Nom : Eyara Kilab Kavannagh

Âge : 28 ans

Sexe : Femelle

Race : Thérianthrope renard

Classe envisagée : Une classe magique, mais ne sais pas encore laquelle

Métier envisagé : Sculptrice, ainsi que peintre et divinatrice en métier rp

Capacité magique : Eyara possède une affinité avec la divination et la magie de l'air.

Mode hardcore : Non

Langue(s) parlée(s) [Facultatif] : Dùralassien, Swen-Jah

Eyara est une jeune thérianthrope renarde et possède donc, par le fait même, une forme humaine et une forme animale.

Sous forme humaine, c'est une jeune femme aux cheveux brun-roux, au teint clair et aux yeux brun. Elle fait environ 1.65m, pour un poids d'un peu moins de 100kg. Elle est donc loin d'être mince et frêle comme une renarde le serait, mais possède un peu plus de courbes, bien que le poids supplémentaire soit essentiellement du muscles.

Sous sa forme animale, forme qu'elle prend la majorité du temps, c'est une renarde rousse tirant sur le brun sur deux pattes. Elle fait sensiblement la même taille et le même poids que sous sa forme humaine. Ses yeux par contre sont plus ambrés sous cette forme.

Elle a une sorte de handicap si on veut : de l'arthrose précoce ainsi que des rotules débalancées sur les deux genoux, ce qui l'empêche de rester debout trop longtemps ou de courir. Coquette, elle porte énormément de bijoux, ses oreilles, ses doigts et ses poignets sont tous rempli à craquer, sans compter les quelques colliers et le foulard de baladi qu'elle porte en permanence. Elle est audible de très loin avec tout ça. Elle porte généralement une longue jupe noire et un chemisier rouge, un foulard d'un rouge plus clair autour de la taille. Une ceinture de cuir possédant de nombreuses bourses ainsi que des sandales de cuir, ou des bottes selon la région qu'elle visite, complète sa tenue. De temps à autre, elle porte un hijab, rouge clair également, mais plus rarement. Elle le porte lorsqu'elle visite le désert d'Harena, sa terre natale.

Edit 04/07/23 : Eyara étant désormais arlequine, elle porte des vêtements liés à sa profession, dans les teintes de blanc et de violet. Pourquoi ces couleurs ? Simplement car le blanc symbolise son affinité avec l'air, tandis que le violet est la couleur symbolisant la divination.

Eyara est douce, gentille et généreuse. Elle fait au mieux pour aider son prochain. Elle est surprotectrice envers sa famille, surtout depuis la mort de sa mère, et, étant l'ainée des filles, elle du prendre sa place depuis pour élevée ses frères et sœurs. Elle aime la magie, la peinture et l'art en général. Très imaginative, elle a toujours plein de projet en tête, mais trop d'idées en apportant d'autres, elle ne termine pas toujours ses projets. Oui, elle a un bon gros déficit d'attention, en plus d'être hyperactive par moment. Lorsqu'elle rencontre de nouvelles personnes, soit elle est hyper enjouée, sois elle devient anxieuse, cela dépend de comment elle se sent. Mais surtout, elle est tête de mule, et quand elle veut vraiment quelque chose, elle fait sont possible pour l'obtenir.

La renarde, bien que n'étant pas Hybride, en a la mentalité sur bien des points. Elle est végétarienne depuis toute petite et rechigne en voyant les gens manger de la viande, déplorant un peu la perte d'un être vivant. Elle consomme par contre volontier du lait, du fromage et des œufs. Elle est très proche de la vie et de la nature en général. Elle déteste les gens qui font mal aux autres. Pour elle, la vie ne devrait être que paix et harmonie.

Je m’appelle Eyara et je viens du clan Kilab. Je suis née le 20 décembre de l'an 782 et j’ai donc vingt-huit ans. Je suis une thérianthrope renarde née dans une oasis du désert d'Harena, d’une mère thérianthrope renarde et d’un père lycanthrope. Je suis née deux heures avant le solstice d'hiver, lors d'une nuit de pleine lune. Dans mon clan, puisque je porte pas mal de boucles d'oreilles en forme de fleur, on m'a surnommée la "Fleur du Désert", et c'est d'ailleurs mon nom de scène lorsque je prédis l'avenir des gens.

Mon père se nomme Jibran. C’est un mâle fier de sa grande famille qui mène toujours ses affaires commerciales jusqu’au bout. Il est d’ailleurs l’un des meilleurs marchands de notre clan. Ma mère, Jamila, est, tout comme moi, une divinatrice. C’est d’ailleurs d'elle que je tiens mes talents dans ce domaine. J’ai également six frères et sœurs. Viens d’abord Lazhar, vingt-neuf ans, l’aîné de la fratrie. C’est un renard comme tous les membres de la fratrie, mais aussi, le portrait craché de notre père lorsqu'il est sous sa forme humaine. Il marche d’ailleurs dans ses traces et désire reprendre le commerce de notre paternel lorsqu’il ne pourrait plus le faire. Je suis la deuxième de la fratrie. Puis, vient mon frère Daysam, vingt-sept ans. C’est un jeune homme fin et agile, mais aussi, un chasseur hors-pair. Puis, vient mon frère Zahir, vingt-trois ans. Celui-ci est un prêtre vouant sa vie à la nature. C’est d’ailleurs l’un des guérisseurs du clan. Puis, vient Kamar, vingt-deux ans. Son cas est particulier. Très tôt, mes parents comprirent qu’il avait un retard mental. Ce qui fait que malgré ses vingt-deux ans, il semble en avoir huit ou neuf mentalement, sans plus. Il a aussi des malformations dans son visage de renard, comme des yeux plus écartés et un visage plus trapu. Il reste tout de même un apprenti garde, afin qu’il ne se sente pas inutile. Puis, viens ma sœur Rana, dix-neuf ans. C’est une jeune fille prêtresse de Magnésie, culte majoritairement prié dans le clan. La petite dernière se prénomme Batul. C'est une petite renarde au pelage d'un blanc très pur et aux yeux bleu ciel âgé de seize ans. Depuis sa naissance, elle est surprotégée, puisque l'Oracle du clan avait annoncée sa venue comme étant celle de la prochaine sibylle.

J'eus une petite enfance somme toute normale. Mon clan, composé uniquement de thérianthropes canins, auxquels s'ajoutent quelques lycanthropes, est  comme une seule et même grande famille. Il y avait bien évidement des renards et des loups comme les miens, mais également des fennecs, des dingos et des coyotes. Mon grand-père paternel était d'ailleurs un fennec. Ma mère avait très vite remarqué que j'avais un certain don pour la divination et commença très vite à m'initier à ce domaine, que se soit au niveau de la magie qu'au niveau des arts divinatoires, comme le tarot ou les runes. Mon père profita également de mon habileté manuelle. Effectivement, j'avais un cousin de quelques années mon aîné doué dans la fabrication d'objets en bois, comme des coffrets ou des décorations. Père achetait les objets de bois à la famille de mon cousin, je les peignais, puis il les revendait sur les marchés de Stellaraë, d'Ishtar ou des autres clans que nous croisions sur la route.

Mon adolescence me permit de compléter ma formation de divinatrice. En plus du tarot, des runes et de quelques autres méthodes de divination, j’appris la méditation, à lire et écrire le duralassien ainsi que le swen-jah, la sculpture d'armes en bois, mais également tout ce qui avait trait au travaux domestiques. Après tout, j'étais de base une femelle et je me devais d'être mariée dès que possible. C'est également à cette période qu'on me força le port du hijab traditionnel clanique. Le mien serait blanc jusqu'à la perte de ma virginité. C'est également à l'adolescence qu'on me fit mes tatouages faciaux sous ma forme humaine.

C'est durant cette période de ma vie que nous perdîmes ma mère. J'avais quinze ans. Alors que nous étions en route pour Ishtar depuis Stellaraë, nous fûmes attaqué par un ver des sables. À peine l'entendions nous sortir du sable qu'il avait déjà gobé ma mère, trois autres membres du clans et leurs chameaux et avait disparu dans le sable. Aussitôt, je rassemblais les petits et partit dans la direction opposée au ver avec quelques guerriers tandis que les autres s'appliquaient à riposter et défendre le clan. J'avais les larmes aux yeux. Je venais de perdre ma mère. Et des amis. Le ver ne réapparut pas. Peut-être était-il déjà repu. Moi, je venais de perdre ma mère. Cette nuit-là, je fis une longue prière avec les miens, afin d'honorer sa mémoire. Mais nous nous devions de passer à autre chose. Tel était la vie du clan.

Les années passèrent. Je finis par prendre la place de ma mère au foyer, étant l'aînée des filles. Mes petites sœurs n'ayant que six et trois ans à ce moment-là, c'était devenu mon rôle de les éduquer. Leur apprendre les bonnes manières, le port du hijab une fois l'adolescence atteinte, nos traditions, nos coutumes. Tout quoi. C'était tout comme si j'étais devenue mère à quinze ans. Je n'eut le choix de prendre en maturité et d'être moins naïve de la vie.

Le jour de mes vingt-six ans, je choisis de partir afin d'explorer le monde qui m'entourait, de découvrir de nouvelles choses. Le monde ne se résumait pas qu'à mon clan et les lieux que nous visitions. Avec l'accord du clan, je les quittais lors de notre visite annuelle d'Ishtar. De là, je partis au hasard vers l'ouest, en promettant à ma famille de continuer de suivre notre culture et de revenir les voir dès que je le pourrais. Je dû promettre également à père de me trouver un mari dans les deux années qui suivirent afin de respecter les lois du clan. Il manquait de mâle à ma génération, et je n'avais donc pas encore d'époux malgré mon âge.

Les montagnes à l'ouest d'Ishtar étaient fort jolis. J'aimais le contraste qu'il y avait entre mon désert natal et les endroits que je visitais. Mon premier arrêt fut la partie Est du Massif de Selunca. J'y appris le pacte séparant l'Ouest et l'Est et, ne voulant point rencontrer de vampire dans mon voyage, choisit judicieusement de ne pas m'y rendre. Après tout, il y avait amplement d'autres endroits visitables, le monde était vaste. Et puis, mes dons divinatoires ne fonctionnaient pas avec les morts-vivants, ayant déjà tenté le coup dans mon adolescence lors d'une séance avec un vampire. Rebroussant chemin après quelque temps, je pris un bateau depuis Ishtar et vogua vers l'Ouest. La vie en mer fut agréable. Mais je fut heureuse lorsque l'on me débarqua enfin aux abords de la forêt Sylvaën.

Une année durant, je poursuivis donc mon voyage, allant par mont et par vaux, en quête de savoir et d'expérience de vie. Le tout changea le soir du 9 septembre 809. Ce soir-là, je rencontrais celui qui deviendrait mon époux. En sortant d'une taverne où je logeais pour prendre l'air avant d'aller au lit, je trébuchais des marches et fut rattrapée in extremis par un lycanthrope à la chevelure blanche. Il se nommait Vlad Kavannagh. Après discussions et, comprenant que tous les deux nous devions nous marier rapidement, moi de par la promesse à mon père et lui car sa mère adoptive le poussait également dans cette voie, nous choissîmes d'un commun accord de former un couple. Deux jours plus tard, nous étions unis par le mariage. C'est d'ailleurs à ce moment que je commençait à moins porter mon hijab, celui-ci trouvant que c'était plus une sorte de prison pour moi.

Je poursuivis mon voyage avec Vlad, mais aussi les deux membres de sa famille qui le suivait, sa mère adoptive Nysali, une humaine très grande, frolant le 1.90m, aux cheveux bruns et longs et aux yeux verts tirant vers le brun, ainsi que sa petite sœur, Sélina, une lycanthrope de naissance elle aussi. Elle était petite et frêle. Autant je dépassais la petite d'une bonne demi-tête, autant Vlad me dépassait d'une tête.

Une chose en entrainant une autre, je tombais enceinte rapidement. Je mis au monde nos jumelles dans la nuit du 3 juin 810. La première, rousse comme sa mère, fut prénommée Jamila. La deuxième, toute aussi blanche que son père, fut nommée Loona.

*Note : Eyara étant basée sur mon personnage de GN actuel, elle mettra bas en jeu au GN de juin, elle est donc encore gestante rpment parlant.*

Eyara rêve de poursuivre ses voyages avec sa petite famille. Aimant apprendre, elle cherchera a accumuler le plus de connaissances possible dans sa vie. Elle ne cherche pas à devenir la haute dirigeante d'une quelconque faction ou une grande aventurière, elle veut simplement parcourir le monde avec sa famille et vivre ça vie, au gré des rencontres.