À la frontière septentrionale des Sombres Montagnes de Kanaan avec les montagnes enneigées du Grand Nord, se trouve un si petit village Djöllfulins qu'il n'apparaît sur aucune carte de la région. Ce village se nomme Xarcis, en mémoire de son fondateur, selon les dires des anciens, même s'il n'y a aucune trace écrite de l'existence d'un Xarcis dans les archives du village ou dans aucune autre archive dans les terres Djöllfulins.
Le petit village de Xarcis est dirigé par les anciens du village, les plus vieux et sages Djöllfulins ayant plusieurs siècles d'existence. Ce sont eux qui décident de la direction et de la politique du village, même s'ils ont l'habitude de demander leurs avis aux villageois lorsqu'ils allaient prendre une décision majeure.
Le Culte principal du village est celui de Lagmùra, le dieu de la Force. Pour les habitants de Xarcis, ils prouvent leurs forces en survivant dans cette région alors qu'elle est enneigée durant les deux-tiers de l'année. Durant la courte période où la neige ne recouvrait pas le sol, les villageois cultivaient les quelques légumes et plantes pouvant survivre dans cette région glaciale.
Mais ce qu'ils n'avaient en légumes, les villageois l'avaient en viandes. La région était riche en gibier en tout genre. Allant du petit lapin aux cervidés de grande taille nourrissant une famille Djöllfulins pendant plusieurs jours d'affilée. Faisant la joie des chasseurs du village qui revenaient toujours avec du gibier plus ou moins gros à chacune de leurs chasses.
En plus d'être un lieu de prédilection pour les chasseurs, les montagnes entourant le village de Xarcis étaient riches en minerais de fer et de cuivre. Permettant aux forgerons et aux armuriers du village d'avoir toujours des métaux à travailler pour faire les différentes armures, armes et outils du village.
Les forgerons et armuriers aimaient dire que le sol était tellement riche en métaux, qu'ils avaient presque qu'à se baisser pour avoir le cuivre et le fer dont ils avaient besoin.
La vérité, c'était que les montagnes entourant le village avec de riches filons de fer et de cuivre. Cela signifiait que les mineurs n'avaient pas besoin d'aller très loin dans les profondeurs des montagnes pour récolter ce qu'ils avaient besoin pour le bon fonctionnement des forges du village.
*-*-*-*
Ce fut dans ce village que naquit le jeune Elduin. Son père, Casrai, était l'un des mineurs du village. Sa mère, Mavari, était chargées de s'occuper du temple de Lagmùra. Et ils étaient tous les deux très heureux d'avoir un enfant en bonne santé. Il faisait partie de la nouvelle génération, celle qui n'avait pas connu leurs terres ancestrales, ni l'exode que leurs peuples avaient dû subir.
Quelques semaines après la naissance d'Elduin, lorsqu'il ouvrit ses yeux, tout le village put se rendre compte qu'il avait les yeux entièrement noirs. Si certaines femmes Djöllfulins virent cela comme une "Malédiction", l'un des anciens annonça que ce n'était pas rare avant l'exode. Les Djöllfulins ayant ses yeux n'étaient pas maudit ou béni par leurs Dieux. Aucuns dans anciens sages de leur civilisation n'avait trouvé la raison pour cela, mais ils avaient dit que c'était comme les personnes naissent avec les yeux vairons. C'était rare, mais rien de dangereux pour l'enfant ou pour le village qui voyait un tel enfant naître.
Après cela, les villageois de Xarcis ne firent plus attention aux yeux du jeune Elduin, sauf lorsqu'ils croisent son regard. Pour certaines personnes, cela leurs faisait des frissons malaises dans tout le corps. Pour d'autres, ils étaient fascinés par ses yeux de couleurs jais et pour certaines demoiselles du village, elles trouvaient son regard magnifique.
Quelques années passèrent sans incident dans le village de Xarcis. Elduin ne semblait pas se faire des amis parmi les autres enfants, préférant passer plus de temps à regarder l'horizon ou le ciel que de jouer avec les Djöllfulins de son village. Ce qui marqua un tournant dans sa vie, ce fut le fait que la peau rouge clair d'Elduin commença à prendre une teinte plus intense. Elle commençait à devenir d'un rouge écarlate peu vue dans le village. L'un des anciens fut surpris, car selon ses dire, c'était la même couleur de peau qu'avait le fondateur du village le dénommé Xarcis, mais presqu'aucun des Djöllfulins relativement âgé n'arrivaient à se souvenir de cette personne alors que le village n'avait moins de trois décennies d'existence.
Elduin laissa les dire et les élucubrations de l'ancien. Cela ne changeait pas sa vie, sauf que plus de jeunes filles du village voulaient jouer avec lui à son plus grand malheur, car elles avaient du mal avec le principe du non qu'il leurs disait quand elles l'invitent à jouer.
Lorsqu'il eut près de huit ans, Elduin fut introduit à la chasse. C'était un rite de passage, signifiant qu'il arrivait à la fin de son enfance et que d'ici quelques années, il serait un adolescent et qu'il pourrait avoir des obligations envers le village. Si tous les autres jeunes Djöllfulins prirent rapidement le plein des techniques de bases de la chasse, comme la traque et le camouflage. Ce n'était pas le cas du jeune Elduin, non pas qu'il ne s'appliquait pas dans sa formation. Mais cela venait de sa taille, depuis quelque temps, il semblait avoir une poussée de croissance plus importante que le reste des autres enfants.
Alors qu'il n'avait que huit années ; il était aussi grand voir plus que certains adolescents ayant près de quatorze années. Et il n'était pas fin non plus. Ce qu'il avait pris en hauteur, il l'avait aussi pris en largeur d'épaule. Certains Djöllfulins disaient en plaisantant qu'il était un futur colosse s'il continuait à grandir comme cela.
Cette poussée de croissance creusa un certain fossé entre lui et les autres enfants de son âge, du simple fait qu'il les dominait d'une à deux têtes de plus et qu'il était bien plus fort qu'eux sans trop faire d'effort pour cela. Mais si les enfants de son âge semblaient l'éviter, ce n'était pas le cas des jeunes adolescentes qui le trouvaient de plus en plus mignon. Il avait une taille imposante pour son âge, une musculature naturelle, une peau d'un rouge écarlate rarement vue et des yeux entiers de jais. Il avait, selon elles, un air mystérieux et unique qui les faisait rêver de l'avoir comme petit-ami d'ici quelques années, lorsqu'il ne serait plus dans sa phase où il ne trouvait pas les demoiselles pas attirantes.
*-*-*-*
Sept années s'étaient écoulées depuis le moment où Elduin avait appris l'art de la chasse. Durant cette période de sa vie, il n'y avait pas eux de grand changement, autre le fait qu'il était capable de créer ; à partir de rien, une sphère lumineuse de couleur bleutée. Personne parmi le village ne savait qu'il pouvait faire cela. Il avait gardé le secret, car il ne voulait pas entendre les anciens tenter de trouver une raison étrange, car il pouvait faire de la lumière. Et puis, le fait que personne ne connaissait son secret, cela lui permettait de sortir en douce de chez ses parents pour s'isoler non loin du village lorsque la nuit tombait.
Parallèlement, ses instructeurs de chasses lui dirent que s'il se retrouvait seul en forêt, il se débrouillerait, mais ce n'était pas une voie qu'il devrait choisir. Au vue de sa taille imposante, il faisait naturellement peur aux animaux, même parmi les plus imposants de la région. Alors il choisit de donner un coups de main à son père dans l'une des mines du village. Si sa carrure fut un petit problème dans les premiers temps dans les galeries, étant un peu juste au niveau de la hauteur pour lui. Sa force fut son plus grand atout. Là où ils avaient besoin de deux personnes pour pousser les chariots chargés de minéraux, Elduin pouvait le faire seul. Et puis lorsqu'il maniait une pioche, on pouvait l'entendre sur plusieurs mètres à la ronde, la force de ses coups avaient réussi à tordre plusieurs têtes de pioches dans les premiers temps.
Au vue de sa taille et de sa force naturelle, les guerriers du village prirent la décision ; avec l'aval des anciens, de former le jeune Elduin au base de l'art de la Guerre. Ils lui dirent que cela ne lui ferait pas de mal de savoir se défendre et puis avec une carrure, il serait un atout non négligeable si le village se faisait attaquer par les hommes du Nord ou des animaux en colère.
Ce fut pour cette raison qu'il apprit à manier la lance, l'épée, la masse d'armes et le marteau de guerre. Au vue de sa taille et de sa carrure, il était naturellement plus doué dans le maniement du marteau de guerre et de la masse d'armes. Un simple revers de sa main avec un de ses deux armes avait tendance à arracher la tête du mannequin d'entraînement, au grand dam du menuisier du village qui devait en refaire régulièrement.
Ce fut durant un de ses d'entraînement, qu'Elduin fit la rencontre d'une jeune Djöllfulin ayant une année de moins que lui, se nommant Khazsih et d'un Djöllfulin ayant deux ans de moins, se nommant Yske. Très rapidement, ils se lièrent d'amitié, au plus grand soulagement de ses parents. Même si sa mère, Mavari, aimait taquiner son fils en lui posant régulièrement la question s'il n'éprouvait pas un peu plus que de simple sentiment d'amitié pour la jeune Khazsih. Mais à chaque fois qu'elle lui posait la question, il lui disait la même chose. Qu'ils étaient simplement des amis et qu'il était encore trop jeune pour penser à se trouver une compagne avec qui fonder un foyer.
*-*-*-*
Du haut de ses vingt-deux ans, Elduin avait une vie tranquille. Il était considéré, par les anciens et le chef des mines, comme l'un des meilleurs mineurs de la communauté au vue de ce qu'il pouvait récolter par jour; même si des fois, il détruisait les pioches qu'il utilisait avec sa force naturelle. Mais il rapportait plus de minéraux qu'il ne consommait de pioche.
Comme sa mère, Mavari, l'avait laissé sous entendre un grand nombre de fois; il semblait se rapprocher de plus en plus de la jeune Khazsih. Il n'est pas rare de les voir de les voir se balader tous les deux dans le village ou dans les champs. Ils passaient le plus clair de leur temps à parler durant ses promenades sans pour autant faire un geste l'un envers l'autre.
Mais le village et les jeunes hommes savaient qu'ils ne fallaient pas les déranger durant leurs promenades. Car lorsqu'un petit groupe eut cette idée, ils ont tous fini dans la tente du guérisseurs avec le visage en sang et le souvenir de la fureur provenant des yeux du jeune Elduin. Quand les anciens posaient la question sur ce qu'il s'était passé, ils dirent tous que son regard était le même que celui d'un des prédateurs, de la région, protégeant l'un des siens. C'était comme regarder la fureur d'une force de la Nature qu'on avait éveillé par hasard et qu'il n'était pas heureux de cela. Un des anciens murmura une simple phrase auprès des autres anciens, même si les jeunes Djöllfulins l'entendirent. Cette phrase fut:
"Ne chatouillez pas un dragon qui dort."
Du haut de ses vingt-deux ans, Elduin avait une vie tranquille. Il était considéré, par les anciens et le chef des mines, comme l'un des meilleurs mineurs de la communauté au vu de ce qu'il pouvait récolter par jour ; même si des fois, il détruisait les pioches qu'il utilisait avec sa force naturelle. Mais il rapportait plus de minéraux qu'il ne consommait de pioche.
Comme sa mère, Mavari, l'avait laissé sous-entendre un grand nombre de fois ; il semblait se rapprocher de plus en plus de la jeune Khazsih. Il n'est pas rare de les voir de les voir se balader tous les deux dans le village ou dans les champs. Ils passaient le plus clair de leur temps à parler durant ses promenades sans pour autant faire un geste l'un envers l'autre.
Mais le village et les jeunes hommes savaient qu'ils ne fallait pas les déranger durant leurs promenades. Car lorsqu'un petit groupe eut cette idée, ils ont tous fini dans la tente du guérisseur avec le visage en sang et le souvenir de la fureur provenant des yeux du jeune Elduin. Quand les anciens posaient la question sur ce qu'il s'était passé, ils dirent tous que son regard était le même, celui d'un des prédateurs, de la région, protégeant l'un des siens. C'était comme regarder la fureur d'une force de la Nature qu'on avait éveillé par hasard et qu'il n'était pas heureux de cela. Un des anciens murmura une simple phrase auprès des autres anciens, même si les jeunes Djöllfulins l'entendirent. Cette phrase fut :
"Ne chatouillez pas un dragon qui dort."
Très rapidement, tout le village savait ce que l'un des anciens avait dit et les rares personnes qui étaient proches d'Elduin eurent un sourire. Même s'il semblait une personne douce, calme et gentille ; il y avait une partie de lui, qu'ils avaient tous vue, qui était fureur, puissance et rage. Et ils remerciaient tous les soirs Làgmura que cette facette du jeune Elduin soit tout le temps endormis.
Après cet événement, personne ne voulait les déranger durant leurs promenades. Seules leurs mères de ces deux jeunes gens qui leur posaient la question qui faisait rougir Khazsih et qui mettait mal à l'aise Elduin. La question de savoir quand ils avaient l'intention de se marier. Mavari était plus partant pour se marier durant les périodes froides, vers la fin ou le début de l'année. Alors que la mère de Khazsih était plus pour que le mariage ait lieu durant la belle période, permettant à sa fille de porter des robes plus légères.
Mais comme le dit un certain dicton, toutes les bonnes choses ont une fin. Ce fut par une nuit de pleine nuit que le bonheur d'Elduin prit fin. Alors qu'il sortait de chez ses parents pour une balade nocturne, pour se vider l'esprit des questions constantes sur le futur mariage avec son amie et combien d'enfants, ils voulaient, que le drame eut lieu.
Alors qu'il se baladait en regardant le ciel, il sentit une douleur intense au niveau de son épaule gauche. Il posa sa main sur elle et lorsqu'il l'enleva, il vit du sang sur sa main. Son épaule était entaillée. Mais il n'eut pas le temps de hurler ou de faire quelque chose qu'il a perdu connaissance sans qu'il ne sache pourquoi.
Quand il se réveilla, il avait toujours horriblement, mal à son épaule, mais aussi sur son torse. En regardant rapidement, il vit trois entailles parallèles allant de son épaule gauche à sa hanche droite. Mais quand son regard se posa sur le village, il le vit en ruine. Certaines maisons étaient à moitié brûlées, d'autres détruisent par des coups d'armes ou par des entailles faites par des sortes de griffes de grande taille.
Les guerriers du village se trouvaient presque tous au sol, morts par différents types de blessures. Mais la grande partie était due à la perte d'un ou de plusieurs membres. Certains guerriers étaient empalés à des maisons, une arme encore dans le corps sans vie. Après avoir constaté la mort des guerriers, Elduin vit qu'ils n'étaient pas les seules victimes. Tout le village était mort. Les femmes, les enfants, et même les plus vieux étaient morts. Plus une seule âme, autre que lui, ne vivait dans ce village.
Il courut vers la demeure de ses parents et vit le triste spectacle de son père, pioche à la main, ayant tenté de défendre sa mère. Sa mère était dans ce qui fut la chambre parentale, elle était morte en tentant de se défendre avec un couteau de cuisine dans les mains. Il hurla et pleura leurs morts. Puis comme un être sans âme, il alla vers la demeure de Khazsih sans trop d'espoir et il la vit mort avec une lance dans le corps. De nouveau, des larmes coulèrent de ses yeux et il regarda le ciel où il eut un nouveau choc.
Lorsqu'il s'était réveillé, il faisait toujours nuit et il avait pensé, à tort, qu'il était toujours la nuit où il fut attaqué. Mais la lune était dans sa phase décroissante. Elle n'était plus pleine. Cela faisait deux jours, où plutôt deux nuits que le village fut attaqué. Les assaillants avaient pensé qu'Elduin était mort. Sûrement pour cette raison qu'il était encore en vie après un tel massacre.
Mais Elduin ne comprenait pas la raison d'un tel carnage. Xarcis était un petit village ayant moins d'une centaine de Djöllfulins. Ils avaient quelques contacts avec des caravanes se perdant dans la région et ils furent toujours "accueillants" envers les étrangers. Ils leur offraient un repas chaud et un lieu ou dormi près de l'entrée du village. Ils étaient, selon les dires des anciens, plus accueillants que les autres communautés de Djöllfulins. Alors pour quelle raison le village fut détruit avec une telle fureur.
Il fallut trois jours complets pour que Elduin puisse soigner légèrement ses blessures. N'ayant que des connaissances très basique sur les soins, se limitant à savoir appliquer les baumes de soins et faire ses propres bandages, cela le limitait dans sa future guérison.
Mais en plus de cela, il avait construit un bûcher funéraire suffisamment grand pour honorer tout le village en fois. C'était dans les traditions du village de brûler les guerriers tombés au combat et vu que tout le village était mort de cette façon, alors Elduin allait leurs rendre cet hommage. Juste avant d'allumer les flammes, il dit au revoir une dernière fois à ses parents et il embrasse, pour la première fois, Khazsih sur le front lui avouant ses sentiments pour elle. Il alluma le bûcher qui emporte avec lui ton son passé et les âmes de toutes les personnes qu'il avait toujours connu. La fin de son adolescence et de son innocence brûlait devant lui.
*-*-*-*
Durant les trois années qui suivirent le massacre de son village, Elduin erra sans but dans les plaines d'Aràn ou dans le sud de la toundra du Grand Nord. Il survécut en faisant quelques petits boulots ici et là, lorsqu'il croisait quelques villages ou caravanes marchandes sur son errance. Il chassa avec plus ou moins de succès pour obtenir de la nourriture, mais il eut une alimentation plutôt pauvre et principalement basé sur les baies ou fruits sauvages qu'il pouvait trouver.
Après autant d'années d'errance, alors qu'il n'était plus que l'ombre de lui-même, il se vit dans le reflet d'un point d'eau et la personne qu'il vit le dégoûtant. Il frappa son reflet avec colère et chagrin. La mort de ses proches l'avait brisé et lorsqu'il se vit, il put presque les entendre dire qu'il devait se reprendre en main. Il passa presque toute cette journée à hurler comme un dément. Si autre chose que les animaux l'avaient entendu, ils l'auraient pris pour un fou. Mais après avoir laissé éclater sa rage, sa colère et sa tristesse, Elduin se redressa et décida de reprendre sa vie en main.
La première chose qu'il fit, ce fut d'attacher ses cheveux en une queue-de-cheval. Puis il se passa de l'eau sur le visage pour sembler plus présentable et moins un sauvage errant dans la nature. Il laissa tomber les quelques vêtements déchirés qu'il avait, le laissant en pantalon et en simple chemise noire. Il regarda la lune qui se leva et il dit aux membres de son village que le nom de Xarcis perdurait encore quelques années, car à partir de ce jour, il serait connu sous le nom d'Elduin Xarcis.
Une fois, tout cela fait, il se dirigea vers la ville de Kastalinn, ce serait là-bas qu'une nouvelle page de son histoire commencerait. Une nouvelle ère pour lui qui ne ferait pas honte à ses proches et à son village disparu. Il était un Djöllfulin du Dieu Làgmura, par ses actions, il montrerait sa force. Par ses actes, il honorait les siens. Car comme ses frères Djöllfulins disent :
" Que Lagmarù me donne la force de surmonter cette épreuve ! "-10 lignes minimum-