FICHE ACHEVEE

Nom : Caïn Tawdry Caïn Tawdry Caïn... Tawdry. Caïn.
Âge : Environ 120.
Sexe : Mâle

Race : Elfe.

Classe envisagée : Y'a pas de classe où on se castagne avec une pelle alors on va se contenter d'un bâton d'éther, au cas où vous avez pas pigé, pugiliste.

Métier envisagé : Bûcheron.

Capacité magique : Il peut mettre 3 pains dans sa bouche en même temps.

Mode hardcore : Hahaha... No.

Décrivez nous ce à quoi ressemble votre personnage : Caïn est... Sale, très grand... Aux yeux d'un nain, c'est à dire qu'il dépasse les 1m20, et plus précisément il fait 1m95 pour 70kg, il est blanc bien que le soleil, la poussière et la saleté ont corrompu le blanc de sa peau.

Ses cheveux sont moyennement longs, bruns rendus noirs par la saleté. Ses yeux quand à eux sont marrons foncés.

Son corps est couvert de cicatrices faîtes par des animaux, lui-même ou les arbres et la montagne. Disons que c'est un enfant turbulant. Ah nan c'est plus un enfant. Peu importe.
Pour un elfe il est sale, pourquoi se laver si l'on va se salir juste après ? Voilà pourquoi il se lave une fois tout les deux trois mois, environ. En effet, Sherlock, ce ne sont certainement pas des elfes qui lui auront appris ça... Il apprécie porter sa longue veste noire, son pantalon déchiré jusqu'au genoux, il se balade souvent pieds nus sauf dans la montagne, il met ses souliers bruns. Il a une voix rauque et désagréable à cause du froid.

Caïn est un personnage que l'on pourrait qualifier de stupide, d'égoïste et de cringe (bon Dieu que je hais ce mot). Isoler quelqu'un pendant plusieurs années et voilà qu'il tuerait pour de l'attention, qu'il ne s'attache plus à personne. C'est ce que Caïn fait, il a toujours eu de la nourriture aussi immonde soit-elle, il a toujours eu un toit aussi fragile soit-il. Mais Caïn n'a pas d'amis, il peut se permettre de vivre dans la crasse, de répéter les mêmes erreurs, être aussi triste que possible, personne ne sera là pour le raisonner, lui donner de l'attention. Un monde sans couleur quoi.

Il a des réactions très exagérées, et peut parler ou très doucement OU TRES FORT. Il n'est pas bon pour cerner les émotions des gens, il passe plus de temps dans la forêt et la montagne qu'avec les villageois, faut dire... La majorité sont des nains.

Il perçoit le monde d'un regard hargneux et possessif, mais aussi d'un regard compatissant et agréable. Ca dépend quelle facette il observe, celle de la civilisation ou du plus sauvage des mondes. À se demander lequel est le plus cruel.

Caïn est un elfe sauvage, un animal qui sait parler, il agit comme un enfant en fait. Tout ce qu'il aime se trouve dans la nature, il n'a rien contre quoique ce soit, ce que je veux dire par là c'est qu'il n'éprouve de haine ou d'aversion pour rien ni personnes. Il a un sens aigüe de la justice et après tout ça je sais pas quoi dire d'autre.

Laissez-moi ouvrir ma carte quelques instants... Donc la mère et le père de Caïn sont des aventuriers elfes qui viennent tout deux de la forêt de Sylfaën... Blablabla, après des dizaines d'années à voyager Caïn naît à Ishtar peu après la mort de son père d'une maladie orpheline.
Suite à cela sa mère prendra pour la première fois le chemin le plus sûr pour confier son fils à la petite-fille d'une de ses anciennes amies humaines mortes, car comme tout les humains, la vie ne dure pas jusqu'à 400 ans... Suite à des négociations, la fille accepta de recueillir Caïn malgré le racisme qu'il peut y avoir au sein du village composé majoritairement de nains. Et le cœur allégé de la présence de son mari et son fils, par nostalgie, mélancolie par ... Bref elle repartit à l'aventure mais cette fois, n'ayant rien à perdre, elle décida d'écumer les mers qui lui faisaient peur et les terres froides qui la hantait tant.

La fille qui recueillit Caïn tenta de l'éduquer seule, puis elle se maria, puis ils l'éduquèrent à deux, puis ils eurent un fils, Caïn était toujours un enfant mentalement que ses nouveaux parents moururent un puis l'autre, le fils tenta de faire mûrir Caïn qui gardait un caractère enfantin du haut de ses quarante-quatre ans, le fils se maria et eurent un autre enfant, et encore une fois le fils et sa femme finissent par mourir quarante ans plus tard environ, Caïn toujours enfantin se fit chasser de la propriété qui l'avait vu grandir par le dernier descendant de cette famille...
À partir de ce moment Caïn chercha un endroit fixe où loger, dans la rue par terre il récoltait les moqueries, dans la forêt il n'était pas en sécurité.

Il alla donc au cimetière où rarement la vie s'amusait à se montrer.
Il ramassa une pelle et à partir de là il n'était déjà plus seul, pour se nourrir il demandait le travail le plus simple même si il était payé quatre fois rien même si le salaire était déjà quatre fois rien, il dormait au cimetière, travaillait, mangeait peu, si il avait su chasser ou se nourrir par lui-même aurait-ce été différent ? Absolument pas. Car son appétit était au plus bas, il se forçait à manger, son corps en avait besoin mais son esprit voulait se laisser mourir, malgré qu'il avait déjà 120 ans il restait immature, d'un caractère enfantin. Et un jour Jérémy. Tout s'est passé très vite, tandis que Caïn dormait dans son cimetière il se réveilla soudainement... Quelques secondes après s'être réveiller il comprit que les voix parlait de cadavres et d'un gardien de cimetière... Il se leva pour virer les intrus mais à peine debout il se prit un coup dans le dos et se retrouva vite à terre, les intrus tenaient un débat à propos du sort de Caïn quand celui qui semblait être le chef, Jérémy, dit que le corps de Caïn était bien trop abimé, sale, frêle. Ils l'assommèrent et au réveil de Caïn toute les tombes avaient été profanés et beaucoup de corps volés. Et la pelle de Caïn cassée. Il partit donc avant que le village ne remarque ce qu'il s'était passé, il partit à la recherche de Jérémy. Jérémy. Jérémy Jérémy jérémy jérémy...

Jérémy.

Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy. Jérémy.