Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : Loli
Âge : 18 ans
Classe/métier : Terminal
Hobbies/activités : Sports de combats, courir, cuisinez.
Couleur préférée : Bleu
Opinion sur le forum : Il a l’air très travaillé
Comment as-tu connu ce forum ? Grâce à ma sœur, Raphaelle Hiroma
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Nila Masakio
Âge : 20 ans
Sexe : Femme
Race : Loup-Garou
Classe envisagée : Barbare
Ce qu'il aime : La chasse, les rassemblements au tour du feu, les plats chauds et copieux, voyager, la bière et l‘hydromel, les belles armes.
Ce qu'il n'aime pas : Les autres loup-garou.
Situation amoureuse : Célibataire
Code du règlement :
Ceci est mon histoire ! (validé par Dougal)
Voie Standard ou Voie Spécialisée ? Standard
{Facultatif} Un pouvoir particulier ? (Vous pouvez décider d'attribuer à votre personnage une faculté surnaturelle, hors du commun. Vous pouvez l'indiquer et l'expliquer ici OU l'expliquer plus en détail dans votre description physique/mentale/histoire. Attention, si une compétence est jugée trop abusée, on sera en droit de vous la refuser. Pour vous donner des idées, voir ici ~~>
Grand Livre de la magieSouhaitez-vous activer le mode hardcore pour votre personnage ? Non
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Nila est une grande beauté brute et froide à cause de son visage très peu expressif. Elle a de longs cheveux bruns tirés en arrière dans une queue-de-cheval, maintenue par une lanière en cuir. Son visage est légèrement triangulaire à cause de son menton pointu. Elle a des yeux bleu clair qui donnent l’impression de vous transpercer d’un regard. Elle a des peintures de guerres sur le visage. La plus grande est une croix de couleur rouge foncé, partant de son front jusque sur ces pommettes, se croisant entre ces yeux. Son nez donne du caractère à son visage ainsi que ces lèvres rose et pulpeuse. Elle porte une armure de cuire et de peaux qui moule son corps et ces formes de femme, avec une grande et chaude cape en fourrure.
On sait tout de suite en la voyant d’où elle vient et qu’elle a un fort caractère, une froide détermination. C’est quelqu’un d’intimidant de par sa carrure mais aussi par son maintien, droit, fière et déterminé.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
En apparence, elle est froide mais à l’intérieur, elle bouillonne. Elle s’énerve facilement et elle a la taloche facile. Elle est intelligente mais c’est largement compensé par son côté impulsif. Le raisonnement inverse est vrai car il faut peu pour la contenter. Une bonne boisson avec un plat chaud et copieux qui lui permet d’affronter le froid des contrées d’où elle est originaire. Franche, elle dit ce qu’elle pense sans détour. En cas de conflit, pour elle, cela se règle par un affrontement à mains nues et le perdant doit reconnaître devant témoins avoir perdu et s’être trompé. Dans un combat sanglant, elle a du mal à se maîtriser à cause des instincts bestiaux du loup qui sommeille en elle, surtout à la proche de la pleine lune.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
Je suis née tout au nord du pays, parmi une tribu nomade, dans les Montagnes Sombres de Kanaan, près de la banquise. J’étais la fille du chef de notre tribu. Dès mon enfance, je montrai du talent pour le maniement des armes et le combat. Rapidement, on devait se rendre utile car la vie est difficile dans ce grand froid. J’appris donc à chasser très jeune. Il faut des yeux de lynx pour repérer une proie, car les animaux se camouflaient grâce à leur pelage blanc comme neige.
Je passais donc des heures, accroupies dans la neige, un arc à la main et une flèche encochée. Dès que j’apercevais une proie, j’attendais le bon moment pour l’abattre. J’avais avec moi, un très grand sac qui me permettait de récupérer directement sur place la viande et les peaux, ce qui pesait déjà lourd dans certains cas.
Je rentrais le soir et je préparais le repas avec d’autres membres de la tribu. Les tâches étaient réparties en fonction de nos capacités et non de notre sexe. Après toute la tribu s’installait autour d’un grand feu au centre de nos tentes en peaux d’animaux. On se racontait des histoires, des légendes et on se chamaillait.
Ce que nous ne pouvions pas produire, on l’achetait. Une ou deux fois par an, nous traversions les montagnes pour revendre nos peaux et d’autres produits artisanaux. C’est pendant l’un de ces voyages, qui s’est passé très récemment, qu’une nuit de pleine nuit, mon père vint me réveiller et me tira hors de la tente. Une fois dehors, j’aperçus une masse sombre, poilue et griffue sur deux pattes entrain de déchiqueter un des hommes de la tribu.
Je saisis la première arme à ma portée et je me jetais sur la masse en criant. Alors qu’il venait de repousser l’homme en lui déchiquetant la gorge, je plantais la pointe de mon arme dans son torse velu. La créature était bien plus grande que moi et sans effort, elle m’agrippa, enfonçant ces griffes de mes bras et me tira contre lui, c’est alors qu’il me mordit sauvagement l’épaule avant de me griffer, ce qui en plus de me déchiqueter le ventre me projeta un peu plus loin.
La dernière chose dont je me souviens clairement était d’avoir heurté le sol. La suite ne fut qu’un mélange d’atroces douleurs, de chaleur comme une fièvre, de cris et de gémissements. Parfois un souvenir plus précis me revenait mais je crus délirer car mon corps était parfois déformé et velu. Je restais une semaine dans cet état, mais j’avais eu l’impression que cela n’avait duré beaucoup plus longtemps.
A mon réveille, on ne m’expliqua rien, on me dit que mes blessures s’étaient infectées mais que avec du repos, je serai comme neuf comme si de rien était. Il me fallut encore une semaine de convalescence avant de reprendre un rythme de vie normale. Étrangement, au fur et à mesure des journées qui passaient, je voyais mieux, j’entendais plus de chose et de plus loin, identique pour les odeurs. Je remarquais que les autres m’évitaient soigneusement et murmuraient sur mon passage, ce qui ne manqua pas de m’intriguer.
Au début, ces changements étaient à peine perceptibles mais au bout de deux semaines, j’étais capable de voir dans le noir comme en plein jour. La semaine d’après, j’étais tendue, nerveuse et agressive sans raison. La semaine d’après, c’était limite si je n’étranglais pas une personne qui venait me parler. Les murmures et les regards qui je suscitais depuis l’incident se firent plus pesant et terrifié.
Un soir, je me sentis très mal j’allais donc me reposé. Le lendemain, je me réveillais à l’extérieur de notre camp, couverte de sang. Attaché à un rocher. J’attendis un long moment, puis mon père suivit de la tribu vint. Ils m’annoncèrent que j’étais devenue un loup-garou et que j’avais involontairement tué deux d’entre nous. Ne s’y connaissant pas, ils espéraient qu'après ma semaine de souffrances, le mal était passé. Ils avaient voté et c’étaient décidés de me bannir au lieu de simplement m’exécuter.
Évidemment, j’étais effondrée, j’avais tout perdu, mon humanité, ma tribu, ma famille … Je pleurais pendant qu’on me détachait. On m’indiqua le sud et on me donna un paquetage avec des affaires qui m’appartenaient et que je pouvais transporter. Sans plus de cérémonie, on m’ordonna de partir sans retour.
Je marchais pendant un moment, en direction du sud réfléchissant à ce que j’allais faire. En même temps, j’apprivoisais mes nouvelles capacités. Je gambadais sous ma forme de Loup, à quatre pattes, au début j’eus du mal à me l’admettre, mais cette forme me plaisait, rapide, puissante discrète.
Malgré ça, finalement, je décidais de trouver une solution pour redevenir totalement humaine, car même si je ne pouvais pas revenir dans ma tribu, je ne désire pas vivre à part et être constamment un danger pour les autres.
Mais... A-t-il un rêve?
Nila cherche à se débarrasser de sa lycanthropie.
"
Les rêves brisés sont le terreau des rêves à venir". Pierre Bottero.