RP Initiatique de @Rogue Strauss, et de @Theodred de Valdoré

Plaines d'Aràn, pas très loin de Sylfaën.

Rogue reprend la route, un bon repas dans le ventre et des cadeaux sur les épaules. Qui était ce mystérieux sauveur ? Aucune idée, et rien dans la masure dans laquelle le jeune homme s'est réveillé ne peut l'aider à le découvrir.
Il est toujours dans les Plaines d'Aràn. Il est toujours pas très loin de la grande forêt des elfes. C'était aussi le cas quand il s'était aventuré dans le petit bois magique et on ne peut plus dangereux. Mais cet endroit ne semble pas être dans les parages. C'est une bonne chose !

Pas très loin de sa position, un homme de deux fois son aîné, ou presque, reprendre l'aventure après une courte pause bien trop tranquille à son goût. Ayant déjà expérimenté ce mode de vie, il saura mettre à disposition son expérience et son talent. Mais le jeune Rogue acceptera-t-il de rester avec cet homme qui pourrait bien lui rappeler les affreux bonshommes avec qui il a connu des moments traumatisants ? Ça, nous allons le voir incessamment sous peu.
Que l'aventure commence !



Bonjour, et bienvenue dans votre RP initiatique. Ici, vous allez RP tout en découvrant quelques mécanismes de combat propres à Dùralas. Ne vous inquiétez pas, tout se passera à merveille !

Ce RP débute sur la rencontre de vos personnages respectifs. Vous avez le loisir de discuter et de faire connaissance. Mais attention, un danger guette et il ne tardera pas à vous attaquer.
Vous êtes libre de propulser son arrivée : un bruit dans les buissons, une brindille qui craque, je vous laisse maîtres de sa venue. Mais vous pouvez tout à fait l'ignorer et me laisser, plus tard, m'en occuper.

Vous allez poster chacun à votre tour à la suite de ce message. J'imagine que je n'ai pas besoin de vous dire quoi écrire et que vous allez vous en sortir. N'oubliez pas les 5 lignes requises, mais je ne pense pas avoir de souci à me faire.
Si vous éprouvez quelques problèmes, parlez du contexte ; ce qui vous amène ici. Ça peut rapidement déboucher sur un pan du passé qui vous permettra d'écrire un peu plus. Mais vous n'êtes pas obligés, bien évidemment.

Je vous souhaite belle rencontre !

PS : @Dilon Deraborne, Rogue n'a toujours pas eu ses récompenses du Dojo XD

Il s'était réveillé dans un vrai lit. Une vraie chambre. Un toit au-dessus de la tête. Des vêtements propres et des présents l'attendaient à son chevet. Fro, son chien, était encore assoupi, roulé en boule au bout de la couche. Était-ce... fini ? Cette chambre était-elle la sienne ? Sa sœur et ses parents étaient-ils là également ? Ce cauchemar en était-il vraiment un ? Rempli d'espoir, Rogue bondit hors du lit... et s'écroula sur le sol. Ses blessures soigneusement bandées lui rappelèrent la dure réalité. Non, ce n'était pas un rêve... Il avait juste survécu un jour de plus.

Il avait attendu toute la matinée que son sauveur revienne dans cette bâtisse qu'il avait quitté. Il avait peur de tomber sur un autre être malfaisant, mais il voulait au moins le remercier pour tout ce qu'il avait fait pour lui. Sa lance était toujours là, il était capable de marcher, Fro également semblait aller mieux. Alors que le soleil était à son pic, le jeune Strauss décida de reprendre la route.

C'était le retour à sa triste routine. Errant sans but dans les immenses plaines d'Aràn, cessant tout mouvement au moindre bruit suspect, le stryge blanc continuait à être hanté par sa paranoïa. Les hautes herbes des plaines lui permettaient de se dissimuler aisément, mais elles pouvaient aussi cacher un prédateur. Raaaah, pourquoi avait-il quitté le confort de cette bâtisse ? Il y avait sans doute de quoi manger non loin, pour que quelqu'un s'installe dans ce trou perdu. Maudissant sa stupidité, Rogue reprit sa route, toujours avec la même prudence.

Au loin, il aperçut une silhouette. Amie ou ennemie ? Le Strauss ne voulait même pas savoir. Immédiatement, il s'accroupit dans les hautes herbes et serra les mains sur sa lance...

Aller à l'aventure, entreprendre un long voyage en quête de découvertes et de mystères, quel merveilleux projet que celui-là. A la veille de son départ, l'ex-marchand avait rassemblé ses affaires avec tant d'enthousiasme qu'il n'avait pas vraiment réfléchi à ce qu'il mettait dans son sac. Et il était si excité par cette nouvelle vie qui s'offrait à lui qu'il n'avait pu fermer l'oeil de la nuit, rêvant éveillé des créatures qu'il pourrait croiser sur sa route.

Et le voilà quelques jours plus tard, marchant gaiement le long d'un chemin  menant vers l'ouest. D'un pas léger et sans escorte, le nobliau ne semble pas le moins du monde inquiété par les dangers qui caractérisent les aventures. Inconscience ? Assurance ? Imprudence ? Qui peut le dire ? Il est vrai que ce n'est pas son premier voyage mais il y a une grande différence entre suivre un aventurier émérite, et vagabonder seul sur les routes. A commencer par la préparation. Et cela, il l'a vite compris.

Que faire, où aller ? Marmonne-t-il sans ralentir le pas, balançant d'un geste souple et énergique la branche de noyer qu'il tient à la main droite. A l'est ? les nains sont parait-il de fabuleux artisans, j'y trouverais sans doute de bons ouvrages d'artisanat, et de bonnes armes. Mais c'est coûteux, et les quelques pièces que j'ai prises avec moi sont déjà peu, je n'aurai pas assez pour un tel voyage. Au sud ? J'aimerai bien voir la mer, je me demande si c'est aussi beau que le décrivent les livres. Mais, là aussi, c'est loin. J'ai été trop pressé, je me suis mal préparé. Je devrais commencer par acheter des vivres et un équipement pour le voyage. De bonnes bottes, et une seconde arme si possible. Mais pour cela, il me faut de l'argent. Je ne veux pas en demander à père, il faudra que je trouve un moyen d'en gagner. A la prochaine ville, peut être ?

Tout en marmonnant dans sa barbe l'aventurier passe à coté du lancier sans même lui prêter attention. Le stryge est certainement bien caché. Ou peut-être pas. Le voyageur s'arrête brusquement, et fait volte-face. Il observe distraitement les alentours, puis hausse les épaules.
J'ai dû rêver ! S'exclame-t-il, avant de reprendre son pas sautillant et ses murmures inaudibles.

La silhouette se rapproche dangereusement, et à chaque pas, le cœur de Rogue s'accélère. La panique l'envahit, et si cet individu était dangereux ? Oh, il l'est sûrement, qui dans le coin aurait une quelconque pitié pour cet orphelin errant ? Accroupi dans les hautes herbes, le Strauss tente de calmer sa respiration haletante. L'autre passe à côté de lui sans réagir. Durant cette seconde, le pauvre stryge blanc avait fermé les yeux et il avait attendu la délivrance. Il était si faible, si frêle, une simple attaque suffirait à le tuer. Mais il n'en fut rien.

Doucement, tout doucement, il tourna la tête en direction de cet inconnu qui ne l'avait pas vu. Était-il sauvé ? Allait-il s'en sortir, une fois encore ? Non ! L'autre se retournait brusquement ! Rogue, en se retournant, avait du faire du bruit. Un simple bruissement dans les hautes herbes était suspect lorsqu'il n'y avait pas de vent.

Pourtant, une nouvelle fois, rien ne suivit, l'inconnu ne l'avait pas vu...

WOUF !

Caché aux côtés de son maître, Fro venait d'aboyer bruyamment. Rogue pâlit instantanément. Il était mort. Plus moyen de se cacher maintenant que son chien avait trahi sa position. Alors, tremblant comme une feuille, il se redressa, et sortit de sa cachette. Les mains crispés sur sa lance, la lance de son père, il fit face à l'inconnu, et implora, avec quelques sanglots qui venaient étrangler sa voix :

Ne... ne me faites... pas de mal... pitié...

WOUF !

Le voyageur se tourne instantanément, intrigué par le bruit. Un chien ? Mais de quelle race ? Au son de l'aboiement, il s'agit sûrement d'une race moyenne. Mais où est-il caché ? Le curieux promeneur scrute les hautes herbes, mais alors qu'il s'attend à y débusquer le canidé c'est une toute autre créature qui en sort.

Ne... ne me faites... pas de mal... pitié... Balbutie une voix tremblotante.
Il s'agit là, visiblement, de ce que l'on appelle un stryge blanc, cette race au physique semblable aux humains si ce ne sont les ailes d'un blanc immaculé qu'ils ont dans le dos. Immaculé, pour la plupart d'entre eux. Car celui-là, à bien y regarder, ressemble plus à un simulacre de stryge, tant son état est pitoyable. Maigrelet, blanchâtre - encre que sur cet aspect l'humain n'est pas certain que ce ne soit pas naturel chez les stryges blancs - et crasseux, le jeunot n'a pas fière allure. Même ses ailes ont l'air fragiles. Quant à son attitude : sa voix chevrotante et son corps tremblant n'effraieraient même pas une bête mourante.

Le voyageur esquisse un sourire amusé dans sa barbe. A bien y penser, il avait peut-être ce même air pitoyable lorsqu'il avait quitté pour la première fois le confort de son manoir.
Hé ! Lance-t-il subitement en se mettant en garde, pointant sa baguette comme s'il s'agissait d'un fleuret.
Hé hé ! Lance-t-il à nouveau, tout en enchaînant deux mouvements d'escrime pour le menacer, sans pour autant pénétrer la zone d'efficacité de la lance.
Ha ! Lâche-t-il enfin, reprenant une posture bien moins menaçante.
Petit, c'est une belle lance que tu as là, quoiqu'un peu abîmée. Et si tu veux réellement t'en servir pour te défendre, il faut la tenir plus fermement, moins crispé. Oh, et la pitié, les bandits, il est rare qu'ils en aient. Si j'en étais un, c'est pas avec...
L'homme s'arrête brusquement en remarquant l'animal qui sort de sa cache. Un chien aux longues oreilles pendantes, traînantes même, au poil autrefois blanc et à l'aspect tout aussi miséreux que son maître. Ce doit être lui le responsable de l'aboiement.

Oh, pauvre chien ! Tu dois avoir faim, attends...
Faisant fi du lancier apeuré, mais pas sans se relâcher pour autant, l'aventurier se met à fouiller dans son sac. Après une rapide recherche il en sort un vieux morceau de pain qu'il jette devant le chien. Après un coup d'oeil vers le stryge il en sort aussi deux pommes, l'une qu'il lui tend (de la même main qui tient la branche), et l'autre qu'il croque.
Je m'appelle Theodred, et je n'ai aucun intérêt à m'en prendre à toi ni à ton chien, t'en fais pas. Allez petit, prends-la, les pommes c'est bon et ça redonne de l'énergie.

Terrifié, Rogue vit la personne devant lui agiter ce qui ressemblait à une branche. Mais cette branche semblait bien taillée, et capable de faire quelques dégâts, qui pourraient bien se révéler létaux sur le frêle corps du jeune stryge. Ce dernier recula d'un pas à chaque nouvelle passe d'arme, tout en pointant nerveusement la pointe de sa propre arme vers celui qui le menaçait. Finalement, ce dernier reprit une posture normale, et assura ses intentions pacifiques. Le Strauss peinait à le croire... pourquoi avait-il fait tout ces grigris alors ? L'autre commença à parler, mais il se figea à la vue de Fro. Il s'en approcha, et instinctivement, Rogue pointa sa lance d'une manière un poil plus convaincante, prenant en compte les conseils de l'inconnu face à lui.

Ne vous approchez pas de...

C'est alors qu'il se rendit compte que l'inconnu nourrissait son compagnon. C'était un beau geste, auquel succéda une nouvelle preuve de bonne intention. Il lui tendait une pomme. Une pomme ! Depuis combien de temps le Strauss n'avait-il pas mangé un fruit ? Certes, il s'était sustenté quelques heures plus tôt dans la cabane de l'inconnu, mais il ne pouvait ignorer le fait qu'il était mal nourri depuis des mois. Néanmoins, c'était avec une extrême prudence qu'il complétait les quelques mètres qui le séparait de celui qui se nommait Theodred. Après un moment d'hésitation, il finit enfin par se saisir de la pomme, qu'il croqua avec une crainte mêlée d'avidité.

M-Merci Monsieur Theodred... Balbutia-il. Je... Je m'appelle Rogue...

Le stryge demeurait méfiant. Malgré ses airs de gentil, il était possible que tout ne soit qu'un piège visant à l'amadouer. Le Strauss avait beau scruter les alentours, il ne voyait aucun signe de bandits, ni rien de menaçant. Mais il avait souvent appris à ses dépens qu'en Dùralas, cette sensation de sécurité n'était qu'illusoire, et qu'une situation à première vue sans danger pouvait virer au drame en un battement de cil.

Le lancier hésite un moment - quoi de plus normal que de se méfier lorsqu'un inconnu vous offre de la nourriture - avant d'accepter la pomme, qu'il dévore goulûment. Rien de surprenant à cela : Le pauvre maigrelet ne doit pas en obtenir souvent de ces fruits, et encore moins d'aussi juteux. C'est que l'ex-marchand ne s'est pas moquée de lui, en la lui offrant. L'une des meilleurs pommes de la région, l'une des dernières qu'il lui restait aussi.
Il va falloir que j'en reprenne au prochain village... Marmonne-t-il pour lui-même, en refermant son sac.
Car il est vrai que ses vivres s'amenuisent, et s'il ne fait pas attention il n'est nulle doute qu'il se retrouve rapidement dans le même état que ce frêle stryge.

Bah ! S'exclamme-t-il soudainement en se tournant vers l'homme ailé, lequel pointe toujours sa lance.
Hé, tu veux pas la baisser, ta lance ? Tu pourrais blesser quelqu'un. Lui dit-il sur un ton enjoué, avant de lâcher un soupir. Aaah, fais donc comme tu veux. Viens-t'en, y'a village pas loin. Vous y trouverez peut-être de quoi manger, pour toi et ce chien.
Accompagnant ses paroles, le voyageur se tourne à nouveau dans la direction prise par le chemin. Après avoir terminé sa pomme et jeté le trognon dans les hautes herbes, il reprend sa marche tout en fredonnant sur un air jovial, sans attendre de réponse du jeune stryge. Après tout, c'est à lui de décider de sa survie.

Et tandis que ces deux-là mangent leurs pommes, le danger rôde, se cache, menace. De féroces bêtes ou de crapuleux malandrins ? Qui sait ce qui se cache dans les fourrés, où à l'arrière d'un tronc d'arbre. Si cette fois ce n'étaient qu'un frêle stryge blanc et son chien, la prochaine rencontre pourrait être moins amusante.

Combat 1 ~ Ordre du combat et Rapidité (bonus)


Tapies dans l'ombre, les créatures de l'ombre observent leur repas. L'un d'eux risque d'être un peu difficile à croquer, mais le deuxième, tout jeune, tout tendre, sera parfait. Cela faisait bien longtemps que ces Tapisseurs n'avaient pas eu de jeune homme à dévorer. Ils n'osent pas s'aventurer dans ces lieux d'habitude, tout comme les jeunes enfants en fait. Mais là, c'était un coup du destin.
Comptant sur leurs capacités extraordinaires de dissimulation, les Tapisseurs s'approchent tout doucement de leurs cibles. Elles ne se trouvent qu'à quelques mètres d'eux quand elles attaquent. Ils n'eurent pas le temps de réagir et les voilà aux prises avec leurs crocs et leurs griffes.

Cependant, ces monstruosités à la peau sombre et aux yeux verdâtres ne sont pas le seul danger. Au moment de leur assaut, le sol tremble pour faire sortir une sorte de scarabée à deux queues. Un dévoreur de chitine. Ces insectes géants à la carapace chitineuse se nourrissent des restes d'animaux et humains. Mais il leur faut souvent attaquer leur proie s'ils veulent pouvoir en prendre un bout.




L'équipe des ennemis commence le combat

Vitesse des joueurs : 191

Joueurs :

Rogue Strauss : 200 (J'ai compté les bonus que Dilon n'a pas encore modifiés ^^)
Vitesse : 110
Dégâts : 76 (idem)
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévorreur.
Esprit alerte : Annule les dégâts de l'ennemi le plus faible. (Utilisé contre Tapisseur A)

Theodred de Valdoré : 150
Vitesse : 81
Dégâts : 42
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévorreur.


Ennemis :

Vitesse cumulée des ennemis : 450

Tapisseur A : 80
Vitesse : 220
Dégâts : 0 (Annulés par la règle de Rogue)

Tapisseur B : 80
Vitesse : 220
Dégâts : 15

Dévoreur de chitine : 250
Vitesse : 10
Dégâts : 40

Les Tapisseurs attaquent chacun Theodred à 15 en tout.
Le dévoreur attaque Rogue à 40.

Apparence Tapisseurs:

Apparence dévoreur:

Vous voici en situation de combat. L'équipe ayant la vitesse la plus élevée tape en premier lors du tour. C'est pour cette raison que vous venez d'être attaqués dès le début du combat.

Comment cela va se passer ?
Votre but est, bien évidemment, de vous défaire de vos ennemis. Vous allez le faire à l'aide de dés. Ces dés sont lancés juste après que vous postiez votre réponse (ce n'est pas possible avec la réponse rapide).
→ Lors de l'écriture de votre réponse (encadré "Poster une réponse"), vous pourrez choisir de lancer des dés via l'encadré "Actions". Là, vous avez une liste grâce à laquelle vous pouvez choisir le type de dé à lancer. Habituellement, on lance le dé de race (le dé "humain" pour Théodred et donc "stryge blanc" pour Rogue). Certaines classes ont le droit à leur propre dé, mais ça ne nous concerne pas.
→ Une fois le type de dé choisi, vous ajustez le nombre de lancés. Vous n'êtes autorisés à ne faire qu'une seule attaque à moins que votre vitesse soit 3x supérieure à la vitesse d'un ennemi (ce qui est votre cas face au dévoreur). Vous laisserez le 1 dans la case, ou vous mettrez 2 si vous êtes autorisés à lancer 2 dés.
→ Indiquez en fin de message entre crochets quel ennemi vous attaquez : [Attaque Dévoreur]
→ Certains joueurs après leur(s) lancé(s) éditent leur message afin d'écrire la conséquence de leur attaque. Personnellement, je n'en vois pas l'intérêt et je préfère le décrire le tour suivant. Mais vous êtes libres de faire comme vous voulez.

Note : Vous pouvez dissocier vos dés si vous attaquez un ennemi contre lequel vous avez le bonus "Rapidité". C'est-à-dire que vous pouvez, contre le dévoreur, décider qu'un des dés est pour le Dévoreur A et que l'autre pour le Dévoreur B. Il vous suffit de préciser entre crochets votre attaque : [Dévoreur A et Dévoreur B]. Bon, ce n'est pas le cas pour nous, mais je le précise !
Vous pouvez aussi faire deux actions d'attaque (vos dés) au lieu de faire deux lancés pour une seule action (il y a un petit + à côté de la case pour ajouter une action). Vous n'êtes pas obligés de le faire ; les deux résultats seront séparés au lieu d'être collés. Vous faites comme vous voulez, mais attention à bien choisir votre dé de race.

N'oubliez pas que vous venez d'être attaqués ; vous pouvez décrire dans votre message ce qu'il vient de se passer.

Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter bonne chance.
Ne vous inquiétez pas pour vos blessures après le combat : je vous soignerai

La pomme est délicieuse, et je la termine en quelques bouchées seulement. En d'autres circonstances, sans doute l'aurais-je conservé pour plus tard, mais livré à moi-même comme je le suis, je ne sais pas quand aura lieu mon prochain vrai repas, alors je préfère ne pas gâcher. Toutefois, je garde un œil et la pointe de ma lance sur cet inconnu. Je le sais, je ne peux faire confiance à personne, même s'il est gentil au premier abord. Certains malandrins n'hésitent pas à sacrifier un simple fruit si le résultat en vaut la peine à leurs yeux.

Finalement, à sa demande, je baisse mon arme. Bien mal m'en pris, car nous fûmes aussitôt attaqués par des Tapisseurs. C'était étrange, il s'agissait du genre de créature qui n'osait pas trop s'attaquer aux autres d'ordinaire. Bien que ça ne m'empêchait pas de prendre mes jambes à mon cou dès que j'en apercevais un. Toutefois, je ne bougeais pas. Mieux, avant que leur attaque n'aboutisse, j'eus le temps de crier à Theodred :

Attention !

Seul l'un des tapisseurs trouva la cible. Malheureusement, le vacarme soudain réveilla une bête bien plus effrayante : un dévoreur. Mes jambes se mirent à trembler, mes doigts se crispèrent à nouveau sur ma lance, tandis que Fro allait se cacher dans les hautes herbes. Je vais fuir, encore une fois. Je n'ai pas le choix, je ne suis pas de taille...

Un étau se referme autour de ma cheville alors que je pousse un hurlement de peur. Sans réfléchir, je pointe ma lance vers le bas et donne deux coups qui semblent miraculeusement toucher leurs cibles. Ainsi libéré, je commence à m'éloigner à reculons.

[Double-attaque sur le dévoreur. On remarque que j'ai d'abord lancé mes dés avant d'éditer le message. Il y a deux écoles, ceux qui font comme moi et ceux qui rédigent leurs messages, puis tirent leurs dés, et en décrivent le résultat au post suivant. Aucune n'est meilleure que l'autre, aucune n'est obligatoire, c'est comme tu le sens ]

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'Attaque - Stryge B' :

Attention !
Le voyageur était-il imprudent, lui qui pourtant n'est pas ignorant des dangers de la campagne ? Son comportement l'a jusqu'ici laissé penser, et pourtant il a été assez réactif pour éviter, d'un bond en arrière, la morsure du premier tapisseur surgi d'on ne sait quelle cache. Le second, par contre, est parvenu à entailler l'homme jovial de ses griffes.
Mpff ! Lâche-t-il dans sa barbe en l'éloignant d'un geste vif de la main, avant que la bête n'aie pu faire plus de dégât.
Et sans même dégainer, l'aventurier se met en garde. Un  bref coup d'oeil autour lui permet de faire un rapide état de la situation : Alors que lui-même est aux prises avec deux sombres bêtes, le jeune stryge est occupé par un gros insecte plus effrayant que dangereux.

C'est bien petit ! Encourage-t-il, l'ayant vu planter sa lance dans la carapace de l'insecte malgré sa peur évidente. Au moins, se dit-il, cette arme n'est pas que dissuasive.
Allez, ne te laisses pas avoir par la peur. Soit plus... Ha !
L'un des deux tapisseurs vient de se jeter sur lui, mais le maître d'armes riposte aussitôt. D'un mouvement souple et vif de sa branche il fouette la bête, visant précisément un point sensible de sa tête. Pas de quoi le tuer, mais au moins le mettre en respect.
Moins rigide, petit ! Termine-t-il, comme si son propre combat n'est qu'un jeu.

[Attaque (fouet) sur Tapisseur B]

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'Attaque - Humain' :

Combat 1 ~ Ordre du combat et Rapidité (bonus)





L'équipe des ennemis commence le tour.

Vitesse des joueurs : 191

Joueurs :

Rogue Strauss : 160 (J'ai compté les bonus que Dilon n'a pas encore modifiés ^^)
Vitesse : 110
Dégâts : 76 (idem)
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévoreur.
Esprit alerte : Annule les dégâts de l'ennemi le plus faible. (Utilisé contre Tapisseur A)

Theodred de Valdoré : 135
Vitesse : 81
Dégâts : 42
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévoreur.


Ennemis :

Vitesse cumulée des ennemis : 450

Tapisseur A : 80
Vitesse : 220
Dégâts : 0 (Annulés par la règle de Rogue)

Tapisseur B : 38
Vitesse : 220
Dégâts : 15

Dévoreur de chitine : 98
Vitesse : 10
Dégâts : 40

Les Tapisseurs attaquent chacun Theodred à 15 en tout.
Le dévoreur attaque Rogue à 40.

Apparence Tapisseurs:

Apparence dévoreur:

Il sentit que sa lance avait fait des dégâts. Il sentir également une lacération au niveau de son mollet. À partir de cet instant, son esprit ne pensait plus qu'à un seul mot : Fuir.

Rogue ne perçut les instructions de Theodred que comme un lointain murmure. Il n'était pas de taille pour ce combat. S'il restait, il allait mourir. Ses ennemis étaient plus nombreux. Et dans ce monde injuste, toute leurs vaillance ne suffiraient pas à triompher. Ils allaient mourir...

L'humain semblait pourtant à l'aise, et s'il avait été plus lucide, peut-être que le Strauss aurait vu que la victoire était possible. Mais il avait trop peur. Fro était resté en retrait, et il pouvait à tout moment se faire attaquer par d'autres tapisseurs, voire pire.

Désolé... murmura le jeune stryge blanc.

Sans tourner le dos à l'action, il s'en éloigna progressivement jusqu'à se dissimuler à nouveau dans les hautes herbes. Là, il ne tarda pas à retrouver son fidèle Fro, et à se blottir contre lui en espérant que ce ne soit pas la dernière fois.

[J'ai oublié de lancer le deuxième dé et j'ai fait un EC. Dans le jargon, on appelle ça un fail]

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'Attaque - Stryge B' :

Le tapisseur touché par l'homme à la branche n'a vraisemblablement pas aimé ce coup, à en juger par le féroce grognement qui en suivit. Pour l'humain c'est un bon signe, cela signifie qu'il a fait mouche. Mais c'est aussi mauvais dans le où la bête se montrera plus virulente encore, bien que cela ne fasse pas grande différence. Il ne faut pas pour autant en oublier l'autre carnassier, que d'un mouvement alerte le combattant esquive. Et si une fois encore il s'est fait toucher par le tapisseur grognard, au moins il a pu se protéger de son bras.
Rah ! Echappe-t-il en se dégageant d'un coup de poing.
Et profitant d'avoir écrasé au sol son bestial adversaire il enchaîne d'un puissant coup de branche dans le coin de gueule, proche de l'oeil.

Alors qu'il s'éloigne promptement de ses deux cibles d'un mouvement circulaire, un détail l'inquiète. Un rapide coup d'oeil du coté du jeune lancier confirme ce qu'il a cru entrevoir, ou plutôt ne pas voir : Le stryge a disparu.
Gamin... Soupire-t-il dans sa barbe.
Il n'en est pas pour autant étonné, il sentait bien à son air apeuré que cela pouvait arrivé. Mais il avait espéré que son air détendu aurait insufflé assez de cran au jeunot pour que ce dernier tienne jusqu'au bout. C'était sans doute trop lui en demander.

Mais peut-être que Rogue n'a pas fuit, peut-être est-il seulement caché quelque part, à coté.
Eh ! T'es encore là petit ? Demande-t-il bruyamment, refaisant un rapide état de la situation.
La bête qu'il a fouetté est au sol, mais il ignore encore si son coup a été efficace. L'autre tapisseur le menace, mais en restant alerte il pourra certainement le gérer encore un peu. Il reste alors l'énorme insecte qui semble chercher sa proie perdue. Le "jeu" sera serré, mais le barbu au fouet est prêt à miser sur son instinct.

Tout en se repositionnant de manière à avoir les trois bestioles dans un même champ de vision, Theodred se baisse. Tâtant le sol pour ne pas les perdre de vue il ramasse une pierre qu'il lance sur le dévoreur, puis réitère avec un deuxième projectile afin d'attirer son attention.
Ecoutes petit... Ah, Rogue ! Je vais les occuper. Si t'es à portée prends ta lance et plantes la dès que possible dans ces bestioles, puis caches-toi à nouveau. Tu risques rien et ton chien non plus.
Les instructions sont simples et clairement audible, le maître d'armes espère ainsi donner confiance au jeune lancier. Lui-même ne montre d'ailleurs aucune crainte. Dans le même temps sa concentration se renforce et sa main libre s'approche du pommeau de son épée, ce pendant qu'un sourire d'amusement se dessine sur ses lèvres.
Jouons ensemble. Chuchote-t-il sous sa barbe.

[Attaque (fouet) sur Tapisseur B]
[Provocation (jet de pierre) sur Dévoreur de chitine]

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'Attaque - Humain' :

Combat 1 ~ Ordre du combat et Rapidité (bonus)





L'équipe des ennemis commence le tour.

Vitesse des joueurs : 191

Joueurs :

Rogue Strauss : 120 (J'ai compté les bonus que Dilon n'a pas encore modifiés ^^)
Vitesse : 110
Dégâts : 76 (idem)
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévoreur.
Esprit alerte : Annule les dégâts de l'ennemi le plus faible. (Utilisé contre Tapisseur A)

Theodred de Valdoré : 120
Vitesse : 81
Dégâts : 42
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévoreur.


Ennemis :

Vitesse cumulée des ennemis : 230

Tapisseur A : 80
Vitesse : 220
Dégâts : 0 (Annulés par la règle de Rogue)

Tapisseur B : 0
Vitesse : 220
Dégâts : 15

Dévoreur de chitine : 98
Vitesse : 10
Dégâts : 40

Le Tapisseur A attaque Theodred mais n'inflige aucun dégât.
Le dévoreur attaque Theodred à 40.

Apparence Tapisseurs:

Apparence dévoreur:

Il avait fuit, comme un lâche. Mais était-ce vraiment considéré comme lâche de fuir une mort certaine ? Pouvait-on vraiment le traiter de lâche, lui qui voulait seulement vivre un jour de plus ? Caché dans les hautes herbes, tête basse, blotti contre Fro, Rogue attendait anxieusement que tout cela soit fini. Il espérait que les monstres, en surnombre face à Theodred, l'oublierait une fois qu'ils en auraient fini du pauvre homme. Mais rien ne se passa comme prévu. L'humain face à lui venait de terrasser l'un des deux tapisseurs. Si le Strauss rejoignait le combat, ce serait du deux contre deux ! Et si... et si ils avaient une chance, finalement ? Non... il restait le dévoreur, plus gros, plus fort... comment le vaincre ?

C'est alors que la voix de Theodred parvint aux oreilles du stryge blanc. Pour une raison qu'il ne comprenait pas, l'assurance de l'humain était communicative, et une petite partie de la peur de Rogue disparut. Toujours craintif, il se redressa légèrement, avisant la situation comme il le pouvait. L'humain avait attiré l'attention du dévoreur, tout en continuant de se défendre admirablement contre le second Tapisseur. Le stryge blanc, dans le dos de leur plus gros ennemi, avait tout le temps d'ajuster une attaque.

Son cœur battait la chamade, mais le Strauss parvint à contrôler le bruit de ses pas, à rester discret. Il ne voulait surtout pas attirer à nouveau l'attention des monstres sur lui. Parvenu à distance d'attaque, il frappa de toutes ses forces. La lance s'enfonça profondément dans la chair du dévoreur qui poussa un hurlement strident. Il n'était toujours pas mort ! Il pouvait se retourner et attaquer à tout moment ! Le stryge blanc lâcha un cri de panique, retira précipitamment sa lance, avant de la replanter ailleurs une seconde fois. Cette fois, le cri du dévoreur fut le dernier son émanant de la bête, qui expira son dernier souffle, tout en répandant son sang sur la terre meuble.

À la fois horrifié et soulagé, Rogue recula de plusieurs pas, manquant de défaillir. Pourtant, ce furent des mots d'espoir qui sortirent de sa bouche :

On... On peut gagner...

Il avait parlé d'un ton incrédule. Mais le fait était là : le tapisseur restant n'avait toujours pas réussi la moindre attaque, et ils étaient désormais à deux contre un !

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'Attaque - Stryge B' :

Le tapisseur à plusieurs reprises touché ne se relève pas, bien qu'il semble toujours respirer. Avec un peu de chance le dernier coup l'a rendu inconscient. Le second carnassier quand à lui ne semble pas avoir abandonné, et ce malgré ses nombreux échecs. Il saute à nouveau sur sa proie, et cette fois le combattant évite la bête d'un mouvement de coté tout en déviant sa patte griffue avec son bras.
Ce que c'est moche, comme b... Ach !
Sans doute l'homme à la branche s'est il un peu trop laissé distraire car il a senti une piqûre au mollet. En effet, l'hideux insecte a eu le temps de s'approcher et de lui planter une griffe. La réaction de l'aventurier est cependant vive : il se dégage aussitôt et ajoute un peu de distance, évitant ainsi une blessure plus grave que la simple égratignure.

C'est alors que le stryge, qui finalement ne s'était pas enfui bien loin, réapparaît. Sortant de sa cache d'herbes hautes, tel une souris apeurée sortant de son trou, il s'approche du dévoreur. Sans perdre de vue le tapisseur, l'humain tape du pied au sol pour s'assurer que les deux bestioles ne s'intéressent qu'à lui. Alors le jeune lancier, dont la crainte d'être blessé s'est apparemment estompée, plante sa lance dans la carapace du dévoreur. Deux coups successifs qui, à défaut d'être conventionnels et précis, s'avèrent efficaces. Et tandis que la bestiole s'éteint dans un râle de douleur le maître d'armes se tourne vers le dernier de leurs assaillants.

Ah ! Bien joué ! Plus qu'un ! s'exclame-t-il en se rapprochant de la bête.
Cette dernière, indifférente au sort de son congénère étalé plus loin, charge à nouveau. Cette fois, c'est d'un grand coup de pied dans le flanc que le barbu l'envoie s'écraser un peu plus loin.
Graaah ! Grogne subitement l'humain face à l'animal, dans le but probable de garder son attention.
A présent qu'il est pris en désavantage entre le stryge d'un coté, et l'humain de l'autre, le sort tapisseur semble sellé.

[Attaque (coup de pied) sur Tapisseur A]
[Provocation (grognement) sur Tapisseur A]

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'Attaque - Humain' :

Combat 1 ~ Ordre du combat et Rapidité (bonus)





L'équipe des ennemis commence le tour.

Vitesse des joueurs : 191

Joueurs :

Rogue Strauss : 120 (J'ai compté les bonus que Dilon n'a pas encore modifiés ^^)
Vitesse : 110
Dégâts : 76 (idem)
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévoreur.
Esprit alerte : Annule les dégâts de l'ennemi le plus faible. (Utilisé contre Tapisseur A)

Theodred de Valdoré : 80
Vitesse : 81
Dégâts : 42
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre le dévoreur.


Ennemis :

Vitesse cumulée des ennemis : 220

Tapisseur A : 38
Vitesse : 220
Dégâts : 0 (Annulés par la règle de Rogue)

Tapisseur B : 0
Vitesse : 220
Dégâts : 15

Dévoreur de chitine : 0
Vitesse : 10
Dégâts : 40

Le Tapisseur A attaque Theodred mais n'inflige aucun dégât.

Apparence Tapisseurs:

Apparence dévoreur:

EDIT : 100e Tribunnerie \o/

Apeuré, Rogue l'était de moins en moins. D'une situation qu'il jugeait désespéré, les choses avaient évoluées en leur faveur. D'un trois contre deux, ils étaient passé à deux contre un. L'horrible dévoreur était terrassé. L'un des tapisseurs avait mordu la poussière. Le second ennemi était blessé.

On va... gagner...

Il répétait inlassablement ces trois mots, comme pour se donner du courage. Il avait besoin de se raccrocher à cette lueur d'espoir. Il avait besoin d'y croire. Il avait besoin de ça pour s'accrocher à sa volonté la plus primaire. Cette volonté de vivre un jour de plus. Cette volonté qui lui avait permis de survivre à l'attaque de son village. Cette volonté qui lui avait permis de sortir vivant de Boisecoeur. Il y avait des jours où il questionnait les raisons de cette volonté. Pourquoi, alors qu'il n'avait plus rien et qu'il n'aurait jamais quoi que ce soit, pourquoi voulait-il tant vivre ? Pour l'heure, cette question demeurait sans réponse, et seul importait l'objectif imminent : se débarrasser de cet ultime tapisseurs.

Saisissant promptement sa lance, encore plantée dans la carcasse du dévoreur, le jeune Strauss s'approcha de Theodred, et vint se flanquer contre lui. Il tremblait encore un peu, mais s'efforçait d'afficher la mine la plus déterminée possible. Profitant de l'allonge que lui donnait l'arme de son défunt père, il tendit le bras au maximum, dans une attaque frontale sur leur ennemi. L'assaut, bien que manquant encore d'expertise, d'assurance et de force, fut tout de même suffisant pour terrasser une bonne fois pour toute la bête qui venait les troubler. Dans un ultime cri, cette dernière s'écroula.

De son côté, Rogue dut prendre appui sur sa lance pour ne pas défaillir également. La vue de ces trois corps morts lui donnait la nausée. Alors qu'il n'avait pas fourni un effort physique majeur, le jeune stryge était en nage, haletant.

C'est fini... C'est fini...

Ils avaient gagnés. Les jambes toujours flageolantes, Rogue tourna la tête vers Theodred. Mais aucun son ne sortit de sa bouche.

[Attaque Tapisseur A, fin du combat]

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'Attaque - Stryge B' :