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'Attaque - Corrompu' :

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'Attaque - Humain' :

Fragor avait maintenant atteint le désert, dévié de sa trajectoire par un homme qui semblait être Dilon Deraborne. Aprés être restée pendant de longues heures sans bouger, Evanna se décida à reprendre son arc, y placer une autre fléche à plume blanche, et préparer la corde pour l'attaque. La jeune femme visa le Fragor, ou plutôt sa tête, pour être sûre de ne pas le louper, quoi qu'il arrive. Et c'est alors que l'elfe choisi de lâcher son projectile.

Le bras bandé, Tempérance s'activait à soigner les combattants balayés par les ondes de choc du géant, son loup à ses côtés. Fragor n'était plus qu'une sombre silhouette à l'horizon. Où se dirigeait-il maintenant ? Le monstre allait s'enfoncer dans le Désert de Harena s'il maintenait son cap… Et s'il atteignait Stellaraë ? Son ventre se noua. Qui sait ce qu'il pourrait se passer ; Kastalinn avait échappé de peu aux pas ravageurs du colosse…

Inquiète et frustrée d'avoir été évincée du combat, elle se démenait pour rester utile. Certains aventuriers acceptaient son aide avec grand plaisir, mais d'autres, sûrement par fierté, ne disaient désirer aucun soutien. Elle leur répondait par un simple hochement des épaules, las.

Quand il n'y eut plus de premiers soins à apporter, elle décida de se rendre à Stellaraë. Elle devait savoir si le monstre avait atteint sa cité. Affrontant sa fatigue, elle loua un cheval et partit au trot vers la capitale des humains.

Quelle désastre ... Il avait abandonné son familier et sauté sur Fragor deux flèches en main mais question d'angle ou de peau trop dure, en tout cas les flèches ne se plantèrent pas et l'Elfe roula jusqu’à l'arrière du corps de la bête pour tomber au sol. Le choc fut dure mais pas trop mais, n'eut-il pas encore eut le temps de se redresser qu'une nouvelle onde de choc se fit et l'Elfe fut propulser un peu plus loin.

- Pas de chance !

Dit-il en se relevant. La Bête avait dévasté une partie de la ville et se trouvai désormais dans les plaines d'Aran. L'Archer ne pouvait laisser le monstre détruire encore un peu plus Dùralas. Alors dans un instant de colère; il attrapa son arc, encocha une flèche et espéra atteindre sa cible cette fois-ci ...

Edit : Il est sérieux le destin là ?!

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'Attaque - Elfe' :

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'Attaque - Géant' :

Wyrm regardait autour de lui, cherchant un moyen d’aider quiconque en aurait besoin. Mais les soigneurs faisaient déjà un bon travail. Aussi se sentait-il quelque peu inutile… Bientôt, ses déambulations solitaires le menèrent près un regroupement de personnes –une sorte de campement sommaire. Les guérisseurs se pressaient au près des patients allongés ou assis : ci et là des cris de douleur s’élevaient, ponctués d’injures et de râles souffrants…
Le ménestrel avait des difficultés à supporter tout ça. Malgré son masque, malgré ses airs nonchalant, il restait un poète et de ce fait, un homme sensible à ce qui l’entourait ; alors face au ravage des combats, son cœur lui menait la vie dure.

Il soupira.
C’était pour cacher cette faiblesse que son masque était porté.

Il s’avança vers le campement avant de trouver une place de libre, un peu en élévation. Au moins pourrait-il calmer ces esprits avec sa musique…

Elle versa un peu de lavande sur la plaie, avant de la couvrir d’un tissu propre ; un peu d’eau fut versée ensuite pour nettoyer le sang séché autour et elle en finit avec ce patient.

« C’est bon, allez vous reposer. Quelqu’un d’autre ? »

L’homme repartit non sans l’avoir remerciée, puis une jeune femme le remplaça. Elle avait l’allure d’une ensorceleuse ou peut-être d’une mage au vu de sa tenue et de son bâton. La lycan lui sourit alors qu’elle s’affairait.

« Avez-vous des douleurs mis à part celles causées par cette blessure ?
- Juste la tête qui tourne.
- Vous avez sans doute utilisé un peu trop de votre magie…
- Je ne sais pas ; je n’ai jamais vraiment combattu avec.
- Fiez-vous à moi en ce cas. »

Elle badigeonna la plaie d’un mélange de camomille et de millepertuis, et y appliqua de la pervenche. En attendant que le tout se solidifie, elle alla déboucher un flacon au contenu blanchâtre avant d’en verser quelques gouttes dans une tasse d’eau chaude.

« Buvez ça. Cela vous apaisera.
- Merci… »

Le mélange de molène, d’astragale et de mélisse fit bientôt son effet, comme le pansement végétal. Ese souffla, un peu fatiguée, une fois que la jeune femme s’en alla. C’était la première fois qu’elle officiait sur autant de gens et en aussi peu de temps ; mais loin de lui déplaire, cela renforçait son envie d’être herboriste.

Alors que Komor avait frappé la bête au genou, il chutait maintenant d'une terrible hauteur d'une trentaine de mètres. Alors qu'il voyait le sol se rapprocher durant de très courtes mais néanmoins interminables secondes et sentant l'étau de la mort se refermer toujours un peu plus sur son âme, Komor ferma les yeux et étrangement, se mit à prier. [color:7741=ffff99]"À quoi bon m'accrocher à la vie de toutes façons ? tout ce que je n'ai jamais aimé ce trouve de l'autre côté."


Les yeux fermés, le coeur éteint et l'esprit endormi, Komor se senti ralentir dans sa chute. Il ne savait pas vraiment si il changeait vraiment de cadence où bien si ce n'était qu'une impression mais le temps qui lui était accordé était, ou tout du moins semblait de plus en plus long.
[color:7741=ffff99]"Mais ... Ce n'est pas possible, qu'est ce qui pourrait bien me tirer vers le haut ?"

Tout ceci ce précisait et s'affina. Il eu tout d'abord eu l'impression de heurter ... traverser serait plus juste une fine couche de matière invisible, s'en suivi une seconde ainsi qu'une troisième et rapidement ce sont une multitude de ces "couches" invisibles qui ralentirent Komor dans sa chute, s'en suivi une explosion qui permit à Komor de flotter littéralement dans les airs. Abasourdit il regarda en bas d'où cela pouvait provenir, ce qu'il y vit lui redonna un grand sourir.

Excelsior. Tel était le nom de son sauveur, ce fut déjà lui qui l'avait sauvé de ses blessures dans la foret de sapins, et voila qu'il remettait ça. Komor lui souri et lui adressa un signe de tête en reconnaissance. Il se posa doucement à terre, sorti son épée de son fourreau et se rua une fois de plus sur Fragor.

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'Attaque - Humain' :

Je distribuais des paroles douces, essayais de réconforter ou de calmer les blessés. Certes, je n'étais pas de ces prêtresses bienfaisantes toutefois je savais faire preuve d'empathie : après tout ces hérétiques pouvaient un jour se tourner vers Sa Voie et d'aucun ne devait être ignoré avant de renoncer tout à fait. Dans ce cas, je me ferai une joie de le sacrifier. Mais en attendant, je ne pouvais que les aider...

Ma main alla se poser sur un front fiévreux. Je fis boire un peu d'eau au malade avant d'aller vers le suivant qui souffrait d'une blessure. Une lycan s'était occupée de lui et lui avait donc administré les premiers soins. A ce que je voyais, elle avait fait du bon travail. Du millepertuis et de la lavande... Elle connaissait son métier. Peut-être devrai-je me faire d'elle une amie : les herboristes connaissaient souvent aussi bien les plantes de guérison que d'empoisonnement.

Ali Les tirs des engins des Gardiens avaient eu un effet plutôt positif, hélas il en fallait bien plus que cela pour mettre à terre la colossale créature. On ne savait toujours pas d'où elle venait et quel était son objectif, néanmoins cela ne faisait aucun doute qu'il s'agissait d'un ennemi.
Ali Fragor finit par s'énerver et comme précédemment il leva une patte pour frapper le sol avec la puissance d'un titan. L'onde de choc souleva un important nuage de fines particules - poussière, neige, sable, ... - qui vint balayer les installations des Gardiens comme une tempête chaotique. Dougal se couvris le visage mais il entendit les plaintes d'un de ses camarades qui hurlait de douleur :
- Mes yeux ! Ça brûle ! Que cela cesse ! Aaaaah !!

Ali Le jeune Stellarois voulu l'aider, mais la vague aveuglante n'avait pas encore terminé son carnage. Pendant deux minutes il resta impuissant face aux appels à l'aide de son camarade et lorsque enfin ce fut fini, il n'était plus le même. Il titubait, se dandinait dans tous les sens en gardant une main sur les yeux. Une respiration rauque s'échappait de sa gorge sèche et meurtrie. Il dégaina son épée et commença à frapper l'air autour de lui comme si quelqu'un le hantait. Le rôdeur s'approcha du Gardien et essaya de l'apaiser, mais il faisait la sourde oreille, il ne voyait que des ennemis et ses coups devenaient de plus en plus brutaux. Dougal continua sur sa lancée, mais la lame de son compagnon le frôla. Il comprit que dans cet état, il ne pourrait rien faire, il fallait le neutraliser. Il sortit à son tour son arme et para deux-trois coups, mais il ne pouvait pas le frapper avec, c'était impensable pour lui. Il s'empara de son bouclier et se fraya un chemin au-travers des balayages puis, une fois assez proche, il lui donna un violent coup de bouclier en pleine figure ce qui le mit K.O. Le rôdeur vérifia les dommages de son compagnon, si son bouclier ne lui avait rien fait, ce n'était pas le cas pour la tempête qui l'avait privé de ses yeux. La douleur devait être insupportable au vu des nombreuses traces de griffures à leur niveau. Le Gardien s'était crevé les yeux.

Ali Le jeune homme lui plaça les mains sur les yeux et observa les dégâts. Le technicien nain était à terre, mais il était toujours en vie. Il s'était cogné contre une poutre et avait perdu connaissance. Il l'installa confortablement puis repartit à la recherche de survivants. Il retrouva deux Gardiens, le couple de techniciens, qui observaient tristement un spectacle accablant : le corps sans vie de leur chef, Vìal. Un des explosifs n'avait pas supporté le choc et mélangé aux particules du nuage il avait prit une forme explosive très importante. De ce fait l'elfe s'était retrouvé déchiqueté de toutes parts.
Ali Le jeune homme les accompagna vers une vue moins macabre, mais le chaos était partout. Des dizaines de corps jonchaient les plaines avoisinantes, certains s'en tiraient bien, d'autres moins bien. Les survivants essayaient d'apporter leur aide aux autres car il savait qu'ils ne pouvait plus participer à ce combat. Le rôdeur se souvint alors de la destination de la créature et tourna son regard vers la ville nordique. Heureusement elle fut épargnée, le monstre avait bifurqué, mais vers où ?
- Il est parti vers le Sud. Je crains qu'il n'aille vers Stellaraë...

Ali Un sentiment d'effroi enveloppa le Gardien qui se tourna vers le point cardinal en espérant apercevoir le colosse à sabot. Mais il était trop loin pour en voir la queue ce qui ne rassura pas le jeune homme. Il s'assura que ses compagnons ne manquaient de rien et enfourcha l'une des créatures volantes encore présente, celle-ci avait eu la chance d'être particulièrement abritée. Les autres étaient soit mortes, soit quelque part en Dùralas, loin de ce conflit.

Ali Il finit par rejoindre la créature, en plein milieu du désert, c'était incroyable à quel point elle pouvait avancer rapidement. D'autres combattants essayaient de l'arrêter, mais leur nombre était bien moindre qu'à l'initial. Tellement de pertes...
Ali Ces dommages n’atteignirent pas l'humain, il était focalisé sur un seul but : la protection de sa cité. Il s'approcha assez de l'immense Fragor pour être à portée d'arbalète, il encocha son carreau, visa et avec un cri de guerre décocha :
- Pour Stellaraë !! hurla-t-il à travers le ciel.

Le membre 'Dougal Keane' a effectué l'action suivante : Actions

'Attaque - Humain' :

Fragor attaque à 240 sur tout le monde...

La colère de Fragor était sans limite... Il cassait et piétinait tout sur son passage, rugissant et faisant trembler la terre tel un séisme. C'était le chaos. Le taureau colossal s'avançait inexorablement vers Stellaraë, et il avait mis la plupart des aventuriers à terre.

Tout semblait perdu.. Quand soudain, ils apparurent.

Une explosion de lumière. Un bruit sourd. Quelque chose descendait du ciel. Une chose ailée, et encapuchonnée. On aurait dit qu'un nouveau guerrier avait pris part à l'aventure. Sur son épaule, on pouvait y voir un oiseau de feu, connu pour ses vertus de renaissance.

Il se posa délicatement sur la Terre ferme, aveuglant Fragor qui poussa un nouveau hurlement et cogna le sol de ses pieds, créant une mini-tempête de poussière.

L'oiseau qui était sur son bras prit son envol, comme s'il allait sauter. Finalement, il se consuma dans les airs, en créant une mini-explosion. Il y eut de la fumée, puis un homme retomba à la place de l'oiseau : le Père Tungstène.

Ils étaient deux, ils étaient chacun munis d'un bâton, et il s'approchait tranquillement vers Fragor, les agitant.

Arrivée de nouveaux personnages (cliquez pour voir):

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'Dé - Soin' :

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'Attaque - Humain' :