Rapport de récolte :
Fang gagne 5 minerais de fer et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :
Carendol gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :
Tziëg gagne 15 minerais de fer et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Je devrais peut-être pas t'avertir ici, mais en fait Je crois que tu m'as donné 80 minerai de fer au lieu de 20.

Notre héros, alla à la mine, cette fois-ci il resta en compagnie des autres mineurs. Il avait encore peur de ce qui lui est arrivé l'autre jour. Il s'installa entre deux nains et commença à frapper sa pioche contre un filon de fer. Bien qu'il aimait d'habitude la compagnie des nains, ce qui étaient à ses côtés étaient du genre bruyant (même pour des nains). Il changea donc de place et à la se mettre à côté d'un géant, celui-ci avait l'air vraiment vieux. Le géant resta silencieux pendant toute la journée, ça ne posait pas problème à notre héros mais il est vrai qu'il aurait préféré une meilleure compagnie. La journée se termina vite, notre ami alla se coucher et il s'avéra que le géant en question était son voisin.

Un remerciement au bout des l­­èvres, Alrun descendit vers les profondeurs de la mine. Ses habitudes lui avaient permis de dénicher des endroits où le filon de fer était plus abondant, aussi ses pas l'y amenèrent tout naturellement. Elle ne salua aucun des autres mineurs au passage -tous se trouvaient là par nécessité plutôt que par passion après tout.
Le sceau encore vide laissa s'envoler un bruit mat. Et peu après, ce fut au tour de la pioche de chanter sur la pierre. La vampire n'avait aucune pensée cette fois. Aussi laissait-elle simplement son esprit dériver et se perdre dans l'effort effectué. Force d'habitude, elle eut bientôt fini de remplir le sceau ; cahin-caha, elle se dirigea vers la mine de fer où un second sceau, vide, n'attendait qu'à être rempli lui aussi.

[Carendol : erreur corrigée]

L'orc se munit de sa pioche une nouvelle fois. Il bouscula un elfe qui se trouvait sur son chemin avec un rire amusé aux lèvres. Il aimait bien les taquiner, ces écolos.

Il pénétra dans la mine de fer. Il aurait aimé aller dans les autres, mais il ne pouvait pas apparemment... Pour le moment. Il fallait donc s'entraîner.

Il se mit à cogner la roche. Elle était plus friable que la dernière fois, ou alors il avait gagné en force. C'était difficile à dire. Des petits cailloux commencèrent à tomber. Au début, ce n'était que du gravier, puis il commença à apercevoir des minerais grisâtres.

Il en déterra un premier de la pierre. Puis un deuxième, un troisième, un quatrième, un cinquième. Il en avait 5, au final.

Il les mit dans son sac qu'il avait au préalablement apporté, et il s'en alla, la pioche sur le dos, sifflotant une chanson tribale.

Rapport de récolte :
Carendol gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier, tu passes Apprenti, félicitations. Tu pourras maintenant miner 1x/semaine dans les mines de fer, et 1x/semaine dans les mines de cuivre.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :
Alrun gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :
Garzvorgh gagne 5 minerais de fer et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

La découverte du corps d'un mineur fut un événement populaire dans les quartiers des mineurs jusqu'aux mines elles-mêmes. La cause ? Un éboulement. Ça pouvait arriver parfois et il il pouvait y avoir des morts. C'était plutôt anodin comme situation et la seule chose qui se répandit fut la nouvelle. Il n'y eut pas d'enquête ou de questionnements, c'était comme le soleil qui se lève chaque matin avec un brin de pluie. L'orc Tziëg resta de marbre, de toute façon qu'on le soupçonne ou pas ça ne lui faisait ni chaud ni froid. Il commença sa journée comme n'importe quelle journée de ces derniers jours puis se mit en quête d'un nouveau gisement maintenant que son ancien point de récolte était épuisé.
Il déambula un bon quart d'heure dans les galeries sombres et humides. Il avait aperçu quelques points avec du fer, mais il cherchait une sorte de havre pour être tranquille durant sa petite affaire. Au bout d'une bonne quarantaine de minutes il s'arrêta devant un gisement entouré par deux autres exploités respectivement par un nain et un géant. L'orc s'y plaça et s'arma de sa pioche puis rejoignit le concerto des deux autres mineurs. Aux pieds de chacun se formait un tas de copeaux de roche avec quelques minerais qui rejoignaient très rapidement le sac du propriétaire. Mis à part le cliquetis des instruments de métal sur la roche, la zone rocheuse était silencieuse. Pas un mot, pas un bruit de pas, c'était d'un désert animé. Pourtant, et ce malgré le caractère sauvage de l'orc, Tziëg leur posa une question :
- Combien de minerais prennent les nains sur notre récolte ?

Il fut tout d'abord surpris d'avoir parlé à deux individus complètement différents de lui puis finalement il se félicita d'avoir posé une telle question. Il soupçonnait ses "employeurs" de prendre plus qu'ils ne doivent et il n'avait pas l'intention de se faire avoir plus longtemps.
- Moi sur mes quinze minerais ils m'en prennent six, non cinq, lui répondit avec approximation le géant.
- Ils ne devraient pas prendre autant ! Vous devriez poser autant de questions que nécessaire, même s'ils cherchent à vous arnaquer ils sont obligés de répandre la vérité quant aux chiffres. Ils ne prennent que 17% de votre récolte. L'année dernière elle était de 10%, mais une loi est entrée en vigueur et les impôts ont bien augmentés. Du coup ils ont augmentés leurs prises à 17% alors que Mordin, le chef de la fonderie, ne paye presque aucun impôts à la ville vu qu'il s'occupe d'une partie très importante de l'économie.
- Ouhla... Attends voir petit être, je me perds dans tes paroles et je ne comprend pas ce que tu me racontes !
- Bon... Tu récoltes combien de minerais ?
- J'en sais rien, je prends jusqu'à être fatigué. Je me retrouve avec une quinzaine au final.
- Supposons que tu en récoltes vingt. Normalement ils ne peuvent te prendre que trois minerais. Donc au final tu te fais enfler de deux minerais.

L'orc émit un grognement. Il ne comprenait pas grand chose, cependant on lui prenait plus qu'il ne devait donner et ça ça l'énervait. Il frappa plus vigoureusement sur la roche et fit tomber plusieurs morceaux de roche avec un peu de fer. Cependant l'orc les abandonna et prit dans son sac d'autres minerais plus complets. Le nain lui fit remarquer qu'il laissait des morceaux intéressants et l'orc lui rétorqua qu'il n'y avait rien d'intéressant dans ce tas désordonné. Le petit être lui prouva le contraire en frappant minutieusement à un endroit particulier du gros tas. Après une bonne vingtaine de petits coups, le morceau se fissura et laissa apparaître un magnifique minerai de fer bien orné de minéraux divers. Tziëg regarda la roche sans porter un grand intérêt et l'offrit au nain en remerciement de ses conseils. Il mit sa pioche sur son épaule, attrapa son sac et s'en alla pour la surface. Il avait compté une petite vingtaine de minerais et il comptait bien ne pas se laisser avoir par le nain avare de le fonderie.
Il se surprit une dernière fois à parler aux deux individus complètement opposés par leur taille en leur adressant un simple "Tschüss" - signifiant au revoir chez les orcs. Peut-être que sa vision des autres races changeait. Peut-être...

Rapport de récolte :
Tziëg gagne 15 minerais de fer et 5 points de métier !

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Avec le temps, accéder aux mines devint si aisé pour Fang que le loup aurait presque pu y parvenir les yeux fermés. Récupérer le minerais en revanche était toujours aussi éreintant. Pour la première fois, Fang osa s'aventurer plus loin dans les galeries, espérant ainsi débucher une veine plus prometteuse. S'enfoncer trop était cependant risqué, car il risquait alors de perdre la notion du temps et de rester trop longtemps à l'intérieur.

Ce n'était pas qu'il craignait la lumière du soleil comme les vampires, juste qu'il voulait éviter au maximum toute rencontre avec les mineurs. Le jeune homme n'était pas très sûr des conditions pour travailler à la mine, et bien qu'il est remplit quelques papiers à BaldorHeim, il ne savait pas vraiment si il était autorisé à travailler la nuit.

Il ne pouvait cependant pas s'en empêcher, préférant la douce caresse de la nuit sur sa peau à celle implacable du jour, surtout dans les boyaux parfois confinés dans lesquels il se trouvait. Le jeune homme ne s'enfonça donc pas trop loin avant de déposer ses affaires et de retirer sa veste en cuir et sa chemise, préférant ne pas transpirer dans ses vêtements.

Comme les fois précédentes, le travail se révéla harassant et le laissa dan sun état de fatigue avancé aux premières lueurs de l'aube. Cette fois-ci cependant, Clochette avait décidé de rester à ses côtés, paisiblement roulée en boule dans ses affaires de voyage comme les coup de pioche résonnaient dans la grotte vide. Fatigué, le jeune homme rassembla rapidement ses affaires avant de prendre sa forme animale. Il avait repéré un talus prometteur avant d'entrer dans la mine la veille, et c'est pas las qu'il s'y rendit avant de s’effondrer de fatigue, étalé de tout son long bien à l'ombre des premiers rayons de soleil.

Notre héros s'était placé à l'écart des autres mineurs, cela faisait déjà deux semaines qu'il travaillait à la création de son tunnel. Il n'en voyait pas le bout. Cependant il savait que tout prêt à quelques mètres devant lui se trouvait une grotte, qui n'appartenait pas au réseau de souterrains des mines.
Tout à coup, ça pioche traversa la paroi, il venait enfin d'atteindre la grotte. Il élargit le passage devant lui, jusqu'à ce que celui-ci fut assez grand pour qu'il puisse passer.
Enfin, il retourna à l'entrée de la mine, là où étaient stockés les explosifs servants à l'agrandissement des souterrains. Il en prit une pleine caisse (il avait toujours été surpris du fait que ces dangereux objets soient stockés avec si peu de sécurité et en si grande quantité).
Et la ! Que vas-tu faire avec cette caisse ?
Lui demanda le contremaître.
Je l'emmène dans la parti ouest, on n'en a besoin là-bas pour élargir une galerie, on pense se rapprocher d'un filon d'or.
Mais il n'y a pas d'or dans la parti ouest.
On cherche justement à savoir si c'est bien ça et si c'est le cas, qu'est-ce que ça vient faire la.
Bon ben alors va.
Carendol retourna près du souterrain qui venait de finir. Il y posa la caisse et retourna en chercher une autre.
"Je ferais bien de faire attention, mon mensonge ne passera pas deux fois."
Il veillait à ne pas se faire repérer, il prit une autre caisse et parti la poser à côté de l'autre. Il refit un aller et retour pour prendre la quantité de mèche suffisante pour l'allumage de son arsenal.
" Voilà, je pense que c'est assez. Je devrais tout de même remonter avec quelques minerais. pour ne pas paraître trop suspect."

Rapport de récolte :
Fang gagne 10 minerais de fer et 5 points de métier !

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Rapport de récolte :
Carendol gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier !

Conseils pour le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :
Tziëg gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier !

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Une ombre grise se mouvait en silence dans la nuit noire, se stoppant parfois quelques instants pour jeter un coup d'oeil mal à l'aise au ciel voilé. Fang n'aimait pas les nuits de nouvelle lune. La seule lumière des étoiles était bien sûre suffisante pour ses yeux de loup, même malgré les nuages qui semblaient persistants ce soir-là - le problème n'était pas là.

D'ailleurs, le jeune homme lui-même aurait probablement été incapable d'expliquer son malaise à quelqu'un. C'était juste qu'une nuit sans lune semblait... vide. Un frisson parcourut la fourrure du loup qui força le pas, trottinant entres les rochers couverts de neige jusqu'à l'entrée de la mine. L'ambiance confinée ne lui plaisait normalement pas plus que cela, mais ce soir il trouva le lieux étrangement rassurant. Au moins maintenant de voyait-il plus ce ciel désespérément vide.

Reprenant sa forme humaine, Fang ne perdit pas un instant pour se mettre au travail, les sourcils froncés par la concentration. Bien vite ses pensées s'effacèrent face au mouvements répétitif et au bruit familier de la pioche venant s'abattre sur la veine de fer, savourant l'effort physique et l'appréciant pour la distraction bienvenue qu'il apportait. A son côté, une Clochette n'ayant que faire de la phase de la lune fit tranquillement sa toilette, n'ayant apparemment pas envie de partir en chasse cette nuit-là.

Le jeune homme accueillit les premiers signes de l'aurore avec un certains soulagement, s'accordant quelques coups de pioche finaux avant de ramasser ses affaires pour sortir de la grotte.

Rapport de récolte :
Fang gagne 10 minerais de cuivre et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :
Fang gagne 20 minerais de cuivre et 5 points de métier, et 1 saphir

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Ça faisait quelques jours que je marchais, avant d'arriver sur des petits chemins sinueux et très escarpés. Il me faudrait racheter à manger, je n'ai presque plus de viande séché. J'arrive à la ville de BaldorHeim, une ville de mineur. Mon père me disait qu'on pouvait trouver du travail facilement ici. " Ça fait les bras de miner ! Puis, il n'y a pas mieux que tuer avec une arme que tu as achetée avec ton labeur !". Pourquoi toujours revenir aux meurtres... Ok, c'est cool de tuer, mais il n'y a pas que Ça dans la vie. La torture, la maladie, la manipulation, etc...

Bon, quoi qu'il en soit, il faut que je trouve de quoi acheter de l'équipement, et de la nourriture. Je vais donc m'engouffrer donc dans cette ville sentant l'alcool, la poussière et la sueur. Même dans un paysage blanc et glacial, cette cité est un point noir dans les montagnes. Des habitations aux toitures sombres, des citoyens allongés dans les rues. Mort ou inconscient ? De toute façon, avec ce froid ils ne doivent pas rester longtemps ainsi. La douceur de la mort doit rôder sans cesse auprès des ivrognes.

J'arrive devant la mine. Une pioche abandonnée. Je la prends, je sombre dans la noirceur de la mine de fer. Je n'ai jamais vu l'intérieur, et je ne connais personne qui pourrait m'aider. Mais ce n'est pas grave. Je viens de partir de chez moi et je n'ai aucune envie de commencer à devoir des choses à quelqu'un. Pour ce qui est de revendre mon butin, si j'en ai, je sais ou Ça se trouve. Je suis déjà venu accompagner mon père dans cette ville. Après tout, c'est la capitale de l'est. Du moins je crois.

En fouillant un peu, j'ai trouvé un endroit ou pas grand monde rôde. Enfin, pour le temps où je suis resté. Combien de coups j'ai donné ? Aucune idée. Est-ce du fer ? Eh bien je crois. Du moins, la roche réagi autrement que les simples murs de cailloux à la lumière des torches disposer ici et là.
Mes ailes ne sont pas pratiques pour me déplacer, ou même pour creuser. Je suis obligé de les replier au maximum, mais ça peut aller.

Je suis épuisé, j'en ai marre, plein le dos. Mes omoplates me font mal avec le mouvement de balancier de mon dos, et la rétraction de mes ailes. Je veux sortir, il me faut l'air frais et pur des montagnes ! Je sors, il fait nuit. Ce n'est pas maintenant que je vais pouvoir vérifier ce que j'ai eu. L'air est plus respirable, mais poussiéreux tout de même. Heureusement, en arrivant j'ai repéré une auberge. Je m'y rends de suite, afin de me reposer et voir ce que j'ai gagné.

Alrun affermit sa prise sur le manche, bloqua sa respiration et d'un mouvement du bas du dos, abattit la pioche sur la pierre. Des éclats volèrent avant d'aller rouler à ses pieds. Elle expira. L'outil posé contre un rocher, la vampire s'y laissa tomber afin de prendre le temps de reposer ses muscles un instant ; elle travaillait depuis déjà plus de cinq heures et la fatigue s'en faisait ressentir. Il lui restait peu à miner dans le coin, toutefois elle devra passer par la mine de cuivre avant de terminer sa journée. Elle avait promis à l'acheteur de lui livrer deux sceaux.
Chassant la sueur de son front du revers de sa main, elle se releva dans l'idée de reprendre sa tâche. Et pour plusieurs heures encore, la mine résonna des cris de la pierre se brisant.

Rapport de récolte :
Rekhan gagne 5 minerais de fer et 5 points de métier, et 1 saphir

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Rapport de récolte :
Alrun gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier

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Ce nouvel incident dans les mines se répandit rapidement dans la ville et les habitants se questionnaient quant à la sécurité des lieux de travail. On chuchotait dans les rues son mécontentement face à l'incompétence des nains dirigeant cette entreprise. Mais les chances pour que la foule se révolte sont relativement faibles, les nains ont bâti cette ville en la taillant dans la roche, ils lui ont apporté tout leur savoir-faire afin de la rendre majestueuse, riche et puissante. C'est pour cela que personne n'osera se lever face à la race des nains.

La journée était bien entamée, pourtant Tziëg ne se leva que maintenant. Les événements de la veille l'avaient fatigué et il n'avait guère envie d'affronter de nouveaux problèmes. Pourtant il fallait bien qu'il travaille. Pour quelle raison déjà ? Était-ce pour découvrir les modes de vie d'individus primitifs ? A moins que ça ne soit pour couvrir ses futurs achats. Quoiqu'il en soit il avait besoin d'argent et actuellement les seules richesses qu'il avait étaient sous l'état de pierre. Devait-il aller les vendre ? Ou peut-être existait-il une autre solution...
Comme chaque matin, l'orc se rendit à la mine et passa plusieurs minutes à chercher un endroit à l'écart, surtout qu'avec ces dernières journées il était préférable de le voir éloigné des autres pour leur propre sécurité. La race orque reste très bestiale malgré son "éducation" de ces derniers siècles, ils comptent sur leurs instincts primaires pour se donner plus de puissance. Tziëg développait de plus en plus un comportement bestial en côtoyant d'autres races, ça pouvait être dangereux pour lui si jamais ça dérapait. Jusqu'à présent il avait camouflé ses meurtres, mais ça ne durerait pas.
L'imposante créature finit par trouver un petit gisement, pas bien garni, bien à l'écart des autres. En effet elle donnait sur un début de couloir - une prochaine galerie sans aucun doute - pas bien long ni large avec une entrée ressemblant plus à une faille qu'à un hall creusé. On aurait dit que la fosse avait été découverte par hasard après extraction de minerai. Une torche illuminait la cavité, mais elle était posée par terre et non placée contre le mur.
Tziëg posa ses affaires par terre et empoignant sa pioche frappa la roche entourant les minerais. De la poussière s'éleva petit à petit de ses impacts et des copeaux granuleux s'écrasaient contre le sol. Lorsque les morceaux de minerai étaient assez déblayés, l'orc les attrapait et tirait pour les ôter de la paroi. Ensuite il les jetait dans son sac gisant à ses pieds sans la moindre délicatesse. Il n'avait que faire de leur forme à la sortie, tant qu'il y avait du fer ça l'intéressait. Il ne prenait plus aucun plaisir à miner. Ce n'était pas le fait de miner qui rendait ce travail inintéressant, c'était l'entourage. Malgré son snobisme envers les autres mineurs, il observait des fois des personnes qui auraient mieux fait de se jeter d'une falaise plutôt que de continuer à vivre de par leur faiblesse d'esprit ou physique.
En pensant à tous ces idiots, faiblards et bons pour alimenter les forges l'orc frappa de plus en plus fort. Il s'y dégageait de plus en plus de poussière et très vite, dans cet espace confiné, il se retrouva à tousser à en cracher ses poumons. Cette sensation, il ne l'avait pas éprouvé depuis ses débuts. Il avait manqué de concentration dans son affaire et il en payait le prix fort. Il attrapa ses affaires et s'extirpa de la cavité qui dégageait un nuage de poussière. Il s'assit contre une paroi plusieurs mètres plus loin et porta sa gourde à sa bouche afin de boire l'eau contenu à l'intérieur. Il aurait préféré quelque chose de plus fort, hélas il n'y avait pas de ça ici. Sa vie de mineur était fade, dénué d'intérêt. Pourquoi était-il ici et pas ailleurs à soulever ses frères contre l’oppresseur ?
Il resta un petit moment couché contre ce mur de pierre et il fut rejoint par un géant plutôt familier. L'orc resta de marbre, il n'avait même pas envie de grogner ou de faire un petit regard menaçant. Il semblait au bout du rouleau. Le géant resta silencieux quelques minutes, puis il se décida enfin à parler. Sa voix grave n'était pas très forte mais elle résonnait dans l'esprit de l'orc :
- Tu travailles trop, accordes-toi quelques pauses d'une journée toutes les deux journées de travail. Tu verras ça passera mieux.
- Cet endroit me gonfle, j'ai envie de prendre chaque mineur que je vois pour les taper sur chaque mineur que je ne vois pas.

Le géant laissa s'échapper un rire puissant qui faisait trembler la paroi. Il donna une tape sur l'épaule de son compère et laissa un sac bien garni à ses pieds. Il commença à partir mais s'arrêta quand l'orc le questionna :
- C'est quoi ce sac ?
- Un petit cadeau qui te permettra de rejoindre la mine de cuivre. C'est plus compliquer d'extraire le cuivre et il n'y pas encore beaucoup de monde là-bas. Tu sera plus tranquille et tu commenceras à percevoir un salaire, mais on te taxera deux fois plus !

L'énorme individu disparu et l'orc regarda le contenu du sac, il y trouva plusieurs minerais de fer. Il le referma avec soin et repensa aux paroles du grand mineur. Apparemment il existait des leix de travail bien moins garnis. Ça pouvait être intéressant... Il se leva, arbora un grand sourire carnassier, et partit pour le bureau du contremaître. Il voulait pénétrer dans les mines de cuivre !

Rapport de récolte :
Tziëg gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier

Conseils pour le RP : Rien à redire !

La pioche battant sa cuisse au rythme de ses pas, la vampire s’enfonçait dans la mine, seule comme toujours. Et pourtant, il y régnait depuis ces derniers temps une animation nouvelle, due à l’arrivée de nombreux mineurs acharnés : les gorges résonnaient de cliquetis, de souffles et de roche se cassant. La pierre se revêtait ainsi d’une apparence plus accueillante… Du moins pour des tiers. Car Alrun éprouvait une certaine préférence pour les lieux solitaires et calmes. C’était dans sa nature.
Elle déposa les deux sceaux vides au pied d’un mur qu’une pioche avait commencé à grignoter. Sa pioche. Sa main caressa la roche mordante. Doucement. Elle devenait de plus en plus familière à cette mine, bien qu’elle n’ait encore eu l’autorisation de s’aventurer plus loin encore. Pour peu, elle s’en impatienterait. Mais sa curiosité était pour le moment comblée par le filon de cuivre : il lui faudrait du temps pour en saisir le moindre recoin.

Elle régula sa respiration. L’oxygène rendait le travail moins fastidieux et éprouvant ; c’est pourquoi elle prenait toujours le temps d’inspirer, d’expirer, doucement, profondément… La quiétude venait envahir son corps et occulter l’indésirable. Problèmes. Appréhensions. Projets. Agacement. Tout cela devenait futile. Et enfin calme, elle commença sa fatigante tache.

Je me réveillais lentement , à  l'auberge ou je résidais. J'étais arrivé très tard la veille au soir, pour ma journée de minage. Les métiers sont très bien penser. Une fois par semaine, un habitant peut allez dans un lieu de travail, pour qu'il puisse trouver des ressources et ainsi les utiliser ou les revendre. Aujourd'hui était ma huitième journée de minage. Je ne travaille que depuis deux mois, pour la simple raison qu'avant je vivais encore chez mes parents.

    J'avais empoché 35 pièces d'or pour tout mon travail. Malgré le fait que j'ai tué mon frère sans le faire exprès, mes parents continuent à m'envoyer de la nourriture régulièrement. Ils ne veulent pas perdre leur dernier garçon, et je les en remercies. Leur bonté meva droit au coeur. Je ne suis pas sûr que j'aurais eut la force de le faire. Comment font-ils? Ils ne doivent vraiment pas être rancunier. En plus ça me fait une tâche de moins. Du coup, je n'ai dépensé aucune pièce, l'auberge de BaldorHeim étant gratuite pour les mineurs - de métier, bien entendu- je pouvais commencer mes économies pour ma future classe. Les classes, quel système merveilleux ! Chaque personne doit accomplir une tâche différente pour trouver ça vocation qui l'aidera à lutter contre les dangers.

     Mais assez parlez de moi. BamdorHeim est une ville minière magnifique, la seule de Dùralas d'ailleurs. Les maisons, construites en bois de Sureau Sylvain ont un style architectural magnifique, l'hôtel de ville surplombant tout le village. La mine, à l'est, est l'endroit le plus vivant de la ville. Je sortis de l'auberge pour aller à la mine dès à présent. Je saluai le chef de la mine qui me donna l'une des meilleurs pioches qu'il lui restait avant de m'enfoncer dans les profondeurs de la mine. Je connaissais un coin bien camouflé, le reste étant bien attaqué par tous les mineurs, je décidai de m'y rendre.


    J'allai le plus profond possible, avant de me cogner la tête contre le plafond. Heureusement, j'avais mon casque. Je me mis à tourner à droite. On aurait pu croire que c'était un cul-de-sac, mais un fin espace entre deux rochers permettaient de se faufiler dans un endroit magnifique. Je pénétrais dans mon coin de paradis, ou un autre mineur était installer. Celui qui m'avait fait découvrir ce lieu. Mon ami John.

- Salut toi, ça gaze?
- Ouaip, John. Et toi, depuis le temps, tranquille?

     J'avais pénétrer dans une grande et magnifique salle contenant un petit lac central et entourer de beaucoup de minerai. Une zone que les mineurs n'avaient pas pu exploiter car il n'était pas assez agile pour entrer à l'intérieur. Ils n'en connaissaient même pas l'existence. Nous restons la plusieurs minutes à discuter avant de nous mettre à creuser. Quels bons moments passer avec lui ici! Les minerais étaient tous plus beau les uns que les autres, si pur et non creuser.

HS:

Tant de choses à faire, tant de chose à voir. Et je suis là, à miner... Ce n'est pas le manque de lumière qui m’ennuie, au contraire, j'adore les endroits sombre comme les mines, ou les grottes. C'est plutôt l'odeur, et la poussière. J'en ai marre ! Il y a tant de poussière... Mes mains sont noire, ma pioche qui à la base grise, est presque de la même couleur que le manche...

Encore un coup, puis un autre. Ça n'en fini pas. Je mine, je ramasse, je mine, je ramasse, je remonte à la fin de la journée, mais ça, c'est après avoir passé toute la journée dans la mine. Il me faut de l'argent si je veux être prêt pour je ne sais quelle situation. Il manque plus que je chante en revenant de la mine, et ça fait un conte de fée... Bwah ! L'idée me dégoute. Rien de plus niai et énervant qu'une saleté de conte de fée.

Le pire, c'est que j'aime ça en quelque sorte, je ressort poussiéreux, presque noir. Mes ailes, on dirais juste des lambeaux de tissu si je ne les bat pas. Dans la mine, rien n'arrive, rien ne passe. Un coi sombre, aucun bruit à part le son de la pioche creusant la roche, et le bruissement des flammes de la torche situé à environ cinq mètres de moi. Même si la poussière viens de temps en temps m'agresser les yeux, je me sens bien. Rien ne me stresse, parfois je m'arrête, juste pour écouter le silence. Bien sur, il y a selon l'heure, quelques autres bruit de pioche, mais jamais très proche. Je pourrais m'endormir dans un endroit pareil, si on enlevait la poussière...

AH ! Cette poussière ! j'en ai dans l’œil droit ! Dégage ! Je stoppe toute activité, et je bat des paupières. Voilà, c'est sortie. Saleté ! Énervé, je donne un gros coup de pioche sur le mur en face de moi. Ah ! encore dans l’œil ! Bon, j'en ai marre pour aujourd'hui, je sors.

Maintenant qu’il avait choisi de vivre d’aventures et de voyages, Reek faisait connaissance avec le sentiment de pauvreté et l’envie de richesse. Sa première réflexion s’était faite à la sortie de l’échoppe où il avait acheté son équipement. En effet, la piètre qualité de son armure et le ridicule de ses dagues l’avaient amené à la conclusion suivante : le pognon, c’est quand même vachement pratique.

Se faire du blé, ya pas 36 moyens… Soit t’es un sacré bon filou, balèze et tout le tintsouin, soit tu bosses… Pas dire que ça me les brise pas, ça me les brise sacrément même, mais ya pas à tortiller de la croupe, va falloir s’y mettre…

Seulement voilà, l’homme-chien n’avait aucune éducation et de compétence que celle de pouvoir manger tout ce qui était plus ou moins mangeable lorsqu’il se faisait animal. Autant dire que les métiers qui lui étaient accessibles ne faisaient pas légion. Il choisit de casser des cailloux, pensant d’une part à ce que ça pourrait développer sa musculature et d’autre part que taper fort calmerait peut-être ses nerfs – à vifs à l’idée de travailler.


A l’aube de son premier jour, il était aussi résolu qu’énervé, et cette contradiction se muait en la plus affreuse des grimaces sur son visage : sourcils enfoncés sur son nez, rictus d’agacement tendu et plis sur le front. Il arriva tôt à la mine, ayant bien comprit qu’il serait payé au rendement, avec la ferme intention de démolir la montagne de l’intérieur. On lui fournit une pioche à l’entrée, puis on le guida à son poste. On tenta aussi de lui expliquer quelques techniques pour améliorer son geste et ménager ses efforts mais il n’était pas bien réceptif, allergique qu’il était à tout ce qui se rapprochait de l’autorité.

Vas-y, fout-moi la paix toi avec tes conseils et ta tête d’abruti, laisse-moi bosser tranquille… Ouais, casse-toi, c’est bien… Bon, allez mon petit, c’est l’heure…

- Tsuriééééé !

Bim ! Grand coup de pioche dans la faille et l’onde se transmit dans le manche jusqu’à faire vibrer ses bras. Tout ça pour qu’une infime miette se détache.

Quoi ? C’est tout ? ah c’t’affaire…

- Duriééé, kuriééé, tswééé !

Bim, bim, bim, trois fois il frappa et le résultat ne fut guère plus satisfaisant.

Aaaah, quelle poisse… quelle sacrée, sacrée merdasse…

La journée se déroula sans surprise. Bien vite Reek cessa d’accompagner sa frappe d’exclamations sonores, ce qui reposa ses cordes vocales, et concentra son énergie dans la casse. A la fin, son tas de cailloux était intéressant, mais de là à savoir ce qu’il y avait de bon à prendre là-dedans… Il poussa le petit chariot mis à sa disposition jusqu’à l’entrepôt où serait conservé le minerai en maudissant le monde entier pour la vie chère et le travail trop dur. Avec l’espoir qu’il avait quand même réussi à faire quelque chose d’assez propre que sa paie vaille le coup.