Oh je vois... et ton personnage ?

Nom: Len Albhän
Âge : 23 ans
Sexe : Masculin. Enfin parfois.
Race : Stryge Blanc, blanc, blanc ♥

Classe envisagée : Ensorceleur, maitre d'arme ou peut-être rôdeur ~

Ses goûts : Len apprécie tout ce qui est doux, sucré et mignon, des sucreries en passant par les chatons et les enfants... Et les beaux garçons. Et si la musique des bardes l'accomode, malgré ce que l'on pourrait croire, il abhorre le rose et ces saletés de papillons !

Situation amoureuse : En couple avec lui-même, il recherche toutefois un tiers compagnon de lit ♥

Code du règlement :Validé par Alrun, avec amour ~

Et du coup, tu ressembles à quoi ?

Jolies prunelles d'un bleu azuré tel le ciel immenses qu'à ailes déployées il aime parcourir, silhouette fine et élancée au dos large et long, chevelure d'un blanc immaculé à la similitude de son plumage... Les adjectifs ne suffisent à restituer pleinement sa belle stature de stryge. Toute sa personnalité non plus d'ailleurs.
Ce bout d'oiseau d'un mètre quatre-vingt est un exhibitionniste patenté, non pas par narcissime mais parce qu'il ne conçoit tout simplement pas que l'on soit gêné de montrer son corps : à ses yeux, rien n'équivaut leur beauté, sinon celle des âmes...♥ Et oui, voici un esprit artistique - à tendances voyeuristes certes également. Aussi se balade-t-il souvent légèrement  vêtu au mépris des convenances, tranquillement, sa mandoline juchée dans son dos. Veste de lin blanc, large pantalon laissant le vent venir caresser ses.... jambes lorsqu'il vole, pieds laissés nus pour mieux apprécier la brise. Ses mains albâtres n'on perdu leur délicatesse malgré le temps passé à jouer des cordes et des lames ; car elles lui sont importantes, il veille à en prendre soin. Parfois excessivement mais passons.
Une autre raison à ces grandes parcelles de peau découverte est sa nature de stryge. Il est difficile de trouver un vêtement adapté, mais surtout, comment évaluer la direction du vent sans la sentir ?

Et... tu penses à quoi, là, maintenant ?

Comment résumer la complexité de sa personne ? C'est un original, ceci est certain, mais concernant ses autres traits de caractère, certains s'accorderont à le qualifier de rustre sans vertu tandis que d'autres le regarderont avec des yeux admiratifs, voyant en lui l'incarnation de l'Art. Ces derniers sont assez rares cependant.
Quoiqu'il en soit, Len est un esprit libre qui n'accepte de maitre que lui-même. Du moins veut-il le croire, lorsque son altruisme et sa générosité naturelles ne l'entravent pas dans d'inextricables bourbiers. Séjours en prison, exclusion d'auberges bienséantes, regards méprisants...
Il n'en a cure tant l'allégresse semble être le seul sentiment qu'il puisse exprimer.

Et même au combat vous verrez un sourire flotter sur ses lèvres alors que ses lames s'abattent sur son ennemi... ou lorsqu'il fuit, le diable aux trousses. S'il peut éviter de se blesser, il choisira cette option toutefois il suffirait que l'on requiert son aide pour qu'il vole littéralement au secours de son prochain, fut-ce-t-il un stryge noir ~
Il est gentil, un brin naïf, un poil mièvre, très attachant, de bonne compagnie parfois, mais surtout, porte un amour universel ♥.

Hum... Je vois... Mais dit moi, c'est quoi ton histoire ?

Adorable gosse, Len a pourtant grandi dans un environnement instable, partagé depuis son enfance entre ses envies de liberté et les aspirations parentales. La communauté stryge est bien plus complexe que ce qu'elle laisse entrevoir par son cadre idyllique : car ce peuple a un idéal de bonté, tous doivent s'y conformer de la même manière qu'ils doivent hair leurs confrères aux ailes d'ébène. Toutefois, Len avait déjà un avis sur le sujet... A ses yeux, tous méritaient de recevoir de la compassion et de l'affection, unis par leur mortalité et leur résidence en Duralas.
Bref, un gosse adorable mais rebelle haut comme trois pommes.
Aussi prit-il rapidement son envol, dans la volonté de se défaire de ces entraves et d'aller connaitre ce monde qu'il n'appréhendait tout à fait. Puisqu'on lui avait rapporté maintes fois la violence qui régnait dans certaines contrées, chose qu'une âme naive comme la sienne ne savait concevoir.
La première mort qu'il vit fut un évènement tournant de sa vie : un simple daim vint crever à ses pieds lorsque lui-même mourrait de faim aux alentours de la Perracie. Chance ! aurait beuglé n'importe qui d'autre. Mais lui se contenta de vomir ce qui lui restait encore dans sa panse avant de fondre en pleurs.
Il avait 20 ans.

Trois ans plus tard, il gagnait sa subsistance en tant que ménestrel : chant, danse, musique, dessin... Il variait la palette, se travestissant parfois pour des besoins artistiques ou personnels et obtenait de son public un bon retour. Entre deux cuvées, le jeune stryge visitait les bordels en quête de son idéal de beauté, toujours déçu d'ailleurs malgré que certaines des femmes de peu de vertu n'auraient refusé une partie de jambes en l'air.

Son train de vie lui convenait au final, même si une figure ne cessait de le hanter. Celle-ci expliquait en partie ses pulsions et ses désirs...

Un saltimbanque l'avait ramassé en Perracie alors qu'il agonisait de faim, replié sur lui-même dans un cocon de plumes blanches. Ce gars là lui offrit asile dans sa troupe, un petit cirque sans trop de prétention mais à l'ambiance chaleureuse. Himir, son sauveur, le prit en pitié et lui permit de s'instruire au près du groupe, aifn qu'il développe à son tour un talent qui puisse lui assurer sa survie. C'était sans compter la grande curiosité du Stryge blanc qui, au terme de deux ans, avait ingéré une grande part de ce qu'ils pouvaient lui apprendre...
Mais la condition précaire de la roupe, boudée par les grandes instances du continent la mena à son démentèlement : chacun prit un chemin différent, et Len choisit de suivre Himir vers les villes.
Un an de spectacles en duo dans les tavernes, un an de représentations théâtrales ou musicales.
Puis Himir s'en fut sans plus d'explications.
Chose inavouée, Len lui vouait une admiration telle qu'elle devint une forme d'amour...
Amour artistique ? Amour enfantin ? Amour véritable ?
Ce genre de réflexions n'était son fort et il ne se posa d'ailleurs pas la question : il tenait à Himir tout simplement et espérait retrouver quelqu'un qui sache le protéger et le guider dans ce monde sombre.

Aujourd'hui il parcourt le monde au gré du son de sa mandoline, tantôt en homme, tantôt en femme.

Mais... A-t-il un rêve ?

Quel plus beau rêve que celui d'un sommeil paisible, sous la douceur d'une brise fraiche, des herbes folâtres vous chatouillant les pieds ? Le tout serait parfait dans les bras d'un bel apollon il est vrai.
Il rêve donc de trouver son âme soeur en ces contrées belliqueuses et d'établir un foyer peuplé d'une ribambelle d'enfants ♥ Mais atention, il se montre intransigeant quand au choix de sa moitié aussi est-il en quête d'une âme plus forte que lui : seul un mâle puissant saura le protéger, lui, et leur progéniture !

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