Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : Bouj14, ça vous ira?
Âge : 12 ans c'est trop vieux?
Classe/métier : 5ème
Hobbies/activités : Lire, jouer à des jeux vidéos sur Pc = constructif; Dùralasser = Not constructif.
Couleur préférée : C'est qui l'idiot qui à mis ça: Excelsior, bravo. Noir, parce que c'est quand même la plus classe.
Opinion sur le forum : Big merde, mais je suis déjà accro. *lève les mains sous la menace du pistolet à kick.
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Comment as-tu connu ce forum ? Vieux de la vieille.
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Ma mère n'était pas logique: elle m'a appelé Bladr; nom de merde.
Âge :
2 ans et demi!!! Un peu plus de quinze ans.
Sexe : Non.
Race : Stryge noir, Stryge blanc. Moitié moitié. Comme race je prendrais stryge blanc, mais dans le bg, je garderais ces deux races?(Les admins me diront si c'est pas possible, je corigerais.)
Classe envisagée :Excelsior me hait déjà, alors.
Ce qu'il aime : Dilon, l'humour à deux balles.
Ce qu'il n'aime pas : Mon nom, Excelsior, l'humour à deux balles d'Excelsior.
Situation amoureuse : Non, mais bon espérons que ce jeune puceau que je suis rencontrera quelqu'un.
Code du règlement : Abyssal, mais même si c'est pas ça, je rentre quand même dans le code.
Et du coup, tu ressembles à quoi?
On va dire que j'ai un physique plus qu'atypique. J'ai de longues ailes blanches tirant vers le gris. Mon visage blanc très pâle, presque d’albâtre est strié de deux marques de naissance en forme de larmes rouges sang, qui me donnent toujours l'air triste. Je ne suis pas très grand ( un mètre soixante quinze; gardons tout de même à l'esprit que je n'ai que quinze ans et pas encore terminé ma croissance). Cependant, mes cheveux blancs, portés assez longs me confèrent une certaine prestance. Il y a une certaine noblesse dans mon profil anguleux. Certains disent que j'ai le menton en galoche, mais ne le redisent plus très souvent après que je me soie occupé d'eux. Mes mains ont l'étrange pouvoir de faire de la lumière. Je n'ai encore jamais compris à quoi cela sert, mais bon; espérons que ce soit utile... Dans l'avenir. J'ai de grands yeux bleu qui, selon la lumière et mon humeur tendent vers le noir, contrastant beaucoup avec mon teint. J'ai un physique de ce que je suis: un bâtard, mi stryge blanc, mi-stryge noir. Je suis vêtu de cuir rouge sang, avec de fins liserés dorés. Mes jambes maigres sont revêtues du même cuir et terminées par des bottes proches du pied, agréables pour marcher des heures durant. Et avec un bout de fer pour donner de bon gros coups de pied dans certaines parties de l'adversaire. Ma démarche féline est empreinte d'une certaine grâce.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
Je vis d'instinct. Je pense d'instinct, je suis instinct; telle est ma devise. Lorsqu'il me dit saute dans ce gouffre, je saute. Et mon cœur à raison. S'il me dit: tu aimes cette femme, je t'assure, je suis certain que je l'aime. Je réfléchis peu, sauf quand mon instinct me dit: je ne sais pas. Auquel cas, je me pause, j'attends, jusqu'à ce que cet instinct recommence à me parler. Et je le suis, poussé par le vent des certitudes, le vent de ce que je crois juste. En effet, en suivant mon instinct, je donne de meilleurs résultats, même quand cette instinct est complètement stupide. Certains pensent que je suis fou, d'autres ne vont pas jusque là, mais s'en approchent. Pour ma part, je leur répondrait que le meilleur homme est celui qui n'a pas d'idéal sacrosaint mais se garde quand même bien d'emmerder ses voisins. Cependant, ils n'ont pas toujours tort...
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
Je suis une erreur, ou plutôt le fruit d'une erreur. Né de l'amour entre une jeune stryge blanche au bord du désespoir, et d'un immonde stryge noir assez âgé, marié et maître d'un domaine, noble et pervers. Lorsqu'elle lui annonça qu'elle attendait un enfant, il lui dit de revenir le jour après. Ma mère revint donc. Le jour après, mon père soutenait qu'il ne la connaissait plus. Je fus donc élevé par ma mère. Je crois que secrètement ma mère continuait à aimer mon père. Je grandis avec une haine pour mon père. D'autant plus que les brimades n'était pas faciles: Seul, sans père, n'étant ni stryge blanc ni stryge noir, débarquant dans une académie huppée, ma mère tenant à me donner une bonne éducation... C'était l'une des premières académies mixtes entre nains, blancs et noirs. Les trois camps se haïssaient farouchement. Et moi j'étais entre eux. Etant le souffre-douleur de tous les stryges un tant soit peu caïd, où au moins ayant des aspirations à le devenir, je dus m'endurcir, prenant des coups de partout. Les nains étaient un peu de meilleure compagnie, bien qu'eux aussi me considèrent comme une erreur, un problème, une chose. Et puis, cet été là, ma mère mourut, comme le papillon qui a une vie brève et magnifique et qui meurt, sans sentir les affres de la vieillesse. Je l'aimais. Le jour de sa mort, elle consentit à me donner une chose, une chose qu'elle ne m'avait jamais donnée: le nom de mon père: Magorian Bane. Je haïssais déjà ce nom. Je ne savais pas pourquoi, il me semblait que tuer mon père ferait revenir ma mère. Alors, je me mis en chasse. Il ne me fallut que deux semaines pour le retrouver. Il vivait dans un petit manoir de granit noir.Je rentrais jusqu'à ces appartements sans que personne ne dise rien. J'étais trop assuré et j'avais le visage trop haineux. Personne ne m'arrêta.
-Ah oui, pour le thé, posez le sur la table, Herma.-Je ne suis pas Herma! Il se retourna. Il dégageait une aura de puissance malsaine.
-Alors qui êtes vous?-Ton fils.-Je n'ai pas de... Ses yeux se perdirent dans le vague.
Toi?-Oui, moi. Je suis venu te tuer.Je ne reconnaissais pas cette voix pleine de haine. Elle ne me ressemblait pas. Ce ne pouvait pas être moi. C'était moi. Mon père sentit que je disais vrai. Il sortit une longue épée courbe, au tranchant cruel. Avec des gestes rodés par l'habitude, il sauta sur moi. Je me protégeais instinctivement de mes mains, quand tétanisé, de ces mains sortit une grande lumière blanche, inconnue de moi. Mon père s'arrêta net, l'air ébahi. Il n'était pas encore sorti de cet état lorsque, d'un uppercut au menton, je lui cassais une vertèbre.* Je m'enfuis en pleurant. J'avais tué un homme. Après la vengeance restait un grand vide. Je savais que je ne le comblerais jamais. Me mère ne reviendrait pas. Je le savais. Je m'enfuis, le cœur en peine, désespéré.
*
Mais... A-t-il un rêve?
J'avais un rêve, mais il s'est brisé, formant le terreau des rêves à venir.