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Code du règlement : SERPENTAIRE- Validé par Dilon
Prénom et nom : Songe Syrzyal
Âge : 21 automnes
♀ ou ♂ : ♀
Race choisie : Naga
Classe envisagée : La classe d'
assassin serait celle à envisager le plus.
Métier envisagé : Elle a toujours eu pour les affrontements armés. Et puisque grand combattant est toujours allé de paire avec armures étincellante et armes tranchantes, le tout encore encensé par son goût pour le beau, quel meilleur métier pour combinner ces deux univers que de devenir
forgeronne d'armure.
Pouvoir : Imaginez-vous tout ce que la magie peut apporter, cette puissance si simplement acquise, cette curiosité qui rend toutes choses bien plus facile, cette magie, c'est celle que Songe ne possède pas et dont elle peine même à rêver. En plus simple, elle n'y connaît fichtre rien...
Mode hardcore : Non
Mode de présentation : Voie Standard
S'il y a une chose de remarquable chez cette Naga, bien plus que son imposante queue de serpent ou de la presque symétrie entre ce qu'elle a de reptile et d'humain, ce sont les vêtements et armures qu'elle porte. Au désarroi de certains autres Nagas, elle délaisse les vêtements traditionnels du marais Hukutav préférant ces étoffes et blindages, tissées et forgés par les humains aux divers peaux de serpent traditionellement utilisées. Les couleurs qu'elle favorise pour ces vêtements sont souvent froide, principalement fait de gris ou de bleu qui s'assortissent parfaitement à l'atmosphère du marais, portant plus rarement des couleurs éclatantes, laissant à des pierres précieuses, plus souvent humaines que nagas, le rôle de la rendre davantage éclatante.
Mais ce qui la sublime encore plus, c'est l'équilibre entre ce qu'elle a de l'humain et du serpent, le dernier ayant légèrement pris l'avantage. Que ce soit son imposante et magnifique queue de serpent rubis sur laquelle se reflète le bleu du ciel et que la brume semble faire luire, plus longue qu'un grand humain ou encore son corps d'un gris unique, partageant son buste et visage bien plus avec la femme que le serpent, si ce n'est sa couleur et quelques écailles, sur lequel descende de longues cascades bleues, une chevelure abondante rappelant tout autant l'eau que sa nature de serpent, provenant de sa race de couleuvre vipérine, un serpent vivant le long des eaux. Elle en partage également la langue fourchue et les canines proéminentes, et même si une de ces morsures n'empoisonnerait pas, elle aurait au moins l'avantage de déchiqueter sa proie.
Reste le plus splendide de ces bijoux, deux magnifiques citrines que sont ses yeux, dont la beauté n'égale que l'horreur qu'il inculquerait à n'importe qui les croiserait. Deux yeux vidés de compassion et de sympathie dont ne transparait qu'un flot indescriptible d'émotion, un tourbillon terreau de l'horreur qu'ils font naître chez les autres. Puis il y a ce calme et cette froideur, lisible à sa gestuelle et son corps, qui au-delà de n'être qu'un commun au sang de tous les serpents, en dit beaucoup sur ce qu'elle ressent, ou plutôt ne ressent pas ?
Compliquée à cerner, il pourrait paraître à n'importe qui qu'elle ne cède qu'à ses caprices et désirs. Et quand cela serait en partie vrai, la pensée de ce serpent s'avère bien plus compliquée. Nihiliste, son unique moto étant que la fin justifie ces moyens. Elle se joue ainsi des représentations, se donnant un air de personne dangereuse, violente et arrogante, prenant plaisir à tourmenter son monde, y cachant son esprit pour lequel les seules choses qui comptent, tout comme seules elles ont compté et compteront, sont le beau et l'or. Les dieux, les autres vies, la morale, la loyauté et l'honneur, elle n'en a que faire.
Une complexe personnalité dont la souffrance et la volonté de faire souffrir n'égale que son calme et son sang-froid. Ce qui ne l'empêche pas du moins de ressentir des choses pour les autres. Son sentiment le plus remarquable, en dépit de ce que son apparence pourrait laisser envisagé, c'est sa profonde et immuable haine envers le peuple des humains...
Ses poumons s'emplissaient de l'eau qu'elle avait si longtemps chérie. La boue, épaisse, l'empêchait de voir quoi que ce soit. Les yeux clos, elle essayait instinctivement et désespérément de sortir la tête de l'eau. Cherchant l'air qu'elle ne pouvait trouver. Les mains de son assaillant, qui la tenait puissamment par le cou, ne lui permettait même pas de remonter un peu la tête. Sa queue, ils l'avaient transpercée d'une lance, ce qui la clouait au sol. Sans issues, l'eau pénétrait son corps. D'abord ses narines, ses poumons puis son coeur. Elle était à bout, elle souffrait. Elle se résignait, la caresse épaisse de la vase signait la fin. Le marais serait sa tombe.
Soudainement, elle se surprit à violemment inspirer. Elle le pouvait.
Son bourreau l'avait violemment ressortie de l'eau, ses mains serraient son cou encore plus puissamment. Mais qu'importe, tant qu'elle pourrait respirer.
Encore sonnée, tout ce qu'elle entendait c'était des voix dont elle ne comprenait pas le sens. Puis ces ricanements qui confondaient ces êtres. Horribles. Les humains.
Puis on lui replongea la tête dans l'eau aussi violemment qu'on lui avait sorti. La surface de l'eau fut comme une gifle. Une énième douleur à ajouter. Ils jouaient avec elle. Les mêmes qui avaient abattu ses parents un peu plus tôt. Il n'y avait pas d'échappatoire. Tout devenait sombre.
Quelle façon de finir. Qu'importe pour elle, ces 17 années de vie n'avaient jamais fait d'elle quelqu'un d'importante. Et cela n'allait certainement pas changer dans la mort...
« Est-ce que l'on pourra retourner au marché demain papa ?! -
S'exclama-t-ellealors qu'ils marchaient vers leur maison-
Le tailleur devrait avoir fait de nouveaux habits ! Les peaux de serpents qu'il utilise sont si belles ! » -
Ce à quoi son père, approuvé du regard de sa mère, fit signe que non de la tête.La scène se reproduisait chaque fin de semaine et pourtant elle continuait, quand bien même il refuserait toujours, de demander chaque semaine. Ils étaient bien trop pauvres pour acheter quoi que ce soit sans courir le risque de manquer de vivres pour le mois. Ils étaient même certainement les plus pauvres dans le coin et elle le savait.. En fait, à l'exception d'un petit nombre de personnes, personne n'était vraiment riche dans le village. Si on peut appeler "village" les ruines d'un vieux camp humain, des maisons dont le bois a pourris avec le temps et les toits qui se sont presque tous effondrés, les plus chanceux étaient même ceux qui vivaient dans des maisons en terre. Puis personne ne se fréquentait vraiment, toutes les habitations étant éparpillées dans un coin à l'ouest des marais Hukutav. En fait, les gens ne se croisaient qu'à l'occasion du marché qui se tenait toujours en fin de semaine et lors des rares fois où ils se rendaient dans un temple, tout aussi délabré que le reste, pour vénérer le Basilic, bien plus facile d'accès que le grand temple plus à l'est.
Ils étaient d'ailleurs en train de revenir du marché. Son père était un forgeron. Un mauvais forgeron avec une réputation aussi bonne que l'était ces armes et armures... Une réputation si mauvaise qu'ils ne parvenaient presque jamais à vendre ce qu'il avait forgé la semaine au marché. Ce qui rendait difficile de subvenir aux besoins de sa famille et encore plus d'acheter du métal de qualité à forger.
Songe avait ainsi pris très tôt l'habitude d'aider son père à la forge. Une vieille enclume, une marmite rouillé rempli d'une eau devenue verte et quelques marteaux tous plus fragiles les uns que les autres... Malgré les conditions, la jeune Naga s'avérait être très tôt douée, voire même meilleure que son paternel -
Pas que cela soit bien compliqué-. Mais malheureusement, la réputation de ce dernier planait au-dessus d'elle, tout comme la mauvaise qualité du métal ne l'aidait pas vraiment.
Mais aussi dure que leur situation pouvait être, il arrivait à son père de lui donner un peu d'or, une petite partie du peu qu'il parvenait à gagner, à Songe, quitte à ce qu'il n'ait pas à manger pour quelques jours. Quant à la jeune Naga, elle dépensait presque toujours cet or en livres, seul moyen pour elle de s'imaginer dans une meilleure condition.
« Hey ! La bleue ! La peste ! Hey, la peste, j'te parle ! » -
Un autre jeune Naga, qu'elle connaissait bien comme quelqu'un d'arrogant avec lequel elle avait l'habitude de se battre, essayait d'avoir son attention alors qu'elle était juste sortie jouer, seule, dehors.Beaucoup se dirait que sa vie n'était pas simple. Que Songe n'avait que peu de chances d'être dans une aussi mauvaise situation. Mais elle ne voyait pas les choses de cette manière. Elle se contentait de supporter tout cela, gardant précieusement certains moments joyeux. Comme lorsqu'elle lisait des livres, mais aussi lorsqu'elle pouvait mettre une raclée à cet arrogant se croyant tout permis parce que son père était riche.
Elle se retourna et lança au garçon :
« Tu sais ce qu'il s'est passé la dernière fois ? » -
Se moquant de lui, puisqu'elle le battait à chaque fois.-
« Ouais m-mais t'avais juste triché la dernière fois ! » -
Sa voix tremblait-
Elle le provoqua en pointant son épée vers lui comme pour lui dire de venir. L'autre avait également une arme similaire. Un énième affrontement commença.
La sortie du combat n'était pas très différente de d'habitude, la jeune Naga était bien plus forte. Et même si un combat entre deux enfants ne représentait certainement pas grand chose, elle se sentait fière de le faire taire. Puis ce combat était un moyen à nouveau d'échapper à la réalité, de se croire fière et puissante guerrière un court instant.
Elle rentra chez elle l'oeil gauche gonflé. La blessure n'était pas particulièrement belle, un peu de sang et de pu, puis elle ne verrait pas de cet oeil pour quelques jours. Mais au moins, elle souriait...
Soudainement, elle respira de nouveau. D'instinct, elle ne réfléchissait même plus. Elle toussait, elle crachait toute l'eau qu'elle avait en travers de sa gorge. Retrouver ses esprits et y voir clair à nouveau prendrait du temps, mais elle respirait. Même si l'air vicié et chaud de ce coin des marécages lui brûlait les poumons, au moins elle vivait ! Et elle ne sentait même plus la main qui lui tenait la nuque plus tôt.
Peut-être avait-il abandonné, la pensant morte ? Elle n'arrivait toujours pas à tout comprendre.
Mais il ne lui fallut pas grand chose pour remarquer les corps de ses parents au sol. Et sans réfléchir, prise d'un sentiment noir, elle arracha la lance enfoncée dans sa queue et se rua sur les humains qui partaient. La haine ne soignerait certainement pas ses blessures, mais c'était la seule chose qu'elle pensait capable de la soulager en ce moment.
Si elle en prit un par surprise, celui le plus en arrière du groupe, lui transperçant le dos de la même lance dont ils lui transpercèrent sa queue. Les autres, au nombre de sept, ne furent pas aussi simple à battre. Mais la rage ne suffit pas à les vaincre et elle fut ainsi violemment blessée. Et les humains se décidèrent à l'emmener avec eux. Les marchands comptaient en tirer un bon prix en tant que bête de foire, voire pourquoi pas utilisé sa peau de reptile pour confectionner de coûteux vêtements ?
A l'ouest du marais, le passage de marchands est chose courante. Cela leur permet d'éviter le désert, bien plus dangereux que les marais et reste bien plus rapide que de passer par les massifs, quand bien même les nains sont alliés avec les humains. Et ce sont ces marchands, ainsi que les mercenaires qu'ils avaient très certainement engagé -
d'où le fait qu'ils aient réussi à prendre le dessus sur trois Nagas- qui avaient certainement trouvé drôle de s'en prendre à eux. La déesse sait que les humains ne portent pas les Nagas dans leur coeur.
Mais tout c'était passé ainsi ne pouvait plus se passer autrement. Sur ce chemin qu'elle avait fait si souvent, elle perdit beaucoup. Et aucune larmes, aucun cri et le temps lui-même ne résolut pas le problème. Ses parents n'ouvriraient pas les yeux et la douleur qu'elle ressentait ne se dissiperait pas de sitôt, qu'elle soit physique ou morale...
Combien de temps ? Elle ne savait dire combien de temps elle avait été gardée captive, humiliée, blessée, présentée en monstre de foire. Elle avait perdu toute notion de temps et la seule chose qu'elle aura vu grandir, c'était son corps, elle était devenue bien plus imposante. C'est également en cette période qu'elle cultiva sa haine de la race humaine en même temps que les humains cultivés la peur en elle.
Elle avait bien essayé de s'échapper quelques fois, en essayant de défoncer la grille de sa cage. Mais elle n'y arriva jamais et chaque fois qu'elle essaya, elle se vue même punir, infligé de nouvelles blessures. Et même si les écailles recouvraient ce qui aurait laissé des marques chez bien d'autres espèces, la douleur, elle, continuait à persister.
C'est aussi certainement en ces temps douloureux pour elle qu'elle perdit la flamme qui l'avait animé pendant si longtemps. Celle qui lui permettait, enfant, de sourire...
Puis par un énième retournement, comme si une force là-haut se jouait d'elle, son destin changerait de nouveau. Elle n'avait jamais vraiment abandonné l'idée de s'échapper et ainsi, un soir où les marchands qui la retenaient avaient monté un camp entre deux villes pour y dormir. Un soir où son gardien avait trop bu et s'était endormi, elle réussit finalement à faire céder la porte de sa cage. Quand bien même la cage était faite de métal, le poids et la force qu'elle avait gagné en grandissant, tout autant que ces nombreuses tentatives précédentes, lui permirent enfin de sortir de sa cage. Et son garde fut le premier sur lequel elle se vengea, le défigurant avec sa propre dague alors même que le bougre, toujours alcoolisé, ne pouvait même pas réagir.
Les marchands qui pensaient traverser une zone assez calme pour ne pas avoir à engager plus de mercenaires que celui pour surveiller Songe, désormais mort, furent impuissant face à sa rage. Elle les abbatue tous de la même manière. Avec la même dague qu'elle avait ramassé sur le mercenaire plutôt, plus aucuns d'entre eux n'étaient reconnaissable à ce point.
Elle ne se rendit compte qu'après qu'elle les avaient tués consciemment. Qu'ils étaient d'une certaine manière ses premières victimes. Et même si la pensée traversa son esprit, même si elle le réalisa, elle ne ressentait rien.
A bout, autant physiquement que mentalement, elle entreprit de rentrer chez elle.
Elle finit par revenir à son village, les marchands ne s'étaient pas installés bien loin du marais, du moins si une année de marche n'est pas "bien loin". Elle était épuisée et meurtrie. Mais au moins, sa maison n'avait pas changé aussi loin qu'elle pouvait s'en souvenir, certainement parce que ce qui était déjà en ruine ne pouvait pas le retomber. Elle s'écroula sur son vieux lit de paille, bien trop petit désormais et y passa une semaine allongée.
Elle ne fit que contempler les lits de ces parents pendant tout ce temps. Elle ne ressentait toujours rien, mais elle se sentait toujours blessée. Et seul la faim qui fit hurler son estomac de douleur vint la forcer à se lever au bout de ces six jours.
Elle se rendit là où se tenait le marché. Parcourant toujours le même chemin, croisant l'endroit où ses parents avaient été tués. Il n'y avait plus rien du tout, plus de sang, plus d'armes et surtout, toujours aucun sentiment. Elle avait beau regarder, rien n'y faisait...
Au marché, presque personne ne fit attention à elle. Certes, certains semblaient se rappeler vaguement de quelqu'un qui lui ressemblait et ils en parlaient dans son dos, mais cela s'arrêtait là.
Elle fini par trouver l'étale d'un artisan, le même toujours à la même place, et avec ces derniers sous, elle ne put que se payer un pain humide, imprégné des odeurs immonde du marais mais qui la nourrirait au moins pour aujourd'hui.
Les mois suivants furent les plus compliqués mais également les plus étonnant. N'ayant pas de moyens de se nourrir, elle reprit naturellement le travail à la forge, toujours en état, celle qui appartenait à son père. C'est aussi dans ces mois que grands nombres de changement arrivèrent.
Elle entreprit tout d'abord de réparer la dague qu'elle avait récupéré sur le mercenaire une année auparavant, celle-ci s'était tordu et abîmée lors de son voyage. Et quand bien même le résultat était médiocre, ce serait assez pour se défendre dans un premier temps. Puis se concentra sur la forge de morceaux d'armures, autant qu'elle pouvait avec le peu de matériaux qu'il lui restait, qu'elle vendit aux autres Naga, gardant certains morceaux pour elle pour les mêmes raisons qu'elle répara la dague. Gagnant ainsi peu à peu du renom et il ne lui suffit que d'une seule année -
un an n'est plus si long après toutes ces aventures- pour réussir à gagner de quoi survivre.
Puis elle se remit à vivre, toujours insensible, mais qui aurait besoin de sentiments lorsque l'argent peut remplacer tout cela ?
Mais la fin ne pouvait pas être aussi joyeuse après tout ce qui arriva et puisque le temps ne semblait pas guérir ses blessures, on aurait même pu dire que cela empira, elle devint obséder par l'or et en trouva bien assez vite au-delà de son métier de forgeronne.
Elle le trouvait sur les humains qui osaient s'aventurer de temps en temps dans les marais, elle les haïssait et n'en laissait partir que peu vivants. C'est également avec eux qu'elle apprit à se servir d'arme, un peu comme si l'histoire de ce garçon qui l'embêtait plus jeune se répétait sur ces pauvres humains. Et ceux qui survivaient, quoique pas toujours, était surtout ceux avec lesquelles elle commerçait, car elle s'était mise à apprécier tout particulièrement les vêtements humains bien plus que ceux nagas.
Puis il y a ces rares fois où elle s'absentait du village pour s'aventurer en dehors. Poussée de plus en plus loin par ses désirs, par cette nonchalance qui l'amenait à partir sans mesurer les conséquences que cela pourrait avoir pour elle. C'est aussi certainement de là que des rumeurs naquirent sur elle dans son village, des rumeurs noires, d'assassinat, de chantage et de violences. Fausses évidement, mais qui sait, elle pourrait vite devenir vraies...
Quand la vie est un fardeau, il est difficile de vouloir poursuivre quelques buts que ce soit. Ainsi, seul passer le temps, seul ce sentiment de s'avancer plus vite vers la mort ne compte pour elle. En cela, la richesse et la beauté, valeurs qu'elle a arbitrairement décidé.
Qui sait, peut-être que la déesse ramènent vers elles les riches plus vite ? Et encore, elle doute du culte que son peuple voue au Basilic. Mais qui sait, peut-être encore plus étonnamment, elle pourrait changer...
Donc on veut savoir des choses sur moi, hein ? Déjà, pour éviter la confusion (même si je trouve ça drôle quand ça arrive), je suis un "joueur" et non une "joueuse" (en fait, je suis même le type de joueur qui trouve une image et se dit : Tiens, je vais faire une histoire sur cette image. Si ça ne tenait qu'à moi et mes talents de dessinateurs, je serai devenu un pirate humain :c ).
Après, pour ce qui est du RP, j'ai un peu d'expérience. J'ai commencé à 12 ans (par des histoires toutes nazes à la naruto xd ) et en ai désormais 19, 20 dans quelques jours ! Et c'est parce que mes autres forum rp ont mal passé l'hiver (genre ils sont super calme ces temps-ci), j'ai décidé de m'en trouver un nouveau. Et même si je l'ai trouvé il y a seulement quelques jours, je sais même plus comment j'ai fait ;_;
J'ai d'ailleurs essayé de parler un peu du lore du forum dans mon histoire, mais comme il y avait pas d'image de cartes (les liens sont cassés sur le forum correspondant), je suis pas trop certaine de ce que j'ai fait. Du coup corrigez-moi si jamais, j'ai encore un peu de mal à absorber toute l'histoire rp du forum :v
Mais il m'a l'air bien sympa en tous cas.
Et c'est aussi le premier forum rp avec un système d'xp, combats etc... plus à la RPG sur lequel je vais jouer (notamment en fait parce que habituellement je comprends rien à ce genre de système. Mais ici, j'ai l'impression d'avoir compris mais p'têt que non en réalité u_u ).
Sinan, après j'aime le chocolat, regarder la pluie (beaucoup moins être en-dessous), la musique (de tout sauf du métal et du classique mais surtout le punk, le rock et les musiques épiques !) et je sais plus quoi dire :v
*disparaît*