Rapport de récolte :

Edward Kidd gagne 50 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Grabuge gagne 20 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

La journée d’aujourd’hui était de celles dont on ne devrait pas avoir à parler. Pas que je me sois blessé, ou qu’elle se soit mal passée, mais il n’y avait pas grand-chose d’intéressant à raconter. Après que nous ayons trouvé un bon coin à exploiter, nous avions commencer à couper du bois, armés de nos fidèles haches, scies et pioche à dessoucher. Bien sûr je me suis appliqué, comme d’habitude, à ramasser de quoi faire repousser les arbres que nous abattions. Nous avions passé la matinée à abattre des arbres, à les découper en bûche assez petites pour être transportées, et dessoucher les souches restantes à coup de pioche et de pelle. C’était un travail difficile physiquement, mais le fait qu’il n’incite pas forcément à la réflexion m’aidait à mieux l’apprécier. Je pouvais me laisser aller à penser à autre chose, comme mon projet de fondation de la nouvelle compagnie d’Egide, ou comment lutter plus efficacement contre le crime. Un de mes camarades kazhariens m’avait d’ailleurs récemment proposé de me rejoindre quand j’aurais décidé de refonder Egide. A dire vrai, je n’attendais qu’une opportunité pour pouvoir demander à l’Imperator le droit de prendre une forteresse ou un avant-poste abandonné pour en faire le quartier général d’Egide et enfin lancé ce projet qui me tient à cœur depuis si longtemps. Créer une compagnie de mercenaire basée sur la Justice, et où chacun aura sa place pour défendre les innocents et faire reculer le crime. Une compagnie où les marauds seront virés, quand ils ne seront pas tout simplement tué. Je ne voulais pas reproduire le même fiasco qu’avec notre ancien capitaine Barathorn. Je ne comptais pas virer de bord par facilité, et ainsi bafouer trois siècles de réputation et de tradition. Non, mon Egide à moi sera le fer de lance de la Justice de Dùralas.
Je vagabondais ainsi à mes réflexions, pendant que le travail se faisait dans le silence, tout le monde ayant visiblement une envie subite de penser. Cela ne me dérangeait pas, même si discuter avec mes collègues bûcherons non plus. Je pouvais ainsi me focaliser sur ce qui importait tout en continuant d’être productif, les habitudes de travail se mettant en place toute seule avec le temps. Ça faisait des mois que j’exerçais après tout, sans avoir réellement pris de pause, sauf de temps en temps pendant mes permissions. Heureusement une virée pour le Grand Nord était prévue de mon côté, et cela allait me faire un peu changer d’air. Ne disais-t’on pas que l’air de la montagne était vivifiant ? Alors celui des steppes du Grand Nord, au milieu des blizzards, ça devait être quelque chose.

Rapport de récolte :

Grabuge gagne 20 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Edward Kidd gagne 25 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Lonann Alhazred gagne 5 bois de cerisier et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Lonann Alhazred gagne 10 bois de cerisier, 5 points de métier et un merveilleux minerai d'adamantium.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Ragnör gagne 20 bois de cerisier et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Lonann gagne 20 bois de cerisier et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

L'arbre était abattu, le choc se répandit dans l’entièreté de la clairière et, alors que les oiseaux s'envolaient en piaillant, le bûcheron remettait sa hache à sa ceinture. Débitant l'arbre en morceaux, il ramassa chacun d'eux pour les mettre dans la charrette attelé à un petit âne aux yeux plein de dextérité. Il avait passé la journée loin du village, à couper du bois seul, moment où il pouvait réfléchir en toute tranquillité, ses pensées se portant sur le souffle du vent et la légèreté de l'air. Il s'apprêtait à rentrer quand il entendit une détonation en direction de là où devait se trouver le chemin.

" Aaaaaaaaaahh ! "

" Qu'est-ce que ?! "

Lâchant le tronc qu'il s'apprêtait à débiter, Arrius sortit sont gladius de son fourreau, qui ne quittait jamais sa ceinture, courant à toute jambe vers la source du cri.

En arrivant au niveau des fourrés le long du chemin, dissimulé derrière des branches, Arrius observait la scène qui se déroulait sous ses yeux. Sur le chemin de terre, un regroupement d'hommes encerclait une femme qu'il reconnu comme étant la fille d'un des fermiers du village. La pauvre petite avait l'air terrifiée alors que la bande, sûrement des bandits, s'approchait d'elle l'épée à la main.
Il observait la scène silencieusement, le village dans lequel il était stationné avec ses hommes était calme et jamais une attaque n'avait été à déplorer, c'était un havre de paix et ses habitants ne connaissait pas la guerre, la faim ni aucunes des horribles choses qui pouvaient arriver dans les bas quartiers d'une grande ville. Il n'allait pas laisser cette bande de pourriture poser la main sur une des habitantes qu'il s'était donné pour mission de protéger.

" Allez, soit pas timide petite. Je vais être très gentil avec toi. "

Saisissant une pierre, Arrius envoya celle-ci dans la face d'un des bandits et, alors que celui-ci poussait un cri, tenant plus de la surprise que de la douleur, attrapa une des crapules le plus proches de sa position. Alors qu'il s'apprêtait à hurler pour prévenir ses acolytes, le bandit ne pût que cracher du sang quand la lame d'Arrius lui traversa la gorge. Comment faire en sorte de les éliminer sans que la petite ne soit en danger ? Il fallait qu'il pense à quelque chose et vit...

" Non ! Laissez moi ! "

Il avait commencé à déchirer les vêtements de la petite, il n'avait pas le temps de penser à un plan, il devait improviser.
Alors qu'une tête roulait à ses pieds, l'homme qui devait être le chef du groupe de détrousseurs lâcha le bras de la jeune fille avant de se saisir de son épée.

" AAAAAAaaaaaaaahhh ! "

" Ferme ta gueule ! On nous attaque ! Ils doivent pas être loin les gars, chopez moi ces enfoirés !

Quand un homme, assez laid, au nez épaté et au sourire édenté, passa la tête au dessus du buisson derrière lequel il était caché,il lui traversa le menton de son gladius. Visible à travers sa bouche, ouverte dans une grimace de douleur, la lame s'extirpa dans un bruit de chair sectionnée. Tous les regards se tournèrent vers le petit buisson quand leur camarade disparu entre les broussailles. S'approchant ensemble, encerclant l'arme au poing sa position, les bandits se jetaient directement où il voulait qu'il soit. Il ne pensait juste pas qu'un de ses idiots le soit moins que les autres.

" Sortez de là ou elle y à droit ! "

Tenant la jeune fille par la taille, une lame sous son menton, le chef de la bande n'aurait pas le moindre scrupule à lui trancher la gorge. Quand il resserra son étreinte, un fin filet de sang coula sur la gorge de son otage alors que celle-ci pleurait, terrifiée à l'idée que sa vie puisse s'arrêter là.
Arrius sortit de sa cachette son arme à la main, son visage sans la moindre expression trahissait une colère profonde, trop profonde pour être exprimé de façon physique.

" Un vieillard ?! Alors le vioque, t'es tout seul ? Tu crois que tu peux emmerder la bande à Figus ?! Tu ne sais pas que tout le monde nous craint à l'Ouest des Baldors ?! Nous sommes les plus féroces pill... "SCHLACK

Il tomba au sol avant d'avoir le temps de finir son monologue, un gladius lui traversant maintenant la tête. Les quelques hommes qui l'entouraient ne bougeaient plus, toute animosité avait disparu de leur regard quand leur chef s'était étalé sur le sol froid et boueux du sentier. La jeune fille tomba à genoux, plongeant sa tête dans ses mains, transie de peur. Quand ils se retournèrent vers lui, les pillards virent qu'il levait deux doigts devant eux.

" Deux choix. Vous jetez vos armes ou vous mourrez. "

Se mettant à rire devant ce qu'il pensait être un vieux guerrier désarmé, ils éclatèrent de rire avant de l'attaquer de concert. Esquivant le premier coup de hache que le plus grand des bandits tentait de lui asséner, il frappa son nez d'un coup-de-poing, enfonçant celui-ci dans le crâne du gros tas qui s'étala au sol. Éclatant sa tête sous sa sandale, il arrêta le bras d'un des ses assaillants qui allait le frapper à coup de massue, le brisant dans un bruit sourd. Il rattrapa l'arme au vol et la lui enfonça dans la bouche alors qu'il hurlait encore de la douleur provoquée par la fracture ouverte de son avant bras. Lui éclatant les dents avant de se loger dans sa gorge, le bout de bois s'enfonça dans un affreux bruit de succion. Alors que, devant l'horreur de la scène, le dernier bandit en face de lui s’enfuyait en courant, une douleur lui perça le dos, Arrius se retourna avant de saisir un petit gobelin par la gorge, pressant celle-ci sous son poing. Le petit être en haillon tenta de le frapper au visage d'un de ses bras trop court alors qu'il lui brisait le coup d'un geste sec.
Il ôta le couteau de son dos avant de le lancer en direction du fuyard qui chuta en hurlant. Il se rapprocha de lui très lentement, ignorant la douleur qui lui enlaçait le dos alors que celle-ci disparaissait peu à peu, sa blessure se refermant grâce au sang qui s'élevait des corps sans vie des morts tapissant le chemin. Il ramassa son gladius encore enfoncé dans la tête du chef de la bande avant de l'enfoncer dans la colonne du dernier de ces rats. Pas de pitié pour les criminels, tel était le credo de la garde kazharienne.

Il se rapprocha de la jeune fille et, alors que celle-ci éloigna son bras, hurlant de peur, il la rassura de sa voix douce et grave. Relevant la tête, elle reconnut le chef de la caserne de son village et lui sauta au cou, l'enlaçant aussi fort qu'elle le pût. Il enveloppa la pauvre petite, dont les vêtements avaient été en partis déchirés par les bandits, dans sa cape avant de la reconduire au village, dans la carriole qu'il avait laissé plus tôt après sa journée de bûcheronnage. Elle le remercia une dernière fois et rentra chez elle, Arrius, quant à lui, raconta toute l'histoire à ses hommes et leur donna pour mission de suivre les chemins bordant le village. S'il restait de ces ordures, ils avaient pour ordre de les éliminer.

Rapport de récolte :

Arrius Scillius Sallustius gagne 15 bois de cerisier, 10 points de métier et 5 points bonus.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !



Rapport de récolte :

Lonann gagne 20 bois de cerisier, 5 points de métier et 5 points bonus.

Commentaires sur le RP : Rien à redire ! Tu passes Compagnon !

Rapport de récolte :

Lonann gagne 20 bois de cerisier et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Edward Kidd gagne 25 bois de cerisier

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Comme piqué par la mouche du travail, j’avais décidé dès le lendemain de mon retour dans les bois de revenir une nouvelle fois aux côtés de mes compagnons, profitant de quelques heures de liberté pour faire parler les muscles. Mes camarades m’accueillirent avec joie, certains – les anciens – plus que d’autre – les nouveaux – mais tout dans le respect et la bonne humeur. Je leur proposai même une fiole de tonifiant que j’avais préparé grâce à quelques baies et plantes qui avaient poussés, la veille, dans la clairière que nous avions entretenus ensemble. La plupart acceptèrent de bon cœur, et ressentirent rapidement les effets. Ce genre de boisson redonnait du tonus à n’importe qui, qu’il est deux de tension ou qu’il soit déjà survolté.
Rapidement, les derniers réticents finirent par craquer et finirent les dernières gouttes de ma fiole, que je remis dans mon sac sans avoir pu y goûter. Ma foi, je n’avais pas besoin de ça pour travailler efficacement, surtout quand on savait que mon service reprenait l’après-midi et que j’étais par conséquent ici que le matin.

Et quel matin ce fut ! Avec l’énergie offerte par ma potion, mes camarades redoublèrent de vigueur et me distancèrent presque. Je dus, pendant un moment, me cantonner à ranger le bois dans la charrette et m’occuper des bœufs, tant je ne parvenais pas à suivre la cadence. Cela tenait aussi, peut-être, au fait que j’avais tout simplement perdu l’habitude de couper du bois, et que ça devait doucement revenir. Mais ça tenait aussi au fait, très certainement, que mes compagnons de hache étaient tous boostés à ma décoction et ne ressentait de ce fait pas la fatigue. Moins que d’habitude en tout cas. Je les mis néanmoins en garde à chaque fois que l’un d’eux réapparaissait dans la clairière où je m’occupais du bœuf de trait : il ne fallait pas qu’ils fassent du surmenage, car la fatigue viendrait tôt ou tard, et s’ils faisaient trop d’efforts ils risquaient de le regretter une fois les effets du tonifiant passés.

Mais je ne pus vérifier ma théorie car dès que le clocher de BaldorHeim sonna la moitié de la journée, je dis au revoir à mes compagnons et repartit vers la ville, près à reprendre du service en tant que kazharien. Je pensai un instant à toute la pile de paperasse qui m’attendait dans mon bureau, les enquêtes à mener, les patrouilles à effectuer. Et un instant, je regrettai de devoir quitter le dur labeur du bois pour le travail, peut-être plus pénible encore, de soldat.

Rapport de récolte :

Grabuge gagne 20 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Lonann gagne 20 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire ! Plus qu'un RP et le chêne te sera accessible !