Le Monde de Dùralas
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Bonjour Invité, et bonne visite sur Dùralas ! Nous sommes actuellement en l'An 811 du Ve Âge. Bienvenue à notre dernier membre : ibrahim Le Monde de Dùralas a précisément 4043 jours ! Contribuez en aidant et en faisant part de vos idées pour le forum ici Dùralas, le Dim 24 Nov 2024 - 11:39 La Spécialisation de classe s'obtient à Wystéria. Pour être à l’affût des dernières nouveautés, c'est ici qu'il faut aller ! |
| | Aussi dure soit la vie, de glace est mon âme. | |
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Veronia PyraethusGuerrière
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| Sujet: Aussi dure soit la vie, de glace est mon âme. Sam 1 Oct 2016 - 8:38 | | | Chroniques d ' Olórin Calen
- RP Initiatique ft. Maximilian Weiss, Samaël et Arwen. - Terminé
- Synopsis:
Alors qu'Olórin regagne sa terre natale après plusieurs jours passés à la Bibliothèque de Stellaraë, il croise sur son chemin un groupe de personnes en difficulté. Bien qu'agacé par cet imprévu il n'hésite pas à leur donner un petit coup de main.
- Géant cherche ami ft. Undvik - Terminé
- Synopsis:
En route vers la Forêt de Sapins pour découvrir de nouveaux horizons et surtout en quête de connaissances magiques perdues, il rencontre un géant en traversant les Marais Hukutav. Néanmoins, il n'est pas ici question d'un simple mastodonte mais également d'une entité magique corrompue.
- Une apparence trompeuse ft. Saünee Starvation - [Suspendu]
- Synopsis:
À l'entrée de la Forêt de Sapins, une rencontre violente et inattendue...
- En quête de savoir ft. Laurentius Safar - Terminé
- Synopsis:
À l'occasion d'une visite à la Bibliothèque de Stellaraë, Olórin rencontre un jeune magicien en quête de savoir.
- Une promenade forestière ft. Djiminy - Terminé
- Synopsis:
Dérangé à deux reprises lors d'une promenade matinale.
- Rencontre entre le sage et le curieux ft. Baldwin Nuussian - Terminé
- Synopsis:
Voilà qu'au détour d'un rayon, le sage et le curieux se toisent. Inoubliable rencontre, partage d'opinions, une dose d'humour, mais surtout une connexion des plus naturelles. Une amitié en devenir sans nul doute entre ces deux passionnés de dragon.
- Le Donjon de Dùralbeuk ft. Grabuge, Baldwin Nuussian et Thauthaudarmafur - En cours
- Synopsis:
Prochainement
- Une rencontre fortuite, mais intéressante ft. Lonann Alhazred - En cours
- Synopsis:
Prochainement
- Expiation ft. Cylicia Condoris - Terminé
- Synopsis:
Prochainement
- Il n'est pas contre trouver quelqu'un qui partagera sa vie, dure tâche pour celle qui essayera car il ne recherchera jamais de lui même.
Dernière édition par Olórin Calen le Dim 9 Déc 2018 - 6:37, édité 67 fois |
| | | Veronia PyraethusGuerrière
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| Sujet: Re: Aussi dure soit la vie, de glace est mon âme. Lun 12 Déc 2016 - 7:37 | | |
Dernière édition par Olórin Calen le Sam 10 Nov 2018 - 2:30, édité 14 fois |
| | | Veronia PyraethusGuerrière
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| Sujet: Re: Aussi dure soit la vie, de glace est mon âme. Lun 12 Déc 2016 - 7:37 | | | Rêves & Objectifs
- Devenir un puissant mage reconnu sur le continent (titre de noblesse) ;
- Prendre du galon dans l'Institut de Magie (Directeur des Daemonciens) ;
- Venger sa mère en éliminant son père (il considère qu'elle est morte à cause de la magie qui le constitue désormais, supposée transmise par son géniteur) ;
- Il rêve un jour de voir un dragon, et d'en avoir un qu'il pourrait monter ;
- Il sera toujours en quête d'accroître ses pouvoirs au travers ses diverses aventures ;
- Il n'est pas contre trouver quelqu'un qui partagera sa vie, dure tâche pour celle qui essayera car il ne recherchera jamais de lui même.
Dernière édition par Olórin Calen le Mer 7 Nov 2018 - 14:29, édité 10 fois |
| | | Veronia PyraethusGuerrière
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| Sujet: Re: Aussi dure soit la vie, de glace est mon âme. Mer 22 Fév 2017 - 22:50 | | | Magie Introduction :
Olórin est un cryomancien maîtrisant le phénomène de cryurgie, c'est à dire qu'il est en mesure de produire de la matière ; de glace plus précisément. Une particularité dont la source est incertaine mais qu'il suppose venir fortement de son géniteur, un elfe de glace. C'est donc pour cela que dès la découverte de son pouvoir il savait déjà concevoir cette matière à son plus jeune âge. C'est innée chez lui, tandis que certains mages n'arriveront à ce niveau qu'avec de longues années d'entraînement.
Cryomancie ou cryokinésie :
Rappelons qu'il s'agit de la capacité de contrôler et donner vie à la glace qui se trouve proche de soi. Cette source originelle de son pouvoir est celle qu'il qualifierai de moindre. En effet, c'est à la fois la moins consommatrice de son flux énergétique, communément appelé la texture magique, mais également la forme la plus difficilement exploitable d'un point de vue géographique ; la glace ne courant pas les rues du continent Dùralassien. Néanmoins, il favorisera cette approche de la magie dès que possible car même avec une mouvance importante de matière il s'épuisera toujours moins qu'en confectionnant quelque chose d'inexistant.
Cryurgie :
Pour la cryurgie il est question d'ajout de matière dans le monde. Une opération des plus délicates puisque bien plus éreintante et complexe que la simple modification d'un environnement déjà présent. D'ailleurs, peu de gens le savent ou ne le comprendront mais ses globes oculaires de couleur cyan s'illumineront plus ou moins, selon la puissance nécessaire, quand il fera usage de la cryurgie. Il serait misérable d'essayer de lister toutes les possibilités que pourrait lui apporter cette facette de son pouvoir si ce n'est que les limites fournies par son imagination et la résistante de son anatomie à une exposition dangereuse et trop soutenue de sa puissance.
Bâton de mage :
Son bâton, offert par son père à la fin de son premier siècle de vie, est composé d'un alliage de fer et d'argent jusqu'à son sommet où un réceptacle spécifique a été conçu pour y accueillir le diamant qui y trône ; lui même provenant des mines de Wysteria. Il y a dans ce dernier quelques molécules magiques intiment liées à la glace ce qui permet à son détenteur d'en faire usage à distance. Attention à ne pas confondre avec une manipulation de mêlée à distance, ce n'est pas de ça dont il s'agit. En fait, Olórin lui même ne sait pas de quoi il est question puisqu'il n'a encore jamais su exploité cet aspect de la chose.
Il est convaincu qu'il ne fabriquera et n'utilisera jamais de la matière sans passer par intermédiaire de son bâton avant projection de toute forme de texture magique. La texture magique, ou flux d'énergie comme il aime à l'énoncer, se lie ou non au corps du mage. Pour la cryomancie ce n'est pas le cas puisqu'on use déjà d'une matière présente dans le monde ; la texture magique est donc libre et non dépendante du mage bien que contrôlée par ce dernier.
Pour la cryurgie c'est tout l'inverse. Votre aura s'en amplifie et alors vous devenez vulnérable, surtout pour ceux qui ne contrôle pas encore forcément leur pouvoir. D'après les ouvrages de techniques sur la magie à la Bibliothèque de Stellaraë, l'aura représente une espèce de récipient, une frontière de contenance pour la texture magique. Par conséquent, pour Olórin, elle est l'ultime barrière qui permet de rester en vie face à une vague incontrôlée et dévastatrice de puissance quantique. C'est pour cette raison que son bâton - davantage le diamant au sommet - lui est indispensable, non pas comme le pense la plupart des gens en tant qu'amplificateur de son pouvoir, mais comme second réservoir quantique qui lui permet de contrôler le flux créer lors d'utilisation de la cryurgie.
Dernière édition par Olórin Calen le Mer 7 Nov 2018 - 14:00, édité 4 fois |
| | | Veronia PyraethusGuerrière
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| Sujet: Re: Aussi dure soit la vie, de glace est mon âme. Dim 14 Oct 2018 - 0:38 | | | Une naissance meurtrie Au premier jour de sa naissance, il n'était pas certain qu'Olórin vive bien longtemps dans le foyer familial. En effet, nombreuses familles elfiques n'auraient pas tolérées cette situation et auraient très certainement fait taire l'histoire avant que des rumeurs ne puissent se propager au quatre coins du monde. Il faut dire que le père adoptif du mage, Idrill Calen, n'avait pas prévu dans sa vision de la vie, un enfant illégitime, qui plus est, issu d'un elfe de glace... D'autant qu'il n'avait pas songé apprendre tout ça le jour de l'accouchement de son épouse, et encore moins de la voir souffrir atrocement avant que la mort ne l'emporte en ces instants de vérité.
- Spoiler:
Le milieu de la nuit était dépassé depuis longtemps déjà et la pluie ne cessait de s'abattre sur le domaine Calen. La foudre résonnait toujours dans le ciel, plus insistante à chaque éclair qui déchirait les cieux sans vergogne. À ce vacarme étouffant se mêlaient les cris et hurlements de douleur de Narië Valis, subissant les joies de mettre au monde son enfant... Les femmes qui s'occupaient d'elles ne savaient plus où donner de la tête tant la marre de sang qui s'élargissait, de minutes en minutes à ses pieds, faisait peur à voir. Le travail était insupportable et Calen le voyait bien, mais il était pétrifié de voir sa bien aimée souffrir autant, et son calvaire n'allait pas s'arrêter quand elle lui agrippa le bras.
- Que toi et les Esprits Protecteurs me pardonnent, Idrill..., elle hurla à s'en déchirer les cordes vocales quand une contraction violente se présenta.
Ne comprenant pas de quoi elle parlait, et complètement paniqué à l'idée de la perdre il resta sans voix, attendant la suite, cherchant du regard ses iris verdoyantes.
- Arrrrghhh... quand... t'ai-je annoncé ma grossesse, Idrill ? Nous nous sommes unis au moins un mois avant, c'est vrai mais... mais nous avons partager notre couche que deux semaines après au moins, je ne pouvais pas..., et elle commença à verser toutes les larmes de son corps, sa douleur émotionnelle égalant désormais son corps qui souffrait le martyr.
Il se pétrifia. Là, peu à peu, les sons environnants disparurent au profit d'un mélange de songes profonds, de crainte, de colère... Il n'était plus question de chercher, il savait, il venait de comprendre. Son monde s'écroulait peu à peu avant que quelques images ne repassent en boucle dans son esprit. De belles images... celle de Narië et des plus beaux moments qu'ils avaient partagés ensemble ; celles qui, si court fussent-ils, lui avait permit d'avoir quelques mois de pur bonheur auprès d'elle. Quelques minutes venaient de s'écouler. Dérangé dans sa réflexion mais quasi instinctivement il saisit l'enfant qu'on lui tendait, l'encapuchonna dans sa couverture et croisa ses globes oculaires alors que tout son corps frémissait au même moment. Soudain, sa femme à l'agonie vint lui saisir le bras et croiser son regard, les larmes aux yeux.
- Je t'en prie Idrill, fais de lui ton fils, épargne le..., sa main commença peu à peu de glisser le long du bras de son homme, quand dans un dernier souffle elle murmura.- Si tu m'aimes sincèrement... il y a un peu de moi en lui...
Ces derniers mots s'accompagnèrent des chaudes et abondantes larmes d'Idrill. Longtemps elles s'écoulèrent sur son visage cette nuit là, mais quand il eut enfin l'occasion de les sécher un peu, il eut la force de regarder cet enfant qui n'était pas le sien. Et avec un peu d'insistance il s'attarda sur les iris du nouveau né, d'une couleur émeraude à lui en briser le cœur.
- Elle avait raison..., dit-il d'une voix brisée.
Dès lors, la nuit fut longue pour le père Calen. Rien de tout cela n'avait aidé dans sa quête de sommeil, raison pour laquelle il n'avait roupillé que très peu, s'embrumant ainsi profondément dans sa réflexion. Ses songes nocturnes portaient principalement sur les derniers mots de sa femme qui retentissaient en boucle dans son esprit : "Je t'en prie Idrill, fais de lui ton fils, épargne le... Si tu m'aimes sincèrement... il y a un peu de moi en lui..." Loin d'être un individu impulsif, il continua de border son "fils" durant les heures ténébreuses qui s'annonçaient. Il lui faudrait faire un choix au petit matin ; garder cet enfant illégitime ou le renier officiellement et le faire envoyer dans les contrées froides du continent.
L'astre diurne commençait à poindre à l'horizon. Les premiers rayons du soleil traversaient les vitres de la chambre tandis qu'Idrill émergea d'un sommeil que seule l'extrême fatigue avait justifié. Son corps était crispé, ses bras voulaient s'étirer mais ils ne purent y parvenir avec le nourrisson blottit en leur centre. Les yeux rouges et cernés, exténué et anéanti, il tourna la tête vers sa dulcinée. Elle gisait désormais proprement vêtue sur le lit conjugal dont les draps avaient été changés. Plus aucune once de vie ne s'éveillait en elle, mais les sages-femmes avaient travaillés dans l'ombre pour que cette vision matinale soit la moins choquante. Et ce même si la situation restait inchangée.
Puisant dans ses dernières ressources, le père Calen se leva de son fauteuil. Il se dirigea vers la bassine d'eau chaude qui figurait sur la commode de la chambre. Tout le nécessaire pour baigner son nourrisson était situé à une dizaine de centimètres de lui. Découvrant son garçon du linge qui lui servait de couverture, il le déposa soigneusement et progressivement dans l'eau du bain. Se munissant d'un savon à la lavande, il commençait à frotter ce petit bout tandis que ce dernier, silencieux, l'observait avec la plus grande insistance, ses yeux si ressemblant à ceux de sa génitrice. Minutieusement, il tourna le garçon pour lui nettoyer le dos et les fesses. Et puis, il s'arrêta net. Il venait d'identifier la tâche bleuâtre et minuscule qui occupait les lombaires d'Olórin.
Pris alors de frénésie vengeresse il s'empara de la mousse végétale qui servait habituellement d'éponge et l'imprégna de savon avant de frotter avec vivacité le bas du dos du bébé. Cette tâche ne semblait pas partir et pourtant il le fallait. Cette marque apparaissait comme une violence morale pour l'elfe, comme s'il était question du sceau de son véritable propriétaire. Il commença à appuyer tellement fort que le nourrisson pleura de douleur, sa peau désormais rougeoyante sous la véhémence des gestes paternels. Les sentiments de trahison et d'impuissance s'élevaient en lui tandis que la porte s'ouvrit bruyamment, une surprise à laquelle il ne s'attendait pas mais l'ayant fait cesser dans son acte.
- Tout va bien, monsieur Calen ? dit une sage-femme alerté par les cris de l'enfant.
Oui, je m'en occupe vous pouvez y aller, annonça-t-il sobrement.
Voyant les rougeurs dans le dos du bébé elle se permit d'ajouter quelques mots qu'elle n'eut pas le temps de compléter.
- Vous êtes sûr que...
- Sortez, j'ai dit ! Il venait d'hurler comme jamais cette maison ne l'avait entendu.
Cette dernière ne se fit pas attendre et elle disparue aussi vite qu'elle était arrivée. Le père Calen reposa doucement Olórin dans sa baignoire, posa ses mains de part et d'autres de la commode tout en soupirant, exténué et ne sachant trop quoi faire. Son esprit se perdit dans les méandres de l'amour fusionnel qu'il avait eut la chance de vivre auprès de Narië Valis pendant près d'un an. Il réfléchit longuement pour en arriver à la conclusion qu'elle n'était pas fautive dans l'histoire. En effet, elle avait rencontré l'elfe de glace avant qu'ils ne soient promis l'un à l'autre et malgré cet amour passé elle avait su lui ouvrir son cœur avec le temps. Un petit cri amusé le fit sortir de ses songes. Il constata ce petit bout d'elfe en train de taper dans l'eau froide désormais. Récupérant sa progéniture dans un linge propre, il le sécha et l'encapuchonna dans un tissu cousu au préalable par sa défunte épouse. Là, ses yeux s'arrêtèrent sur le nourrisson avant qu'il n'ajoute.
- Tu t'appelleras Olórin, mon fils. Olórin Calen.
Et tandis que ce petit être venait de l'écouter sagement il gazouilla amusé, un sourire pendu aux lèvres.
Dernière édition par Olórin Calen le Jeu 8 Nov 2018 - 2:40, édité 6 fois |
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| Sujet: Une naissance meurtrie Dim 14 Oct 2018 - 0:38 | | | Une enfance meurtrière Le temps s'était comme figé, tout le monde était immobile, l'espace d'un instant. Comme si chacun prenait le temps d'analyser ce qui venait de se passer. L'effroyable spectacle dont ils étaient tous témoins faisait froid dans le dos. Froid... ou plutôt, ce dernier glaçait le sang. Oui, la glace, c'était le juste mot. La jeune elfe issue d'une famille noble venait de perdre la vie, englobée, tétanisée pour l'éternité dans son tombeau aux reflets bleutés. Les parents alentours s'étaient retenus de hurler tandis que déjà les jardins se vidaient rapidement de toutes présences, les enfants extirpés furtivement pour ne plus être exposés à cette vision d'horreur.
Cette journée fût la plus marquante de toute la jeune existence du fils adoptif Calen. Qui aurait pu croire, qu'à 8 ans seulement, on soit déjà capable d'ôter la vie. Pire encore, que l'on soit capable de faire usage d'une magie qui pour beaucoup n'était là que le symbole d'une malédiction hostile. Bien entendu, ce n'était qu'un accident, rien de tout cela n'avait été volontaire, mais serait-ce une excuse suffisante pour sauver sa jeune peau de l'exil ? À ce moment là, attendant sur une chaise dans sa chambre, regardant le sol brouillé par les larmes qui lui montaient, il n'en était pas vraiment sûr. |
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