Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : ty'
Âge : 23ans
Classe/métier : plombier/chauffagiste
Hobbies/activités : internet (non sérieux?), trouver des réponses a des questions inutiles, lecture, musique (rock & classique)
Couleur préférée : bleu
Opinion sur le forum : il est super
Comment as-tu connu ce forum ? Houla, dilon je crois bien
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Vim Naturae
Âge : une trentaine d'année
Sexe : Grand (pardon) Masculin
Race : Géants
Classe envisagée : Guerrier
Ce qu'il aime : La nature, les animaux (dans son estomac), la bataille
Ce qu'il n'aime pas : Les villes, Les gens qui parlent tout le temps,
Situation amoureuse : Veuf de toutes
Code du règlement :
Saumon grillé - Validé par Dilon{Facultatif} Un pouvoir particulier ? La magie c'est pour les faibles, les hommes, les vrais! ne pactisent pas avec un démon pour avoir des pouvoirs, ils prennent une hache et pourfendent leurs ennemies.
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Bah du coup Vim est ce qui se rapproche le plus des berserkers, il porte en permanence une peau de loup sur le crâne rattaché à la peau d'ours qui lui sert de manteau. qu'il pleuve, vente ou grêle il aura toujours cet accoutrement-là, et pour cause, cet accoutrement caché la plupart de son corps.
Car en effet Vim n'est pas ce que l'on peut appeler une beauté fatale, le blanc de ses yeux est noir, sa pupille est large et ses dents sont pointues, et ce n'est que la tête, le reste du corps n'est pas mieux.
Son torse est rempli de gros poils gris qui lui font une tonsure dont seules les cicatrices le délimite, ses épaules larges et musclées mènent à des bras déformés par les combats, des griffures ou des coups de massue, on ne saurait dire, au bout de ses doigts ses ongles se terminent en pointe laissant imaginer des griffes.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
Je ne pense qu'à détruire l'homme qui l'a tout pris, autrefois j'avais plusieurs femmes, une demeure qui rendrait jaloux plus d'une personne et un peuple! J'avais tout! Je me suis battu pour eux! Et maintenant je suis-je ne sais ou avec un seul souvenir, celui de l'homme qui ma tout prise me dire que si je reviens dans mon pays natal je me ferais exécuter, JE LE TUERAIS!
je dois penser à nettoyer les plaies et soigner mon âme avant de repartir à la conquête de mon royaume, mais surtout je dois trouver ou je suis, cette terre que je ne connais pas, ce royaume inconnu et ces gens qui ont l'air tellement... heureux? je n'aime pas cela, si les gens sont heureux il n'y a pas de guerre.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
Alors! Mon histoire est simple, barbare, combat, tuer le roi, barbare être roi et se faire trahir. Voila fin!
Bon je vais vous en dire plus car la je sent que vous êtes mécontent de mon histoire.
Tout d'abord je vais vous conter l'histoire de mes parents, un géant barbare et une reine femme-ours, ce serait presque mignon si mon père n'avait pas décimé toute la meute de ma mère car je cite "Ours fort, Ours danger" il a au passage capturé ma chère maman et l'a violé jusqu'au jour où il en a eu marre et l'a mangé, il l'a tué, dépecé et mangé à la broche en faisant de sa peau du cuir. (vous pensez sérieusement avoir des problèmes de famille?) Mon cher paternel était (très) bête, mais il a vite compris que jamais je ne serais un de ces soldats qui obéissent sans rien dire, en plus je n'étais pas tout à fait Géant, j'avais certes leur Grandeur mais parler n'était pas difficile pour moi, et ça il en a eu peur, il m'a relégué au fond de la meute sans aucune chance de lui succédé.
Dans ma meute le chef est au milieu du campement, son abri est le plus grand de tous et chaque matin les chasseurs déposent des offrandes à ses pieds, devant sa tente un trône d'os d'où il peut voir toute sa tribu.
Plus les tentes sont éloignées moins l'importance dans la meute est forte, c'est comme ça que je me suis retrouvé à l'extrémité du périmètre, dans un abri qui prenait l'eau et le froid.
À l'âge de huit ans je me débrouillais seul dans ma propre tente et je ne demandais d'aide à personne, de toute façon vue ma physique personne ne m'aurait aidé, l'union de deux espèces pourtant contre nature.
Tous les ans un grand concours au sein de la communauté a lieu, devant la tente du chef, on délimite un carré par des os et des cadavres d'animaux, met le feu à deux ou trois torches et des combattants entre en scène, ce rite est obligatoire pour les garçons de quinze ans (est-je oubliais de dire que le combat a été terminé quand l'un des deux été mort?), mon adversaire faisait partie de la seconde couronne de tente, une famille plutôt bien placée donc, rien d'insurmontable mais lors d'un combat à mort je vous cache pas qu'on a peur quand même.
Nous sommes tous deux entré dans le carré, lui encouragé par sa famille qui grognait en signe d'encouragement et moi encouragé par moi-même, j'ai toujours cru que c'était mon père qui avait fait en sorte que je me retrouve en face lui, mais en fin de compte ce n'était pas le plus important, le plus important c'est que ce fut ce jour-là que j'ai enfin laissé mes pulsions meurtrières passées en avant.
dans ce genre de combat nous n'avons pas d'armes, les seuls ustensiles sont nos mains et nos doigts.
Il se rua sur moi avec une violence jamais vue et m'asséna un énorme coup de poing dans l'estomac, sous le coup je fus projeté un mètre en arrière et je tombais au sol; il sauta sur moi mais je profitais de ce qu'il soit en l'air pour lui donner un gros coup de pied qui fut alourdi par la pesanteur, quand je me suis redressé nous étions face à face, la rage au ventre et la bave au bord des lèvres, la chaleur des feux et la foule qui criait n'arrangeaient rien à tout cela.
ensuite nous nous sommes jeté l'un sur l'autre et nous avons commencé ce que j'appelle le "retour a l'envoyeur" une sorte de mêlé où tous les coups sont permis et a tous les endroits, cet échange a duré bien dix minutes avant qu'on arrête, j'avais mal de partout et le simple fait de respiré faisait un bruit de craquement, il fallait vite en finir, je prenais la main et l'attrapant par le cou et lui donnais un coup de genou dans le ventre pour le faire se plier en deux, là je me reculais et donnais plusieurs coups de genoux dans la tête du jeune homme avant et casser ses cotes avec des crochets, le rage m'envahis et bientôt je ne voyais plus qu'un voile rouge devant moi, je ne sais toujours pas si c'était du sang qui coulait de mon front ou simplement la rage mais j'ai littéralement pété un câble, même lorsque mon adversaire avait perdu connaissance je le tenais pour qu'il ne tombe pas au sol et continuait de frapper.
ce jour la je me suis fait une réputation, celle d'un homme qui se rapproche de la nature, calme et bonne quand il le veut, mais aussi cruel et glacial quand il le faut, on me baptisa Vim NaturAE "force de la nature" et mon adversaire lui reposa en paix, lors des funérailles il ne restait que quelques morceaux de viande sans peau, dans ma colère j'avais tout arraché et je ne m'en était même pas rendu compte...
ceci clos mon adolescence, vous n'avez pas besoin de savoir mon premier amour et tout le bazar quand même, un peu de vie privée voyons!
suite à ce tournoi mon père m'a pris avec lui il a dû préféré que je sois avec lui plutôt que contre lui.
À partir de ce jour la je me suis entrainé jour et nuit pour battre n'importe quel adversaire, mon arme favorite fut la hache à double tranchant, facile à manier et avec ma force je pouvais pourfendre les adversaires en deux sans trop de difficulté.
tout se passait plutôt bien, quelques massacres de paysans quand on voulait des ressources, des fêtes et des banquets, même mon père semblait de bonne humeur, il n'avait pas mangé de maitresse depuis au moins deux mois.
puis et arrivé les rois, avec toute une armée, ils ont littéralement roulé sur le campement, mais vraiment avec des machines de guerre et tout, ils ont décimé ma meute et brulé les cadavres, pour ma part je me suis pris un mauvais coup et je suis tombé dans inconscience pendant un moment, quand je me suis réveillé le feu avais pris au tour de moi, je ais même quelques brulures sur mon bras, fort heureusement ce n'était pas des brulures en direct.
je me suis relevé et je suis parti à la recherche des assassins armés de ma hache et bien décide à venger ma famille.
il m'a fallu faire quelques lieues mais j'ai réussi à les rattraper, ils étaient en pleine bataille, des paysans contre une armée, sérieusement? et ce roi au milieu, LUI! je fonçais dans le tas, ne faisant aucune distinction entre les gardes et les paysans, arrachant des bras ou des têtes, a coup de hache, de pied et même de coude.
Seulement les paysans se sont retournés contre moi et les soldats en ont profité de cette ouverture pour les attaquer à revers, pour ma part ai pas fait de distinctions, j'ai tout simplement taillé dans le vif en coupant et écrasant tout ce qui s'approchait trop près de moi.
je ne sais pas combien d'hommes j'ai tués mais à un moment j'ai dû enjamber un tas pour m'avancer vers ce roi.
le combat a duré bien plus longtemps que ce que j'avais prévu, une fois les paysans exterminés et une bonne partie des soldats tranchés en deux je me suis évanouie, les blessures et les brulures étaient trop fortes pour rester debout.
quand je me suis éveillé j'étais dans une chambre, une cage de pierre, une femme était là et s'occupait de moi:
- Ho vous êtes éveillé? je vais de ce pas le dire a notre ... bons rois elle partit sans ce retournée, quelques instants plus tard des hommes en armures me firent signe de venir, dans leur QG il est impossible de sortir indemne, autant les suivre et voir ou ça me mène après tout.
ils m'amenèrent dans une cour où il y avait tout le gratin du pays:
-loyaux sujets! regardez l'homme qui a tué les paysans! toi! je vais te faire chevalier!
il leva son épée et la posa sur mon épaule (allez-vous le sentez venir là non?) à ce moment la je pris l'épée dans ma main gauche et plongeasse celle de droite dans son abdomen:
-c'est pour ma famille.
des cris stridents émanèrent des invités et le roi tomba comme une feuille morte, j'ai vraiment cru que c'était la fin, mais au lieu de cela
- LE ROI EST MORT! VIVE LE NOUVEAU ROIS!
j'ai appris par la suite que ce roi était une pourriture qui harcelait les paysans d'où la révolte et qui tuait toute personne n'étant pas d'accord avec lui.
j'ai vécu presque dix ans en tant que rois par la suite, j'avais un bras droit exemplaire, c'était aussi mon plus fidèle ami, il était là lorsque tous mes mariages, et surtout lors des naissances et des traités, vous vous doutez bien d'un géant / thérianthope ne représenta pas tellement la bonne image du pays, aussi pour tout ce qui était administratif c'est lui qui géré tout ça.
j'aurais dû le voir venir, j'aurais du m'y attendre, trop de laissé aller, j'ai eu une vie trop facile par la suite et je me suis relâché, c'est entièrement ma faute.
un soir je me suis endormi après avoir bu trop de vin et à mon réveil j'étais sur un bateau, on m'avait drogué, mon bras droit m'avait drogué!
"j'ai tout arrangé, tu as tué ta femme et tes enfants, et tu es parti a pour éviter de faire couler le pays, si tu reviens tu n'as plus aucun appui, cela fait des mois que je mets ça en place et cette nuit c'est l'apogée!"
puis j'ai reçu un gros coup derrière la tête, avant de m'évanouir j'ai juste eu le temps d'entendre:
"effacez lui tous ses souvenirs".
La nuit dans une forêt ou seul le feux de camp éclaire les arbres, un chaman avait la tête de Vim entre ses mains, a la demande du jeune Géant il avait sondé son esprit.
- J'ai convoqué les esprits et ton inconscient m'a conté ton histoire, tu étais le roi d'une terre lointaine, tu as été trahis par ton ami.
Vim ouvrit les yeux lentement:
- Moi Roi? J'ais été trahis? Par qui?
le chaman enleva ses mains
- Je... je ne sais pas... ton inconscient ne me la pas dis.
le géant se leva d'un coup et agrippa le chaman:
- Qui? Qui m'a trahi ? Je veux son nom!
Il secoua le chaman tellement fort que les grigris du vieil homme tombèrent un a un "Répond! Qui?"
- Lâchez moi je vous en pris lâchez moi je n'ais rien fait.
De colère Vim frappa le chaman contre le sol a plusieurs reprises.
- Toi! Répond! Maintenant!
quand Vim repris ses esprits le chaman était mort fracassé contre le sol, il se leva et parti sans un mot, un roi vagabond.
Mais... A-t-il un rêve?
se rappeler de ce qu'il était et une fois qu'il se sera rappelé de tout ça ce sera de tuer l'homme qui lui a tout pris et de reconquérir son royaume, l'homme parti de rien et qui est devenue rois peut faire rire ou envier, mais lui c'est sa vie...
"
Les rêves brisés sont le terreau des rêves à venir". Pierre Bottero.