leurs pouvoirs de persuasion sur la capacité à fendre des cranes et briser des os. Ces arme me paraissait parfaite. Elles avaient été forgés de main de maîtres, mais sur les nombreux présentoir une attiras plus mon regard que les autres. Le marteau était orné d'une belle topaze. Alors elle me revint à l'esprit, j'avais trouvé une de ces pierres fines dans le coffre envoyé par Pug, je l'avais d'ailleurs dans la poche, il s'agissait de Topaze impérial, je le sortis de ma poche, il était intensément doré. Je le tendis donc au vendeur.

«Pourriez vous me faire un marteau similaire à celui-ci? Dit-je en pointant le marteau en question du doigt. J'ai la pierre et je vous fournis les minerais, et la somme nécessaire aussi bien sur.»
.....Dis-je le sourire aux lèvres. En lui tendant ma bourse je vit même une petite pancarte au dessus de son comptoir, les marteau à -50%. décidément, la chance me souriait.

Après avoir pénétré dans le magasin, je pus constaté qu'encore une fois, Mr. Deraborn se trouver a l'arrière de la boutique où se trouver ses forges. Je pris le partis de faire le tour.
La température dans les forges était semblable a celle de Vulckar. La légende voulait d’ailleurs que les plus grands maîtres forgerons fabrique leurs armes dans la lave même de volcan. Je trouvais Dilon affairé a taper sur une enclume. Je patienté un peu afin qu'il s'aperçoive lui-même de ma présence. Lorsqu'il s'en rendit compte, il m’accueillit chaleureusement, avant que je lui demande mon service. Une lance dorée et je fournissais l'or et les matériaux.

[20 minerais de cuivre + 4 bois de cerisier + 2 minerais d'or + 90 PO = Une lance dorée]

Saigo marchait dans les rues de Stellaraë d'un pas décidé. Aujourd'hui était un grand jour ! Il avait enfin réuni tous les matériaux nécessaires à la fabrication de l'arme de ses rêves. La Double-Dague de Catharsis. Le nec plus ultra des dagues. Un bijou absolu de meurtre. Une représentation de la violence parfaite à laquelle aspirait l'Exécuteur. L'objet qu'il lui fallait, tout simplement.

Il pénétra dans l'enceinte de l'Âme et l'art mûr, boutique au nom exécrable mais au tenancier digne de confiance. Dilon Deraborne était celui qui avait forgé la dague émeraude du Faucheur, et ce dernier avait été tout à fait satisfait du résultat. Aussi se dirigea-il vers le comptoir sans perdre une seconde. La liste des ingrédients, il la connaissait par cœur depuis le jour où il avait posé les yeux sur cette merveille qu'il allait bientôt obtenir.

Presque à contrecœur, il déposa sa Dague émeraude sur le comptoir. Cette lame lui avait rendu de fier service, et grâce à elle, il avait fait couler beaucoup de sang. Puis, il présenta un sac de toile contenant 25 minerais de diamants, la ressource minière la plus rare qui soit. Très dure à obtenir, très chère, mais indispensable pour la bonne qualité de la Catharsis. Enfin, de sa poche, le stryge noir déposa délicatement une fiole d'eau d'élémentaire. Là encore, un élément très rare, et très difficile d'obtention, qu'il avait récupéré en triomphant d'un élémentaire d'eau et d'un kelpi des mers, en route vers Wystéria. Pour compléter le tout, Saigo ajouta une bourse de 480 pièces d'ors, pour couvrir les frais d'utilisation de la forge. Non sans une pointe de fierté, il annonça :

Une Double-Dague de Catharsis.

Je me préparais en hâte pour le grand événement. Tout cela risqué d’être un peu serré au niveau du temps imparti, mais je savais avoir à faire à un forgeron de qualité. Après tout, c’était ma troisième commande et elles avaient toujours été honorées, avec un certain succès, qui plus est.
Cette fois, Mr Deraborne se trouvé au comptoir. Je lui fis rapidement part de ma requête. Ce serait pour un Warhammer si possible. J’ai la lors et les matériaux. Vous pouvez me faire cela pour d’ici à dans deux jours. Le forgeron me lança un regard perplexe. En effet, il allait falloir qu’il y consacre tout son temps, sans quoi, jamais il ne finirait à temps . Il finit par accepter, ce qui eut tout de même pour conséquence d’alléger un petit peu plus ma bourse.

[12 minerais d’or + 9 minerais de diamant + 1 bois de baobab + 1 marteau de Dùgril
+ 280 pièces d’or = Warhammer]

Ps : à équiper a la place de la lance dorée svp ^^