RP Initiatique de @Leigli Delnoch, d'@Utop Libert et de @Raphaelle Hiroma

Désert d'Harena, dans des galeries naturelles, à proximité d'une clairière secrète.

Avez-vous déjà entendu parlé du Repos de Killeen ? C'est une clairière tout à fait charmante de toute beauté située en plein milieu d'une grotte. Le plafond de cette cavité est ouvert et donne sur le ciel. C'est la raison pour laquelle on trouve autant de végétation dans cet espace pourtant enfermé par la rocaille.
Il existe de nombreuses galeries qui mènent à cet endroit, mais elles sont également très dangereuses car remplies de créatures des profondeurs de la terre. Quelques individus ont réussi à atteindre cette clairière, mais ils sont pratiquement tous morts sur le chemin du retour...

Chacun de nos trois aventuriers, le noble "Albus" dérouté Leigli Delnoch, le tueur rancunier Utop Libert et la louve garou aventurière Raphaelle Hiroma, s'est engagé dans l'une de ces galeries pour des raisons qui leur sont propres. Ils ont de la chance, les trois voies empruntées finissent par se rejoindre tôt ou tard. Voyons un peu comment ils vont réagir lors de leurs rencontres.
Que l'aventure commence !



Bonjour, et bienvenue dans votre RP initiatique. Ici, vous allez RP tout en découvrant quelques mécanismes de combat propres à Dùralas. Ne vous inquiétez pas, tout se passera à merveille !

Ce RP débute sur la rencontre de vos personnages respectifs. Vous avez le loisir de discuter et de faire connaissance. Mais attention, un danger guette et il ne tardera pas à vous attaquer.
Vous êtes libre de propulser son arrivée : un bruit dans les buissons, une brindille qui craque, je vous laisse maîtres de sa venue. Mais vous pouvez tout à fait l'ignorer et me laisser, plus tard, m'en occuper.

Vous allez poster chacun à votre tour à la suite de ce message. J'imagine que je n'ai pas besoin de vous dire quoi écrire et que vous allez vous en sortir. N'oubliez pas les 5 lignes requises, mais je ne pense pas avoir de souci à me faire.
Si vous éprouvez quelques problèmes, parlez du contexte ; ce qui vous amène ici. Ça peut rapidement déboucher sur un pan du passé qui vous permettra d'écrire un peu plus. Mais vous n'êtes pas obligés, bien évidemment.

Je vous souhaite belle rencontre !

Cela faisait déjà plusieurs semaines que Utop Libert sillonnait Duralas afin d'y trouver ne serait-ce qu'un bandit à éradiquer. Depuis l'assassinat de son père adoptif pour lequel il n'avait d'ailleurs aucun remords, Utop n'avait pas eu l'occasion de faire couler à nouveau le sang d'un quelconque humanoïde.

 Afin de trouver des brigands, Utop s'était rendu dans la taverne d'un misérable village non loin de sa natale Forêt de Sapins. C'était un petit village qui transpirait la misère. Les rues étaient si désertes qu'après la taverne, l'endroit le plus peuplé était le cimetière.

 L'intérieur de la taverne sentait le moisi, des rats se promenaient librement et un homme dormait dans son vomi. Utop s'approcha alors du gérant et lui demanda :
" Dis moi où puis-je trouver des brigands ! "
Le tavernier semblait ne pas comprendre l'intérêt de cette question et hésita avant de répondre :
" Il y en a quelques uns à trois kilomètres au nord, mais ils sont souvent en mouvement et se déplace à cheval. Vous n'arriverez pas à les suivre.

Utop Libert sortit sans un mot et entreprit son chemin vers le nord. Il repéra des traces des soi disant bandits, mais ceux-ci avaient déjà lever le camp.

La traque d'Utop le mena loin, très loin, mais sa cible était verrouillée, ancrée dans sa tête. Il arriva ainsi dans les cavités menant au Repos de Killeen, mais la trace des bandits avait disparu, comme si quelque chose les avait attaqués. La cavité qu'il emprunta semblait interminable,mais au bout de plusieurs heures, il vit enfin la lumière.
Son étonnement fût total ! Devant lui se dressait une immense et sublime clairière. Elle était si verdoyante que cela semblait impossible que celle-ci ne se trouve dans une grotte. Utop alla donc se poser contre un arbre, la main sur sa hache afin de se reposer un peu.

J'examinais l'entrée d'une caverne au pied d'une colline. Lors de mon voyage, je m'étais arrêté dans un petit village où j'avais entendu parler d'un réseau de galeries qui mèneraient à une clairière magnifique et luxuriante.

Curieuse de voir cette merveille de la nature, le lendemain, je me suis mit en route vers la prétendue entrée, qui fut un peu difficile à trouver à cause du manque de précision des informations données par les paysans. Ils m'avaient prévenus que ces galeries regorgeaient de danger.

Après avoir hésiter un instant, je pris ma forme quadrupèdes. Je m'y sentais plus l'aise pour me déplacer et me battre que avec ma dague. J'avançais dans la galerie qui me mena à plusieurs carrefours. Je choisis le chemin en me fiant à mon flaire, prenant celui qui sentait le moins le renfermé.

Finalement, je débouchais dans une grande clairière entourée de grands murs de roches mais ouvert sur le dessus, laissant passer la lumière du soleil. Le sol de la clairière était recouvert d'herbes grasses. Des arbres fruitiers et des buissons qui donnaient des baies poussaient un peu partout. Elle était coupée en deux par un petit ruisseau qui sortait en cascade d'un des murs de roche pour retourner sans foncer dans les entrailles de la terre à l'autre bout.

Je remarquais que en dessous d'un arbre, un homme, au visage voilé, était allongé, la main sur la garde de son arme. Reprenant ma forme humaine, je me dirigeais vers le cours d'eau pour boire en , faisant attention de ne pas trop approcher de l'homme, qui ne m'inspirais pas confiance à cause de son visage caché et de la lourde arme à sa hanche, qu'il tenait prêt à dégainer.

Le jeune homme répondant au nom de Leigli soupira. Il y avait bien peu de choses qui le mettait mal à l'aise, et ces cavernes avaient le don de l'indisposer. Vivre sous terre était une chose à laquelle il ne se ferait jamais. Etait ce en raison de son passage chez Hazrile et de ses hallucinations? Il n'aurait su le dire. Le silence était brisé depuis quelques minutes, des goutelettes d'eau tombant des stalagtites aux stalagmites. Pourquoi diable était il venu ici? Il aurait dû rebrousser chemin au lac...

Il avait erré de longs mois dans ce désert, et avait appris à maîtriser le mal de mer constant qui l'envahissait sur cette planète. Il n'avait pas rejoint de ville, évité toute habitation. Il avait bien rencontré une elfe, dans la forêt à l'ouest. Mais une créature les avait chargé, et cette lâche créature avait filé dans les arbres. Une créature qu'il n'avait jamais vu, une sorte d'hybride entre l'ours et le hibou... Cela lui avait rappelé les récits des guerres Monstrueuses, mais il s'était raisonné. Il n'était plus sur Palarandra.

Son errance au sein du désert l'avait mené à de terribles tempêtes de sable, qu'il avait pris soin d'éviter à tout pris. Il voulait aller à l'Est. Des tribus -semble t'il barbare- avaient établi campement sur sa route, alors il était monté au Nord. La chance tournant en sa défaveur, des éclaireurs de ces tribus l'avaient vu, et il avait dû fuir dans les collines de sable. Ce désert n'en finissait pas! Durant de longues minutes il avait couru. Soudainement, il avait trébuché, et glissé dans un trou caverneux. Il s'y était caché, pénétrant l'obscure antre salvatrice. Enfin "salvatrice"... Il avait entendu les barbares parler dans une langue qu'il n'avait pas reconnu, mais le ton était clair. Un intrus ne valait pas la peine de se risquer dans ces cavernes. Maudissant sa malchance, Leigli Delnoch s'engouffra dans la noirceur de la caverne.

Il avait marché longtemps. Plusieurs heures, du moins le croyait il. Au bout de quelques minutes dans l'obscurité totale, il avait usé de sa magie -devenue instable depuis son arrivée- afin d'allumer un petit feu autour de sa main. Cela n'éclairait que peu, mais au moins voyait il où il marchait. Au bout d'un temps indéterminé, il tomba sur un lac. Un grand lac sur sa droite. Il eut envie d'y boire lorsqu'un grondement résonnant dans la caverne, provenant des profondeurs, retentit. Il recula doucement et poursuivit sa route, doutant à présent du bien fondé de poursuivre sa route. Pur réflexe militaire. L'inconnu était source de danger. Darokk avait toujours dit d'éviter le danger, d'éviter l'inconnu. Quand on mène bataille, on choisit le terrain, on choisit l'adversaire. C'est choisir de gagner. Aller dans l'inconnu, c'était choisir de risquer sa victoire. Leigli n'était pas totalement d'accord avec ce raisonnement, mais après tout, la base du raisonnement se tenait.

Long fut le voyage. Depuis combien de temps était il là dedans? Depuis combien d'heures, de jours? Se maudissant une énième fois de ne pas avoir rebroussé chemin au lac, il prit un autre virage. Il s'arrêta. Une lumière, au bout du tunnel. Il esquissa un sourire, premièrement d'enfin voir quelque chose d'autre que sa main et de la roc, et secondairement car l'expression "La lumière au bout du tunnel" reflétait bien son cas ici. C'était ironique, mais Leigli reprit son sérieux instantanément. Et s'il sortait et débouchait sur un Xylotrope? Ce serait la fin de son histoire. Et puis finalement, cela serait il réellement négatif?

Prudemment, il avança. Une centaine de mètres avant la sortie, il put discerner les détails. Une sorte de clairière à la pleine lune, avec un arbre et un ruisseau, de ce qu'il pouvait voir. Il crispa la mâchoire. Deux personnes étaient là bas, un homme masqué, une femme buvant de l'eau. Le premier était adossé à l'arbre, deux armes scintillantes. Il ne put détailler ces dernières, la distance empêchant l'Albus de bien voir. Il semblait que ce soit un assassin, ou une personne secrète appartenant à un ordre tout aussi secret. Etait ce le lieu précis d'un rendez vous de castes de l'arrière politique? Quant à la seconde silhouette, c'était clairement une femme. Il frémit en remarquant la rousseur de sa chevelure, mais repoussa immédiatement les quelques souvenirs remontant au présent. Elle n'avait rien en commun avec l'homme. Visage dévoilée, silhouette certes fine, mais ce n'était pas une assassin. Cela se voyait. Lilyana était une assassin, cette femme ne l'était pas. Un militaire voyait ce genre de détails. Longeant le mur qui offrait le plus d'obscurité, l'Albus s'approcha de la clairière. Si c'était un lieu de guilde, il devrait y avoir d'autres personnes, d'autres indices...

Utop Libert somnolait, songeant avec amertume à la piste qu'il avait perdu. Il ne ressentait généralement pas de remords , mais le fait de ne pas avoir atteint ses cibles le rongeait. Ces malfrats allaient continuer de sévir, piller et violer.  Plus il y penser, plus son cœur et son esprit s'emplissaient de haine. Cette haine, c'est elle qui lui donnait sa force, c'est elle qui amplifiait cette folie. La haine se faisait chaque jours plus imposante, plus forte, et rien ne semblait pouvoir la canaliser.
  Soudain, il entendit un bruit non loin de lui, comme si quelque chose était entré en contact avec l'eau de la rivière, il crispa sa main droite sur sa hache. Il songea directement aux brigands, se demandant si par chance il les avait retrouvés.
  Il ouvrit les yeux et regarda discrètement vers la rivière. Face à l'eau se trouvait une magnifique jeune femme rousse, mais il ne se laissa pas tromper par cette créature. Bien que n'ayant pas l'air d'une voleuse, celle-ci attisait sa curiosité.
  Doucement, il se leva, se rapprochant petit à petit, sans le moindre bruit de cette femme. Il était prêt à passer à l'acte, prêt à ôter une vie si cela lui semblait nécessaire. Au moindre mouvement de sa cible, sa hache était prête à s'abattre violemment. Il ne lui restait plus que quelques mètres, mais il arborait déjà son sourire cruel.
  La jeune femme était enfin à sa portée, un seul geste offensif de sa part et la hache se plantait dans son corps. Utop s'exclama alors:

"- Es-tu une une voleuse ? Ta réponse à tout intérêt à me plaire !  

  Son sourire était de plus en plus grand, sa hache fermement maintenue en direction de sa potentielle future victime. Sa réponse avait vraiment intérêt à lui plaire, car bien qu"Utop n'en éprouverait aucun remord, cela serait dommage d’abîmer une si belle femme.

J'entendis, grâces à mes sens surhumains, un bruit en direction de l'homme qui dormait puis un silence, du coin de l’œil, tout en continuant de boire. J'aperçus donc l'homme voilé me menacer de sa hache.

- Es-tu une une voleuse ? Ta réponse à tout intérêt à me plaire !

Je terminais de boire tranquillement avant de me redresser comme si de rien était. Le fait qu'il ne m'a pas tué directement me laissait le temps de le rassurer, malgré le sourire peu rassurant qu'il arborait sur son visage.

-  Non je ne suis pas une voleuse, seulement une voyageuse, ou je me serais faite discret et je serai repartie les poches pleines tandis que les vôtres seraient vides.

J'aperçus derrière lui un homme étrange, qui tentait de se faufiler dans l'ombre, manque de chance, je voyais comme en plein jour.

- Inutile de vous faufiler dans les ombres, je vous vois aussi clairement que l'homme qui me menace devant moi.

Étaient-ils ensemble, est-ce encore un inconnu attiré pour la beauté légendaire de cette clairière regorgeant de vie et de fruits ?

L'Albus s'était arrêté au moment où l'homme encapuchonné s'était approché de la jeune femme. Marquant un temps d'arrêt, il prit soin de noter les détails. Il était à une vingtaine de mètres de l'action. L'homme avait saisi son arme, une hache, et semblait se tenir prêt à... À quoi au juste? À trahir une membre de sa guilde? La vue perspective qu'il avait désormais l'informait qu'ils étaient seuls dans la clairière. Les divers tunnels régnaient dans un silence mystérieux. Reportant son attention sur l'action au centre, il plissa les yeux. La démarche de l'homme était dérangeante. Fluide, silencieuse, et ferme à la fois, ce n'était pas un barbare, mais bel et bien un assassin. Un assassin avec une hache? Etonnant, mais après tout, Lilyana s'était déjà battue avec un fouet...

"Es... Voleuse... tout... me plaire."

La question de l'homme ne fut perçue que partiellement par Leigli. La jeune femme était donc une voleuse, femme de cet homme? Mais pourquoi avançait il avec une hache à la main? Plus que ça, désormais à une dizaine de mètres de la sortie, conservant sa position dans l'ombre, le jeune Albus pouvait discerner un sourire sur le visage de l'homme. Un sourire qu'il connaissait. Un sourire qu'il avait déjà eu. Il frémit. Le sourire d'un assoiffé de sang. Le sourire de celui qui aime la couleur, la senteur, et le goût du sang qui coule de l'acier. Il frémit une seconde fois. Il n'était pas l'homme de cette femme, ou alors était ce une relation bien spécifique dont il ne pouvait deviner les clauses. Tant était il que la situation portait à confusion. Etait il en train de menacer une femme sans défense? Ou bien de trahir sa caste en assassinant une de ses membres? Ou encore jouait il de sa femme? Leigli se mordit la lèvre. Comment interpréter une chose qui admet une infinité de possibilité? Inévitablement, il repense aux nombreuses équations mathématiques/physiques auxquelles avaient été confronté tous les scientifiques de Palarandra. Diverses variables, dont l'association amenait à un problème insolvable, et dont aucun antécédent mathématiques ne pouvait aider, voire n'existait.

"... ne suis pas une voleuse, ...geuse, ... Discrète ... serai ..partie... pleines ... seraient ..."

Le jeune homme n'était désormais qu'à une dizaine de la clairière. Il semblait que la jeune femme ne connaisse donc pas l'homme. Mais bon sang, qui étaient ces deux fichus personnages? Où diable était il? Et de quoi parlait elle? Partir pleine? En étant dicrète? Leigli repoussa violemment ces pensées. Ne pas se déconcentrer. La situation changeait. Une confrontation entre un homme sadique et meurtrier, et une femme... Une femme étonnament calme face à une telle menace. Cachait elle un jeu tout aussi meurtrier, ou était elle stupide et folle au point de ne pas s'inquiéter d'un tel homme? Leigli plissa une nouvelle fois les yeux. Elle avait un corps svelte, bien taillée, il devait l'avouer, même si sa rousseur le dérangeait. Ce n'était pas une guerrière. En revanche, quelque chose en elle clochait. Il n'aurait su dire pourquoi, mais elle lui rappelait l'elfe qu'il avait rencontré quelques semaines auparavant.

" Inutile de vous faufiler dans les ombres, je vous vois aussi clairement que l'homme qui me menace devant moi. "

Leigli sursauta. Oui, quelque chose clochait en cette femme, cette femme qui le regardait à travers l'obscurité. Une hybride. Voir dans le noir était réservé aux mages très puissants, comme Hazrile, ou aux hybrides sur Palarandra. Les hybrides étaient des humains infectés par certains monstres en particulier. Ils étaient rares, car beaucoup mouraient de l'infection, car leurs corps ne tenaient pas le choc. Mais leur puissance n'admettait aucune concurrence avec les autres humains. Leigli n'en avait jamais rencontré, mais Hort en avait déjà éliminé un bon nombre, les jugeant avec Lidya d'hérésie envers la Couronne. Quoi qu'il en soit, il était découvert. Et il comprenait enfin la situation. L'homme et la femme ne se connaissait pas. L'homme était un assassin meurtrier, tandis que la femme était une hybride, ou quelque chose s'en rapprochant. Ils ne se connaissaient pas. Trois inconnus, dans un endroit que lui même ne connaissait pas. Leigli hocha silencieusement la tête et se redressa. Se tenant droit, il s'avança lentement en marchant, fixant de ses yeux mauves les deux protagonistes. Ses cheveux blancs pâles volant derrière lui, il avait la main gauche sur la dague accrochée à sa ceinture, la seconde le long du corps. Un seul mouvement de l'homme, et son Armure s'activerait, du moins l'espérait il. Ce monde était si instable par rapport à Palarandra... Que nenni, il n'avait pas besoin de son Armure. L'homme était assez loin, il aurait le temps de libérer ses pouvoirs de glace et de l'arrêter avant qu'il n'atteigne l'Albus. Quant à la femme, que penser? Elle ne semblait pas belliqueuse, et Leigli n'aimait pas tuer les femmes. Si ce n'est Deeze, il avait toujours marquer un point d'honneur à garder les femmes en vie. L'image du corps de Camis traversa son esprit, et il crispa la mâchoire. Sa voix en fut impactée, se sentant tendue au début de son discours, puis se fluidissant au fur que l'image disparaissait.

" Lanos à vous, et qu'Hexus vous soit bénéfique, Créatures. Je suis Leigli Delnoch, Albus Forteresse. Qui est donc l'hybride femme à qui l'obscurité est clarté, et l'homme dont la soif de sang ne dépasse pas l'honneur? "

Ce qui surprit le plus Utop Libert ne fût pas la façon dont la femme se redressa, ni même son incroyable calme, mais plutôt sa beauté. Durant son voyage, il n'avait croiser que peu de femmes et celles-ci n'étaient en rien aussi belles que celle qui calmement osait se dresser face à lui. Jamais Utop n'avait vu des yeux si verts et une chevelure si colorée.
 La femme répondit à la question, Utop allait enfin savoir si du sang allait couler, si sa soif serait soulagée, mais contre toute attente la femme répondit ceci :

" Non je ne suis pas une voleuse, seulement une voyageuse, ou je me serais faite discret et je serai repartie les poches pleines tandis que les vôtres seraient vides."

 Mais avant qu'Utop ait le temps baisser son arme ou bien même de répondre quoique ce soit, la femme ajouta en haussant le ton :

"Inutile de vous faufiler dans les ombres, je vous vois aussi clairement que l'homme qui me menace devant moi.

 Utop Libert se tourna alors vers la direction que fixait la femme, à quelque mètres de là, dans l'obscurité se trouvait quelqu'un. Il mit un peu de temps avant de remarquer une silhouette se décrocher de l'ombre. Il ne pouvait distinguer si cette personne était un homme ou bien une autre femme, mais une voix se fit alors entendre :

" Lanos à vous, et qu'Hexus vous soit bénéfique, Créatures. Je suis Leigli Delnoch, Albus Forteresse. Qui est donc l'hybride femme à qui l'obscurité est clarté, et l'homme dont la soif de sang ne dépasse pas l'honneur? "

 Cet homme, Utop en eut un léger frisson dans le dos, cet homme parlait comme une sorte de mage... Oui c'est ça ! Il parlait comme quelqu'un maîtrisant la magie. Utop serra alors sa hache plus fortement dans sa main. Mais dans ces paroles, quelque chose d'autre l'interpella, quelque chose de plus dangereux dans l'immédiat. "L'hybride femme" ? Qu'est ce que cela signifiait ? Utop comprit alors que cette femme aussi était bien plus dangereuse qu'il ne le pensait. Elle faisait sûrement partie de ces humanoïdes pouvant prendre une apparence animale, tout cela sonnait comme une hérésie à son oreille.
 Il se tourna de nouveau vers la femme, d'une façon un peu brutale et demanda d'un ton enragé :

"Qui es-tu ? Quel genre de monstre es-tu ?

L'homme avança au claire de la lune. Son physique était aussi étrange que sa manière de nous salué. Je n’appréciais pas qu'on soulève mon côté loup plutôt que mon côté humain. La seule différence entre nous, c'était que je pouvais changé de forme à volonté.

L'homme voilé, après avoir aperçus l'homme que je venais d'interpellé, prit la parole et me blessa davantage. Mon visage se fit plus dur tandis que je me drapais dans ma fierté blessé.D'une voix où pesait tout l'autorité, je répondis:

- Vous allez tout de suite vous calmez. Je suis aussi humain que vous, j'ai hérité de certains don de mes parents, c'est tout.    

Elle le foudroyait du regard, un regard qui ferai même baisser les yeux à un ours en rogne. Au vu de la salutation de l'homme aux cheveux pâles, ils ne semblaient pas se connaitre mais je n'en étais pas encore sur.

Je me tenais prête à bondir où cas la situation dégénérerais.

Après son entrée, Leigli avait vu l'homme masqué se retourner, et se figer. Il aurait presque pu deviner son visage pâlir derrière le tissu. Leigli avait toujours considérer les personnes qui se masquaient comme des personnes ayant peur de leur nature. Réalité ou cliché, l'Albus avait simplement remarqué que, bien souvent, cette théorie se vérifiait. En revanche, quelles pouvaient être les raisons de cet homme pour ainsi réagir? Certes, il avait voulu être surprenant, paraître sûr de lui, et imposer ses pensées, découvrant aux personnages qu'il savait leur nature. Et il avait deviné juste. Il ne remercierait jamais assez Darokk pour son enseignement.

" Qui es-tu ? Quel genre de monstre es-tu ? "

" Vous allez tout de suite vous calmez. Je suis aussi humain que vous, j'ai hérité de certains don de mes parents, c'est tout. "

Bien. Très bien. La situation ne pouvait être plus parfaite pour l'Albus. Son entrée avait sans aucun doute déstabiliser les deux personnages devant lui. D'un côté, la jeune femme, découvrant ses plus profonds complexes, semblait se tendre contre l'homme qui, lui, ne comprenait plus, sentant la situation lui échapper. Seul détail qui le fit tiquer, l'hybride l'incluait dans ceux qui ne tolèrent pas les hybrides, les nommant de "monstres" comme l'avait fait l'assassin. Ce n'est pas ce qu'il avait voulu dire. Les hybrides ne sont pas forcément des créatures mi humaines mi autre chose. Mais la jeune femme semblait réellement avoir dévoilé un sujet sensible. Quant au jeune homme, il avait parlé d'une voix brutale, braquée. Intéressante réaction, comme s'il l'avait épargnée en pensant épargner une humaine. Le terme de "monstre" allait dans ce sens. Intéressant intéressant... Il nota toutes ces informations dans un coin de son crâne. Tout serait bon pour s'échapper du mauvais pas qu'il avait commis en s'approchant de cet endroit. "Quand tu n'as aucune réponse, ni aucune question, créer des tensions sur les fauteurs de trouble, et ainsi, tu deviens invisible, jeune Albus." Lilyana lui avait appris bien des choses. Certaines stupides, d'autres incroyables... Laissant les deux jeunes gens se répondre, l'Albus se recula doucement vers la paroi lisse de la pierre derrière lui. D'ici, il pouvait examiner le décor. Une clairière au sein d'une grotte, avec un plafond ouvert. C'était magnifique, réellement. Une rivière censée être souterraine qui nourrissait arbre et fleurs. Le soleil tapait la petite clairière, alors que les tunnels créaient des trous sombres dans la merveilleuse image que donnait cette vision. Alors qu'il contemplait le paysage, et que les deux personnages au centre de ce dernier se faisaient face, l'Albus eut un léger frisson. Derrière lui. Un bruit, non un grondement. En silence, il jeta un regard dans le tunnel par lequel il venait d'arriver. La créature du lac? Non. Ce n'était pas possible. C'était un grondement différent. Et plus proche. Il quitta la paroi lentement, ne voulant pas alerter les autres protagonistes.

Utop se trouvait face à un dilemme embarrassant... La jeune femme qui se trouvait face à lui semblait cacher quelque chose, Leigli avait en effet prononcé le terme "hybride" pour désigner celle-ci et cela ne semblait pas lui plaire. De l'autre cette femme n'avait pas vraiment l'air si dangereuse que ça, à plusieurs reprises elle aurait pu essayer de s'en prendre à Utop. De plus, même si elle était vraiment une hybride, Utop ne la considérait pas plus menaçante que le mystérieux homme tapis dans l'ombre. Son choix fût donc de baisser sa hache et de ne point attaquer cette potentielle alliée avec qui il n'avait pas forcément eu la meilleure approche, mais celle-ci pouvait bien comprendre que cette réaction était purement instinctive et défensive.

 Utop tenta alors une approche maladroite mais moins agressive :

"Allions-nous cela vaudrait mieux en ces lieux."

Puis se tournant vers Leigli et s'écria plein de rage :

" Toi là bas, ose donc t'approcher !

L'homme voilé parut se radoucir un instant, avant de me proposer une "alliance ". Une alliance pourquoi je l'ignorais. Pour qui se prenait-il pour insulter quelqu'un puis lui demander son aide, sans aucune excuse. Je me tint bien droite, fière et un peu hautaine, je dois l'admettre, dédaignant cette homme dont les paroles venaient de me blessé.

De toute manière, avant que je lui donne mon avis, Il s'était retourné vers l'autre homme qui se cachait dans les ombres, l'interpellant de nouveau avec la même rage et impolitesse.

- Toi là bas, ose donc t'approcher !

A peine eut-il finit de parler, qu'un grondement me parvint des cavernes proches de nous. J'observais la réaction de deux autres pour voir si ils avaient entendus, mais personne ne sembla réagir

- Quelque chose semble venir des tunnels.

Combat 1 ~ Ordre du combat et Rapidité (bonus)


La discorde règne entre ces trois aventuriers ; chacun se méfie de tout le monde et bien qu'ils soient vigilants entre eux, ils n'ont pas perçu les créatures qui les guettaient.

Tout d'abord, il y eu des ghûls, des créatures pernicieuses, laides et très rapides et agissant en groupe. Elles ne sont pas non plus très résistantes, mais elles sortent chasser en troupe imposante et peuvent provoquer des dégâts monstrueux. Heureusement, les quatre qui ont émergé de sous-terre pour s'attaquer aux deux individus plantés pas loin de l'arbre ne sont pas très puissantes. Leurs griffures ne sont pas très profondes, mais elles peuvent bien handicaper les cibles.

Ensuite, le sol a tremblé et les rochers sous terre et à la surface se sont rassemblés pour former deux apparences humanoïdes imposantes et quelque peu déformées. Des élémentaires de terre, des créatures animées par la magie. Laquelle ? Peut-être celle d'un magicien aux environs, celle provenant d'un maléfice ou d'un sortilège ayant mal tourné. De nombreuses raisons existent, mais nous n'en savons pas plus sur ces deux êtres agressifs. Ceux-là sont l'opposé des ghûls ; très résistants, très lents et puissants.
L'un d'eux s'est formé pas loin de l'homme des ombres tandis que le dernier s'est servi de la paroi avoisinant le mage du groupe pour prendre position à côté de lui et l'attaquer. Voilà un gros combat en perspective...


 

 L'équipe des ennemis commence le combat

 Vitesse des joueurs : 297

 Joueurs :

 Leigli Delnoch : 115
 Vitesse : 144
 Dégâts : 34
 Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre

 Utop Libert : 105
 Vitesse : 77
 Dégâts : 44
 Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre

 Raphaelle Hiroma : 165
 Vitesse : 76
 Dégâts : 90
 Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre


 Ennemis :

 Vitesse cumulée des ennemis : 900

 Ghûl A : 30
 Vitesse : 220
 Dégâts : 5

 Ghûl B : 30
 Vitesse : 220
 Dégâts : 5

 Ghûl C : 30
 Vitesse : 220
 Dégâts : 5

 Ghûl D : 30
 Vitesse : 220
 Dégâts : 5

 Élémentaire de terre A : 100
 Vitesse : 10
 Dégâts : 20

 Élémentaire de terre B : 100
 Vitesse : 10
 Dégâts : 20


Ghûl A attaque Raphaelle à 5.
Ghûl B attaque Raphaelle à 5.
Ghûl C attaque Utop à 5.
Ghûl D attaque Utop à 5.
Élémentaire de terre A attaque Utop à 20.
Élémentaire de terre B attaque Leigli à 20.



Vous voici en situation de combat. L'équipe ayant la vitesse la plus élevée tape en premier lors du tour. C'est pour cette raison que vous venez d'être attaqués dès le début du combat.

Comment cela va se passer ?
Votre but est, bien évidemment, de vous défaire de vos ennemis. Vous allez le faire à l'aide de dés. Ces dés sont lancés juste après que vous postiez votre réponse (ce n'est pas possible avec la réponse rapide).
→ Lors de l'écriture de votre réponse (encadré "Poster une réponse"), vous pourrez choisir de lancer des dés via l'encadré "Actions". Là, vous avez une liste grâce à laquelle vous pouvez choisir le type de dé à lancer. Habituellement, on lance le dé de race (pour Leigli et Utop le dé "humain" et pour Raphaelle le dé "Thérianthrope"). Certaines classes ont le droit à leur propre dé, mais ça ne nous concerne pas.
→ Une fois le type de dé choisi, vous ajustez le nombre de lancés. Vous n'êtes autorisés à ne faire qu'une seule attaque à moins que votre vitesse soit 3x supérieure à la vitesse d'un ennemi (ce qui est votre cas face aux "Élémentaires de terre"). Vous laisserez le 1 dans la case, ou vous mettrez 2 si vous êtes autorisés à lancer 2 dés.
→ Indiquez en fin de message entre crochets quel ennemi vous attaquez : [Attaque Élémentaire de terre A]
→ Certains joueurs après leur(s) lancé(s) éditent leur message afin d'écrire la conséquence de leur attaque. Personnellement, je n'en vois pas l'intérêt et je préfère le décrire le tour suivant. Mais vous êtes libres de faire comme vous voulez.

Note : Vous pouvez dissocier vos dés si vous attaquez un ennemi contre lequel vous avez le bonus "Rapidité". C'est-à-dire que vous pouvez, contre les Élémentaires de terre, décider qu'un des dés est pour l'Élémentaire A et que l'autre pour l'Élémentaire B. Il vous suffit de préciser entre crochets votre attaque : [Élémentaire A et Élémentaire B].
Vous pouvez aussi faire deux actions d'attaque (vos dés) au lieu de faire deux lancés pour une seule action (il y a un petit + à côté de la case pour ajouter une action). Vous n'êtes pas obligés de le faire ; les deux résultats seront séparés au lieu d'être collés. Vous faites comme vous voulez, mais attention à bien choisir votre dé de race.

N'oubliez pas que vous venez d'être attaqués ; vous pouvez décrire dans votre message ce qu'il vient de se passer.

Il ne me reste plus qu'à vous souhaitez bonne chance.
Ne vous inquiétez pas pour vos blessures après le combat ; je vous soignerai


PS : Excusez-moi pour le temps de réponse, mais j'avais une semaine super chargée (stage conduite) et j'étais trop crevé le soir pour m'atteler entièrement à l'écriture de ce message.

Stupidité. Stupidité, naïveté et faiblesse. Leigli se rendit rapidement compte qu'il avait fait preuve d'une stupidité déconcertante. Pourquoi s'était il ainsi focalisé sur les deux personnages sous l'arbre, alors que des monstres semblaient encercler cette zone ? De plus, il avait clairement entendu un grondement. Faisant fi des dires de l'homme encapuchonné et ceux de l'hybride, il s'était bel et bien écarté de la paroi. Réflexe non pas militaire, mais sûrement un réflexe de survie.

En effet, peu après avoir quitté la paroi, cette dernière frémit, et se mit à se mouvoir lentement. Bien qu'avec une extrême lenteur, un monstre s'emparait de la portion de paroi contre laquelle il s'était appuyé quelques secondes auparavant, Leigli fut touché par ce qui semblait être le poing de la créature. Son Armure n'étant plus fonctionnel, il sentit sa chair s'ouvrir sous la pierre destinée à le broyer. Dans le feu de l'action, l'Albus ne put analyser plus que cela la situation, et fit une rapide roulade sur le côté, s'éloignant de la créature. Sa tunique avait été lacérée, et son abdomen était rouge, du sang perlant de quelques légères plaies. Comment de la pierre pouvait couper ? Avait elle plutôt arraché sa tunique ? Leigli repoussa cette pensée. Sa roulade n'était pas anodine. Prestige de son entraînement passé, il sut qu'il était parfaitement bien placé. A quelques mètres de son agresseur, il jeta un coup d’œil aux alentours. Bien. Très bien. Il était légèrement touché, et son souffle ne souhaitait pas se calmer, suivant le rythme de son cœur. Néanmoins, il était loin d'être le plus en danger. Les deux autres humanoïdes étaient encerclés d'étranges créatures qui firent frémir l'Albus. Ce monde était donc ainsi. Des Monstres. Des sortes de nécrophages, ainsi qu'un golem, une montagne de pierre vivante. Ils étaient en danger, mais Leigli n'y pouvait rien en cet instant. Une petite voix lui susurra que sa vie était bien plus précieuse, un monde dépendant de lui. Il grogna. Non, il ne se sauverait pas. Leigli avait beau être un lâche et un fuyard, il était pourvu d'un sens extrêmement aigu de la justice. Il se tourna à nouveau vers l'élémentaire de terre lui faisant face. S'en débarrasser ne devrait poser aucun problème. En théorie. Cependant, la magie de ce monde lui était encore bien étrangère. Sur Palarandra, il maîtrisait la magie de l'air et de la glace. Mais ici, sur cette Terre qui voyait encore apparaître d'aussi puissant monstre ? Quoi qu'il en soit, il détruirait cet élémentaire.

Au fond de lui, l'Albus héritier était fortement intéressé par sa soudaine découverte. En effet, son père, Hort, avait lui même éradiqué la menace des Monstres sur Palarandra, avant de s'emparer plus tard du trône royal. Leigli n'avait jamais vu les Monstres auxquels sont paternel avait été confronté. Et il se retrouvait ainsi, alors que son père ne réclamait que sa mort, devant un élémentaire de terre, les seuls à être aussi lent que stupide. Il n'y en avait plus sur Palarandra, étant tous retournés à l'état de cailloux inertes. Son esprit bouillonnait d'excitation. Il rencontrait l'un de ses Monstres, et comprendrait sûrement la réflexion d'Hort sur comment les vaincre. Il se désillusionna cependant rapidement. Cet élémentaire était bien plus petit que ceux qui avaient existé chez lui. Il atteignait à peine les trois mètres, alors que la moyenne estimée sur Palarandra avait été d'une dizaine de mètres. Leigli inspira profondément. La guerre revenait à lui. Il n'aimait pas se battre, s'était promis de pacifier Palarandra. Les horreurs des conflits militaires, massacre, pillage, viol... Tout cela le hantait avec une tenace régularité chaque nuit où il fermait les yeux. Jamais il ne s'était pardonné pour Deeze, l'image de cet enfant aux magnifiques yeux bleu le poursuivait sans arrêt. Il expira doucement. Calme, son esprit se vida lentement de toutes réflexions nuisibles. Décidé, il plongea son regard mauve dans ce qui semblaient être les yeux de la créature, jaunes.

Un silence glacial avait pris possession de ses pensées. Comme chaque fois où il avait combattu, il analysait à toute vitesse dans un silence déconcertant pour lui même. Un silence intérieur. L'élémentaire était lent. Grand, puissant, mais lent. Leigli aurait donc l'avantage s'il parvenait à lui faire subir des blessures contraignant son déplacement. La glace ne vaincrait pas la roche, il en était persuadé. L'air ? Un air cinglant les jointures de la créature pourrait s'avérer dévastateur. Un éclair ne suffirait pas non plus. Pour ce qui était du feu, Leigli ne l'avait jamais totalement maîtrisé, comme l'éclair finalement. Et puis contre un élémentaire de terre... Dans l'urgence, il opta pour une rafale d'air comme il savait si bien les produire.

L'air était un amas de molécules toutes différentes les unes des autres. De l'oxygène, de l'azote, de l'argon... Même un peu d'eau, car la rivière était proche. À température ambiante, pression stable. Un diagramme de phase laisserait penser que l'air pouvait être condensé pour créer un solide, mais Leigli ne s'avança pas aussi loin. Il n'était pas sûr des caractéristiques de son environnement. La magie de l'air était un ajout de pression dans l'air ambiant, ce qui augmentait donc les caractéristiques et les interactions des molécules. L'air devenait alors le parfait opposé d'un gaz parfait n'admettant aucune interaction inter-moléculaire. En tant que militaire scientifique, Leigli savait parfaitement comment sa magie pouvait se comporter en si peu de distance. Arborant un léger sourire alors que son regard mauve admettait un léger scintillement, il leva les deux mains devant lui, lançant sa réponse contre la précédente attaque de ce monstre. Son objectif était simple : Sa main gauche enverrait une première rafale de vent sous pression, à température basse autant que possible, puis la seconde, quelques secondes plus tard, enverrait une puissante rafale d'air cette fois ci chaud, recherchant un point critique qu'il n'avait encore défini.

[Attaque 1 Elémentaire de terre B]
[Attaque 2 Elémentaire de terre B]

Le membre 'Leigli Delnoch' a effectué l'action suivante : Actions

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#1 'Attaque - Humain' :


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#2 'Attaque - Humain' :

A peine avait il finit sa phrase que plusieurs silhouettes difformes apparurent de toutes part. Des monstres à l'apparences de cadavres se dirigeaient droit vers Utop et la jeune femme. Il n'eut pas le temps de réagir car le sol se mit soudainement à trembler sous ses pieds et une masse gigantesque commençait à se former. Un amas de pierre volaient et s'assemblaient afin de former un être se tenant sur deux jambes tels un homme, mais faisant quasiment deux fois la taille d'Utop. Sa surprise fût telle face à cette créature qu'il en baissa complètement sa garde et deux des petites créatures lui sautèrent dans le dos, lui lacérant les épaules.
 Soudain, le monstre de terre lui mis ce qui pourrait être interprété pour u coup de poing dans les côtes. Ceci eut pour effet de faire tomber non seulement les créatures accrochées à Utop mais aussi Utop lui même. Il avait le souffle légèrement coupé, mais se redressa tout de même. Sa douleur était forte, mais sa haine l'était d'autant plus. Il croyait Leigli responsable, mais en se tournant vers lui prêt à lui hurler dessus, il se rendit compte que même le mage se faisait attaquer par un de ces colosses.
  Utop se tourna alors plein de rage vers le colosse qui venait de le blesser, récupéra sa hache et sourit comme à son habitude. Il savait que sur ce coup là, seul son sang coulerait et que si il venait à mourir, ce serait une belle mort, une mort dans la bataille et non dans la maladie ou la vieillesse, une mort dans la force et non dans la soumission.
  Il chargea donc cette affreuse chose afin de lui asséner plusieurs bons coups de hache.

[Attaque 1 Elémentaire de terre A]
[Attaque 2 Elémentaire de terre A]

Le membre 'Utop Libert' a effectué l'action suivante : Actions

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#1 'Attaque - Humain' :


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#2 'Attaque - Humain' :

À peine, un instant après que j'eus averti mes compagnons d'infortune, que nous fûmes attaqués. Quatre créatures aux allures de cadavres, de couleur bleuâtre, foncèrent sur moi et l'homme voilé, sortant des cavernes alentours. En même temps, deux immenses amas de rocher de forme humaine, bien que plus grand se formèrent et agressèrent les deux hommes. L'un se dégagea du mur plongé dans l'obscurité derrière l'homme qui avait tenté de s'y cacher. Le deuxième sorti du sol, près de l'homme agressif cette fois-ci. En plus de ce colosse deux des créatures inconnues foncèrent sur lui.

Pour ma part, je devais me débattre avec deux des quatre créatures immondes qui dégageaient une odeur de charogne pourrie depuis des lustres. Elles me lacérèrent les avant-bras et l'une de mes cuisses. N'arrivant pas à me défaire suffisamment pour répliquer, je me transformais en louve des bois, au pelage gris et aux yeux dorés. Je profitais de l'instant de répit donné par ma transformation pour faire tomber l'une des créatures et la mordre de toute la puissance de ma mâchoire.

[Attaque Ghûl A]

(excusez le double post ce n'était pas voulue, c'est une petite maladresse)

Le membre 'Raphaelle Hiroma' a effectué l'action suivante : Actions

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'Attaque - Thérian.' :

Combat 1 ~ Ordre du combat et Rapidité (bonus)


Le combat était violent, mais les trois aventuriers s'en sortaient plutôt bien. Même en grosse infériorité numérique, ils arrivent à se défendre et à rendre les coups qu'ils recevaient. Néanmoins, ils n'avaient pas encore réussi à éliminer un seul de leur adversaire, pourtant ils n'en étaient pas loin.

Les créatures ressentirent le danger et changèrent de stratégie. Elles se montrèrent même un peu plus violentes. Les ghûls changèrent de cible et s'attaquèrent au mage isolé, à quatre contre un elles ne pouvaient que réussir à lui prendre sa vie. Quant aux élémentaires, ils firent eux aussi front commun pour tenter de mettre bien à mal la thérianthrope. Cependant, ils savaient leurs heures comptées puisqu'ils commençaient à sérieusement s'effriter.




L'équipe des ennemis attaque en premier

Vitesse des joueurs : 297

Joueurs :

Leigli Delnoch : 95
Vitesse : 144
Dégâts : 34
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre

Utop Libert : 75
Vitesse : 77
Dégâts : 44
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre

Raphaelle Hiroma : 155
Vitesse : 76
Dégâts : 90
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre


Ennemis :

Vitesse cumulée des ennemis : 900

Ghûl A : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Ghûl B : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Ghûl C : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Ghûl D : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Élémentaire de terre A : 12
Vitesse : 10
Dégâts : 20

Élémentaire de terre B : 15
Vitesse : 10
Dégâts : 20


Ghûl A attaque Leigli à 5.
Ghûl B attaque Leigli à 5.
Ghûl C attaque Leigli à 5.
Ghûl D attaque Leigli à 5.
Élémentaire de terre A attaque Raphaelle à 20.
Élémentaire de terre B attaque Rapahelle à 20.

L'élémentaire de terre encaissa la première rafale sans broncher. Durant un centième de seconde, l'Albus douta. Le vent contre la roche pouvait il être réellement efficace ? Un golem pareil pouvait il craindre les pouvoirs instables d'un mage affaibli ? La seconde rafale fit sursauter le jeune homme. Elle était puissante, plus puissante et plus rapide qu'il n'aurait pu le décider théoriquement. Elle vint frapper le monstre dans la jonction qui semblait lui servir de cou. Le gigantesque monstre eut un mouvement de recul, semblant vaciller et dut déposer un appui en arrière pour rester debout. Il était mal en point, semblant même s'effriter. Non, il ne semblait pas, le monstre s'effritait réellement ! De petits cailloux tombaient de ses épaules alors qu'il s'affaissait petit à petit. Poussant un grondement qui se résonna dans les galeries aux alentours, le monstre effectua un moulinet de son « torse » et balança les extrémités de ses bras autour de lui. Leigli recula vivement, mais rien ne l'atteint si ce n'est poussière et gravillons. Il grimaça. Son abdomen lui était douloureux. Instinctivement, il palpa la chair de sa main gauche. Il sentit peu du fluide sanguin le constituant, mais perçut néanmoins très clairement son corps réagir au précédent coup qu'il avait encaissé. Sur sa peau, il sentait son cœur battre. Fort heureusement, il ne sentit pas d'os cassés. À la première impression, les côtes avaient été épargnées. Son plexus solaire n'avait pas été touché, également. Laissant alors cette plaie insignifiante de côté, l'Albus releva la tête. L'élémentaire était à genoux, il était hors d'état de nuire, du moins l'espérait il. Tournant la tête, il prit un rapide bilan de la situation. L'homme encapuchonné semblait se débrouiller. De ce qu'il pouvait juger, il avait été touché par les créatures visqueuses et bleutées, ainsi que par le second élémentaire. Cependant, il avait visiblement asséné de puissants coups de hache qui avaient porté leur fruit. Le second élémentaire avait basculé, déposant un genou à terre en grondant. Le second élémentaire aussi était donc mal en point, mais représentait toujours une certaine menace. Finalement, l'hybride s'était transformé sous l'assaut des quatre créatures bleu. Un loup se tenait donc dans la clairière, grognant sur les créatures lui faisant face. Du sang perlait dans le pelage du mammifère, et sa posture défensive ne signifiait qu'une chose : De ce côté là, ça n'allait pas.


Un éclat de souvenir surgit dans l'esprit du jeune homme. Un enfant aux longs cheveux blancs courait dans un long couloir. Derrière lui, des cris filtraient d'une densité de bruits de pas. Leigli frissonna. Pourquoi ce souvenir revenait à lui à présent ? Il serra fortement les dents alors que les bruits de pas se transformaient en un harmonieux claquement régulier. Un claquement sourd, un claquement sinistre. Le visage de Lidya apparut alors devant les yeux de l'Albus. Ses yeux gris jugeant sans arrêt la moindre des ses respirations, condamnant le moindre de ses gestes. Un frémissement parcourut la peau de Leigli alors qu'il déposait à nouveau la main gauche sur son abdomen meurtri. Ce souvenir n'était pas anodin. Il baissa la tête et avisa alors sa blessure d'un regard. Il comprit alors pourquoi il se souvenait de cette époque. Au milieu de la plaie, une cicatrice triangulaire trônait sur sa peau. Un minuscule dragon dormait au milieu du triangle rouge. Se souvenant encore du fer rouge s'approchant de sa peau, Leigli ferma les yeux, l'esprit endolori de ces souvenirs.

À peine avait il fermé les yeux qu'un déplacement lourd à sa gauche se fit entendre, l'arrachant de ses pensées. Ouvrant rapidement les yeux, il s'aperçut que l'élémentaire qu'il avait mis à terre s'était relevé, et tenait un rocher dans ses mains géantes, s'apprêtant à la propulser dans sa direction. Immédiatement, et oubliant dès lors sa blessure, l'Albus effectua une seconde roulade plus loin, s'écartant ainsi de l'élémentaire. Le rocher passa près de lui, mais il ne fut pas touché par celui ci. Il l'entendit s'écraser plus loin derrière lui, approximativement au niveau de la louve et des créatures bleutées. N'ayant pas le temps d'y jeter ne serait ce qu'un regard, Leigli leva une nouvelle fois les mains. Devant lui s'offrait un magnifique angle de vue. D'une part, son élémentaire était à gauche, et le second à droite. Il ne suffirait que d'une rafale pour chacun, et les deux élémentaires s'écrouleraient définitivement. Cependant, son abdomen lui faisait mal. Ne parvenant pas à faire abstraction de la douleur physique et émotive dans son ventre, Leigli prit la décision de l'intégrer. Il était rare qu'il doive procéder ainsi, mais il savait associer pulsion et volonté. Du moins, il avait déjà réussi à le faire. Ses doigts se crispèrent alors que ses yeux semblaient s'approfondir, le mauve prenant de l'ampleur tandis que le blanc oculaire reculait perceptiblement. Il ne savait guère quelle sorte de magie sortait de lui lorsque la fureur s'emparait de ses pensées. Le visage sévère de sa belle mère prenant ampleur devant ses yeux, il grogna alors qu'il séparait ses mains, l'une vers le premier élémentaire, l'autre vers le second.

Hort était un mage de foudre. Toute énergie sortant de lui prenait la forme d'éclairs généralement bleutés, mais la couleur pouvait varier. Notamment, ses éclairs s'approchaient du rouge quand il était jeune. Pour une raison inconnue, Leigli n'avait jamais réellement adhéré à un type de magie particulier. Néanmoins, l'air et la glace semblaient être les deux éléments qu'il contrôlait le plus aisément. Mais à cet instant, alors qu'une fureur sortie du passé incombait son être, ce furent deux éclairs mauves qui s'échappèrent des paumes de l'Albus. Les éclairs filèrent à une vitesse folle vers les deux élémentaires. Alors qu'il arrêtait d'influencer sa magie corporelle, il sentit d'insidieuses griffes déchirer sa tunique, lacérer la peau de son dos. Sans regarder le résultat de son attaque, il se retourna rapidement, se retrouvant face à face aux quatre créatures bleutées précédemment sur l'hybride. Leigli ouvrit de grands yeux en  reculant mollement, son dos brûlant atrocement. Les ghûls lui sautèrent dessus, et l'Albus n'eut que le temps de sortir la petite dague en fer qu'il avait dérobé il y avait de cela quelques semaines avant de s'écrouler sur le dos, essayant sans grande efficacité de se débarrasser de ces rapides créatures.


[Attaque 1 Elémentaire de terre B]
[Attaque 2 Elémentaire de terre A]

Le membre 'Leigli Delnoch' a effectué l'action suivante : Actions

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#1 'Attaque - Humain' :


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#2 'Attaque - Humain' :

Utop Libert avait réussi à toucher cette chose qui se dressait devant lui. Elle était bien trop lente pour se défendre face à lui et sa colère destructrice. Le premier coup de hache qu'il lui asséna le surpris, en effet, il n'avait pas l'habitude de frapper une chose faite de magie, une chose qui ne saignait pas. Mais à quoi s'attendait-il venant d'un monstre de pierre ? Toute cette hérésie qui l'entourait lui troublait l'esprit. Entre la femme qui venait de se transformer en loup, cet homme qui créait des rafales de vents, ces monstres de pierre qui l'attaquaient accompagnés de ces cadavres puantes et ambulantes, Utop ne savait plus ou donner de la tête.
  La chose en face de lui semblait vraiment très affaiblie. Il faut dire qu'Utop n'y avait pas été de main morte, il avait donné tout ce qu'il avait face à cette chose, pourtant elle semblait toujours debout. Mais le monstre se mit soudain à s'énerver de plus belle et tenta de le frapper. Il eut peine à lui échapper, mais il comprit alors que cette attaque n'en était pas vraiment une. En effet, la créature maîtrisait l'art de la feinte. Mais comment cette chose faite de roche avait-elle pu faire preuve d'une telle intelligence ? La créature chargea aussi vite qu'elle le pouvait la jeune femme maintenant devenue louve. Celle-ci éprouvait d'ailleurs une certaine difficulté face à la masse de cadavres ambulants qui lui tournaient autour.
 Cependant, les créatures semblèrent effrayées par la charge soudaine de l'amas de roche et prirent la fuite vers le mage.
  Utop ne savait pas comment réagir face à une telle zizanie, le géant de pierre semblait effrayé par lui, les pourritures semblaient effrayées par le rocher mouvant.
  Jamais Utop n'avait été confronté à un tel chaos, à un tel massacre depuis la mort de ses parents et au meurtre qu'il avait commis envers son père adoptif. Ses alliés et lui-même étaient fortement blessés, et la situation semblait vraiment désespérée.
 Utop n'eut pas le temps de s'en prendre à nouveau à l'élémentaire qu'un éclair traversa la clairière et vint exploser l'élémentaire en mille morceaux. Il se tourna vers le mage qui était selon lui le seul être capable d'une telle chose dans la zone et vit que l'autre créature subissait le même sort.
 Mais l'Albus n'avait pas surveiller ses arrières et la horde de macchabées l'avait encerclé, ll'Albus se retrouva vite submergé.  
  Utop eut envie de le laisser à son sort, il avait déjà bien souffert de l'attaque du géant rocheux et des petites créatures l'accompagnant. De plus, cet homme était un mage, un de ces hommes se croyant selon lui supérieurs à la nature en manipulant les éléments comme des armes. Mais Utop ne pouvait pas laisser un hérétique mourir sous le joug d'une autre hérésie. De plus, il était redevable de cet homme qui avait achevé les des monstres de pierre.

  Utop couru donc la hache à la main vers toutes ces créatures qui s'attaquaient à l'homme tombé au sol face à la force de toutes ces choses combinées. Il s'en prit donc à la première créature venue, lui assénant un violent coup de hache, toujours avec ce sourire machiavélique. Il savait que ce coup-ci, du sang allait couler de la bestiole si il ne manquait pas son coup.

[Attaque Ghûl A ]

Le membre 'Utop Libert' a effectué l'action suivante : Actions

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'Attaque - Humain' :

Combat 1 ~ Ordre du combat et Rapidité (bonus)


Après leur assaut face à la thérianthrope, les élémentaires ont été annihilés par la puissance magique de Leigli. Poussière ils étaient, poussière ils sont devenus. Néanmoins, les Ghûls restent toujours en bon état et ne laissent pas une minute de répit aux aventuriers, et en particulier à Raphaelle. Cette dernière se retrouve très vite acculée par les quatre bestioles repoussantes qui la griffent et la mordillent. Ce fut peut-être une bonne idée qu'elle utilise sa forme transformée ; en forme humaine, elle aurait sûrement été déchiquetée comme un vieux morceau de tissu...
Ses deux alliés vont devoir agir vite s'ils veulent pouvoir l'aider et la sauver, car elle ne risque pas de survivre bien longtemps face à ces monstruosités. Carnassiers, charognards, les ghûls ne sont pas connues pour être délicates avec leurs proies, même lorsqu'elles sont mortes depuis bien longtemps...




L'équipe des ennemis attaque en premier

Vitesse des joueurs : 297

Joueurs :

Leigli Delnoch : 75
Vitesse : 144
Dégâts : 34
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre

Utop Libert : 75
Vitesse : 77
Dégâts : 44
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre

Raphaelle Hiroma : 115
Vitesse : 76
Dégâts : 90
Bonus : Rapidité : Peut lancer 2 dés contre les Élémentaires de terre


Ennemis :

Vitesse cumulée des ennemis : 880

Ghûl A : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Ghûl B : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Ghûl C : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Ghûl D : 30
Vitesse : 220
Dégâts : 5

Élémentaire de terre A : MORT
Vitesse : 10
Dégâts : 20

Élémentaire de terre B : MORT
Vitesse : 10
Dégâts : 20


Ghûl A attaque Raphaelle à 5.
Ghûl B attaque Raphaelle à 5.
Ghûl C attaque Raphaelle à 5.
Ghûl D attaque Raphaelle à 5.