Sujet: 3ème quête de la série « Initiation djöllfuline » - Domestiquer l’opiniâtre bête de selle [PW Greil] Mar 12 Mai 2020 - 12:08
3ème quête de la série « Initiation djöllfuline »
Domestiquer l’opiniâtre bête de selle
Au rythme des tambours
Les Duergars sont des chevaux originaires du pays des djöllfulin. Plutôt revêche et provocateur, ils ne sont pas sans rappeler les nobles Aràniens à l'ancien général. Cette bête est plus puissante et farouche que les chevaux dùralassiens habituels ce qui les rend encore plus proches des Araniens du Nord de Duralàs. L'ancien général, avec le jeune Arthur, avait dû dresser plusieurs Araniens quasiment à l'état sauvage ces derniers mois, aussi celui-ci sourie en voyant le défi qui lui était proposer par ses hôtes Djöllfulins. L'aventurier devait dresser un Duergar grâces aux conseils avisé de Dara, leur experte. L'expérience passé du général devrait jouer en sa faveur dans cette aventure et Greil savait que ce genre de noble destrier devaient se manier avec douceur et qu'une grande confiance devait être instaurée. D'autant plus qu'on lui avait confié que les Duergars étaient intimement liés aux djöllfulins et ne se laisseraient pas dompter aussi facilement.
On avait également précisé à l'ancien général que, seul, le Duergar se laisse facilement prendre par ses émotions et devient agressif en cas de comportement belliqueux à son encontre. Une information utile indiquant que les doutes de Greil étaient juste, il ne fallait pas que l'ancien général et le Duergar entrent dans une relation de domination, mais bien dans celle d'une certaine complicitée. Cependant l'ancien général n'avait pas encore percuté l'importance du "se laisse facilement prendre par ses émotions " pour le moment. Ce fut lorsqu'il partit rejoindre la Djöllfulin appelée Dara que l'ancien général commençait alors à comprendre.
Approchant à peine du pavillon ou devait se trouver les Duergars, mais également de la jeune Dara, notre aventurier pouvait entendre au loin des bruits sourd mais curieusement mélodieux. Des percussions étaient jouées au sein de ce pavillon et elles étaient jouée avec brio et émotions. Écoutant désormais plus les sons envoutant des percussions que les indications qui lui avaient été données, Greil entrait dans le pavillon, cherchant l'auteur de cette musique. À sa grande surprise, ce fut une jeune femme Djöllfulin à la peau oscillant entre le blanc pur comme la neige et les reflets bleuté des océans nordique qui semblait être l'auteur de la mélodie de tambours, assise seule au milieu de son écurie. Se levant et regardant d'un air curieux dans ses yeux rouges l'impromptu lui ayant interrompu sa musique, la jeune femme attendait que celui-ci prenne la parole pour lui expliquer son interruption.
Greil : Bonjour. Désolé de t'avoir interrompu dans ta belle mélodie. Je m'appelle Greil et tu dois certainement être Dara, la protectrice des Duergars. On m'a proposé de venir ici pour comprendre et tenter de chevaucher un Duergar, avec l'aide de tes précieux conseils, si tu le veux bien.
La jeune femme correspondait en tout point à la description physique qui avait été donné à Greil, concernant Dara. Mais en plus, sa posture et sa stature semblaient indiquer que la jeune femme est également une djöllfuline timide et réservée. Son mutisme et ses gestes après l'allocution de l'ancien général indiquaient également qu'elle n'aime pas trop s'exprimer de vive voix et préfère nettement se faire comprendre via ses gestes ou sa musique. En effet, celle-ci n'avait pas répondu de vive-voix, mais avec une certaine gestuelle. S'asseyant de nouveau derrière les tambours, la jeune femme montrait de la pointe de sa baguette ce que l'ancien général reconnaissait comme étant un grand de longe. Une fois, l'humain en place au centre de ce rond de longe et un lasso d'excellente facture, véritable lien incassable, entre les mains, la Djöllfulin lui souris légèrement et commença à rejouer du tambour.
Les percussions étaient fortes et régulières, le rythme rapide et colérique. Nous étions à mille lieux de la douce musique de percussions que notre homme entendait en arrivant. Nous avions la une mélodie en colère, une musique agressive. La prestance et le charisme de la Djöllfulin n'étaient plus les mêmes que lorsqu'elle l'avait salué. Nettement amplifiée, la jeune femme jouant derrière ses tambours avait maintenant un fort charisme particulièrement dominant. Cependant, Greil dut quitter du regard ce spectacle enchanteur bien rapidement à cause d'un bruit derrière lui. Un duergar toisait notre homme au milieu de son rond de longe, et cela, d'un air particulièrement énervé. L'animal frappait du sabot et grattait énergiquement le sol, indiquant qu'il n'allait pas tarder à charger le maître d'arme armé en tout et pour tout d'un lasso de capture de bonne facture. Greil se tenait en position, prêt à esquiver l'animal en colère et ne voulant pas se faire embrocher par ses nombreuses cornes. La Djöllfulin musicienne prit la parole de sa petite voix et indiquait, avec humour, la suite de l'épreuve que notre homme pensait un peu moins difficile.
Dara: Voici donc une bien opiniâtre bête de selle. Ce Duergar est très en colère, Greil. Il va te falloir le maîtriser et le calmer avant de pouvoir l'habituer à ta présence. Attention à tes gestes, tu n'as pas intérêt à le blesser.
Tandis que les bruits énervés des tambours reprenaient, l'animal chargeait l'ancien général sur le même rythme que la musicienne ne laissant à Greil que peu de choix sur la suite des événements.
Duergar : 900 Vitesse : 1150 Dégâts : 250 Bonus : harge : Au premier tour, le duergar charge et inflige 320 de dégâts. Butin : Peut être capturé pour en faire une monture (Statistiques de la monture ( Vitalité 300 ; Vitesse : 350 ; Dégâts : 50 ) via la quête 3 de l’Initiation djöllfuline
Sujet: Re: 3ème quête de la série « Initiation djöllfuline » - Domestiquer l’opiniâtre bête de selle [PW Greil] Lun 18 Mai 2020 - 2:27
3ème quête de la série « Initiation djöllfuline »
Domestiquer l’opiniâtre bête de selle
Au rythme des tambours
L'animal, opiniâtre bête de selle particulièrement énervée qu'est ce Duergar, avait chargé l'ancien général qui l'attendait de pied ferme et avec son lasso bien en mains. Cependant, les choses ne s'étaient pas passée aussi bien que Greil l'espérait et, à défaut d'un coup de tête encornée, c'était un solide coup de flanc que notre homme avait du encaisser. L'idée de l'ancien général avait porté ses fruits cependant. Le lasso, puissant lien incassable qu'il en est, était autour du cou du Duergar et Greil en tenait fermement la bride.
L'animal se débattait comme un beau diable, encouragé par les percussions de Dara, la Djollfulin veillant sur ces animaux. Il ne fallut pas longtemps à Greil pour trouver le lien de cause à effet entre les percussions violentes de la musicienne et le comportement violent de l'animal. Est-ce que la musique dictait le comportement du Duergar ou est-ce que Dara ne fait que retranscrire l'état d'esprit de l'animal au travers de ses percussions ? Greil n'en avait pas le cœur net, mais en tout cas, cette musique serait un excellent indicateur de sa progression.
L'homme tenait fermement le lien le reliant à l'animal et, tandis que les percussions se faisaient de plus en plus puissantes, Greil resserrait le lien entre lui et le Duergar. Entravant ses mouvements et forçant l'animal à venir se rapprocher de lui, Greil avait pour but de le saisir à l'encolure et le plaquer au sol avec lui et de l'y retenir jusqu'à ce qu'il soit calmé. Les bruits de tambours s'intensifiaient dans la procédure, indiquant doucement un changement d'émotion chez l'animal. Les tambours puissants et colériques laissaient place à des tambours rapides et montrant un certain stress, une panique dans l'esprit de l'animal entravé pouvant de moins en moins bouger.
Une fois saisi par son encolure, l'équidé se débattit au rythme mitigé de deux tambours tapants la colère et la crainte dans le même ton et la même mélodie. Ce fut donc un combat de l'homme contre l'animal qui s'en suivit. Spectaculaire et sauvage, le Duergar essayait de se débarrasser de l'humain l'entravant. Cependant, cette tentative fut vaine et Greil réussit à plaquer l'équidé sur le sol. L'obligeant à rester allongé en usant de tout son poids, l'ancien général tenait également de sa main la plus forte la bride au plus court, empêchant l'animal de relever sa tête et de tenter un coup de corne qui pourrait être fatal. Il ne restait qu'à attendre que l'animal se calme et pour cela, il fallait que notre homme écoute les bruits des tambours.
Greil n'eu d'autre choix que d'utiliser son pouvoir inné : "Impact". Essayant d'influencer les émotions de l'animal, notre homme essayait de lui retirer sa peur et lui ajouter un peu de béatitude, de bien-être dans son esprit. écoutant toujours les tambours pour voir si sa magie avait fait effet, notre homme pu entendre que ceux de la colère s'arrêtèrent bien vite, mais ceux de la peur ne semblaient pas vouloir s'arrêter. Si l'animal a peur, il restera dangereux et impossible d'espérer obtenir de la confiance de sa part. De sa main libre, Greil caressa l'encolure du Duergar tout en lui parlant doucement, essayant de le rassurer jusqu'à ce qui se calme. Bientôt, les tambours de l'oppression se turent et ce fut un silence musical ainsi que l'absence de mouvement de l'animal qui reignaient dans cette écurie. Les tambours commençaient à reproduire une musique tandis que Greil lâchait un peu de bride et de poids sur l'animal, le laissant se relever doucement, calmement. La musique, la mélodie jouée par les percussions, émanait de la curiosité. L'équidé avait été dominé et n'était plus hostile, par contre celui-ci était curieux de savoir ce que Greil lui voulait.
Sujet: Re: 3ème quête de la série « Initiation djöllfuline » - Domestiquer l’opiniâtre bête de selle [PW Greil] Sam 23 Mai 2020 - 0:01
3ème quête de la série « Initiation djöllfuline »
Domestiquer l’opiniâtre bête de selle
Au rythme des tambours
L'ancien général laissait le Duergar redevenu docile se relever tout en tenant la bride qui faisait plus office de Licol que de véritable lien d'entrave désormais. Maintenant que l'animal n'était plus hostile, le dressage à proprement parler allait réellement commencer. Celui-ci allait cependant différer d'un dressage classique, car l'animal était déjà débourré visiblement, mais ceci n'était pas la seule différence avec un dressage traditionnel d'équidé classique. Le Duergar présent devant l'ancien général allait être dressé tout en musique. Le Rythme des tambours, leur résonnance et l'émotion qu'ils font ressentir de par leur mélodie allaient être des indicateurs clefs de la progression du dressage de l'animal.
Le travail à pied, la première des grandes étapes, allait être particulièrement rythmés sur les bruits des tambours Djollfulins. Indispensable, car non seulement, il permet d’éduquer l'équidé à pied et il évitera plus tard tous les problèmes de piétinements ou de “pousse-moi, je te pousse” mais aussi et surtout, il permet d’établir un code, un langage vocal qui permettra au duergar d’avoir des repères pour répondre aux demandes du cavalier une fois celui-ci sur le dos. Le bruit des tambours de Dara est indispensable dans cette étape, car celle-ci peut être vue comme un jeu ou devenir rapidement énervante pour l'animal. Notre aventurier allait devoir prêter attention aux sons indiquant que l'animal prenait ceci comme un jeu et ceux indiquant que l'action à faire l'agaçait.
Curieusement, l'association des jeux à faire avec le Duergar et des sons de la voix du général semblaient mettre l'animal en bonne condition, d'après le son des tambours. Visiblement, l'animal aimait jouer et obéissait volontiers au général. Par moments, l'excitation prenait le pas sur la curiosité et les tambours accelerants joyeusement indiquaient à l'aventurier qu'il fallait qu'il lâche énormément de lest sur son lien avec le Duergar s'il ne voulait pas servir de cerf-volant à l'animal qui exprimait son excitation par une petite foulée à travers les quelques ronds de longes. L'animal revenait rapidement et joyeusement vers l'humain qui bougeait également au rythme des tambours, curieux de voir la suite des jeux maintenant que la domination avait été établie. L'animal se sentait visiblement bien avec l'ancien général à en écouter les tambours. De plus, l'équidé se montrait assez joueur pour que Greil tente d'attaquer la seconde étape, nettement plus difficile.
Il ne s'agit pas encore de monter le Duergar, mais simplement de lui faire accepter la selle et tandis que Greil cherchait le matériel des yeux, Dara tapait la curiosité amusée du Duergar sur ses tambours que d'une seule main, montrant du doigt un tas de selles, licols et tapis de selles de son autre bras. La Djolfulin était souriante, visiblement. Il semblerait que le traitement de l'animal que lui montrait le général plaisait à la demoiselle à la peau bleutée. Il était temps pour Greil de passer à la désensibilisation ou si vous préférez, l’apprentissage à ne plus réagir à un stimulus ou à un objet quelconque. Il faut que le Duergar accepte de porter la selle, le filet, mais aussi le cavalier avec son poids en armure, ses mouvements en bataille et sa taille pas toujours humaine. Parmi les choses désagréables pour les équidés, nous avons également la sangle qui serre le ventre et le mors dans la bouche. Bref, il faut habituer le duergar à la présence de son équipement en utilisant quelque chose qu’il connaît déjà et qui l'amuse, à savoir le travail à pied.
Le bruit des tambours en a témoigné, le poids des équipements avait tendance à énerver l'animal et notre homme ne pouvait pas monter à cru. Il fallut que Greil débarrasse le Duergar de presque tout, sauf du tapis de selle pour l'animal ne commence à retrouver une certaine sérénité. Usant de son impact en plus des indicateurs de la Djollfulin qui semblait également curieuse de la progression, notre homme amusait l'équidé tout en ajoutant les couches d'équipements, doucement et lentement. Il fallait mettre le Duergar en confiance et il fallait également que celui-ci ne voit pas cette tache comme un travail, mais bel et bien comme un jeu. Les notions de plaisir de l'animal lors des jeux étaient une donnée retranscrite dans les tambours et Greil y prêtait une grande attention. Ce fut après plus d'une heure, sans même s'en rendre compte, que l'animal affichait son plus bel équipement, mais également le plus complet.
Il ne restait plus qu'une étape pour un Duergar passablement lassé au son des tambours, mais toujours docile. Celle-ci allait sans doute changer la petite routine rythmée qui s'était installée puisque cette étape finirait en promenade. Maintenant que le Duergar accepte matériel et cavalier maître d'armes, il faut lui apprendre les signes pour pouvoir évoluer avec l'animal. C’est là que tout le travail effectué en amont, au sol lors des jeux, va être très utile. Greil allait essayer de diriger l'animal tout en étant sur son dos. Les intonations de sa voix et les gestes qu'il pratiquait au sol lors des jeux allaient indiquer ses intentions à l'animal et les tambours indiquaient son humeur et sa volonté d'y obéir. Il fallait une récompense quand le Duergar acceptait d'agir et les tambours indiquaient si la récompense, souvent une carotte, plaisait à l'animal ou non. À partir du moment où Greil arrivait à raisonnablement faire avancer le Duergar aux trois allures, le maître d'armes s’arrêta devant la Djollfulin, toujours perchée sur l'animal relativement paisible et se demandant si les jeux étaient bientôt terminés.
Sujet: Re: 3ème quête de la série « Initiation djöllfuline » - Domestiquer l’opiniâtre bête de selle [PW Greil] Dim 14 Juin 2020 - 0:27
Domestiquer l’opiniâtre bête de selle
Bilan : La djöllfuline prit plaisir à aiguiller Greil sur le chemin de l'apprivoisement du duergar. Dara reconnaît que l'humain est plutôt digne de confiance et respectueux de leur culture. Il lui semble être un "étranger" de qualité pour le village. La femme cornue remercie le nouveau maître du duergar en le lui informant de vive voix. Ce sont des choses qui se déroulent bien.