Rapport de récolte :

Kidd gagne 5 bois de cerisier et 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Shakti gagne 25 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

La légende racontait, ou du moins les rumeurs des marchands d'Endorial disaient que les meilleurs bûcherons récoltaient parfois plus que bois. Ils récoltaient parfois des objets indescriptibles, qu'on nommait essence sylvestre. Pour l'heure, Undvik était loin de ressembler à la moitié d'un bûcheron décent.

Mais c'était un géant de trois mètres possédés par moi, Wammu, une entité démoniaque, ce qui était toujours un bon début, quel que soit le sujet. La force de mon hôte étant largement suffisante pour qu'il arrache des troncs de cerisiers sans mon aide, je me contentais de le regarder officier, pour ensuite décider de ce qu'il ferait avec son argent.

Quel magnanime personnage étais-je...

Rapport de récolte :

Undvik gagne 20 bois de cerisier, 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Le vent apporta une odeur désagréablement familière aux narines du jeune bûcheron. Il s'interrompit durant la coupe de son cerisier tellement cette odeur était horrible. Il s'agissait d'un mélange de chair brûlée, de sang frais et d'une autre substance provenant de technologies avancées, un peu similaire à l'odeur de feu, mais en plus âcre. Tout ceci venait de loin, très loin au Nord-Est, mais le vampire ressentait cette odeur comme si elle émanait d'à quelques mètres de lui. Quelque part, loin là-bas, se déroulait un massacre. Des gens étaient exterminés, brûlés, déchiquetés et torturés avec des instruments crachant du feu et du métal. Tout cela n'annonçait rien de bon.
- Qu'y a-t-il au Nord-Est ? demanda le Kidd à l'un des bûcherons.
- Hum... BaldorHeim. Moui, c'est ça, BaldorHeim. Tu y es déjà allé gamin ?

Le Kidd lui répondit que non et l'homme s'en alla reprendre ses activités. Donc quelque chose de mauvais se déroulait dans la prestigieuse cité des nains. Le vampire sentait désormais des odeurs de peur en plus de celles détectées plus tôt. Une guerre semblait se passer dans la ville, et malheureusement le vampire avait prévu d'y aller pour retrouver son ami le caméléon. Il craignait le pis.
- Savez-vous s'il y a des combats à BaldorHeim ? questionna de nouveau le jeunot, après avoir rattrapé le bûcheron.
- Pour sûr ! Il y a l'arène, un lieu de spectacle où l'on peut voir des combattants se blesser et même s'entre-tuer.
- Non, je voulais dire comme une attaque, une guerre, un conflit quoi !
- Oh non ! Absolument pas, ça ne se peut pas. Même si une armée souhaitait prendre d'assaut la cité, on le saurait. Les nouvelles vont bien plus vite qu'on ne le croit.

Pourtant, une si forte odeur ne pouvait signifier qu'une seule chose : la cité était sur le point d'être détruite. Tout semblait imploser et exploser, une entité dangereuse avait agi dans l'ombre pour planifier cette destruction. Le Kidd sentait ces choses. Ça ne pouvait être autre chose.
- Ce doit être la fatigue gamin !
- Comment ça ?
- Ta voix a changé, elle est moins... Hum... Forte ? En tout cas, elle est plus posée et douce. Ouais, elle est douce, lui fit-il remarquer avant d'éclater de rire.

Le vampire se tut et préféra ne plus rien dire. Il n'avait pas remarqué qu'il avait perdu de son intonation de jeune pirate enjoué. Tout d'un coup, il se sentait plus faible, petit, mais aussi plus lui-même, en fait. Il était temps qu'il parte pour reprendre du poil de la bête. Cela semblait devenir de plus en plus dangereux pour lui et pour les autres.

Rapport de récolte :

Kidd gagne 5 bois de cerisier, 5 points métier et 1 essence sylvestre.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Il revenait chaque semaine dans l'espoir de trouver des cerises. Sur des cerisiers, cela semblait pourtant une bonne idée. Sauf que voilà, en hiver, il n'y a pas de cerises, et de ce fait, Undvik est triste. Pourquoi ? Mais parce qu'il aime bien les cerises pardi !

Mais que fait-il alors ? Et bien, quelle question, son métier ! Il arrache des troncs de cerisiers pour les revendre ! Mais s'il fait ça, il met en péril ses chances d'avoir des cerises le moment venu...

Que voulez-vous ? Undvik est débile, personne ne le changera...

Rapport de récolte :

Undvik gagne 20 bois de cerisier, 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire ! Tu passes Compagnon

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Rapport de récolte :

Kidd gagne 10 bois de cerisier, 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Kidd gagne 15 bois de cerisier, 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Le meurtrier resta quelques instants stoïque devant son œuvre d'art. Il y avait une vingtaine de morceaux éparpillés de façon bien ordonnée autour des corps initiaux, ou plutôt ce qu'il en restait. Tout était parfaitement découpé ; c'était lisse et magnifique. Un chef d'œuvre ! Mais personne ne pouvait en témoigner et féliciter l'auteur. Aucune récompense ne pouvait venir garnir son tableau de chasse.
Le Kidd allait donc partir, et laisser les rondins de sureau en état, mais il fut hélé par quelqu'un, l'empêchant alors de quitter les lieux. Heureusement que ce n'était pas un meurtre qu'il avait commis, sinon il aurait eu des problèmes.
- Eh, Kidd ! Eh bien ? (lorsque l'individu se rapprocha, le jeunot reconnu le bûcheron Will) Mais où étais-tu passé dis-donc ? C'est toi qui a fait ça ? Waaaaah... Tu as mon respect l'ami ! Viens, je vais t'aider à les transporter au camp.

Le jeunot n'avait pas conscience qu'il était proche de l'endroit où il avait pratiqué ses activités de bûcheronnage. Peut-être devrait-il rester un peu à leurs côtés. De toute manière, il ne savait pas trop où aller. Rien ne l'empêchait de rester un peu ici.

Le Kidd allait devoir retourner en ville récupérer ces fruits pour le bon déroulement de son séjour. En attendant, il irait couper un peu de bois pour se défouler et se faire une peu d'argent. Ce serait peut-être l'occasion de montrer sa superbe tronçonneuse !

Rapport de récolte :

Kidd gagne 20 bois de cerisier, 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire ! Tu passes compagnon.

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Rapport de récolte :

Shakti gagne 25 bois de cerisier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Kidd gagne 20 bois de cerisier, 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Un deux trois, Undvik va au bois. Aux abords d'Endorial, pour être précis.
Quatre cinq six, cueillir des cerises. Pas vraiment, plutôt récolter du bois de cerisier. Le tronc, pour être précis.
Sept huit neuf, dans un panier neuf. Toujours pas. En fait, Undvik déracine des arbres sans aucune pression et porte le tout sur ses épaules.
Dix onze douze, pour se faire du flouze. Ah, la par contre, c'est la vérité.

Allez, file Undvik ! A nous le délicieux argent !

Rapport de récolte :

Undvik gagne 20 bois de cerisier, 5 points métier

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Alors je disais. L'histoire d'un Géant qui ramasse du sureau. Oui mais pas que ! Parce qu'il ramasse aussi des cerisiers ! Mais c'est le printemps, tout bourgeonne, et le Géant insatiable avait tendances à bouloter les cerises qui poussaient sur les cerisiers !

- Mais... à cette période de l'année, les cerises sont sûrement pas mûres !

Exact, petite voix en italique représentant un enfant écoutant les histoires de Papi Wammu ! Mais le Géant en question n'en avait strictement rien à cirer !

- Ah non ! Tu as déjà fait cette blague !

C'est du comique de répétition ! Et puis c'est toujours drôle, avoue t'as rigolé. Enfin bref, après avoir mangé les cerises pas mûres, le Géant avait arraché le tronc de cerisier pour le revendre ! Fin de l'histoire !

Rapport de récolte :

Undvik gagne 20 bois de cerisier, 5 points métier

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Undvik gagne 20 bois de cerisier, 5 points métier

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Le bois de sureau fut arraché à la vitesse de l'éclair et emporté au loin. En un simple mouvement, l'arbre avait disparu. Il semblait voler à travers les buissons jusqu'à sa destination finale, mais il allait bien trop vite pour qu'on puisse l'apercevoir. Néanmoins, la moindre personne sur sa route connaitrait l'une des pires collisions que l'on puisse vivre. D'ailleurs, il mourrait sur le coup ; un coup de tronc à une telle vitesse ne laissait qu'une bouillie. L'arbre ne trouva rien de "solide" sur sa trajectoire et finit sa trajectoire en pleine mare en un énorme « PLOUF ! » qui fit sursauter la jeune et tendre chair fraîche qui s'était isolée à côté.
- Quoi ? Qu'est-ce que... ?
- Chuuuut, lui répondit une voix mielleuse mais pourtant légèrement terrifiante.

Le bûcheron se leva mais se sentit paralysé, comme tétanisé par la peur. Il avait des sueurs froides et semblait se souvenir de la raison qui l'avait amené à se rendre ici, loin de tous, dans le secret. Un frisson lui parcourir l'échine continuellement, mais il ne ressentait plus rien. Il n'était plus maître de quoi que ce soit.

De froids et doux doigts se posèrent sous son menton et glissèrent comme des gouttes d'eau le long de son cou. Une main tout aussi glaciale et duveteuse se posa sur son torse et le caressa doucement. Un parfum de fruits voletait derrière lui comme une plume emportée par des minuscules courants d'air. Des lèvres fraîches et humides se posèrent sur sa tempe, pourtant personne n'était devant lui. Les sensations étaient agréables, mais il subsistait une incroyable terreur qui voletait autour de lui. Avec un tel effroi, il était impossible de ressentir tout le charme des petites saveurs enjôleuses qui le caressaient.
- Où étais-tu donc passé ? Je t'avais perdu mon précieux. Reviens à moi, reviens-moi...
- O... Ou... Oui... parvint-il à formuler après un long silence.

Ses yeux se fermèrent et il accepta le savoureux ensorcellement dont il était témoin. Il le laissa l'insinuer en lui et le guider vers ses nouveaux objectifs.
Il se munit de la lame tronçonneuse qu'on lui tendait et découpa en rondins le bois de sureau. Il les récupéra et les emporta au camp de bûcheron. La créature vampirique le suivit de loin, dans la pénombre et fit attention à chacun de ses mouvements. Elle souhaitait croquer son cou si rugueux à pleines dents, mais elle devait se retenir ; trop de témoins.
Le bûcheron s'en alla ensuite vers le cerisier qu'il découpa comme une part de quiche grâce à la merveilleuse arme dont il était en possession. Il ne lui restait que le bois de sapin.