cela faisait quelques temps que clyde marchait, un jour, peut être deux, son vieux bâton de bois était tout effrité a force de taper le sol, un chose est sur il ne servirait plus a grand chose maintenant.
Mais il ne marchait pas en vain, il avait un but : BaldorHeim.
C'est une grande ville et avec un peu de chance il trouverais un guérisseur qui pourrait lui apprendre des sorts de guérison puissants.
Le sol caillouteux commençais sérieusement a faire mal aux pieds de clyde, surtout qu'il voyait de calèches de marchands passer devant lui sans même faire attention a lui.
Il trouva un petit rocher et s’assit contre ce dernier avant d'enlever ses chaussures :

« il y a pas a dire ça fait du bien »

ses pieds palmés n'étaient pas fait pour marcher avec ce genre de chaussures de bas étage, tout comme son capuchon, il avait l'air ni plus ni moins que d'un vagabond.
Il ne savait même pas si il allait réussir a entrer dans la ville dans cet accoutrement.
clyde se demanda si il y avait des gens qui pourrait lui en apprendre plus sur la magie et sur comment soigner le monde de tout ses maux.
De loin il avait l'air d'un sans abris avec la tête dans les nuages, ce n'est pas comme ça qu'il allait rencontrer des compagnons de route....

Après que l'homme l'a quitté, la Comtesse avait choisit de rester dans les environs de la ville de Baldorheim, mais se dirigeait vers le cœur de ville. Elle n'avait pas rencontrer d'autres habitants sur sa route, jusqu'à l'apparition de cette silhouette, qui devait être celle d'un homme très certainement, à en juger par sa stature et sa carrure d'épaules. Mais la jeune Elfe ne parvint pas à distinguer ses traits, du fait de ce capuchon qui lui cachait le visage. Le réflexe premier d'Evanna fut de reculer, lorsqu'elle aperçut l'ombre qui se dirigeait dans sa direction. Plus l'inconnu avançait, plus la jeune femme reculait, mue par une sorte de force invisible qui lui disait de craindre ce nouveau venu. Pendant tout ce temps, elle ne laissa pas échapper une seule syllabe mais la peur, la crainte pouvaient aisément se lire dans ses yeux.

- Vous allez bien Monsieur ? Pourquoi-vous arrêtez-vous si proche de la ville ? Je peux peut-être vous aidez...

Cette phrase le sorti de ses pensées, il posa les yeux sur son interlocutrice et se rendit compte qu'elle était comme lui, une jeune abyssale, le visage fin et les eux bleus.
Cela faisait plaisir de voir une personne de sa race ici, il se rappela son village et sa petite tribu... ils lui manquaient tous.
Quand il se rendit compte qu'elle était à genoux il s'empressa de se relever tout en rougissant:

« excusez mon impolitesse mademoiselle, relevez vous, cela ne se fait pas de traiter une dame de la sorte »

Puis je me découvrais le visage, laissant apparaître les tatouages bleus clair sur la peau et ma chevelure blanche écarlate.
J'étais très gêner, laisser une femme s'agenouiller devant moi, ce n'est pas digne d'un jeune homme respectueux.
Je lui pris la main et la serra entre les miennes

« je vais bien, ne vous inquiétez pas, je m’appelle Clyde et je suis un guérisseur, ou plutôt un apprenti, je parcours le monde a la recherche de savoir sur la guérison »

C'était bien difficile de le croire dans cet accoutrement, mais s'il était la c'était avant tout pour en savoir plus sur la guérison.
Puis il fut interloqué par une femme qui apparemment avait besoin d'aide, elle était bien habillée, encore une noble qui a peur que l'on y vole son or...

Encouragée par la présence de la jeune abyssale qui s'était dirigée vers l'inconnu encapuchonné, qui à présent révélait un visage semblable à celui de son interlocutrice, Evanna se rapprocha de quelques pas, jusqu'à se trouver à la hauteur des deux abyssaux. La jeune Comtesse n'avait pas l'habitude de se trouver en face de deux membres des abyssaux, ces créatures mythologiques, que dans son Comté et dans tout le royaume d'où elle était originaire, on traitait avec respect, déférence, voire craint (pour les plus sombres d'entre eux). Pour sa vie, il ne lui restait plus qu'à espérer que ceux deux-là ne fassent pas partie de cette dernière espèce. il n'y a que un seul et unique moyen de le savoir, se surprit-elle à penser: engager la conversation et observer son déroulement. La Comtesse de la lignée d'Aaselgrad prit enfin la parole, pour dire des choses banales, choses trop banales pour elle, mais il fallait bien commencer quelque part, à prés tout:

"-Bien le bonjour, abyssaux. Il me semble que vous voilà dans une ville bien dangereuses pour deux voyageurs que vous êtes" avait-elle dit, ou des paroles qui avaient quelque chose d'approchant.

La femme bien habillé s'avança vers nous et nous lança une petite remarque qui me laissa perplexe, un compliment ? Une mise en garde ? Une approche amicale qui de tout évidence avait raté ? .

Avant que j'ai eu le temps de lui demander ce qu'elle voulait dire par la, la jeune abyssale prit la parole.

Belle est courageuse, elle aurait presque toutes les qualités cette petite.

Puis elle se présenta... une soigneuse, elle était en tous points comme moi, voulant parcourir le monde a la recherche de savoir guérisseur, elle était l'exacte réplique féminine de Clyde, ce qui le fit sourire évidemment.

Il eu comme un électrochoc et lâche les mains de Mélissandre pour sortir un petit livre de cuir de ses habits tout froissés.

Le livre était marron clair, on voyait qu'il avait pris l'eau plus d'une fois et il manquait certaines pages, un petit bâtonnet de charbon était rattaché a la couverture et un petit signe était gravé en bas a gauche du livre, un N dans un G.
il tendit le livre a Mélissandre :

« A chaque moment que j'ai pu, j'ai écrit mes aventures, c'est un recueil de toutes les techniques de soin que je connais »

C'était certes un livre usé par le temps et les intempéries mais pour Clyde c'était les vingts dernières années passé seul sur la route, ce livre lui rappelais tellement de choses, bonnes ou mauvaises...

Comme la fois où il avait décidé de faire ce livre, ce n'était pas anodin si les initiales NG étaient écrites, cela remontait au début de son apprentissage en tant que vagabond, il s'était arrêté dans un village ou une petite fille était gravement malade depuis sa naissance.

Elle ne devait pas avoir plus de dix ans et pourtant elle était condamnée par un mal incurable, Clyde ne s'attacha pas au début, sachant bien qu'elle ne survivrait pas, mais la petite fille elle s'attacha à lui, après une semaine ils rigolaient ensembles comme des amis et Clyde commençait a vraiment s'attacher a elle, elle était comme une petite sœur humaine.

Mais l'inévitable arriva, un jour il entra sans sa chambre et ne vit que son corps allongé sur le sol, il se précipita sur elle et posa l'une de ses mains sur son front et plaça l'autre sur son cœur.

Un halo bleuté apparut alors et recouvra la petite fille, mais rien ne se passa, elle était déjà morte...

Depuis ce jour il a un carnet avec les initiales de l'enfant, pour se rappeler que les guérisseurs ne sont pas des dieux, mais bel et bien des mortels...
Il tendit ce même carnet qui renfermait toute cette douleur a la jeune guérisseuse, ne disant pas un mot sur la signification que cela avait, elle était jeune et briser ses rêves serait cruel.
Il se tourna vers l'autre femme et pris son bâton entre ses mains :

« Ne vous inquiétez pas pour nous, on saura se défendre, c'est pas facile de mettre au tapis un adversaire qui se soigne vous savez »

Après s'être rappelé ce souvenir douloureux Clyde se sentait paradoxalement plus vivant que jamais, prêt a gravir des montagnes pour trouver le sort ultime de guérison.

Quelle assurance dans la réponse du jeune abyssal! Cela perturba Evanna (cependant moi de s'entendre appelée "dame elfique" par une abyssale: pourquoi tant de déférence pour une simple elfe, fut-elle de sang bleu? dans sa contrée, seuls les abyssaux étaient considérer avec ce haut respect quoi que les elfes de sang nobles n'aient pas à se plaindre de la place qu'ils occupent dans la hiérarchie sociale de ce royaume dont elle était originaire), pour quelques instants, mais elle tenta de ne pas le montrer. Elle a aperçut l'abyssal décapuchonné qui se saissisait de son bâton pour se diriger vers la ville, sans doute. Les propos qu'il lui tenaient lui semblaient logiques et pourtant elle aurait pu lui prouver le contraire, en prenant son propre exemple, mais elle ne se sentait pas de le faire devant des étrangers c'est pourquoi, elle se contenta juste de répondre: "-A tout le moins, vous permettrez peut-être que je vous propose mon aide, si je puis faire quoi que ce soit dans ce sens?" ajouta-t-elle à l'intention, plus de l'abyssal que de sa compagne.

La jeune abyssale avait l'air tellement heureuse qu'il eu peur qu'elle en fasse un mal aise, il pouvait voir des étoiles dans ses yeux.
L'elfe noble se proposa de nous faire entrer, pourquoi pas après tout, on serait mieux a l’intérieur de la ville qu'ici, il y aurait surtout plus de gens pratiquants la magie a l’intérieur...
juste avant d'ouvrir le livre Mélissandre répondit a Clyde qu'elle n'avait pas de livre pour lui, qu'importe, aujourd'hui il n'était pas a plaindre, il avait vu une jeune femme de sa race qui en plus de cela était guérisseuse, rien que de savoir cela il était heureux.
Il posa sa main sur l'avant bras de la guérisseuse :

« lisez le autant que vous le voudrez, nous parlerons après de nos connaissance, le métier de soigneur n'est pas facile, je serais honoré de partager quelques conseils avec vous »

puis il se dirigeât vers la femme elfe qui s’appelle..... on se sait toujours pas.

« bien le bonjour a vous, vu votre tenue vous devez être une noble dame, je voudrais bien entrer dans la ville mais voyez mon accoutrement, les gardes ne me laisserons pas entrer »

Le jeune abyssal apprenti-guérisseur avait répondu qu'il ne voyait pas d'inconvénient à entrer dans la ville mais que les gardes refuseraient probablement au vue de son accoutrement. L'elfe prit la décision de se présenter avant de répondre au guerrisseur amphibie:
"-Evanna Kerveleen, Comtesse d'Aaselgrad, pour vous servir, Sieur, Milady".
Peut-être s'était-elle incliner en signe de respect avant dereprendre:
"-Quand vous faire entrer dans cette ville, je pense, sans trop m'avancer, que si je me porte garante de vous deux cela devrait suffire" ajouta-t-elle, un peu précipitamment, dans un désir de pouvoir être utile. Evanna n'avait pas relever la remarque du jeune abyssal qui l'avait assimiler, à raison, à la race des Hauts-Nommés, de peur de paraître hautaine mais avait décliner son identité, essayant de ne pas tomber dans le travers sus-désigné.

c'était donc un comtesse, je ne m'étais pas trompé sur elle, elle indiqua même qu'elle pouvait nous aider a entrer dans a ville.
J'allais enfin avoir l’honneur de visiter a première ville du pays du coté Est, j'imagine que je trouverais tout se que je cherche, une ville comme celle-la doit bien avoir quelques secrets a révéler, quelques livres a lires et des érudits a questionner.
Je tapais mon bâton sur le sol en faisant un petit saut :

« alors en avant mesdames, allons nous réchauffer dans cette ville »

avec un peut de chance je pourrais trouver une boutique pas très cher pour me payer mon équipement, un équipement autre que des chaussures usés et des vêtements sales ...

HRP:

Le jeune guerrisseur abyssal semblait bien préssé  de rentrer dans cette ville. Qui cherchait-il donc?
Quelque chose de haute valeur, très probablement. Il s'empressa d'ajouter, très poliment: « alors en avant mesdames, allons nous réchauffer dans cette ville ». Ce à quoi, Evanna répondit, presque dans  la minute qui suivit, d'un ton...qui dénnotait très certainement une habitude aristocratique de confort, héritée du peu de temps qu'elle avait passé dans le palais comtal de son père, mais habitude de confort qui avait la vie dure: "-Avec plaisir".  Ce furent ces seuls mots, elle ne sut qu'ajouter pour continuer la conversation. Elle bien pu poser des questions pour en savoir plus sur ces deux abyssaux qui prétendaient se nommer Edmond et Sarah mais elle hésitait, prise de la conviction inexplicable qu'ils n'avaient pas donné leur vraie identité pour une raison ou pour une autre et qu'ils risquaient donc fort bien de mentir sur le reste, comme ils l'avaient probablement fait concernant leur identité.

Clyde et ses deux compagnons marchèrent jusqu 'aux gardes, des hommes lourdement armés qui faisaient plutôt peur a voir, rien qu'a leurs allures on savait qu'ils n'étaient pas la pour faire du tourisme.
Il se tourna alors vars Mélissandre :

« j'espère qu'il y a des livres ou des mages pour m'apprendre a utiliser le donc de soigner, nous pourrions chercher ensemble si vous le souhaitez »

puis se tourna ensuite vers Evanna en baissant la tête :

« je suis content d'avoir croisé votre route, vous êtes une dame bonne et je vous suis reconnaissant de nous faire entrer dans cette ville »

HRP:

Couché sur une branche, le dos appuyé contre le tronc, Jack attendait. Cela faisait presque une heure qu'il attendait. Mais il avait confiance aux information de Wyrm. La congrégation avait bien besoin de quelqu'un comme lui.

Le corbeau pencha la tête et voyait ses deux coéquipiers prêt à agir, silencieusement, comme de véritables machines à tuer. Wyrm et Alissa étaient bien en place et semblait tout aussi impatient que Jack. Soudain, des voix se faisaient entendre. Trois personnes arrivaient près des gardes. C'était eux.

- Enfin..

Jack, toujours sur sa branche fut un petit signe de main à Alissa. Quelques secondes après, les gardes tombèrent. Un carreau planté dans la gorge.

- Que la fête commence.

Wyrm observait les environs en silence. Il plissait les yeux derrière son masque, afin de percevoir la scène avec plus de netteté : les ombres s’effacèrent, les lumières dessinaient plus précisément les silhouettes. Le stryge n’aimait guère se retrouver au contact de sa cible mais cette fois, il avait dû faire une exception. On l’avait envoyé sur le terrain afin d’aider les deux autres membres de la congrégation, sur le plan des informations : cible exacte, habitudes, fréquentations et tout le bordel qui découlait d’une opération montée à la va-vite.
Bref.
Il se retrouvait donc perché en compagnie d’une belle demoiselle, à plusieurs pieds de l’elfe qu’ils devaient abattre. Avec un corbeau planqué quelque part plus loin. A quoi devait-il ressembler, ainsi juché… ?

Un signe et Wyrm soupira. Mais quel plan hasardeux…
Il s’exécuta bon gré mal gré. Le son de la mandoline eut vite fait d’attirer l’attention des trois lurons. Evanna. Clyde. Mélissandre. Le ménestrel n’avait que peu d’informations sur les derniers mais en savait assez pour s’en méfier que de peu : la principale menace était leur cible, soit, Evanna.

Il joua un petit air connu, attendant que l’autre ne se décide à se bouger.

Depuis quand était-elle perchée là haut à scruter le moindre mouvement ? Longtemps. Une heure ? Peut être plus ? Quoi qu'il en soit, elle avait froid. Et c'était pas Wyrm qui allait la réchauffer. Ah ça, non. Cette homme avait beau être son ami et un très performant informateur, il semblait être totalement las de ce contrat à peine entamé. Certes, le plan de Jack était farfelu. Mais ce n'était pas une raison pour faire la gueule.

Alissa perçut du mouvement un peu plus loin, sûrement la cible, elle encocha deux carreaux sur son arbalète. Ça aussi c'est foireux, pensa-t-elle. Mais Jack avait insisté pour que les carreaux soit tirés en même temps. Quoi qu'il en soit, la vampire regarda en direction de Jack qui, quelques secondes plus tard fit un signe de la main à ses deux acolytes. Wyrm soupira et fit un simple arpège avec sa mandoline tandis qu'Alissa tira. Elle chuchota ensuite à Wyrm un modeste signe de victoire :

- Oh putain, waouh ! J'ai réussi !

Ce dernier continuait a jouer tandis qu'Alissa regardait avec admiration les deux cadavres de gardes. Un carreau planté dans le cou de chaque et leur sang commençant à se propager sur la neige.

- Merde. La prochaine fois je ferais plus propre.

Les assassins commencent

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Vitesse des joueurs : 940

Jack : 1201
Vitesse: 151
Dégâts: 35% (420)

Wyrm : 405
Vitesse: 415
Dégâts: 102

Alissa : 390
Vitesse: 374
Dégâts: 188


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Vitesse des victimes : 671

Evanna : 455
Vitesse: 313
Dégâts: 187

Melissandre : 350
Vitesse: 125
Dégâts: 255

Clyde : 370
Vitesse: 233
Dégâts: 112

Il ignora superbement la vampire. Mais qu’est-ce qu’il foutait là…
Quand vint le moment, il ne put réprimer un nouveau soupir, de soulagement cette fois, et se mêla au combat. Il reposa avec délicatesse la mandoline contre le tronc de l’arbre. Il ne voulait pas changer encore une fois d’instrument… Il n’avait pas encore amorti le coup de celui-ci.
Le stryge blanc se laissa tomber, dague tirée au clair. La lame s’était naturellement glissée dans sa main. Il s’abattit sur l’un des adversaires, vive silhouette blanche, et n’attendit pas un instant pour porter un premier coup. Le visage renfermé, il attaquait sans hésiter : loin était le temps où la peur le commandait encore…

[Attaque mélissandre deux fois]

Le membre 'Wyrm' a effectué l'action suivante : Actions

'Attaque - Stryge B' :

Wyrm jouait du luth, Alissa avait tué les gardes, tout se passait comme prévu. Il était temps d'attaquer rapidement avant que les trois cibles se rendent compte de quoi que ce soit.

Jack sauta de sa branche et atterrit derrière ces trois personne du nom d'Evanna, Clyde et Melissandre. Dommage pour deux d'entre eux, d'être avec la mauvaise personne au mauvais moment. Tout en se relevant doucement, deux serpent d'ombres sortirent du dos de Jack et commençait à siffler en direction des trois victimes.

Au même moment, Wyrm atterrit à son tour et porta deux coups sur l'abyssale. Pour quelqu'un qui ne semblait pas spécialement ravi d'accompagner Jack dans une mission, elle à l'air tout de même efficace.

- Désolé mais, ça n'a rien de personnel.

Juste après ses paroles, les serpents foncèrent vers l'elfe. La gueule grande ouverte, ils visèrent la jambe et dans l'épaule de la victime du nom d'Evanna.

[Attaque sur Evanna]

Le membre 'Jack Rosenthal' a effectué l'action suivante : Actions

'Attaque - Corrompu' :

Alissa se leva sur la branche et se laissa tomber pour atterrir derrière Clyde, le jeune abyssal. Déconcentré par toute cette agitation il n'avait pas eu le temps de la voir, ce pour quoi en tout bien tout honneur elle lui donna un coup de pied dans l'arrière du genou afin de la faire tomber.

Une fois l'adversaire à terre, la vampire pensait que la tâche allait être facile. Elle se posta accroupie au dessus de lui et dégaina sa dague. Et profita du fait que l'abyssal soit sonné pour le narguer en agitant la lame devant ses yeux tel un sinistre hochet devant les yeux d'un enfant apeuré.

- Ne t'inquiètes pas, je ne tue pas sans raison, mon grand.

Elle se redressa et tenta de lui planter la lame dans la poitrine. Sans succès. Dans le feu de l'action, un des autres combattant ne l'ayant pas vu la bouscula et elle fut projetée sur le sol.

- Merde !

Alissa, énervée, ramassa sa dague et la planta avec violence dans la cuisse du jeune abyssal tentant de se redresser.