Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : Eryllis
Âge : 30 ans
Classe/métier : Scénariste/Organisatrice d'événements (Jeux de rôles grandeur nature, airsoft, murder party, etc...)
Hobbies/activités : Présidente de l'association "Les Crocs de la Tanière", spécialisée dans l'organisation de jeux de rôles Grandeur Nature (GN). Médiéviste et archère à mes heures perdues. Ecrivain sur 404 factory. Réalisatrice de courts métrages.
Couleur préférée : Le pourpre et le vert d'eau.
Opinion sur le forum : Très bon visuel (pour le moment je ne peux pas m'avancer plus ^^")
Comment as-tu connu ce forum ? Le pur fruit d'un hasard légèrement dirigé.
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Belram De Carne
Âge : 27 ans
Sexe : Fonctionnel! ... ho... féminin >>
Race : Abyssale en habits propres
Classe envisagée :Absolument aucunes idées
Ce qu'il aime : Sa personne avant tout le reste et toutes les choses, personnes, animaux qui seraient susceptibles d'être utile à sa survie, à ses ambitions ou à ses attentes... Et les pommes.
Ce qu'il n'aime pas : Les imprévus, les personnes imprévisibles... les personnes prévisibles aussi d'ailleurs... En fait la plupart des personnes sauf celles qui lui sont utiles. C'est assez agaçant quand vous préparez vos plans à l'avance et que tout tombe à l'eau à cause d'un imprévu...
Situation amoureuse : En étroite relation avec son égo. Et ca tombe bien, son égo l'aime aussi énormément.
Code du règlement :
Live Action RPG (validé par Dougal)
Voie Standard ou Voie Spécialisée ? Voie standard
{Facultatif} Un pouvoir particulier ? Télépathe pathétique et nécromancienne débutante (à son stade elle arrive à réanimer des plantes mortes... c'est déjà super).
Souhaitez-vous activer le mode hardcore pour votre personnage ? Non merci
Et du coup, tu ressembles à quoi?
On ne peut pas vraiment dire que Belram soit jolie... comme on ne peut pas vraiment dire qu'elle est hideuse. Comme les goûts et les couleurs ne se discutent pas, disons que pour certains elle sera potentiellement acceptable et pour d'autres... qu'elle sera relativement agréable a regarder. Mais dans tout les cas... on aura tendance a penser qu'il y a anguille sous roche. Car même si la jeune femme a un bon potentiel de séduction, ses manières de garçon manqué ont tendance a gâcher le peu de féminité qui subsiste.
Une chevelure noire tantôt lisse, tantôt ébouriffée par les embruns maritimes. Elle n'y accorde pas beaucoup d'importance, d'ailleurs elle a souvent eu l'idée de les couper... mais allez savoir pourquoi elle trouve nettement plus facilement le courage de se battre contre un ennemi qui fait deux fois son poids plutôt que d'attraper une paire de ciseaux pour concrétiser ses pensées.
Un visage agréable, presque enfantin tellement il semble lisse et innocent. Le destin, dans sa grande magnanimité, lui a évité des désagréments d'un visage couvert de cicatrices et elle ne s'en plains pas. Une peau très visiblement hâlée par le soleil, a force de rester sur le pont de son navire sans aucuns doutes. On y rajoute des oreilles pour le moins particulière, d'une longueur qui suggère très nettement qu'elle n'a rien d'une humaine et, pour les observateurs les plus aguerris, des branchies qui s'y cachent, juste derrière.
Un regard plein de malice, légèrement bleuté mais dont la dominance sombre n'inspire pas confiance. Un regard qui semble sourire en permanence, comme s'il se moquait ouvertement de son interlocuteur. Un regard qui vous fait comprendre que vous avez déjà trois coups de retard mais que vous continuerez de jouer la partie parce qu'elle ne vous en donne pas le choix. Un regard pour lequel certains auraient décrochés la Lune... et on finit par décrocher un uppercut.
Un corps élancé mais avec des rondeurs aux endroits de l'anatomie féminine auxquelles la gente masculine apporte le plus d'importance. Une poitrine généreuse qui aurait pu lui permettre de se placer dans les trois premières places d'un concours d'apnée mais que la jeune fille cache sous un grand manteau noir à doublure de satin rouge, tout en la mettant à son avantage dans un corset très serré à la taille. Non pas par esthétisme mais parce qu'elle a en horreur les vêtements trop amples qui lui font perdre conscience de ses mouvements. Néanmoins, et parce que la vie n'est pas toujours aussi magnanime qu'on le pense, elle garde une cicatrice bien visible dans son dos qui ne disparaîtra jamais.
Pour un œil expert il ne sera pas difficile de remarquer les minuscules écailles qui sillonnent les jambes de la jeune fille. Ainsi que d'étranges marques d'un noir bleuté qui serpentent sur ses bras. Si vous lui posez la question, Bel' vous dira très certainement qu'elle ne sait rien là dessus: ni leur provenance ni leur signification. Et se ne sera pas un mensonge...
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
La plupart du temps, Bel' n'a rien contre personne mais ce n'est pas pour autant une personne des plus sympathiques. Disons qu'elle vous foutra la paix si vous en faites de même. Belram a une philosophie de la vie très simple (la vie en elle même étant déjà compliquée, pas besoin d'en rajouter d'avantage): elle profite de chaque instant aussi longtemps qu'elle le peut sans jamais s'attacher aux choses ou aux gens. Pour deux raisons: les gens meurent trop vite et les choses ont une fâcheuses tendance a se perdre ou a se briser.
Belram n'est pas vraiment le genre de personnes a être d'une vaillance extrême, d'ailleurs quand le danger arrive elle s'arrange toujours pour être déjà partit depuis longtemps. Les lâches écrivent les livres, les héros les remplissent. Et Bel' n'a jamais aimé la lecture. Le courage, c'est tout ce qu'il reste a ceux qui n'ont pas eu le temps de fuir après tout. Et Belram ne déborde pas de courage, c'est même le contraire. Ne comptez donc jamais pour elle pour réaliser une opération dangereuse, surtout si elle n'a rien a y gagner!
Haaaa oui l'appât du gain. Belram est très sensible aux récompenses. Et plus elles sont clinquantes et brillantes, mieux c'est. Et si en plus c'est rare et que ca vaut cher, alors là, Belram ne pourra pas vous résister!
Inutile de tenter de la séduire... non pas qu'elle n'y est pas sensible, comme toutes les femmes, Bel' ne demande qu'à être séduite. Non le problème, c'est qu'elle ne comprends rien aux signes subtiles de la séduction. Elle a la fâcheuse habitude d'être continuellement à côté de ses pompes et de ne remarquer qu'au dernier moment que son prétendant (ou prétendante) lui fait les yeux doux. Pour dire à quel point elle est navrante, la dernière fois qu'elle s'est aperçue qu'elle était dans une politique de séduction.. elle était déjà dans le lit de son amant.
Belram n'est pas d'un naturel mauvais. Elle n'ira jamais frapper quelqu'un par plaisir et ce n'est pas vraiment une adepte de la torture. Néanmoins, si vous dépassez les bornes qu'elle vous impose, vous en subirez les conséquences. Ce n'est pas une jeune femme qui s'énerve facilement, mais les personnes qui l'ont vu se mettre en colère ne sont hélas plus là pour en témoigner.
Un dernier point important: Belram a beaucoup d'humour... quel dommage que la plupart du temps il soit incompris.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
CHAPITRE 1: "Je suis née dans un oeuf"Je ne me souviens pas grand chose de mon enfance si ce n'est des brides éparses de souvenirs marquants comme tout le monde. Je suppose que mon esprit a occulté volontairement les souvenirs les plus pénibles de mon existence et n'a laissé que les plus supportables. Malheureusement pour moi, même les plus supportables sont loin d'être les plus agréables.
Je me souviens d'une membrane... d'un vert bleuté... dans laquelle je me sentais à l'abri. Une chaleur constante m'entourait et je voyais parfois le monde extérieur quand mes yeux s'ouvraient, encore un peu embrumé d'un sommeil trop long. Dehors tout était sombre. Mais tout paraissait si grand. J'avais hâte d'y aller... et en même temps j'étais terrifiée. J'avais eu beau attendre pendant des jours et des jours, je n'ai jamais vu personne ... Il n'y avait que moi. Il me semble avoir essayé de crier une fois, un cri qui a été étouffé par la membrane de mon œuf. Un cri auquel personne n'a répondu.
Et puis un jour, je ne sais pas... un mauvais mouvement sans doute, mon œuf s'est fissuré. La membrane s'est déchirée et l'eau froide de l’extérieur s'est mêlé a l'eau chaude de mon petit cocon. Le choc a été violent. Je crois que j'ai paniqué quelques instants. L'eau froide m'avait glacée jusqu'aux os, me forçant a nager pour me réchauffer.
Tout était obscure. J'ai eu beau attendre, appeler à l'aide, personne ne m'a répondu. Je ne savait pas qui j'étais, ni ce que j'étais, ni même ce que je faisais ici. Dans les ténèbres des profondeurs marines, la seule source de lumière provenait de moi. Sur mes bras, des dessins étranges, des arabesques, des spirales dont je ne connaissais pas la signification. Ils scintillaient d'une douce lueur bleutée, éclairant faiblement les ténèbres autour de moi et m'entourant d'un léger halo de lumière pâle. J'ai pu comprendre que j'étais dans une grotte. J'ai cherché longtemps la sortie avant de voir enfin l'océan sous son meilleur jour.
CHAPITRE 2: "Dans l'enfer de la tourmente"J'ai vécu paisiblement sans autres but que celui de trouver mes semblables. Je me suis aménagé un havre de paix et de tranquillité dans un lagon, tout proche de la grotte qui m'a vu naître. Espérant peut être un jour y voir revenir mes parents, pour venir me chercher. Mais personne ne vint jamais. Je sillonnais l'eau avec légèreté. Mon corps avait commencé à changer. J'étais désormais capable de respirer en dehors de l'eau, me donnant la possibilité de vivre sur terre comme dans la mer. Mais j'ai privilégié l'habitat aquatique avec lequel j'avais le plus d'affinités et de repères. Une nageoire dorsale sillonnait désormais mon dos, suivant le tracé de ma colonne vertébrale. Je m'étais accoutumé à la perfection a mon environnement et je ne souhaitais rien de plus.
Mais les choses sont devenues différentes le jour où ma vie a basculée. C'était pourtant un jour comme les autres et rien n'aurait pu me préparer a ce que j'allais vivre. Je me souviens avoir vu quelque chose de nouveau. C'était grand. Ca fendait les eaux a une vitesse vertigineuse. J'ai fais l'erreur de me rapprocher trop près. Quelque chose m'est alors tombé dessus, entravant mes bras, mes jambes, entravant le moindre de mes mouvements. J'ai eu beau crier, j'ai eu beau bouger dans tout les sens, je n'ai pas réussit a me dégager de ce filet. Et puis il s'est élevé, me tirant hors de l'eau et grimpant encore un peu plus. Je voyais mon monde s'éloigner de moi... je sentais au fond de moi que je n'y reviendrais plus.
On me libéra finalement sur le pont d'un bateau. Ho avant je ne savais pas ce que c'étais. Je ne savais même pas parler d'ailleurs, je n'avais pas eu d'exemple, pas eu de professeur. Tout ca, tout ces mots, je les ai appris bien plus tard. J'étais donc sur le pont en bois d'un gigantesque navire et tout autour de moi se pressait déjà une foule avide de questions que je ne comprenais pas. J'étais seule et j'étais terrorisée. Finalement un homme m'attrapa le bras sans douceur. Je crois qu'il y a eut des rires et je ne me souviens plus vraiment ce qui a été dis... mais je crois que ses mots sonnaient le glas de mon existence paisible...
Cela faisait environ 5 ans que j'étais sortit de mon oeuf mais mon corps était celui d'une jeune fille d'une quinzaine d'années. Je suppose que c'est l'âge auquel les jeunes filles du monde apprennent a se méfier des hommes. Si seulement quelqu'un m'avais prévenu...
On m'a jeté a fond de cale, dans un endroit sombre et sale, qui sentait l'alcool et l'urine. Je me terrais comme un rat en pressant mon petit corps faiblard contre la paroi du navire. Tout les jours... oui tout les jours... je devais subir les lubies d'un équipage lubrique et pervers qui se jouait de moi comme une poupée de chiffon. Mon corps était devenu un terrain de jeu qu'ils prenaient plaisir à manipuler sans douceur. La douleur était devenue mon amie quotidienne qui ne me laissais jamais seule, et puis finalement j'avais finis par m'habituer à elle. Je ne me débattais quand un des marins venait me rejoindre dans la cale, je ne cherchais plus a me défendre... j'avais abdiqué.
C'est sans doute pour cela qu'ils se sont lassés de moi. Ils ne supportaient plus de ne plus entendre mes cris et mes supplications. Car au fond, plus que mon corps, c'est ma peine qui les animaient. Les simples violes avaient laissés place à la torture physique la plus rudimentaire. Les coups de poings, de pieds, les os brisés, les épaules démises... je ne comptais plus mes blessures. Un jour l'un d'entre eux m'a arraché ma nageoire dorsale. J'ai hurlé pendant des lunes, tant la douleur était insupportable. J'en garde aujourd'hui une horrible cicatrice...
Tout s'arrêta le jour où le navire se fit attaquer. Il y eu des cris, des bruits de combats et puis le silence. Au bout de quelques minutes, quelqu'un ouvrit la cale et me trouva. Je devais être dans un état lamentable car je me souviens encore de l'expression de son visage. L'horreur et le dégoût étaient apparus en quelques instants sur son visage. Il lui a fallu du temps avant de me dire d'approcher mais j'étais terrorisée. Je n'ai pas bougé. Alors il s'est montré patient, il m'a laissé le temps de venir et de sortir par moi même. Ce que je fis au prix d'un terrible effort. La lumière du soleil m'aveugla. Cela faisais... ho mon dieu cela faisait 5 ans que je ne l'avais pas vu... 5 années enfermées dans cette cale... Des gens m'entourèrent, me consolèrent et finalement ils me firent monter sur un autre navire.
Il était propre celui ci, il était beau et les gens qui l'habitait ne semblaient pas vouloir me faire du mal. On me lava, on m'habilla et on tenta de comprendre mon histoire mais les mots me manquaient et le peu que j'avais appris avec les pirates n'était pas suffisant pour exprimer tout ce que je ressentais. Alors on me proposa un travail en échange d'un endroit où vivre et d'une éducation. Je ne savais pas vraiment ce que cela signifiait mais j'ai accepté... Je ne voulais pas prendre le risque de retomber un jour sur des individus aussi horribles que ceux qui m'avaient capturés.
Ainsi débuta une autre page de l'histoire de ma triste existence...
CHAPITRE 3:"Vis sans remords, aime sans regrets"Je suis resté 10 ans au service du navire qui m'avait accueillit. 10 ans a apprendre un travail en tant que navigatrice et 10 ans a apprendre les diverses langues de ce monde, les divers fait de l'histoire de Duralas. Ainsi, j'appris que j'étais une Abyssale, une espèce marine, capable de vivre sur terre comme dans l'eau. Néanmoins un doute subsistait sur ma branche mais après plusieurs discussions avec mon professeur, il semblerait que je sois une Abyssale des Tempêtes. J'appris grâce à lui une quantité de choses sur mon espèce et sur le monde qui m'entourait. Il était patient avec moi et très compréhensif. Je l'aimais énormément. Il se nommait Mr De Carne et se fut lui qui me donna mon nom. Belram De Carne. Je devins sa fille adoptive et j'appris énormément de choses a ses côtés, notamment l'art du combat au sabre, le combat a mains nues et les sciences. En échange.. je lui apprenais la pêche.
Nous avions eu de bons moments, passé beaucoup de temps ensemble mais tout ce qu'il avait pu me raconter pendant toutes ces années j'avais envie de les voir désormais. Il m'a fallut plusieurs semaines avant d'avoir le courage de lui avouer mes intentions. Il fut attristé mais il m'encouragea de son mieux pour que je puisse commencer ma propre existence. Quand le bateau débarqua enfin pour se réapprovisionner, je descendit a quai avec mon sac rempli des cadeaux de mon père, prête a partir à l'aventure.
Aujourd'hui encore, je n'ai pas eu le courage de retrouver mon père adoptif... de peur de le décevoir. D'ailleurs je ne sais pas où il se trouve maintenant. Et il est peut être mieux qu'il ne voit pas ce que je suis devenu... car aujourd'hui je peux le dire: je suis une pirate.
CHAPITRE 4:" Hey Ho Hey Ho a pirate life for me"Il était facile de trouver un travail à Duralas. J'ai enchaîné les petits boulots sans importance, tantôt serveuse dans un taverne miteuse, tantôt vendeuse dans un bazar. Rien de bien intéressant et avec des personnes bien moins chaleureuse de Mr De Carne. Et puis finalement, je fis la rencontre d'un homme surprenant: un capitaine de navire. Je fut embauché aux cuisines et je retrouvais l'extase des grands espaces maritimes qui m'avaient tant manqués. Au fur et à mesure des discussions avec le capitaine, j'ai réussit a apprendre qu'il était chasseur d'épaves et je lui offrit mes services. En tant qu'abyssale j'étais capable de plonger bien plus loin de ses marins.
Je devins la meilleure chasseuse d'épave du bateau, m'attirant la sympathie de l'équipage et les rendant riches, ou du moins leur offrant la possibilité d'acquérir bien plus de richesses que d'habitude. Après quoi nous revendions notre butin à terre, tel des pirates.
J'aimais cette vie, j'aimais cette ambiance. J'aimais la mer et j'aimais mon travail.
Il se passa quelques années avant le capitaine ne vieillisse... et finisse par devenir inutile. Il prit donc sa retraite, confortable grâce aux richesses amassées. Il me fit cadeau de son navire mais l'équipage préféra partir, pas vraiment convaincu par mes capacités a les diriger. Qui pouvait bien leur en vouloir après tout, je n'étais encore qu'une gamine d'a peine vingt cinq années... Ma vie se poursuivit calmement, poursuivant mes rapines sur des épaves noyées.
Jusqu'au jour où le navire coula...
Il était vieux et je n'y connaissais pas grand chose. Une mauvaise manoeuvre dans une tempête. La coque éclata et mon chez moi sombra, devenant une épave sous marine à son tour.
Aujourd'hui je suis à la recherche d'un nouveau navire, pour poursuivre ma vie mais surtout: je cherche qui je suis. D'où je viens? Qui sont les miens? Sont-ils tous comme moi? Aujourd'hui un tout autre but n'amine... mais je sais que le mettrais du temps avoir d'avoir les réponses a mes questions.
Mais... A-t-il un rêve?
Mon rêve est de devenir la pirate la plus connue de Duralas. Mais aussi de connaître mes origines...