Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : SkipToNight
Âge : Bientôt la seconde dizaine :'(
Classe/métier : Et bien, étant en fin d'année, je glande chez moi. Mais j'espère pouvoir de nouveau glander en cours l'année prochaine :-)
Hobbies/activités : Le sport (tant que je peux me dépenser, excepter les jeux de raquettes, ils ne m'aiment pas beaucoup), roupiller en pleine nature ( parfois pour lire, parfois juste pour dormir en paix), faire des vidéos ( j'ai un petit côté cinéaste, vous n'aurez qu'a le constater par vous même) et enfin les MMO!!
Couleurs préférées : Vert bouteille & Noir carbone
Opinion sur le forum : J'aime la couleur du fofo ^^ Plus sérieusement, j'aime beaucoup l'univers!
Comment as-tu connu ce forum ? Avec le partenariat justement. Je suis membre de l'univers d'Orcande.
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Garràn
Âge : 20 ans
Sexe : Homme
Race : Stryge noir
Classe envisagée : Assassin
Ce qu'il aime : Il aime par dessus tout ... dormir, et oui c'est un feignant. Mais il adore se battre aussi, bien entendu.
Ce qu'il n'aime pas : Il déteste le poisson autant que les stryges blancs. Il déteste également les belles plantes, les lieux ou il y a beaucoup de monde et les gens en général. Ne croyez pas que, parce que vous êtes également un/une Stryge noir, Garràn vous apprécieras pour autant.
Situation amoureuse : Un homme à destin, ça ne se marie pas, ça reste célibataire, solitaire.
Code du règlement :
Et patate titi, et patate tata ! (validé par Dougal)
Voie Standard ou Voie Spécialisée ? Standard, on va rester soft pour le commencement .
{Facultatif} Un pouvoir particulier ? Omichlikinésiste
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Garràn est bien différent de ses congénère, plus petit et plus frêle, il n'en ai pas moins agressif. 1m75 pour 65 kg et 2m80 d'envergure pour les ailes, il ressemble plus à un jeunot qu'a un véritable adulte. Un corps svelte, mais de petite taille par rapport aux autres Stryge. Il est coiffé avec une frange lui recouvrant une partie de son visage, quelques mèches blanches subsiste également. Ses yeux sont sujets de moquerie et de mépris pour les autres Stryge noir puisqu'ils sont de couleur clair. Il a également un tatouage de lune renversé sous son œil droit. Il est habillé légèrement d'une veste sombre tout le temps ouverte, lui tombant jusqu'en haut des cuisses. Par dessous se veste, il porte un serre corps noir et pour le bas un pantalon noir avec des bottes en cuir. Il porte aussi un collier et un bracelet en argent.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
La colère, le mépris, voila ce que ressent garràn. La haine d'être si différent des siens, si différent de la normalité! Il méprise toute personne vivant en ce bas monde, plus particulièrement les gens qui vivent dans la lumière comme les Stryge blanc. Il a tout de même ses petits moment de calme et généralement ils sont de courtes durée, alors il faut en profiter. S'il n'en voit pas le besoin, Garràn ne cherchera pas à vous aider, ni même vous prêter une quelconque attention, tout ce qu'il souhaite, c'est défié les gens qu'il croise si leur tête ne lui revient pas.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
On m’a demandé de vous raconter mon histoire, comment j’en suis arrivé là, du coup c’est ce que je m’apprête à faire. Asseyez-vous confortablement sur votre chaise ou sur votre canapé et tendez l’oreille attentivement. Je vais vous compter mon passé…
Comme tout le monde je suis né un jour, pour moi, cela fait 20 ans. Je suis arrivé dans ce monde du côté des montagnes du Baldor, dans un village nommé Khétak, village ou rien ne ce passe, les gens sont heureux et vivent dans la paix et l’harmonie. Il n’y a pas grand-chose à dire sur mon enfance, j’étais un garçon joyeux, curieux et aventureux. Rien à voir avec ce que je suis maintenant, mais je ne suis pas encore arrivé à la fin de mon histoire. Je reprends donc, je possédais la fougue de la jeunesse si je puis dire et cela plaisait à tout le monde, enfin surtout à mon père. C’est mon père, Midos, qui m’a élevé, je n’ai jamais connu ma mère. Mon père m’a dit qu’elle était décédée en me donnant la vie, que c’était une belle femme et patati et patata… M’enfin, toujours est-il que je ne l’ai pas connu. Mon père était toujours habillé d’une tenue mis noir, mis blanche, une grande cape derrière lui qu’il ne quittait presque jamais. Il travaillait tout le temps, à faire des sculptures de bois. Que ce soit des petites statuettes ou un des meubles, il était très doué ! J’aimais beaucoup le voir réaliser ses chefs d’œuvres, j’apprenais beaucoup à le regarder.
Bon on va faire un petit saut dans le temps, si cela ne vous dérange pas. De toute façon, c’est moi qui décide, je suis maître de mon histoire ! Donc, j’ai maintenant 8 ans. Le village a été incendié par des bandits qui étaient venus nous piller. Je sais, je sais, c’est radical, mais c’est comme ça que ça s’est passé. Personne n’a eu le temps de voir venir cette catastrophe. J’étais dans le salon quand ils sont arrivés pour saccager le village. On pouvait entendre les cris des gens dehors et en les entendant, mon père s’était levé, pour prendre une épée qu’il gardait tout le temps caché, et se dirigeait vers le bourg du village pour faire face aux assaillants. J’étais parti me mettre à l’abri dans la cachette souterraine de la maison, mon père Midos l’avait construite exprès au cas où il y aurait un quelconque problème. Pendant plusieurs heures, j’étais resté tapi dans l’ombre et j’écoutais les hurlements des villageois, le fracas des armes qui s’entre choquaient, le crépitement du feu. Ils avaient en effet mis le feu aux maisons, une fois la bataille terminée, en sortant de la cachette, je ne voyais plus que des ruines en cendre. Les bandits étaient partis avec ce qu’ils voulaient. Notre maison n’avait plus de mur, effondré à cause du feu. Des cadavres jonchaient le sol un peu partout dans le village, comme si une guerre avait eu lieu, laissant derrière elle un champ de bataille dévasté. Les femmes et les enfants avaient tous été tué sans exception, je pouvais le voir en regardant autour de moi. Les survivants s’étaient rassemblés sur la place pour exprimer leur deuil. Mon père était là aussi, soutenant les blessés. En me voyant, il se précipita sur moi, heureux de me voir sain et sauf. Mais le fait que je sois vivant ne plaisait pas à tout le monde. Après un tel acte de barbarie, les survivants avaient leur esprit en miette, ne laissant plus que des fantômes sans aucune capacité de compréhension, baignant dans le chagrin en continu. En me voyant, ces fantômes se posèrent tous la même question « Pourquoi ils m’ont pris mes enfants et pas le sien ? Pourquoi ? » . Ils commencèrent à ce rapprocher de moi comme des zombies affamés, cherchant vengeance. Mon père intervint et se plaça entre eux et moi, laissant tomber sa grande cape grise au sol. De grandes ailes noires se déployèrent pour faire barrière. On aurait dit l’envol d’un majestueux oiseau. Cela calma les survivants, ils firent tous un pas ou deux en arrières à la vu de l’ange noir. Nous ne pouvions plus rester ici, nous n’étions pas en sécurité. Mon père prit la décision de partir et de retourner au « foyer ». Mais qu’est ce qu’il appelait « foyer » ?
Depuis ces évènements, j’avais beaucoup changé. Je n’étais plus le garçon joyeux et intrépide qu’autre fois, je n’étais plus qu’un gamin chétif et rebelle, sans pour autant être très agressif. Après avoir fait la route jusqu'à un grand lac qui s’appelait « Le Lac Fresha », nous pouvions apercevoir une grande tour très sombre. C’est à ce moment que mon père choisi de me parler un peu plus de ses ailes qu’il cachait si bien jusqu’à maintenant. L’expression de son visage avait changé, il n’était plus le même, on aurait dit qu’il était en fuite, cherchant à droite et à gauche le moindre signe de vie d’un quelconque ennemi. Enfin bref, il m’expliqua que nous n’étions pas des humains, mais des Stryges. Des Stryges noirs et que l’endroit où nous allions était la maison de tous ces Stryges. Rejoindre les miens, ceux que je n’ai jamais eu la chance de connaître. Plus nous nous rapprochions et plus je sentais que mon père perdait la raison. Il n’était plus tout à fait le même, il devenait plus dur avec moi, soit disant pour me forger. Il me laissait plus ou moins me débrouiller tout seul, alors qu’avant il s’occupait de moi tout le temps. Ce n’était plus mon père, mais simplement une ombre obsolète qui me servait de guide. Sans trop le montrer, je commençais petit à petit à le haïr, à le détester. Notre trajet jusqu'à la tour noire fut long, même si l’on pouvait la voir, elle paraissait inaccessible. Mes jambes me faisaient mal, mais je me forçais à ignorer la douleur, tout comme la faim me tordait l’estomac dans tous les sens. Ce trajet, je n’étais pas près de l’oublier.
Nous arrivions enfin au pied de la maison des ailes noires, après une bonne quinzaine de jours de marche depuis Khétak. Je ne ressentais plus rien, ni mon estomac qui n’avait pas été nourri depuis plusieurs jours, ni même le contact de mes pieds avec le sol. Je n’étais ni heureux, ni triste d’être enfin arrivé à la grande tour noire. Je ne sais pas comment l’expliquer, comme si je n’arrivais pas à dissocier le bien du mauvais, le bonheur du malheur. Mes sentiments n’étaient plus qu’un tas d’idées en perpétuelle conflit dans mon esprit. Mon visage n’exprimait aucune émotion, mon corps tout entier n’exprimait plus aucune émotion.
Nous avions passé l’entrée de la tour et nous nous retrouvions submergé par la foule de gens qui circulaient de droite à gauche dans un brouhaha continu. Il est clair que ça changeait de d’habitude. Les gens autour de moi n’étaient pas tous dotés d’ailes noires, il y avait également des serpents, très étranges tout cela. Je ne m’en occupais pas bien longtemps de toute manière, nous traversions la horde bruyante et montais d’un étage dans la tour. C’est ici qu’il m’abandonna, je ne sais toujours pas pourquoi, mais à partir de là, je me suis débrouillé tout seul pour survivre. J’appris bien plus tard, en écoutant une conversation, qu’un tristement célèbre stryge noir avait été capturé pour haute trahison et qu’il serait exécuté bientôt. Tantôt, l’on disait qu’il s’était rendu de lui-même, fatigué de fuir sans arrêt, tantôt qu’il fut capturé par l’escouade des exécuteurs. Il s’agissait bien là de mon père, Midos le traître. En apprenant la nouvelle, je me mis à sa recherche, non pas pour le secourir, mais pour connaître la vérité sur lui. Il m’avait menti depuis toujours, à propos de ce que j’étais, à propose de lui et si ça se trouve, à propose de ma mère.
Je retrouvais mon père 2 jours avant l’exécution, enfermé dans une prison au sous-sol. Les hurlements se faisaient entendre depuis le rez-de-chaussée, le gémissement continuel des prisonnier qui souffraient le martyre, mais ils n’avaient que ce qu’ils méritaient. Comme dit le proverbe, on récolte ce que l’on sème. J’avais donc franchi la porte et mettais fait le plus discret possible pour atteindre sa nouvelle demeure, derrière les barreaux, enchaîné comme une saucisse.
Midos – Pourquoi es-tu venu me voir ? Tu as eu beaucoup de cran de venir jusqu’ici tout seul.
Moi – Je veux savoir toute la vérité. Qui es-tu vraiment mis à part un menteur ?
Midos – Est-ce comme cela que tu parles à ton père ?
Moi – Est-ce en abandonnant son enfant que l’on peut se prétendre père ?
J’avais visiblement touché un point sensible, il força un grand coup sur ses chaînes, mais il lui était impossible de les briser. Je n’obtiendrais rien de lui, il ne voudra jamais parler, surtout après ce que je venais de dire. Je senti soudain mes pieds quitter le sol. Je me retrouvais suspendu par le col par une force inconnue. Un garde m’avait ramassé, se demandant comment j’avais fait pour rentrer ici.
Garde – Tu n’as rien à faire ici, morveux !
Midos – Petit, ta mère est vivante. Je te mets au défi de la retrouver. Elle seule possède la vérité sur toutes les questions que tu te pose et celles que tu ne t’es pas encore posé. Je te laisse un indice : nous avons longtemps vécu au Nord de Baldorheim.
C’est sur ces mots que je quittais ce stryge noir, emmené par le garde qui nous avait gentiment laissé terminer notre petite conversation. Le garde m’expulsa des souterrains et m’envoyant valdinguer dans les tonneaux d’un marchand tout en me criant de ne plus revenir mettre mon museau dans le coin. De toute façon, je n’en avais pas l’intention. J’attendrais son exécution pour le revoir, en attendant, je devais me débrouiller seul maintenant.
Le jour de l’exécution arriva enfin, soit deux jours après ma petite mésaventure dans les souterrains. Il allait être exécuté en public à l’extérieur de la tour, au bord du Lac Fresha. Je profitais de l’évènement pour demander aux spectateurs de quoi était-il accusé. Je n’allais pas rater l’occasion, pendant que le bourreau se préparait, je pouvais me renseigner auprès des gens qui étaient venus assister à la fin de ce lui qu’on appelait le traître. Certain membre du public devait certainement en savoir plus sur les crimes qu’il avait commis, ou encore sur son identité. Je tombai sur un grand bonhomme sans ailes et sans cheveux qui avait l’air de bien le connaître. J’avais eu de la chance. Il me renseigna donc sur Midos.
Bonhomme chauve – C’t’homme là, c’tait un bon gars. J’me d’mande pourquoi il est rev’nu après tout c’temps. Surtout après son bannissement.
Moi – Il a été banni ?
Bonhomme chauve – A ça oui ! Il à osé c’que personne n’aurait essayé d’faire. Il a désobéït à la matriarche.
Moi – Mais pourquoi ?
Bonhomme chauve – Mon p’tit gars, t’as pas connu l’ancienne matriarche. C’tait sa grande sœur et lui, il l’a respectait plus que quiconque ! C’tait aussi l’un des meilleurs guerriers d’l’enfer ! Personne n’osait prononcer son nom !
Moi – Vous n’avez pas répondu à ma question vieil homme !
Bonhomme chauve – ‘tend un peu, j’y arrive de suite. Y a pas si longtemps, sa grande sœur, la matriarche est morte de vieillesse soit disant. Il n’a pas aimé qu’elle soit remplacée comme ça. Y a eu pas mal d’changement avec la petite nouvelle. Déjà elle est plus belle, pis elle est plus stricte et dure avec nous. A chaque changement de Matriarche, les guerriers exécuteurs doivent lui prêter allégeance et lui, il est resté debout. Il a ensuite déserté et fut banni. On n’a plus jamais entendu parler de lui.
Moi – Sait-on s’il a eu un fils ?
Bonhomme chauve – Aucune idée p’tit gars, ça faisait longtemps que j’lavais pas vu. C’tait pourtant un bon gars, il aimait juste pas trop l’changement.
Il ne devait pas y avoir que cela, sinon Midos ne m’aurait pas fait remarquer quelques jours plutôt que ma mère était toujours en vie et qu’elle savait la véritable vérité. Ce que venait de me dire le bonhomme ne devait être que ce que pensait les gens d’ici, tout était une question de point de vue. Je pris congés du bonhomme, j’avais eu largement ce qu’il me fallait comme réponse. Il avait toujours dit avoir été un simple guerrier en vadrouille, mais il m’avait bien roulé. Je ne pris pas la peine de regarder l’exécution, cela ne m’intéressait pas.
On va maintenant faire un nouveau saut dans le temps, je suis maintenant âgé de … 15 ans. Mes ailes ont bien poussées. Mais j’étais bien différent des autres stryges de mon âge, je dirais même de l’ensemble du peuple stryge puisque je n’avais jamais vu quelqu’un dans cette toure avoir les mêmes caractéristiques physique que moi. Je n’étais pas bien grand, tout maigrichon, j’avais des mèches blanches sur la tête et je n’avais pas les yeux sombres comme les autres, mais clair, très clair comme le ciel. On aurait pu dire que j’étais un albinos pour ne pas dire un faux stryge noir, à mi-chemin avec le stryge blanc. Durant toutes ces années, j’avais dû vivre à l’écart pour ne pas m’en prendre à tous ceux qui me faisaient la remarque de ma différence. C’est dans ces moments de solitudes que je remarquais que certains autres stryges étaient comme moi, non pas par leur apparence, mais du fait qu’ils vivaient à l’écart de la société, comme s’ils avaient été rejetés de celle-ci. Je passais donc la majeure partie de mon temps à sculpter des bâtons et des armes en bois. Je me mis à m’entrainer au combat avec des armes en bois, pendant de longues années, jusqu’à enfin intégrer la confrérie noire. J’ai donc réalisé mon premier contrat à 17 ans, équipé simplement d’une faux bon marché, plus ou moins rouillé. J’ai par la suite enchaîné les succès à chacun de mes contrats, jusqu’à aujourd’hui. Il n’ya pas si longtemps que ça, j’ai déserté la confrérie noire pour des raisons toutes simple : Je n’avais rien à faire avec des gens comme eux. La réputation que ma différence avait suscitée à l’époque me précédait sans cesse. Je ne voulais pas finir comme mon père, bannis des siens. J’ai préféré déserté de moi-même avant que je n’extermine par inadvertance soit disant un « congénère ».
Maintenant, je vis de pillage et de contrat publique, semant la mort derrière moi. Je me débrouille seul, comme je les souvent fais par le passé. Il est inutile de se reposer sur quelqu’un, je ne peux faire confiance qu’à moi-même. Je ne suis jamais allé au Nord de Baldorheim pour vérifier les dires de mon père Midos. Maintenant que j’ai déserté, je me dirige là-bas, pour en savoir un peu plus. Si je n’avais pas fait le voyage avant, c’était parce que je me considérais encore trop faible pour voyager ainsi.
Maintenant que je suis devenu plus fort, je ais pouvoir découvrir la vérité sur mes origines plus que douteuse et sur l’histoire de ma famille. Peut-être que ma mère est toujours vivante comme l’avait si bien dit mon « père ».
Mais... A-t-il un rêve?
Détruire un jour la tour blanche. Mis à part cela, la seule chose qui préoccupe Garràn actuellement, c'est la raison pour laquelle son père à été banni de la tour noire. Cela semble lié à sa mère, mais pourquoi il n'en sais rien. C'est donc plus comme un objectif que Garràn cherche à découvrir la vérité sur ses origines.