Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : J'en ai des tas! Mais pour faire simple t'as qu'à me surnommer Goupil.
Âge : 27 ans
Classe/métier : Je taffe dans la restauration et à mes heures perdues je stream sur Twitch, du moins je débute.
Hobbies/activités : Cosplay, jeux vidéos, sorties nocturnes, la musique, le cinéma, le jeu de rôle et je reprends l'écriture personnelle, d'ailleurs ça fait un peu plus d'un an que je n'ai pas écrit sur un Vrai forum donc je m'excuse à l'avance si mon style est rouillé et si des fautes sont présentes.)
Couleur préférée : Le Rouge, c'est la couleur de l'amour, la passion... Toutes les émotions vives que nous aimons.
Opinion sur le forum : J'aime beaucoup l'intégration du jeu de rôle à un forum. C'est d'ailleurs ce qui m'a charmé. ça plus le contenu, l'histoire et les races variées.
Comment as-tu connu ce forum ? Je vais pas mentir et te prétendre que c'est un soir de pleine lune, que mes voisins chantaient "attention à la mousse" enroulées dans du salami poursuivies par un huissier qui écoute Francis Lalanne. Bon plus sérieusement, c'est une amie de longue date j'ai nommée: Amaryelle Chal'di.
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Careryn
Âge : 30 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Classe envisagée : Protecteurs
Ce qu'il aime : L'art sous différentes formes, la beauté.
Ce qu'il n'aime pas : Ceux qui utilise la violence gratuitement, les esclavagistes et les ignorants.
Situation amoureuse : Célibataire
Code du règlement :
Edo (validé par Dougal)
Voie Standard ou Voie Spécialisée ? : Voie Standard
{Facultatif} Un pouvoir particulier ? : non
Souhaitez-vous activer le mode hardcore pour votre personnage ? non.
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Careryn est un homme de grande taille, au physique imposant et taillé dans la roche brut, des muscles fermes et puissants qui semble être en contradiction avec cette expression mélancolique et douce qu'évoque son visage, une chevelure ébène rappelant le plumage d'un corbeau attaché. Ses pupilles sont de couleur noisette et une légère barbichette vient se former au niveau de son menton. Au niveau vestimentaire, Careryn préfère les vêtements souples et large comme les kimonos, il en possède un certains nombre de couleur sombre et avec des ornements dorées . Notre homme arbore aussi quelques bijoux sans pour autant sombrer dans la coquetterie. Il possède aussi un masque en argent mais qu'il ne porte plus, mais il le garde non pas par nostalgie mais afin de ne pas oublier...
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
Les pensées des êtres sont difficiles à cerner. Qu'ils soient prince, marchands, brigands... Certains se contente de juger un homme par sa classe sociale, son rang... Mais est ce que cela suffit vraiment? L'esprit de Careryn est semblable à celui d'un fleuve qui parcourt une étendue sauvage. Calme, serein, un courant tranquille qui coule sans jamais se retourner. Cela se remarque lorsqu'il pratique son art, ne pensant à rien d'autre. Mais ce serait mentir de qualifier Careryn comme étant un être sage. Car voyez vous, il arrive qu'en jetant une pierre sur le fleuve, vous créez de petites rides, se transformant alors en vague, puis en déferlantes. Car un fleuve est sauvage, indomptable et il a cette violence à la fois cruelle et belle. Alors, méfiez vous des eaux tranquilles, car elle ne sont pas aussi innocentes qu'elles veulent paraître.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
J'ai oublié, d'où je venais, qui étaient mes parents, s'ils étaient marchands, bûcherons, couple de bonne foi ou mécréants sans scrupules. Je n'ai nul souvenirs de mon enfance, je devais être trop jeune lorsque je fus mis en esclavage, entraîné tel un animal de foire afin de rejoindre les gladiateurs.
J'appris très tôt à voir l'homme dans toute sa laideur, s'amusant de voir les siens s’entre-tuer, juste pour le plaisir d'un public avare de sensation obscènes et morbides. Se nourissant de combats funéraires comme un porc savoure la fange que son maître lui donne. Je me souviens du sable qui collait à ma peau, de l'odeur du sang qui empestait dans les arènes, j'ai appris très tôt à me battre, mais pas pour l'honneur, mais pour survivre. Je m'accrochais à ce rêve fou de gagner ma liberté. Quitte à repeindre les murs des arènes du sang écarlate de mes ennemis.
J'ai n'ai connu aucune pitié, aucuns remords, rien d'autre que la poussière, la sueur et les acclamations de la foule. On me donna moult noms, mais celui qui resta à jamais gravé dans ma mémoire est celui de
Corvus, l'oiseau de l'arène. Sans doute cela était il dû au masque que je portais afin de dissimulais mon regard à mes adversaire.
Lorsqu'enfin, ma liberté fut gagné. Au lieu de ressentir un sentiment de victoire, de joie... J'étais dégoûté, la culpabilité me rongea de l'intérieur comme le vers ronge la chair de la pomme. Quel sens donner à ma vie à présent? Si le destin n'en avait pas décidé autrement, j'aurais fini ma vie à l'ombre d'une ruelle, mendiant pour survivre attendant que la mort vienne enfin faucher ma vie. Mais je fis une rencontre qui changea la vision que j'avais de ce monde.
Je n'ai jamais su son nom, ni d'où il venait... Il avait une manière bien étrange de contempler le monde qui l'entourait. Il le peignait, sous différentes toiles, différentes couleurs... Je fus son disciple un certain temps, posant un regard nouveau sur le monde. J'extériorisais tout ce que j'avais vécu par le passé, par la peinture, la sculpture et la peinture corporelle. Jamais je n'avais ressenti une telle sensation de paix.
Aujourd'hui, mes mains ne connaisse plus la violence, mais la sculpture, l'art, ce qui préserve le monde du chaos et de l'ignorance absolu.
Mais... A-t-il un rêve?
Exercer son art et ne plus sombrer dans les vices de la violence. Ceci est sa rédemption, du moins la voie qu'il compte emprunter.
"
Les rêves brisés sont le terreau des rêves à venir". Pierre Bottero.