La concurrente Onyxia Ventress

« Je me demande ce qui se brisera le premier… Ton silence, tes bras ou ta volonté ? »

Informations générales
Identité : Onyxia Ventress dit « le vautour des Baldors »
Race : Stryge Noir
Genre : Femme
Âge : 47 ans

Classe : Assassin
Magie de prédilection : Marionnettisme. Onyxia utilise des fils de magie invisibles à l’œil nue qui, une fois apposé sur sa victime, lui permettent de la contrôler à sa guise, telle une docile petite poupée. La stryge peut alors retourner son pantin contre ses anciens alliés et user de toutes ses capacités (même magiques) ou bien le torturer puis lui rompre les cervicales une fois lassée de son nouveau jouet.
Armes de prédilections : Une rapière camouflée dans le manche de son ombrelle, des talons aiguilles dans lesquels sont dissimulés des pointes empoisonnées. Elle porte également des gantelets métalliques finement ciselés faisant office de griffes de combat. Enfin, l’ensemble de son équipement est enduit d’un poison extrêmement virulent dont les secrets de fabrication lui ont été offerts par le célèbre clan naga des Vhahweyar.

Fait d'armes : En tant que cauchemar, notre chère Onyxia Ventress est réputée pour son inventivité débordante lorsqu’il s’agit de soutirer des informations à une personne. Ses séances de torture comptent parmi les plus longues, atroces et déstabilisantes des cachots de la tour noire. Mais sa véritable spécialité réside dans la théâtralité. Elle use bien souvent de machines atroces, de stratagèmes déviants afin de parvenir à ses fins. Ses techniques et approches de l’interrogatoire sans cesse renouvelées en font l’un des esprits les plus créatifs et effrayants que les cachots puissent receler.

De plus, Onyxia affectionne particulièrement les interrogatoires groupés. Elle aurait questionné en même temps, au sein d’une même pièce, pas moins de six personnes issue d’une importante famille de la noblesse stellaroise. Ils furent tous soumis à une torture physique et psychologique dépassant l’entendement pendant près d’une semaine (yeux arrachés de leurs orbites mais toujours reliés aux nerfs optiques, organes vitaux exposés au plein air, etc...), sans qu’aucun d’eux ne succombe durant l’exercice des fonctions de la stryge noire. Instillant une pression psychologique abominable au cours de ce huit-clôt, elle fit de ses sept jours les plus longs de toute leur pitoyable existence.

La stryge noire, maîtresse de ce cercle de torture, joua aux chaises musicales avec ses pantins, persécutant tantôt la fille afin de faire craquer la mère, puis usant du chantage sur cette dernière afin qu’elle défigure en son âme et conscience son propre mari pour qu’il révèle ses secrets de famille, séduisant le fils afin qu’il dévoile à son tour les inavouables intrigues dont il avait été témoin, manipulant la tante grâce à sa magie de marionnettiste afin qu’elle se mutile elle-même, etc... Onyxia, baignant dans le mensonge depuis sa plus tendre enfance, décelait le moindre détail : du discret rictus incontrôlé au léger changement du timbre de voix dissimulant une information ou intention secrète. Chaque peur était utilisée, chaque faiblesse exploitée. Le vautour des Baldors changeait de rôle comme de robe de soirée, passant, au gré des situations, de la tortionnaire crainte à la confidente attentionnée et affectueuse, articulant ses victimes comme de vulgaires et naïfs marionnettes. Elle était la cheffe d’orchestre d’une incroyable symphonie de duperie et de souffrance.

N.B. : Après avoir révélé la totalité des informations nécessaires aux exécuteurs, les victimes furent finalement crucifiés au sommet d’une montagne des Baldors et se firent lentement achever par les vents glacials lacérant leur peau et les charognards venant se repaître de leurs entrailles exposés aux yeux de Marisher, sous le regard bienveillant d’Onyxia Ventress.

Aspiration(s) à devenir "Main de la Mort" : Le pouvoir… Quel fou refuserait une telle opportunité d’en saisir un peu plus afin d’asseoir sa domination sur les êtres inférieurs peuplant ce monde ? Mais au-delà de son désir de contrôle, ce tournoi était une aubaine, une occasion en or de sortir de l’ombre et servir le nouvel Exécuteur-en-chef. Il est toujours intéressant d’avoir une femme d’expérience à ses côtés. Sous sa tutelle, elle pourrait donner un souffle nouveau aux exécuteurs et prouver la suprématie des stryges noirs sur les autres races de ce continent (en particulier les immondices sur pattes vénérant Morkez, ces chiens galeux de stryges blancs) en plus de renforcer l’influence et le prestige de la famille Ventress. Les cris d’agonies de ses adversaires rompant le silence, les bruits de leur chair se déchirant et de leurs os se fracassant… Toute cette harmonie de douleur et de souffrance… Elle s’en délectait rien que d’y songer.

Description physique

Froide, intrigante et captivante sont les premiers mots qui viennent à l’esprit lorsque l’on fait la rencontre d’Onyxia. Cette sublime stryge noire, issue d’une riche et influente famille, est une beauté comme l’on en croise rarement. Sa grande taille, son allure hautaine et distinguée ainsi que son regard envoûtant sont autant de point attirant le regard lorsque cette dernière entre dans une salle. Cette admiration se mue bien vite en fascination lorsque la stryge fait l’honneur à ses admirateurs et admiratrices de déployer ses sublimes ailes aux plumes jais sur la surface desquelles miroitent d'hypnotiques reflets émeraude.

Outre ses traits du visage à la fois sévère et délicats, Onyxia arbore une peau d’albâtre parsemées de quelques touches de maquillage ci-et-là. Ses yeux, bien souvent mi-clos, comme s’ils jugeaient perpétuellement ceux lui faisant face, renferment des iris teintés d’un gris peu courant chez le commun des mortels. Ses longs cheveux blond platine, quant à eux, sont fréquemment attachés en arrière et solidement maintenus par un chignon. Enfin, ladite chevelure est surmontée d’un petit diadème orné d’un crâne métallique dans la bouche duquel est enchâssé une opale.

Pour ce qui est du corps, la stryge noire possède une taille de guêpe et, à ce titre, apprécie particulièrement les habits près du corps, ayant l’avantage de mettre en valeur ses atours. Issue d’une noble famille stryge, ses vêtements sont bien souvent luxueux, avec des teintes sombres parsemées de touches vertes émeraude (sa couleur favorite). Pour finir, son surnom de « vautour des Baldors » vient, pour une part, de la collerette de plumes noires qu’elle porte autour du cou.

Mais si la belle stryge venait à se dénuder, vous seriez alors témoin de l’envers du décor. Onyxia Ventress, comme toute bonne exécutrice, possède un corps svelte mais finement musclé, produit de nombreux et exigeants entraînements martiaux. Ce corps, qu’elle sculpte et aiguise régulièrement comme une arme, lui octroie des mouvements vifs, agiles et mortels qui en font une adversaire à ne sous-estimer sous aucun prétexte si vous ne voulez pas terminer avec la pointe de ses talons aiguisés en travers de la gorge. De surcroît, la stryge présente de nombreuses marques de ses séances de scarifications et de flagellations quotidiennes dissimulées sur tout son corps.

Enfin, le sceau de Onze, marque circulaire au fer rouge que tout les exécuteurs et exécutrices reçoivent à leur entrée dans la caste est sans doute ce qui démontre le plus l’attrait pour la douleur d’Onyxia Ventress, puisqu’elle se l’est fait apposer à même la langue. D’après le code des exécuteurs, la marque de Onze se doit de faire cinq centimètres de diamètre, mais celle d’Onyxia n’en fait que trois. Toutefois, il ne faut pas y voir ici une marque de faiblesse, bien au contraire. La langue est un organe extrêmement sensitif puisque parcouru de très nombreuses terminaisons nerveuses et en fait probablement l’un des endroits les plus douloureux où apposer un marquage au fer rouge. Devant l’audace de la proposition d’Onyxia, ses supérieurs, impressionnés, lui accordèrent une dérogation spéciale pour que sa marque soit plus petite que la normale et ainsi qu’elle puisse l’apposer à même l’endroit désiré.

Pour résumer. Onyxia possède un charme certain qui ne laisse pas indifférent. Cependant, c’est une beauté fatale, inatteignable sans manquer de se brûler les ailes par la même occasion. Nombre d’hommes (et de femmes) inconscients ont tenté de se rapprocher d’elle afin d’obtenir ses faveurs, la couvrant d’avances, de poèmes et de présents hors de prix. Mais ceux qui connaissent Onyxia de réputation savent bien ce qu’il en coûte de tenter de séduire le vautour des Baldors...

Description mentale

Onyxia peut sembler n’être qu’une simple femme de cour se complaisant dans le luxe, la séduction et l’empirisme. Mais ne vous y trompez pas. Sous son masque d’indifférence se cache en fait une personnalité cruelle et sadique, prompt à tourmenter celui ou celle ayant le malheur de tomber entre ses serres. Onyxia est une manipulatrice hors-paire, qui adore cerner et exploiter les points faibles de ses adversaires de la manière la plus retorse qui soit. Le chantage est une seconde nature pour elle. C’est une femme d’expérience, à l’esprit vif et calculateur, qui sait placer ses pions et les utiliser de la meilleure manière qui soient afin de servir ses intérêts et objectifs. C’est aussi et surtout une tueuse et une tortionnaire de renom qui se complaît à observer, ressentir et faire subir la souffrance à elle-même comme à ceux qui l’entourent.

Le péché mignon de la stryge est de forcer un adversaire à combattre l’un de ses proches qu’elle manipule à l’aide de sa magie et ainsi lire le désespoir sur leurs deux visages. La pauvre victime d’Onyxia, marionnette sujette à l’ensemble des désirs de sa maîtresse, se lance alors contre son gré dans un ballet mortel afin d’assassiner son ancien allié, qui de son côté, doit faire face à une torture psychologique d’une rare cruauté. Comment peut-il sauver son ami ? Doit-il le tuer ? Ou seulement le blesser peut-être ? Mais si jamais ce dernier met un peu trop de temps afin de prendre une décision, alors Onyxia ordonnera à son pantin de s’auto-mutiler et ainsi se délectera de l’expression horrifié de son adversaire, impuissant.

Onyxia Ventress est une personne hautaine, froide, sévère qui éprouve du mépris pour à peu près tout ce qui existe sur cette planète, excepté les Stryges noirs qu’elle considère comme une race supérieure. Les deux seules exceptions à cet état d’esprit sont les nagas et les vampires pour lesquels elle éprouve une profonde admiration. Elle apprécie leur raffinement, leur pureté ainsi que leur aura prédatrice forçant respect et soumission à quiconque viendrait à croiser leur regard… Comme vous dirait Onyxia : « Après tout, les faibles sont amenés à être dominés par les puissants. C’est dans l’ordre naturel des choses mon cher... »

Histoire
Les Ventress… La simple évocation du nom de cette tristement célèbre famille suffit à glacer d’effroi bon nombre de personnes. Meurtres, trahisons, intrigues et coups tordus, le tout arrosée de litres d’hémoglobine et d’une bonne poignée de sadisme, voilà quelle est l’aura se dégageant de cette lignée de stryges noirs renommés. Cette dernière est, par ailleurs, l’une des rares famille stryge possédant un titre de noblesse ainsi que les droits y étant associés. Pourtant, la notoriété de cette maison est plutôt jeune étant donné qu’elle ne débute vraiment qu’à la cinquième génération (sur sept), justement par l’obtention de ce titre de noblesse et la manière dont il fut acquis. Mais nous y reviendrons plus tard.

Commençons par exposer rapidement les jeunes années de notre séduisante tortionnaire. Onyxia Ventress est la sœur cadette d’une fratrie de quatre enfants au sein des Ventress : une famille très aisée et réputée de la tour noire. De par sa riche extraction, Onyxia vivait dans un cadre luxueux cultivant son goût pour l’excellence et le raffinement. Néanmoins, cette vie d’opulence n’empêchait pas la famille de suivre scrupuleusement les obligations sociétales inhérentes à leur race. Par conséquent, l’éducation d’Onyxia fut à l’image de celle dispensée à la jeunesse strygienne, c’est-à-dire d’une rigueur, d’une exigence et d’une sévérité exemplaire. Une règle de leur famille était de pouvoir tout abandonner en moins de 20 secondes si jamais la situation l’exigeait.

Les pouvoirs de marionnettiste d’ Onyxia se manifestèrent très tôt, de même que son attrait pour la manipulation et la cruauté. L’un des épisodes les plus notable de l'apparition de ses pouvoirs est celui où, âgée de huit ans, elle prit le contrôle du corps d’un de ses camarades de jeux ayant insulté sa famille. Après que celui-ci ait refusé de retirer ses propos, Onyxia lui brisa les ailes avant de le forcer à se jeter du haut de la tour noire. En temps normal, l’incident était censé être lourd de conséquences. Toutefois, la notoriété de la famille Ventress ainsi que le potentiel de la jeune stryge que perçurent les supérieurs hiérarchiques de la tour noire eurent vite fait de classer l’affaire. Suite à ces événements, la famille Ventress plaça de bons espoirs dans l’avenir de la cadette et s’employa à cultiver ses pouvoirs de marionnettiste et exacerber son goût pour la manipulation, domaine dans lequel elle excellait. Ce pressentiment et ces entraînements se révélèrent payants puisqu’elle passa avec brio le rituel de la « Grande validation » à l’âge de quinze ans. Elle entra donc chez les exécuteurs et, après avoir une nouvelle fois honorée sa famille et sa race en réussissant les trois épreuves de sa caste, entra dans le cercle qui lui était prédestiné depuis sa plus tendre enfance : celui des cauchemars.

Passons maintenant à un brin d’histoire familiale. Auparavant résidents de la tour noire, les Ventress demandèrent un beau jour l’autorisation aux hautes autorités strygienne de pouvoir quitter la tour. Ces derniers donnèrent leur accord à la seule condition qu’ils remplissent une mission en gage de paiement de cette libération partielle de la tutelle strygienne : mettre à mort une petite famille de la noblesse elfique, installée depuis plusieurs années dans les marais Hukutav, en plein territoire naga, chose que ces derniers n’appréciaient que moyennement. Cette mission, outre le but de prouver l’utilité et la fidélité de la famille Ventress à la tour noire, était également un moyen de consolider leurs bonnes relations diplomatiques avec le peuple reptilien, en leur retirant une épine du pied tout évitant de se salir eux-mêmes les mains.

C’est donc à cette occasion qu’Onyxia Ventress, alors âgée de dix-neuf ans, fit véritablement ses preuves en jouant un rôle central. Ayant fait forte impression auprès de l’un des fils du maître des lieux lors d’une hasardeuse rencontre dans les marais, elle se fit finalement inviter par ce dernier à l’une des luxueuses réceptions que sa famille donnaient en leur domaine. Alors que la soirée battait son plein, la stryge usa de son pouvoir de marionnettiste pour prendre discrètement le contrôle du fils afin qu’il se jette sur sa famille et les poignardent tous sauvagement. Elle prit toutefois soin de garder le père en otage. Alors que le chaos gagnait la salle de bal, la famille Ventress fit irruption dans le domaine et massacra le reste des hôtes et invités. Onyxia fut ensuite envoyée par son père à la tour noire avec le chef de famille elfique afin, d’une part, d’annoncer la réussite de la mission et d’autre part, de torturer son prisonnier. Les informations qu’elle réussit à lui retirer au cours de cette sombre séance de torture furent d’une aide précieuse pour la tour comme pour sa famille et achevèrent d’entériner l’acceptation de la demande d’émancipation partielle des Ventress.

La suite de son parcours n’en n’est pas moins intéressant puisqu’elle passa de longues années aux côtés de sa famille afin de consolider et renforcer leur influence dans la région depuis leur domaine nouvellement acquis. La baronnie pris de l’ampleur et devint bientôt un lieu aussi craint que raffiné. Durant quinze ans, Onyxia fit de la vie de cour son quotidien. Les Ventress organisèrent de somptueuses réceptions afin d’entretenir de bonnes relations avec leurs voisins, notamment les Vhahweyar, qui constituaient des invités de marque avec lesquelles Onyxia s’entendait particulièrement bien. Mais ces fêtes étaient également l’occasion de capturer ou d’éliminer certaines familles rivales et personnalités dérangeantes pour les affaires familiales ou la tour noire. Les dites cibles disparaissaient mystérieusement en cour de soirée afin d’être traînée dans les sous-sols du domaine, pour terminer bien souvent leur course entre les serres d’Onyxia. Toutefois, les Ventress, Onyxia en tête, n’oubliaient pas leurs devoirs vis-à-vis de la tour noire et s’attelèrent à remplir leurs obligations liées à leurs castes respectives bien qu’ils demeurent éloignés de leur véritable foyer (flagellation, scarification et torture pour les exécuteurs, assassinats pour les membres de la confrérie noire, rituels, cérémonies, discours et études pour les adeptes du dragon).

À trente-quatre ans, Onyxia fit un passage par la Congrégation des ombres. Son entrée au sein de la prestigieuse organisation fut l’occasion pour elle de peaufiner ses techniques d’assassinat, de manipulation ainsi que son art de la torture et du marionnettisme. Elle demeura pendant près de trois ans au sein de cet endroit qu’elle considérait presque comme une troisième maison après la tour noire et le domaine Ventress. Mais... Pour une stryge noire exécutrice, cauchemar de surcroît, l’appel des cachots originels demeurait irrésistible. Ooooh, la Congrégation possédait bien quelques cellules, mais elles n’étaient rien en comparaison de celles de la tour noire. Ces dernières avaient ce petit quelque chose en plus de… pittoresque qui lui plaisait tant et lui manquais terriblement. Onyxia quitta donc les rangs de la Congrégation des ombres afin de se consacrer pleinement à son travail de cauchemar au sein de la tour noire.

Voilà maintenant plus de dix ans que le nom d’Onyxia Ventress s’attelle à faire hurler de douleur les cachots de la tour noire, chaque jour que Marisher fasse. Mais lorsque la nouvelle de la mort de Onze, la légende strygienne des cachots, parvint à ses oreilles, la tortionnaire se détacha exceptionnellement de ses instruments de souffrance. Ainsi donc, un nouvel Exécuteur-en-chef avait prit la place de celui qu’on surnommait « la Mort » ? Plus attrayant encore, ce dernier organisait un sanglant tournoi afin de décider qui serait ses deux nouveaux lieutenants… Voilà qui promettait d’être excitant. Elle serait de la partie, mais… Conscience professionnelle oblige, elle devait d’abord achever de torturer l’elfe qui lui faisait face.

N.B. : Une rumeur raconte qu’Onyxia a déjà été mariée, une fois, avec un riche marchand strygien travaillant aux alentours de la cité d’Endorial et père d’un fils d’une vingtaine d’années. Mais ce dernier était peu trop ambitieux au goût de la stryge noire et dispensait une mauvaise image de sa belle-mère à son géniteur. Le vautour des Baldors égorgea finalement son beau-fils lors d’un somptueux dîner en tête-à-tête. Puis, pressentant que son mari découvrirait tôt ou tard le pot-au-roses, elle l’étrangla de ses mains au sein de leur lit conjugal, avant de faire empoisonner toute sa belle-famille. Dorénavant veuve, elle versa une petite larme de circonstance puis repris le commerce lucratif de son défunt mari par clause testamentaire (qu’elle lui avait fait rédiger par avance) avant de l’intégrer au sein du domaine familial des Ventress.