Neyrelle

Nom : Neyrelle

Âge : Vingt-six ans

Sexe : Femme

Race : Humaine

Classe envisagée : À déterminer selon les rencontres

Métier envisagé : Femme de lettres [Métier RP]

Capacité magique : Aucune

~~Mode hardcore~~

Langue(s) parlée(s) : Le Dùralassien

Thème musical du personnage : ♪ Écoutez-moi ♫

Neyrelle est une femme de corpulence et de hauteur moyennes dont le physique laisse imaginer qu’elle n’a jamais souffert de la faim ni de la maladie. Son teint est pur et sa chair lisse. Ses mains, parfois tachées d’encre, sont vierges de toute callosité. Son port altier, sa diction appliquée et le soin qu’elle apporte toujours à la dignité de son apparence achèvent de trahir une condition sociale plutôt enviable.

Son visage, bordé de longs cheveux châtains, présente des traits doux et arrondis. Ses yeux, d’un gris anthracite, sont perçants et expressifs. Ses lèvres pleines sont souvent souriantes, tantôt avec malice, tantôt avec sincérité. Elle prend clairement soin d’elle sans pour autant chérir les excès de coquetterie. Il en va de même pour les atours qu’elle porte, sobres mais élégants.

Elle dégage une certaine fraîcheur mêlée de sérénité. Il y a, dans son allure, une forme de noblesse non feinte et dépourvue d’orgeuil. Cela se retrouve dans sa démarche, à la fois distinguée et assurée, souple et contenue. Clairement, si son physique n’est ni impressionnant, ni flamboyant, il émane d’elle une douceur qui impose le respect.

Neyrelle est une intellectuelle ; elle se montre toujours curieuse, avide de comprendre et de savoir. Elle affectionne particulièrement l’histoire et la philosophie, mais tous les domaines sont susceptibles de la passionner. Elle aime prendre le temps d’analyser et de réfléchir et peut donc sembler taciturne par moments. Observatrice et attentive aux détails, elle a une mémoire eidétique. Les bavardages autour de banalités l’ennuient profondément mais elle affectionne les discussions passionnées. Elle a l’esprit vif et s’exprime avec aisance.

C’est également une artiste et une esthète, dotée d’une grande créativité et facilement émue par ce qu’elle trouve beau. Elle excelle notamment, en partie grâce à son éducation, dans la pratique de la lyre et dans l’écriture de la poésie. Elle porte sur le monde un regard empreint de rêverie et capable de percevoir de la magie en toute chose. Elle s’émerveille facilement. Les émotions et les sentiments sont toujours intenses chez elle. Elle sait cependant les faire taire et les contrôler, faisant généralement preuve de sang froid.

Neyrelle fait montre d’une grande empathie et s’évertue à ne pas causer de tort à autrui. Elle a la culpabilité facile et une certaine tendance à ruminer ses pensées. Elle accorde assez facilement sa confiance, mais fait preuve de rancune face à la moindre trahison. Sans être naïve, elle a tendance à toujours chercher le positif chez ceux qu’elle rencontre. Cependant, elle peine à réellement s’attacher, étant de nature indépendante et chérissant plus que tout la liberté.

♪ Écoutez-moi ♫

L’azur du ciel est constellé de nuages blancs, épars et moutonneux. Il s’étale paresseusement au-dessus d’un champ de coquelicots en fleur. Les corolles innombrables couvrent les tiges oscillantes d’une nuée vermeille. Une femme se tient dans cet océan écarlate ; mêlée aux pétales rouges, sa robe pâle est comme teintée de sang. Ses cheveux sombres, longs et défaits, jettent des courbes noires sur l’horizon paisible. Neyrelle court vers elle avec une hâte qui s’affranchit de toute explication. Les fleurs s’écroulent sous ses pas empressés, s’arrachent et s’inclinent. La femme se retourne brusquement. Elle a le visage de sa mère. Neyrelle s’immobilise. Sa mère se penche et arrache un coquelicot, broyant sa corolle fragile d’une main impitoyable. Puis elle réitère le geste avec une autre fleur ; elle recommence encore, les décapitant les unes après les autres. Neyrelle ouvre la bouche pour crier. Aucun son ne sort.

L’écho de son cri réveilla Neyrelle. Elle expira brutalement, se redressant dans le lit, la chair enfiévrée. Il faisait jour. L’air chaud de Stellaraë baignait la chambre dans une atmosphère étouffante. À bout de souffle, Neyrelle vacilla jusqu’à la fenêtre. Sa main tremblante épousa la géométrie complexe du moucharabieh dont les fines ouvertures découpaient l’extérieur en étoiles et en losanges. Dehors, les murs et les toits ocre se superposaient à perte de vue. Seuls les auvents colorés couvrant les ruelles et la verdure ponctuelle des palmiers rompaient cette monotonie sépia. Le ciel orageux était si sombre qu’il tirait sur l’indigo. La rumeur lointaine des ruelles encombrées résonnait péniblement. L’éther, immobile, n’était pas plus frais qu’à l’intérieur. Neyrelle inspira longuement. Elle repensa à son rêve.

Elle n’avait jamais été passionnée par l’oniromancie, ni globalement par l’interprétation des rêves. Auparavant les siens avaient toujours été volatiles et insaisissables, désertant sa mémoire quelques instants après le réveil, ne lui laissant que l’empreinte d’un sentiment ou d’une impression. Cela avait changé depuis la mort de sa mère. Elle était hantée par la récurrence de ce songe unique. Il pénétrait son sommeil à toute heure, s’infiltrait sous ses paupières closes, persistait en son esprit en une marque indélébile. Invariablement, il lui remémorait un conte cruel que sa mère lui lisait autrefois.

C’était l’histoire d’une princesse, orpheline de mère et dont le père guerroyait toujours au loin, vivant cloîtrée depuis sa naissance dans un monastère isolé au cœur d’un jardin fleuri. Chaque soir d’été, elle venait y déchiqueter quelques lys blancs. Or, par un mystérieux sortilège, chaque lys arraché par cette princesse fauchait la vie d’un jeune guerrier ennemi sur les lointains champs de bataille. Ainsi accompagnait-elle les efforts belliqueux de son père, consciente des vies qu’elle prenait avec ses doigts chaque nuit. Un soir un fugitif, un soldat blessé, fit irruption dans le jardin pour demander l’asile. On le recueillit. Ce fugitif obsédait la princesse. La nuit suivante, elle reprit sa fauche florale. Cette nuit-là, les lys se mirent à gémir, à implorer, à exhaler le sang et la mort. Leur agonie était devenue perceptible. Surtout, ils repoussaient plus vite qu’elle ne les arrachait. La princesse cessa subitement son massacre lorsque son regard rencontra le corps meurtri du fugitif, allongé dans les gerbes fleuries. Il lui reprocha de l’avoir tué avant de rendre son dernier souffle. Le lendemain la princesse fut retrouvée morte, dans un parterre de lys rouges.

Après tout, son rêve n’était pas bien difficile à interpréter ; elle se le disait à chaque fois. Elle avait espéré au début que la compréhension eût été un assez puissant exorciste. Elle était désormais bien obligée d’admettre que ce n’était pas le cas. Son regard s’abaissa vers le jardin en contrebas, carré verdoyant et coloré où mille plantes médicinales côtoyaient quelques arbres fruitiers. Sa respiration, redevenue paisible, divergeait du chaos qui agitait son esprit. Son cœur débordait tant d’émotions qu’il lui paraissait totalement vide. Neyrelle se tourna vers l’intérieur de sa chambre, détaillant les livres empilés, les papiers clairsemés et les robes disséminées. L’âge d’or de cette pièce était décidément révolu. Au coin, même la lyre prenait la poussière. Neyrelle se glissa jusqu’à la psyché ovale pour s’y toiser d’un œil indifférent. A l’image de sa chambre, elle n’était plus que l’ombre d’elle-même. Tout ce qui avait éveillé auparavant en elle la passion, tout ce qui avait fait flamboyer son âme, tout ce qui avait nourri l’éclat de ses yeux, tout cela l’ennuyait désormais.

C’est en croisant, l’espace d’un instant, le souvenir de ce qu’elle avait été qu’une certitude s’imposa à elle : elle devait partir. Elle devait quitter cette demeure et cette ville. Dans le miroir, ses yeux s’écarquillèrent. Elle s’arracha à sa propre contemplation pour se vêtir et de se coiffer, puisant pour cela dans une énergie dont elle n’eût jamais soupçonné l’existence. Elle se dirigea ensuite vers la porte entrebâillée de la chambre, sortit sur le palier et descendit l’escalier sans s’attarder sur la porte close des appartements de sa mère ni sur le reste de leurs lieux de vie. Ils débordaient de souvenirs dont elle devait désormais se détacher.

Arrivée au rez-de-chaussée, elle fit irruption dans l’ancienne apothicairerie. La clarté ne s’aventurait dans la pièce qu’à travers les minces fentes des petites fenêtres qui donnaient sur la rue ; des grains de poussière flottaient mollement dans les faisceaux de lumière qui en émergeaient. Les lieux avaient été vidés de toute leur substance plusieurs semaines auparavant, laissant les étagères inoccupées. Il y flottait encore pourtant l’odeur mêlée du parfum des roses, de la menthe poivrée et de la myrrhe. Sa mère exhalait ce parfum qui imprégnait depuis toujours la boutique et le laboratoire. Qui eût été capable d’imaginer ce qui s’était tramé là des années durant ?

Les onguents thaumaturges, les baumes guérisseurs, les poudres miraculeuses et les élixirs de jouvence n’étaient qu’une vitrine parfaitement élaborée. Le produit phare de l’arrière-boutique flétrissait les chairs, dégradait les organismes, rongeait les corps. Il ôtait les vies. Ce parfait poison, fruit d’années de recherches assidues, était incolore, insipide et inodore. Conditionné dans un petit flacon d’huile cosmétique, il était vendu depuis des années par sa mère à des femmes souhaitant, pour des raisons variées, se débarrasser de leur époux. Il passait ainsi inaperçu parmi les affaires des acheteuses. Il était à l’origine d’une véritable hécatombe qui avait pris fin lorsqu’une cliente, se ravisant au dernier instant, avait tout avoué à son mari. Suite à cela, sa mère avait été arrêtée par les Gardiens, jugée et condamnée à mort.

Neyrelle, qui avait toujours été gardée à distance de l’apothicairerie par sa mère, était légitimement sortie blanchie de cette affaire. Elle avait reçu une éducation aux lettres et aux arts, lui permettant de fonder son propre prestige sur l’écriture. Sa mère l’avait protégée, lui transmettant ainsi son goût pour les études et pour l’érudition sans pour autant l’impliquer dans son activité d’empoisonneuse. Toutefois, la jeune femme avait parfaitement conscience des activités funestes de sa génitrice depuis des années. C’était cela qui la hantait désormais. C’était pourquoi elle devait quitter cet endroit, les souvenirs qu’il renfermait et sa fragrance entêtante.

Elle n’était pas habituée à voyager. Certes, elle n’avait pas toujours vécu à Stellaraë puisqu’elle était née à Ishtar, village d’origine de sa mère. L’enrichissement et les ambitions de sa mère l’avait poussée à venir s’établir en une plus grande ville. Du trajet entre Ishtar et Stellaraë, Neyrelle n’avait que des souvenirs assez flous. C’était pourtant le seul véritable voyage qu’elle eût accompli. De sa vie d’enfant à Ishtar elle conservait une douce nostalgie. Afin de guérir, il lui semblait donc qu’y retourner eût été un bon début. De toute façon, la culpabilité de sa mère l’avait couverte d’un opprobre qui compliquait ses affaires à Stellaraë. Son activité de poète, d’érudite, d'écrivaine n’aurait pas supporté cela. Le cœur comme la raison lui hurlaient de partir.

Elle traversa la pièce. Auprès de la porte, suspendue à un clou, la clé de la maison projetait sur le mur l’ombre d’un pendu. Ses doigts en agrippèrent le métal.

Il lui parut chaud.

Pour l’heure, l’objectif de Neyrelle est assez simple : se reconstruire après l’effondrement de sa vie suite à l’exécution de sa mère. Elle doit pour cela organiser son départ afin de quitter Stellaraë. Elle a soif de liberté et de découvertes.

Elle désire évidemment poursuivre ses activités d’érudite et d’écrivaine, espérant se nourrir tant de la réalité que de nouvelles lectures.

Derrière l'écran

Prénom ou pseudo : Mandoline
Âge : 35 ans
Pays/Région : France
Tes occupations préférées : Lire, écrire, faire de la photographie, jouer à des jeux vidéo, regarder des séries et des films

Code du règlement : Citrouille

Comment as-tu connu le forum, ou par qui ? Sur un top serveur
Tes premières impressions sur Dùralas : Très positives
As-tu déjà été sur un forum RP ? Oui

Bienvenue ici Neyrelle! Comme dit sur le discord, j’aime beaucoup les petites images glissées ça et là dans ton texte. Images d’ailleurs, qui prennent tout leur sens à la lecture de la fiche, que je trouve vraiment très bien écrite. Tantôt poignante, tantôt plus douce. On se dit à la fin: flûte! C’est déjà finit? :/
Mais le point positif c’est que l’on aura le plaisir de te lire encore pendant tes aventures sur Duralas j’en suis certain Clin d'oeil

fiche combat:

Spoiler:

Merci beaucoup Neyrelle 1f60a

Quel plaisir que de lire ta plume, chère Neyrelle. Hormis le biais que j'ai eu instantanément en te lisant femme de lettres, il faut avouer qu'objectivement c'est une superbe proposition RP que tu fais dans cette fiche.

Dans l'attente de notre bien aimé @Dilon Deraborne je m'en viens donc valider cette fiche et t'attribuer tes récompenses. Pour toute question concernant les RP, ou l'univers n'hésite pas à me MP ici ou sur Discord, selon préférence.

Douce poétesse, l'histoire de ton personnage est guidée par une esthétique incroyable ; ton remaniement de la fiche et l'inclusion d'illustrations est un choix ravissant. Du début à la fin c'est un réel plaisir que de te lire, merci à toi d'avoir pris le temps de ciseler tout ceci du soin de l'orfèvre. Merci aussi de manifester les caractères rêveurs, introvertis, et moins belliqueux qu'on peut avoir l'habitude de croiser en RP.
Aussi, la manifestation de plusieurs types de féminités distillées en filigrane, à la manière de l'élaboration des poisons et des poèmes, est d'une incroyable justesse. La douceur florale n'en exclu pas les potentielles prédations, soient-elles motivées par des époux décevants. C'est par une tragédie que s'ouvre l'histoire de Neyrelle, et je lui souhaite de contempler les merveilles qui baignent nos contrées.

RÉCOMPENSES :keur:

[info]x1 Bottes de cuir: +36 vitesse ; coût : 45 Pièces d'or
x 100 PO
x 100 xp[/info]

Neyrelle Giphy.gif?cid=790b761185cf39370d710c3c609bb31d1762c557747720fc&rid=giphy

Bonjour et bienvenue par ici Neyrelle !
Une histoire poignante finement racontée avec une jolie plume, j'ai hâte de lire les aventures épiques de cette écrivaine, car en Dùralas, il y a matière à découvrir pour enrichir ses textes, c'est certains !

Bon voyage en ces vastes contrées et au plaisir de te rencontrer au détour d'un rp Neyrelle 1f60a

Bienvenue parmi nous Neyrelle!

Bon voyage en nos amusantes contrées!

Neyrelle 1543330520-signature-moradund-final

Rappel : Ronin n'est audible que par les télépathes, ou lors de crises de rages
(Dialogues normaux: ~Ronin(#bbbbbb), lors des crises: ~Ronin (#ff9900))
Neyrelle Drapea24

Bienvenue par ici Neyrelle Sourire

j'ai hâte de voir les évolutions de ton personnage et de te croiser en RP !

À la recherche de la frontière entre l'homme et le lion
~~~
Neyrelle Signature-resized

Merci à vous tous ! Au plaisir de vous croiser en RP.

Bonjour @Neyrelle et officiellement bienvenue sur Dùralas ! :dragon:

J'ai beaucoup aimé ta fiche ! L'esthétique que tu as mise en place avec les images et la façon d'écrire est très plaisante. Félicitations pour l'effort que tu y as mis !

Ta plume est un vent de fraîcheur, on sent facilement ton appétence pour les lettres et de facto ça correspond bien au personnage que tu proposes !

Concernant le personnage, je pense que Neyrelle pourra assez facilement s'intégrer dans le monde de Dùralas. Tu auras peut-être une attirance pour les potions et cela tombe bien car plusieurs voies (classes ou factions) permettent d'y parvenir...

Sinon il y a le nombre de lignes requis, le code du règlement est bon, et Le Tribun t'a déjà validée donc je n'ai plus qu'à faire la validation finale.

Je t'attribue donc ta couleur de race, j'active ta feuille de personnage, et je la mets à jour avec les récompenses reçues.

Tu pourras, à la suite de ce message, débuter l'aventure en cherchant un partenaire dans les Demandes de RP.

Tu peux d'ores et déjà créer ton journal de bord, ta généalogie si tu le souhaites, ainsi que choisir un métier pour gagner quelques sous dans le choix d'un métier.

Si tu as des questions n'hésite pas à les poser ici, sur Discord (le lien est dans le message d'accueil), ou dans la boîte à questions !

Au début de ton aventure, et même tout du long, le Guide du joueur (que tu peux aussi trouver dans la catégorie "Préambule" dans la barre de navigation) va pouvoir te diriger pour savoir où aller chercher les informations et répondre à la plupart de tes questions !

Bonnes aventures dùralassiennes. :dragon:

Neyrelle Sword-hd-png-sword-png-image-1920

Gardien-en-chef Neyrelle Drapea12

- Dragonnier de Bronze Neyrelle Bronze13

- Rédacteur au Phénix Enchaîné - Propriétaire de la boutique L'Âme et l'art mûr

RP1-RP2-RP3

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Merci beaucoup !

Bienvenue par ici, j'espère que tu te sentiras bien avec nous Clin d'oeil

Fiche de combat:
Melhyndil : 1205
Vitesse : 748
Dégâts : 404
Capacités spéciales :

Sceau des Dragonniers : Le porteur du sceau n'est pas impacté par le malus de terrain de la Perracie

Jolie fiche, plume magnifique, que demander de plus ? ^^

Au plaisir de se croiser au détour d'un rp, que ce soit avec Eya ou un autre de mes persos Sourire

Merci à vous deux !

Bienvenue !

J'ai beaucoup aimé lire ta fiche, déjà par sa présentation agréable, les petites images sont très jolies, ensuite par l'histoire en elle-même. C'est assez simple de s'immerger et de visualiser la scène.

Ton personnage à l'air doux, et j'aime beaucoup les personnages comme ça. Parce qu'on peut tout imaginer pour leur futur ! Je serais ravie de croiser sa route avec Aube, dans un registre différent, elle est aussi écrivaine et curieuse de tout !

Bon voyage parmi nous ! <3

Fiche | Histoire de famille | Carnet de voyage

Merci ! Je serais ravie également que nos personnages se croisent un jour !

Bienvenue !

Superbe fiche ! J'ai pris beaucoup de plaisir à te lire, en particulier le premier paragraphe de ton histoire où tu décris l'un des songes de Neyrelle. C'est le genre de style descriptif et lyrique que j'affectionne moi-même beaucoup. Après, le reste de ta fiche est très bien écrit aussi !

J'avoue qu'en lisant le message d'Aube, je n'avais pas réalisé qu'elle était écrivaine elle aussi. Shae est un érudit également versé dans les lettres, mais s'il s'est un temps adonné à la poésie, en général, maintenant, son écriture créative se place dans un autre registre.

Quand j'ai lu le passage sur les poisons, je me suis l'espace d'un instant imaginé l'ancienne épouse de Shae y avoir recours à l'époque où leur couple était mourant et où il n'a rien fait pour arranger les choses^^

Neyrelle semble, ceci dit, douce et chaleureuse en comparaison à mon assoiffé de connaissances cynique et blasé. En espérant un jour te croiser au détour d'un RP Chapi chapo

Merci beaucoup ! Au plaisir de te croiser également. Neyrelle 1f60a

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