Lewiss, ses maigres économies en poche, errait dans une rue commerçante de Kastalinn. Il tendait l'oreille pour démêler les offres des marchands aux accents rugueux les unes des autres. Kraho et son chien ficelle lui avaient donné l'idée de se procurer un compagnon de route, mais il ne savait pas vraiment vers quel animal se tourner. Un chien ? Trop bruyant pour la pêche. Un cheval ? Il n'aurait pas su le diriger...

Alors que l'aveugle se grattait la nuque pensivement, un faible miaulement lui fit tourner la tête. Mais oui !

En tâchant de se rapprocher de l'origine du bruit, il mit le pied dans une flaque de boue froide et lâcha un juron timide, parcouru d'un frisson. Tandis qu'il secouait la jambe, un rire gras retentit devant lui.

- Y'a des jours, hein ?

L'homme qui lui parlait avait un ton de commerçant. Lewiss s'avança vers lui jusqu'à ce que son bâton heurte le bord d'un étal.

- Je ne vous le fait pas dire. Qu'est-ce que vous vendez ?

- Un peu de tout. Des armes, du matériel. Et il me reste un petit chat. C'est le dernier de la portée, j'arrive pas à m'en débarrasser, alors si vous le prenez je vous fait un prix. Tenez...

Une plainte aigüe annonça à Lewiss que le vendeur avait saisi le petit animal. L'aveugle tendit les mains et le nordien y déposa la boule de poils frétillante. À en juger par son poids, il était tout juste sevré. Lewiss, qui avait déjà sympathisé avec quelques chats errants au cours de ses voyages, trouva sa tête sans mal et lui grattouilla le menton. Bientôt, le chat cessa de gigoter et des ronronnements vibrèrent contre les bras du pêcheur.

- C'est quoi, votre prix ?

- Cinquante pièces d'or. J'oserais pas en demander plus à un homme de votre condition.

Lewiss eut un sourire pâle. Ça faisait quand même la moitié de ses économies...

- Très bien...Il chercha sa bourse et compta les pièces au toucher, d'autant plus lentement qu'il portait le chat avec une de ses mains. Voilà.

- C'est une femelle, au fait, répondit le marchand en rassemblant les pièces. Toute noire comme ses frères et soeurs. On dit que ça porte malheur, mais bon, on dit ça des aveugles aussi...

On disait ça, oui. Lewiss salua le marchand de la tête et repartit en caressant la chatte tranquillement. Il allait falloir lui trouver un nom, maintenant...Il allait y réfléchir en essayant de retrouver Kraho.

[a-chat d'un chat pour 50 PO]

L'Orque pousse les portes de la boutique de Kastalinn. Elle n'était venue ici que pour une seule raison, un Lasso. Elle avait entendu parler du grand bénéfice à avoir un familier et on lui avait fortement recommandé d’en récupérer un. Elle jette un coup d’œil sa citrouille volante. Le familier, une récompense récupérée durant le festival d’Halloween, était d’une grande utilité, toutefois, il n’était pas en lien étroit avec l’Orque et se permettait de faire tout ce qu’il voulait. En général, ces actions ne dérangeaient pas trop la peau-verte, mais elle désirait quelque chose de plus avec son familier. Pour le moment, elle ne voulait pas le remplacer, surtout que le familier qu’elle avait en tête, était encore trop fort pour elle. Toutefois, elle savait qu’elle quittait sous peu pour un long voyage et elle ne savait pas quand elle allait revenir dans le coin, alors, elle s'était dit qu’elle devait récupérer le Lasso maintenant.

« Bonjour, je vais vous prendre un Lasso Suprême s’il vous plaît. »
« Un Lasso Suprême ? On part à la chasse au gros monstre ? »
« Si on veut, mais celui que je désire est plutôt mignon. »
« Si je peux me permettre, quel animal visé vous ? »
« Un Esprit Protecteur. »
« Ah ! Une créature puissante et loyale si vous réussissez à lui montrer que vous est digne ! Je vous souhaite bonne chance Mage. » Glisse l’homme en lui donnant le Lasso.
« Merci beaucoup ! Je vous souhaite une bonne journée. » Souffle-t-elle en lui donnant une bourse d’or.

[HRP: Achat d'un Lasso suprême à 200 pièces d'or. Merci beaucoup !]

La géante passe la tète dedans l’entrée en reluquant l’intérieur. Plafond trop petit comme d’habitude. Soupirant, elle rentre accroupis dans la boutique. Son regard traverse rapidement la pièce. Il n’y a que des objets ternes et sans saveur. Dommage, la géante aurait bien voulu une surprise pour égailler sa journée. Le vendeur est assez stressé par sa présence. Un géant dans son établissement est une situation très délicate qui peut finir en scénario désastreux. Un marteau en main, il interrompt le repérage de Svetlana.

« Que puis-je faire pour vous
-On dit que vous transformer des trucs moches en pièces.
-Transformer ? Echanger, vous voulez dire ?
-Comme tu veux. Tiens !
-Une hachette, des bottes et un bouclier, intéressant. Le tout se fait à une vingtaine de pièces d’or.
-Hum. »

La géante semble déçue. Elle pensait obtenir bien plus. C’est mieux que rien mais ce n’est pas avec cela qu’elle alimentera sa garde-robe. La réaction de l’agrothoa rend le boutiquier nerveux. D’un ton hésitant, il réitère sa proposition.

« Au vu de leurs… leurs usures, c’est le maximum que je peux donner… marché conclu ?
-Oui. »

Avec empressement, il lui donne les sous, puis range ce nouveau matériel en espérant que le géant parte au plus vite. Ce que Svetlana fit. Les endroits étriqués commencent à beaucoup l’agacer.

NB:

"Alors ? Vous l'avez eu votre bestiole ?" Interpellé dés l'entrée de la boutique par un marchand qui reconnait le jeune homme qui lui a acheté un lasso le mois dernier, Corbeau hoche la tête, affirmatif et fier de lui. "J'ai utilisé votre lasso pour choper une bulette. Je l'ai attiré hors de son trou, bam ! Un grand coup de bâton sur la nuque, et hop, lasso. J'ai plus qu'a finaliser le dressage et la vendre à un mineur ou à un type qui a un champ de truffes. Et c'est d'ailleurs pour ça que je reviens. Le lasso de la derniére fois était impeccable, alors j'ai décidé de revenir me fournir ici pour la bestiole suivante, mais cette fois il me faut du plus gros, la bulette ça ne paie pas assez, je vais chasser du vrai monstre !" Et après une revue de détail des différents types de  lasso de la boutique, du cuir tressé jusqu'à la chaine d'acier dentelé spécial dragon, Corbeau fixe son choix sur un modèle de luxe, vendu à prix d'or deux cent couronnes. Mais bon, suivant la bestiole, il faut bien ça;


[HRP : Achat d'un lasso suprême à 200Po
D'avance merci o/]

"Tiens ? Vous revenez déjà ? Il y a un probléme avec le lasso ? En tout cas la maison ne fait ni de reprise ni d'échange ! Et pas de remboursement non plus !" Habitué aux problémes avec les rudes gaillard des steppes nordiques, le marchand à déja la main serré sur le solide gourdin bien rangé à coté du comptoir, et qui lui sert à mettre des points d'exclamation à la fin de ses phrases quand il s'adresse à des lourdaux qui ont besoin de ponctuation claire pour comprendre. Mais non. Corbeau n'a pas de réclamation. Au contraire. Arrivé sur le pas de la porte il s'est dit que tant qu'a partir à la chasse, il pourrait peut être se lancer dans des captures un peu plus intensive, après tout, une bête apprivoisée ce n'est jamais perdu, ça vaut toujours quelque chose... Et il revient donc prendre un second lasso histoire d’être paré à toutes les rencontres.


[Achat d'un Lasso amélioré : permet d'attraper un familier ou une monture donnant moins de 300 de vitalité ; coût : 150 pièces d'or
D'avance merci o/]

La grande blonde entre à nouveau dans la boutique. Le vendeur reconnait facilement la géante venue lui vendre quelques affaires par le passé. Cette fois-ci, il semble moins alerte. Mais Svetlana fonce vers lui avec hâte. Il recule par réflexe quand la géante approche sa tête du comptoir.

« Un ami m’a dit que tu vends des liens solides !
-Euh… Un lasso vous voulez dire ?
-Oui, oui ! Tant que l’on peut capturer avec. Je prends le meilleur. »

Le boutiquier s’empare donc de l’équipement demandé tout en s’intéressant à l’activité de sa nouvelle cliente.

« Votre ami a de bons conseils. Les meilleurs du marché sont sans aucun, ici même. Je serais curieux de savoir quel genre de bestioles intéressent un géant ?
-Des bestioles ? Pourquoi pas, si elles sont jolies. Sinon, je vise des captures bien plus précieuses. »

Le vendeur plisse les yeux d’incompréhension. Il doute qu’il arrivera à comprendre ce que pense cette géante qui a l’air de sortir d’un autre monde.

« Cela fera 200 pièces. »

La géante pose sa bourse sans compter comme si la transaction était déjà préparée. Elle jauge ensuite la qualité du matériel rigoureusement.

« Tu penses que le lasso peut résister à deux grandes comme moi ?
-… Euh… je n’ai pas compris la question.
-Pff ! Est-ce que deux femelles peuvent briser ses liens ?
-Je ne sais pas où vous voulez en venir, mais pour ce qui touche à sa solidité, je peux vous garantir qu’un géant seul aurait du mal.
-Parfait ! »

L’Agrothoa se précipite ainsi vers la sortie, le sourire aux lèvres, visiblement très satisfaite de ses achats. Le vendeur, quant à lui, reste perplexe après ce dialogue.

NB:

---

Passage obligé de ma traversée des plaines d’Aràn, nous arrivions avec Krakha dans la ville de Kastalinn. Nous connaissons un peu cette forteresse du nord puisque nous venons vendre à de rares périodes de l’année des fabrications de notre village et nous profitons de l’argent amassé afin de ramener au retour des produits que nous ne pouvons pas trouver dans nos montagnes. Pour cette fois, nous prenions surtout de quoi nous nourrir et de quoi rafistoler nos vêtements et armures. Le voyage avait été très long depuis les forêts Elfiques, et nous avions encore du chemin à faire.

Parmi mes différents achats, j’avais pris soin d’acheter un rouleau de corde qui semblait suffisamment solide pour résister à une certaine pression. Le souvenir m’était revenu en passant devant la corderie, mais c’était bel et bien une corde telle que celle-ci qui m’avait permis de remporter un combat contre un Djinn l’été dernier. Comme quoi, c’était toujours utile d’en avoir de côté.

[Dame Ara souhaite acheter un lasso amélioré, s'il vous plait !]

L'Orc baissa la tête et passa sous le chambranle de la porte d'entrée de la boutique.  L'endroit n'était pas facile d'accès, il avait dû demander plusieurs fois son chemin. Dans son dos, l'Orc portait un grand sac qui reposait en partie sur son épaule gauche. Ledit sac était rempli de l'équipement dont le peau-verte souhaitait se débarrasser, contre paiement bien entendu.

Le propriétaire de l'échoppe était un homme de taille moyenne au crâne dégarni, il hocha la tête en guise de salutation et s'appuya sur le comptoir.

- Qu'est-ce que j'peux faire ?

Dranosh déposa le lourd sac sur le comptoir et l'ouvrit.

- Ça, à vendre.

L'homme regarda à l'intérieur du sac et en sortie un marteau qu'il examina sous toutes les coutures.

- Mh... Il a déjà servi de ce que je vois, mais nous allons pouvoir négocier.


(Je voudrais vendre mon Marteau Rhô, Hache commune, Couvercle de tonneau, Hache à double tranchant)

Peu de temps après la rencontre avec l'elfe noir, Ehawee était revenue à Kastalinn pour mettre en lieu sûr l'orpheline qu'elle avait récupéré en compagnie de l'assassin. Elle espérait que l'avenir de cette jeune âme soit moins sombre que le sort qui avait été réservé à son village et probablement ses parents inclus...L'archère était quelques peu perturbée par ce Divayth, elle ne savait plus exactement ce que signifiait le mot justice ou le mot bien. Elle n'avait pas été en mesure d'agir pour le meilleur sans commettre l'irréparable et que la situation ne finisse encore dans un bain de sang. Fallait-il être impitoyable à ce point ?

Ces réflexions complexes qui la tourmentaient ne la détournaient cependant pas de son objectif vers le Grand Nord. Elle se dit par ailleurs que cette halte forcée à Kastalinn était une bonne chose pour se préparer davantage, tout comme elle se rappelait des conseils de Thrynn. Elle dégota dans l'une des boutiques de la ville, du matériel nécessaire pour survivre en plein froid.

[Ehawee achète un kit de survie suite à la rencontre avec le frappé glacé, merci !]

Achat de @Ehawee
x1 Kit de survie	500 pièces d'or
Total	500 pièces d'or

Tu termines la quête « Une contrée glaciale » et tu débloques l'accès au Grand Nord.

Alors qu'ils arpentaient le Nord pour découvrir quelles civilisations se terraient dans ces terres hostiles, Urua et Diagoras rencontrèrent un marchand ambulant qui, contrairement à ceux qu'ils connaissaient en Dùralas, ne se déplaçait pas en chariot à roue mais en traineau, véhiculé par d'énormes chiens qui piaffèrent quand il s'arrêta. Les trois explorateurs des contrées enneigées discutèrent quelque temps mais n'osaient pas rester trop longtemps sur place de peur que le froid ne leur cause quelque mal. Il s'en suivit un achat de bottes en fourrure assez larges pour couvrir les énormes pattes postérieures du Löwen et ses coussinets de l'abondante couche de neige et des engelures qui menaçaient de le submerger. Une fois le marchand reparti, les deux compères reprirent la route, confiant dans leurs chances de croiser des villages si un marchand empruntait cet itinéraire.

[Achat de Bot'aria x1]

La boutique du marchand d'armes et d’armure de Kastalinn est une belle bâtisse en pierre et en bois. C’est une échoppe remarquable avec ses enseignes en fer forgé qui montrent des épées croisées sur un écu. Je peux entendre depuis l’arrière-cour le bruit des marteaux frappant sur l’enclume, tandis que je regarde les nouveautés présentées dans la vitrine.

M’aventurant à l’intérieur, je trouve l’atmosphère chaleureuse, et j’apprécie les tapisseries évoquant des batailles épiques et des trophées de chasse accrochés aux murs. Quelle fierté de voir une des nouvelles œuvres traitant de l’Anklög, et de me dire que j’ai assisté à cet épique affrontement pour la survie de tous. Le marchand m’accueille et je ne tarde pas à lui expliquer le motif de ma visite : je cherche un nouveau lasso magique. L’homme barbu au regard vif et à l’air solide, m’explique que certains lassos sont particulièrement adaptés aux animaux volants, ce qui est parfait pour ce que je compte faire ! L’accord sur l’achat de ce lasso est rapidement scellé avec une poignée de main et par l’échange des pièces d’or.

Avant de quitter la boutique, je jette un coup d'œil curieux aux autres articles en vente. Mon armure me suffit amplement, ainsi que mes armes, mais les boucliers ornés de symboles ancestraux sont une nouvelle option que je devrais considérer pour ma panoplie.

Pour le Marchand:

Kastalinn. Outre le fief des Hommes du Nord, c’était aussi le paradis des trappeurs, chasseurs et tanneurs.  L’odeur âcre des peaux traitées, véhiculées par des fumées nauséabondes emplissait toutes les rues de la ville. La saison de la chasse semblait avoir été bonne au vu des milliers et des milliers d’animaux morts qui gisaient un peu partout et se faisaient dépecer sur des établis pour leur peau et morcelés pour extraire les meilleurs morceaux de viandes. Les nordiens préparaient déjà la saison froide où les animaux se faisaient rares dans les plaines et les forêts. Ils salaient la viande et la mettaient à sécher dans des fumoirs.

    L’homme lézard qui était lui-même un chasseur était tout de même indisposé par ce mélange d’odeurs désagréables et se réfugia dans l’une des boutiques aux alentours. Il cherchait un instrument capable de garder prisonnier une créature qu’il pourrait dresser pour l’aider à la forge. Certains insectes des marais aussi intelligents que des chevaux pouvaient faire l’affaire. Ils étaient suffisamment grands et robustes pour transporter de lourdes charges même si leur chitine empêchait quiconque de s’assoir sur leur dos au risque d’user prématurément ses bas.

    Sslozmek regarda autour de lui et aperçut ce qu’il recherchait : un lasso qui semblait suffisamment solide pour capturer bon nombre de créatures. Il était pendu à une patère avec un prix assez élevé affiché au-dessus de lui. L’homme lézard observa l’objet et constata que le prix semblait être à la hauteur de la qualité perçue. Il déposa alors l’article sur le comptoir et donna ce qu’il devait au marchand.



J’achète x2 lasso amélioré.