Thalwë Ithrildor est une haute elfe d’une élégance froide et singulière. De taille moyenne pour son peuple, elle s’élève avec grâce à environ 1m80, son allure droite et assurée contribuant à une impression de stature noble. Sa silhouette svelte est le reflet de ses origines et de son mode de vie empreint de rigueur et de discipline. Elle se distingue par ses longs cheveux noirs comme l’obsidienne, soigneusement entretenus, qui lui tombent avec fluidité jusqu’au bas du dos, souvent laissés libres ou tressés avec précision lors de cérémonies ou d'occasions particulières.
Son visage affiche une beauté froide et énigmatique, avec des traits fins et symétriques, des pommettes hautes et une peau délicate, d’un teint pâle presque nacré, qui souligne encore plus l’éclat de ses yeux d’un bleu profond, rappelant les lacs glacés sous un ciel étoilé. Son regard est perçant, souvent distant, mais empli d’une intensité tranquille, comme si elle observait toujours les âmes ou les secrets cachés de ceux qui l’entourent.
Elle ne porte pas de cicatrices apparentes ; sa maîtrise des arts elfes et son entraînement à l’escrime lui ont permis de demeurer indemne. Néanmoins, une particularité subtile réside dans ses mains : fines, mais aux doigts légèrement callosés, signe de sa passion pour la sculpture sur bois. Cette passion la pousse à fabriquer des arcs, des bâtons et des sceptres, travaillant le bois avec soin et finesse, comme un hommage aux esprits des arbres. Elle voit dans cette activité une manière de canaliser ses pensées et de se lier plus profondément avec les énergies qui l’entourent.
Thalwë privilégie des vêtements de haute facture, élégants mais pratiques, dans des tons sobres qui reflètent son sérieux. Elle opte pour des tissus légers mais résistants, souvent agrémentés de motifs elfes discrets. Elle porte toujours à sa ceinture une fine épée et un bouclier d’apparence simple mais finement ouvragé, symboles de sa formation d’apprentie animiste et de sa position de noble.
Sa voix est douce, contrôlée et posée, sans être effacée. Elle n’est pas expansive mais laisse transparaître une certaine profondeur, chaque mot étant soigneusement choisi. Thalwë a également une manie particulière lorsqu’elle réfléchit : elle caresse instinctivement une mèche de ses cheveux ou effleure doucement une amulette ancienne qu’elle porte autour du cou, comme pour se reconnecter à son essence.
Thalwë Ithrildor est, au premier abord, un modèle de retenue et de dignité. En tant que haute elfe noble, elle possède un caractère façonné par des années de tradition et de discipline. Elle se montre stoïque, posée, et d'une patience rare, une vertu qu’elle cultive depuis l'enfance et qu’elle considère comme essentielle pour quelqu'un qui aspire à servir de guide spirituel et animiste. Cependant, cette patience va au-delà de l’attente ; elle est le reflet de sa vision d’un monde où chaque action s’inscrit dans le temps long, un univers où les conséquences ne se dévoilent qu’après des décennies, voire des siècles. Son détachement émotionnel, presque glacial, est en grande partie lié à son travail avec les âmes et les esprits. Pour Thalwë, la mort et le passage ne sont pas des tragédies mais des étapes naturelles de l'existence. Elle perçoit la fin de la vie d’un œil détaché, professionnel même, car son rôle d’animiste l'a habituée à côtoyer les âmes de façon régulière. Cette familiarité avec la mort lui confère un calme qui la distingue de ses pairs, mais la rend parfois insensible ou difficilement accessible dans les moments où l'empathie serait attendue. Pleurer ou s’émouvoir d'une disparition ne fait pas partie de sa nature ; la mort est une finalité qu'elle appréhende avec respect mais sans attachement. Cette distance émotionnelle lui permet de rester efficace, et elle porte en elle une philosophie profondément elfique sur la perpétuité de l’âme et le cycle naturel de la vie.
Malgré cette façade rigide, Thalwë a une âme profondément curieuse et dévouée au savoir. Passionnée par l’érudition, elle passe des heures à étudier les écrits anciens, à pratiquer le Vieil Elfique, ou à écouter les leçons de l'esprit du sage familial, dont elle respecte la sagesse et les conseils. Elle accorde une grande valeur aux connaissances théoriques, convaincue que l’étude permet de transcender les limites de son propre esprit. Cependant, elle nourrit une certaine condescendance envers les races non immortelles, qu'elle considère comme trop précipitées, faibles et limitées. Cette attitude, forgée par son éducation noble et son entourage, la pousse à mépriser particulièrement les nains, dont la nature impulsive et rustique l’irrite profondément. Elle pense que leur insouciance pour le long terme les rend intellectuellement inférieurs, une vue qui la sépare aussi des elfes sylvains, qu’elle trouve naïfs dans leur idéalisation de la nature.
Perfectionniste, Thalwë se fixe des standards élevés, cherchant à devenir un jour une guide d’âmes accomplie. Bien qu'elle soit consciente que les autres races ne peuvent atteindre son niveau d'exigence, lorsqu’ils manquent de temps et de longévité, elle conserve néanmoins une certaine rigueur envers elle-même et son propre peuple. Ses enseignements aux jeunes hauts elfes de la noblesse sont stricts et méthodiques, inspirés par un souci de transmettre avec précision et gravité, ce qui la rend parfois sévère aux yeux de ses élèves.
Ce tempérament rigide masque toutefois quelques contradictions internes. Son engagement envers les âmes l'oblige à maintenir un détachement constant, mais une part d'elle-même souhaiterait explorer le monde extérieur, voyager et s’ouvrir à des expériences différentes. Ce désir de découverte n'est pour l'instant qu’une vague aspiration, refoulée par son sens du devoir et par le poids des responsabilités familiales. Ce conflit entre son besoin de maîtriser son destin et une curiosité latente crée une tension discrète dans sa psychologie, une quête d’équilibre entre son rôle d'apprentie animiste et son identité personnelle.
En matière de relations, Thalwë est réservée, préférant de loin la présence des esprits qu'elle côtoie à celle des vivants. Cette solitude choisie la rend parfois distante, presque inapprochable, car elle trouve les conversations émotionnelles et superficielles sans intérêt. Elle nourrit un rapport complexe avec l’idée d’un mariage arrangé : elle accepte cette perspective sans enthousiasme mais sans révolte, consciente des nécessités de sa noble lignée. Pour elle, le mariage serait un devoir, non une source de passion, un engagement calme qui ne viendrait pas troubler sa véritable vocation de guide des âmes. Enfin, sa passion secrète pour la sculpture sur bois vient combler son besoin de créativité. Elle trouve un apaisement rare à travailler la matière, à façonner des arcs, des bâtons et des sceptres d'une précision méticuleuse. Cet art, qu'elle perçoit comme un lien avec les esprits des arbres, lui permet de canaliser ses pensées et d'honorer la nature à sa manière – une nature qui, pour elle, n'est pas un idéal de rêverie mais une source d'inspiration tangible et esthétique.
Musique:
Thalwë Ithrildor est née dans l’ombre majestueuse des arbres millénaires de Sylfaën, au sein de la noble lignée Ithrildor. Dès son premier souffle, elle était promise à un destin lourd de responsabilités. Sa mère, Eryndoriel Maëlaris, était une animiste respectée, et de cette fierté familiale naquit pour Thalwë une enfance stricte, où la dévotion aux ancêtres et aux esprits fut plus présente que le simple jeu. Sous les voûtes de feuillages denses, les premiers murmures des âmes s’insinuèrent dans sa conscience, une présence apaisante et rassurante.
Chaque jour, la jeune elfe s’immergeait davantage dans le monde des esprits et dans l’art des armes. Dès l'enfance, son entraînement militaire fut intensif et exigeant, car ses parents savaient que la voie de l’animisme n’était pas sans risques. Les mentors engagés par sa famille – des maîtres d’armes d’une noblesse austère – s’efforcèrent de lui enseigner la rigueur et la discipline. Sous le soleil filtrant de la forêt, elle apprit les bases de l’escrime elfique, ses mouvements précis et gracieux s'accordant peu à peu avec la beauté froide de ses traits. Mais chaque coup porté n'était pas uniquement physique : il contenait aussi l'essence de la responsabilité familiale, un poids qui se faisait sentir dans chacun de ses gestes. Thalwë en vint à voir l’épée non pas comme une arme de destruction, mais comme un prolongement de sa volonté à défendre l’honneur et l’ordre de Sylfaën.
Sous l’égide de sa mère, elle entama également un apprentissage progressif dans l’art de capturer les âmes. Dès le début, elle ressentit un mélange d'appréhension et de fascination face à ces rituels complexes, qui demandaient plus de patience que d’ardeur. Eryndoriel lui apprit que la maîtrise des esprits ne devait jamais verser dans la domination. Au contraire, il s’agissait d’un échange respectueux. Cette idée frappa Thalwë, qui se rendit compte de la noblesse de sa vocation. Elle apprit à discerner les esprits volontaires, ceux qui venaient vers elle avec une sérénité paisible, en quête de réconfort. À chaque rituel réussi, elle ressentait la satisfaction apaisante de voir des âmes trouver un chemin, mais également la terreur froide de savoir que tout pouvoir abusif pourrait lui faire prendre un chemin comparable aux nécromanciens qu’elle méprisait.
Ses premières missions en tant qu'apprentie animiste furent autant de défis que de leçons d'humilité. Accompagnée de sa mère ou d'autres animistes, elle se rendait dans des clairières hantées pour y apaiser des âmes agitées. La tension palpable des lieux contrastait avec l'assurance sereine de sa mère, qui incarnait une force tranquille. Thalwë, elle, sentait parfois ses mains trembler légèrement, surtout lorsque des esprits plus vifs la défiaient de leur présence imposante. Elle les abordait avec un respect calculé, cherchant à transmettre son calme pour éviter tout conflit spirituel. Ce rapport intime avec les âmes aiguisait sa perception et approfondissait sa relation avec le monde invisible, mais la laissait parfois déstabilisée face à la responsabilité de son rôle.
Lors d’une mission marquante, elle connut son premier véritable fait d’armes. Chargée de capturer l’âme tourmentée d’un ancien capitaine de guerre elfique, Thalwë s’avança dans une clairière baignée de lumière argentée, l’âme flottant, hurlante, devant elle. Le capitaine, autrefois fier et invincible, était devenu une entité enragée, refusant toute paix. Thalwë ressentit une peur profonde, se demandant si elle possédait réellement la force nécessaire pour apaiser un tel esprit. La tension monta, son souffle devint court, et le sol sembla se dérober sous elle. Mais, dans un moment d’instinct pur et, sans doute, de chance inespérée, elle parvint à toucher l’âme, à lui transmettre sa propre énergie apaisante. Elle la sentit se détendre dans une sorte d'acceptation mélancolique avant de disparaître dans un éclat d’argent. Cet événement, bien que minoré par sa mère, devint pour elle une source de fierté et la conforta dans sa détermination.
Peu de temps après, Thalwë se vit assignée à un rôle de tutrice auprès de jeunes elfes de la noblesse. Bien qu’elle soit encore une apprentie, elle se montra stricte et méthodique, enseignant avec sérieux les rudiments de l’animisme et de la capture d’âmes. Ses élèves, bien qu’impressionnés par son assurance, se retrouvaient souvent intimidés par son manque de complaisance. Elle exigeait de chacun d’eux le même respect et la même dévotion qu’elle appliquait à elle-même, transmettant ainsi les valeurs familiales d’une noblesse rigoureuse et intransigeante.
Un jour, au cours d’un voyage dans la forêt de Sylfaën, Thalwë vécut une expérience aussi mystérieuse qu’instructive. En marchant seule dans une partie reculée de la forêt, elle aperçut une licorne, une créature rare et profondément symbolique chez les elfes. Fascinée, elle s’approcha avec une prudence calculée, consciente qu’un faux pas pourrait faire fuir l’animal. L’étrange silence autour d’eux lui donnait l’impression d’avoir quitté le monde réel pour un instant suspendu. La licornela fixa de ses yeux éthérés, comme pour jauger son âme. Elle retint son souffle, respectant la créature dans un silence total. Enfin, la licorne disparut dans la brume, lui laissant une impression de calme profond, comme une bénédiction muette. Cette rencontre résonna en elle comme une leçon de patience et d’équilibre, lui rappelant que la force brute ne remplacerait jamais la sagesse subtile de la nature.
Cependant, la vie dans la forêt n’était pas sans dangers, et Thalwë en fit l’expérience lors d’une mission nocturne avec sa mère. Tandis qu'elles s’avançaient dans un sous-bois dense et sinistre, un frisson les parcourut en sentant une présence hostile. Les deux animistes échangèrent un regard entendu et ralentirent, chaque mouvement devenu calculé. Eryndoriel se plaça devant Thalwë, comme un bouclier, lui murmurant d’observer attentivement et de n'agir que si nécessaire. Le silence oppressant et le poids de l’entité cachée menaçaient à chaque instant de les envelopper. Dans cette nuit figée, Thalwë réalisa toute l’étendue de la vigilance que son art imposait, ainsi que le prix d'une discipline rigoureuse.
Un jour, pour la récompenser de son assiduité, son père Laeron lui fit un cadeau inestimable : une monture elfique d'une rare noblesse. Lorsque Thalwë posa les yeux sur ce destrier racé, sa robe sombre comme une nuit sans lune, elle sentit son cœur se serrer d’émotion. Laeron, avec sa gravité coutumière, lui expliqua que ce cheval serait son compagnon de route, son soutien, et un symbole de l’honneur de la famille Ithrildor. En montant pour la première fois sur sa monture, Thalwë sentit une connexion profonde s’établir entre elle et l'animal, un lien de confiance qui ne ferait que grandir avec le temps.
Les soirées mondaines de la noblesse elfique sont autant de lieux de pouvoir que de raffinement, des espaces où la beauté des lieux et l'étiquette strictement codifiée imposent le respect, même aux invités les plus aguerris. Pour Thalwë Ithrildor, ces événements sont autant d’occasions de mettre en pratique son éducation noble, de maîtriser ses manières et de lire les subtilités des conversations en apparence anodines mais souvent profondément politiques. Elle s’y rend vêtue de robes élégantes, imprégnées de la finesse elfique et des couleurs sobres qui soulignent son héritage de haute lignée. Elle se fond parfaitement dans l’atmosphère feutrée des réceptions, où les échanges se font d’un regard, d’un sourire ou d’un mot mesuré. En observatrice attentive, elle capte les regards en coin, les sourires contrôlés et les silences porteurs de promesses ou de menaces.
À ces soirées, Thalwë se retrouve régulièrement face à des invités influents, des alliés comme des rivaux potentiels de la famille Ithrildor. Elle s’y exprime avec un tact et une diplomatie affinés par les conseils de ses mentors et les années d’entraînement familial. Ce milieu de prestige et de pouvoir lui permet de perfectionner l’art subtil de l’influence, de jauger les intérêts de chacun, de deviner les intentions cachées derrière les sourires polis. Parfois, sa mère Eryndoriel l’encourage à échanger avec les sages anciens ou les dignitaires étrangers, lui faisant ainsi comprendre que chaque parole a son importance et qu’un mot bien choisi peut s’avérer aussi tranchant qu’une lame.
Thalwë a ainsi appris à naviguer habilement dans ces cercles. Elle sait désormais manier la flatterie subtile, les silences calculés et les allusions respectueuses aux grandes traditions elfiques qui font vibrer d’orgueil les représentants les plus traditionalistes de son peuple. Ces soirées, bien plus qu’un simple divertissement, sont pour elle l’occasion de se préparer aux responsabilités futures qui incomberont à sa famille.
Pour le futur, Thalwë rêve d’atteindre un équilibre parfait entre son devoir d’animiste et sa quête personnelle de connaissance. Elle souhaite profondément affiner ses compétences jusqu’à devenir une guide des âmes respectée, reconnue pour sa maîtrise unique de l’art spirituel. Elle imagine un jour être capable d’invoquer les esprits les plus anciens, de les interroger pour puiser dans leur sagesse et d’accéder à des savoirs millénaires, cachés au commun des mortels.
Dans un recoin de son esprit, elle rêve aussi d’explorer le monde au-delà de la forêt de Sylfaën. Bien qu’elle soit encore prudente et attachée à son foyer, Thalwë sent naître en elle un désir discret d’aller à la rencontre d'autres cultures et de percer les mystères des terres lointaines. Elle imagine ces voyages non comme des aventures impulsives, mais comme une quête méthodique de savoir, chaque destination enrichissant son expérience de vie et son rôle d’animiste. Elle reste pourtant consciente de ses responsabilités et sait que le jour où elle quittera Sylfaën, ce sera dans le respect de ses devoirs, pour mieux servir l'héritage des Ithrildor.
Derrière l'écran
Speudo : Zekra Âge : 42 ans Pays/Région : Versailles / France Tes occupations préférées : Jeu vidéo, RP !
Code du règlement : Patate douce
Comment as-tu connu le forum, ou par qui dans les forums les plus actifs sur le site de forum actif Tes premières impressions sur Dùralas : c’est beau et presque comme un jdr papier ! j’aime forcément As-tu déjà été sur un forum RPoui, pas mal
Dernière édition par Thalwë Ithrildor le Jeu 14 Nov 2024 - 17:30, édité 2 fois
Sujet: Re: Thalwë Ithrildor Jeu 7 Nov 2024 - 15:34
Bienvenue sur Dùralas !
J'ai lu ta fiche avec beaucoup d'intérêt. Thalwë et Shae ont passablement de choses en commun, elle est comme une version de ce qu'il pourrait devenir s'il ne succombe pas à ses démons, et de par sa génétique qui lui épargne de se flétrir aussi vite qu'un pauvre humain, j'imagine qu'il aurait de quoi la jalouser.
Ton histoire est intéressante et très bien écrite en tout cas !
Sujet: Re: Thalwë Ithrildor Jeu 7 Nov 2024 - 15:55
Bienvenue par ici !
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ta fiche, Thalwë est un personnage que je trouve très intéressant.
Au plaisir de te croiser en RP.
______________________
« L’art est sans vertu ; la blessure est sans remède. Ainsi meurent les violettes ; ainsi, dans un frais jardin, meurent les pavots et les lis, brisés par le pied du passant. Vainement la fleur reste-t-elle unie à sa tige languissante et décolorée. Elle penche aussitôt sa tête appesantie, elle ne se soutient plus, et son front s’incline vers la terre. » Ovide, Les métamorphoses, Livre X.
Merci pour l'accueil, j'ai hâte d'être validé afin d'explorer ce monde ensemble en espérant que ma fiche soit bonne !
@Shae : oui j'ai lu ta fiche sauf l'histoire afin de ne pas trop me spoiler (et mon trajet de train n'est pas assez long xD). On va avoir de quoi échanger oui !
@Memhyndil : c'est un rôle que j'aime bien la noblesse, j'ai ciblé cette futur classe d'animiste car c'est original (et que je n'ai pas encore joué ce genre de personnage !).
@tous : à très vite en RP !
Dilon Deraborne
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Bon je ne sais pas si c'est fait exprès mais le nom "Ithrildor" fait très Tolkien, donc j'aime bien.
Je suis ravi que tu nous aies trouvé sur les forums les plus actifs de Forumactif !
Je me répète mais encore une personne à vouloir devenir animiste, on a une grosse vague d'intéressée dernièrement. Mais en même temps je comprends, cette classe est classe !
Sur ta fiche tu respectes le contexte dùralassien et tu as une belle plume. Le contenu est plutôt détaillé et je pense que ton personnage peut tout à fait s'acclimater à l'ambiance dùralassienne.
Tout est bon sur le nombre de lignes donc je te donne ta couleur raciale et j'active ta feuille de personnage.
Je cache également le code du règlement.
Le Tribun @Sobek E. Grey passera pour te donner tes récompenses de départ afin que tu puisses débuter définitivement l'aventure !
Tu pourras, à la suite de ce message et après validation du Tribun, débuter l'aventure en cherchant un partenaire dans les Demandes de RP.
Tu peux d'ores et déjà (sans validation définitive) créer ton journal de bord, ta généalogie si tu le souhaites, et choisir un métier dans le sujet concerné.
Au début de ton aventure, et même tout du long, le Guide du joueur (que tu peux aussi trouver dans la catégorie "Préambule" dans la barre de navigation) va pouvoir te diriger pour savoir où aller chercher les informations et répondre à la plupart de tes questions !
Lorsque tu te seras familiarisé avec le système de statistiques (si tel est le cas), tu pourras créer ta Fiche de statistiques, qui est un mémo pour toi-même, mais aussi pour Le Juge ou L'Arbitre lorsqu'un combat doit être lancé et qu'il doit prendre en compte les statistiques de ton inventaire.
Si tu as des questions n'hésite pas à les poser ici, sur Discord, le lien est dans le message d'accueil), ou dans la boîte à questions !
Sujet: Re: Thalwë Ithrildor Ven 8 Nov 2024 - 11:59
Oui, le nom de famille et même le prénom sont en haut elfes de Tolkien, et même dans l'histoire il y a 5 easter egg de clin d'oeil, j'essaie toujours d'en mettre même dans mes postes RP
Dans la catégorie fantastique, on est dans le top 10 des plus actifs en nombre de postes par 3 mois !
Merci pour la validation ! Je vais m'occuper avant le passage du tribun !
Sobek E. Grey
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Sujet: Re: Thalwë Ithrildor Ven 15 Nov 2024 - 5:22
Bienvenue Thalwë, j'espère que tu sauras excuser un léger retard dans ta validation c'était une semaine chargée,
L'équilibre dans toute chose, est-il coutume de dire, puisque la sagesse transite par la tempérance selon la philosophie. C'est une fiche toute réussie dont tu nous fait cadeau, en mêlant une manière bien à toi d'envisager la classe d'animiste et le lore nécromantique associé. Aussi, on ressent une habitude au peuple elfique. Si certains nains trouveraient là quelque chose à qualifier de mangeurs de salade, de mon côté j'ai été ravi de lire le lyrique que tu mêles ça et là à ton récit.
Félicitations, te voilà validée jeune noble au service de l'érudition.
Sujet: Re: Thalwë Ithrildor Sam 16 Nov 2024 - 9:25
Merci pour la validation ! Si je peux avoir l'arc en équipé, à moins que cela se demande ailleurs ?
Dilon Deraborne
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