Nom : Circë Andirral

Âge : Officiellement 26 ans, réellement, elle ne sait pas trop, elle suppose qu'elle a un peu moins de cent ans, peut-être 80 ans.

Sexe : Femme

Race : Ancienne humaine / Vampire mordus

Classe envisagée : Assassin

Métier envisagé : Circë n'a pas toujours été une vampire, dans son ancienne vie, elle était comme sa mère, une herboriste dans son petit village. Elle utilise son expérience dans ce domaine pour fabriquer des potions. Bien sûr, Circë est parfaitement consciente du dicton, il n'y a qu'un pas entre un guérisseur et un empoisonneur, tout est une question d'ingrédient et de dosage.

Capacité magique : À part ses connaissances dans le domaine des plantes qui sont plutôt artisanal et le fruit d'un savoir oral transmis par sa mère qui le tient elle-même de sa mère, elle ne possède aucune maitrise magique particulière au départ. Elle a découvert récemment que sa famille tremper dans la sanguinomancie, la magie de sang lui a permis de soigner plus efficacement.

Mode hardcore : Non

Circë est une femme qui a toujours été considéré, depuis toute jeune, comme jolie. Souvent sa grand-mère lui rappelait à qu'elle point ses yeux verts pommes sont beaux, alliée à sa chevelure rousse abondante. Adolescente, elle a bien compris qu'elle avait un certain charme. Du haut de ses 1m77 pour 58 kg, elle n'est ni trop mince, ni trop grosse, une harmonie dans ses formes qui provient en partie d'un coup de pousse de la nature, mais aussi d'une mère qui faisait attention à son alimentation et la poussé à manger équilibré et à apprendre à "cultiver" son charme. Une habitude qu'elle a gardée une fois adulte et qui la pousse à dire qu'on ne nait pas belle, on le devient. Aucune cicatrice ne vient perturber l'harmonie de sa peau qui est devenue encore plus blanche depuis sa transformation, elle a seulement deux grains de beauté, un en-dessous de son œil droit et un a un endroit connu de ses amants seuls.

La vampire fait encore aujourd'hui particulièrement attention à ce qu'elle porte, mais aussi à l'odeur qu'elle dégage. L'obsession pour son charme et sa beauté la pousse vers une hygiène de vie irréprochable et un choix soigneux de ses habits, comme si elle choisissait des armes. Elle part du principe qu'il faut un juste milieu et que chaque personne possède une manière de transparaître son charme avec efficacité. Le sien est d'entretenir son charme à grand renfort de parfum et de soin, tout en voulant laisser croire à une forme de beauté naturelle.

Ses cheveux sont souvent lâchés et il ne semble pas anormal qu'une femme comme elle, s'y attentive à son apparence, fait attention à sa peau et ne la laisse jamais transparaitre au soleil, de peur que le soleil n'y laisse une marque rouge disgracieuse. Personne ne s'étonne donc de la voir sortir ou voyager encapuchonné. Sous les traits fin de son visage, elle a souvent un sourire léger, ne montrant jamais ses dents avec ses longues canines. Elle a d'ailleurs appris à retenir son rire en un son fin et fluet qui ne lui demande nullement de découvrir ses dents. Un rire qu'on dit mignon, ne saurait donc pas la trahir.

Bien que née dans un milieu paysan, elle a appris sur le tas dans sa vie de vampires à se montrer maniérer et cultiver. Chacun de ses gestes doit transparaitre de perfection et une perfection qui se doit à tout pris d'être naturel. Elle fait terriblement attention à ce qu'elle fait. Elle peut cependant en cas de stress prendre des manies plus gauche et l'apparition d'une maladresse dans la précipitation. On ne peut pas tout le temps être parfait après tout.

Dans sa jeunesse, Circë était une jeune fille timide, souffrant d'un terrible manque de confiance en elle. La peur de l'échec la faisait facilement paniquer ce qui rendait son échec encore plus probable. Avec le temps et suite à son mariage, elle s'est assagis et a perdu ses tendances à paniquer.

Aujourd'hui, Circë est une femme assurée qui sait où elle va et ce qu'elle veut. Devenu experte dans le fait de cacher ses émotions, la vampire est une adepte de la manipulation. Elle est assez sarcastique voir cassante, ce qui peut la faire passer soit pour hautaine, soit pour désabusé. Il y a de nombreuse choses dans lequel Circë ne croit plus ou ne veut plus croire pour certaine raison qui la regarde. Elle modifie cependant son comportement vis-à-vis de la personne en face d'elle, s'adaptant et adaptant son discourt afin que celle-ci la laisse tranquille.

La vampire ne cultive pas son charme par orgueil ou par vanité, mais bien dans une optique de survie. Pour elle, c'est sa principale arme pour survivre dans ce monde. Elle a du mal et ne souhaite pas s'attacher aux autres, par peur de souffrir. Vis-à-vis des autres, elle essaye de se montrer discrète et ne pas attirer l'attention sur elle. En tant que vampire solitaire, elle parcourt le monde à la recherche de travail afin de vivre, elle ne reste jamais longtemps au même endroit. Elle a un mode de vie plutôt proche d'un vampire végétarien, se nourrissant quasi-exclusivement de sang d'animaux. Mais pas par conviction, c'est plutôt que le fait de semer derrière elle des cadavres vidés de leur sang attirerait trop l'attention sur elle. En soit Circë n'a aucun mal à tuer un humain, considérant que sa personne et sa survie sont plus importantes que toute vie humaine. Cependant, malgré ses dires, elle a une préférence pour des hommes qu'elle considère comme abjecte et inutile, comme des bandits, des meurtrier ou des violeurs. Elle n'est pas non plus contre l'idée de rejoindre un clan de vampire tant que celle-ci peut avoir l'assurance d'une bonne position.

Du point de vue du reste, Circë a une vision assez utilitariste des choses. Sa sexualité est assez libre et détaché. Sa vision sarcastique et désabusé lui faisant dire que l'amour est une perte de temps et elle ne voit même pas l'intérêt de fonder une famille, car en tant que Vampire Bêta, elle ne pourra plus jamais porter la vie. Elle prend ce qu'elle a envie de prendre et ce qu'elle peut prendre sans s'attirer de problème. Donc une personne très opportuniste. Elle ne rejette pas non plus sa nature vampirique, préférant vivre avec elle, plutôt qu'à défaut d'elle. Le prix de sa transformation, elle l'a déjà payé et se serait bête de rendre se prix inutile.

Fataliste, elle a bien conscience que son charme n'est en rien la cause de l'attaque de vampire qui aurait de toute façon eu lieu qu'elle soit belle ou non. Ce fut lui qui la sauvé en partie la vie le jour de son enlèvement. Parfaitement consciente de cette réalité, elle n'en veut pas à son physique pour cela. Dans le même temps, au fond d'elle, elle a aussi conscience que la nature de vampire lui a ouvert quelques portes. Elle a appris à lire au sein du clan et est depuis bien plus ouverte sur le reste du monde. Jusque là, les autres races étaient pour elle plutôt des sortes de rumeur ou de choses éloignées qui ne la concernaient pas. Elle se rappelle bien avoir vu un elfe, un jour, dans son enfance. Mais en dehors, elle n'avait vu que des humains. Bien sûr, sur sa vie, elle n'a vu que des vampires, des humains et des elfes, les autres races ne sont pour l'instant que des sujets qu'elle a lus dans des livres.

Circë est malgré tout, une personne qui ne veut pas accepter l'idée de mourir et de disparaître. Même dans les moments où elle souffrait le plus, cette idée lui était totalement impensable et la révulser, ce qui la poussait à tenir jusque là.

Dernier fait sur la vampire, elle se balade toujours avec une bague qu'elle porte en pendentif autour du cou et possède une poupée de chiffon quelle garde jalousement comme s'il s'agissait de son bien le plus précieux.

- Il y a 86 ans, dans un village un peu éloigné de la route qui mène de Stellaraë à Ishtar, Circë naquit. Elle vit son enfance dans une petite famille, étant la sœur cadette. Elle a un frère ainé de deux ans plus vieux qu'elle. Il n'y a rien de vraiment intéressants à raconter durant cette période. Il ne se passe pas grand-chose de vraiment palpitant. Circë est très proche de sa mère, l'herboriste du village, la femme que l'on va voir quand il y a de petites blessures ou des maladies qui ne sont pas trop graves. Sa mère souhaitait vraiment avoir une fille et un fils ce qu'elle avait déjà et en bonne santé, alors sa famille n'avait pas le besoin de s'agrandir. Circë eut une enfance heureuse et calme, suivant le souhait de sa mère de devenir elle aussi herboriste. Elle voulait une vie comme sa mère, simple, avec parfois des complications, mais rien qui ne vienne vraiment enrayer ce quotidien.

- Elle eut quelques problèmes durant son adolescence où d'autres filles du village, jalousant probablement sa beauté, la traitèrent de sorcière. Les jalouses devaient penser que Circë avait un secret magique pour envouter les garçons du village, mais non, ce n'était qu'une alimentation équilibrée, de l'entretien constant et un coup de pouce de la nature, a l'image d'un arbre qui lentement grandit. Des rumeurs qui ne faisaient bien sûr pas plaisir à Circë qui jouait avec ses même jeunes filles quand elle était petite, ce qui ne l'aida pas à s'ouvrir aux autres et la fit se sentir assez seule. Un garçon du village peut scrupuleux, qui sentait que par ce biais, il pouvait profiter de ce sentiment de solitude pour s'attirer les faveurs de jeune fille, tenta sa chance en se présentant comme une personne qui s'intéressait sincèrement à elle. Bien sûr, il s'intéressait principalement à Circë pour son apparence, mais elle tomba dans le piège. L'adolescente, encore naïve, ce faisait mener par le bout du nez et cela aurait put marcher si la jeune fille, par un concours de circonstance, n'avait pas entendu son chère soupirant, se vanter d'avoir put facilement atteindre le cœur de la jeune femme et de bientôt pourvoir "conclure" avec elle. Première désillusion amoureuse pour Circë dont l'amour se transforma en haine en entendant ses mots. Elle se sentit trahit et rejeta cet homme, se promettant de ne plus jamais tomber amoureuse.

- Mais cette promesse, elle ne put pas la tenir éternellement. Si elle rejeta beaucoup d'hommes, un finit par l'atteindre. Il n'usa d'aucun subterfuge ou de faiblesse. Il se contenta juste de la faire rire et de rendre leur moment ensemble unique. Pour tout dire, il n'était pas le plus bel homme que Circë est rencontré, mais il était honnête, droit, drôle, il l'écoutait quand cela n'allait pas et l'aider à se calmer dans ses moments de panique. Parallèlement, Circë l'aidait à sortir de sa timidité et l'obligeait à prendre bien plus soin de lui. Au fil du temps, leur relation c'est étoffé pour finalement atteindre son apothéose par une suite de baiser langoureux, à l'abri d'un bois à l'arrière du village et sous le sourire du croissant de lune dans le ciel nocturne. Il y a 67 ans, Circë se maria avec Daeron Andirral.

- Bien sûr, leur histoire n'était pas composée que de simple baisé et mot doux. Circë tomba vite enceinte et la petite famille partit s'installer dans une maison, une toute petite maison un peu à l'écart du village, car construite sur un terrain que Circë et Daeron ont défrichés ensemble. Le père de Daeron avait acheté ce terrain pour l'offrir à son fils et sa femme en cadeau de mariage. Daeron avait dû construire la maison de ses mains, avec l'aide d'autres villageois, mais elle était prête pour accueillir la petite Anju Andirral, une petite fille venant agrandir la famille. Pour Circë tous se profilait pour le mieux, sa vie n'était pas simple, car même si elle aidait sa mère et gagnait un salaire dans ce travail, il fallait parfois racler les cannes pour subvenir au besoin de sa famille. Bien sûr, Daeron travaillait lui-aussi, mais les premiers mois de la vie d'Anju était assez éprouvant pour le couple. Anju, en plus de demander la même attention que n'importe quelle bébé, tombait régulièrement malade. Mais Daeron et Circë sont restés unis dans cette épreuve et Anju, aidé par les soins de sa mère et de sa grand-mère, réussit à survivre à ses premiers mois difficiles. La suite fut de conjuguer la vie parentale et le travail. Mais Circë ne s'en plaignait pas, elle avait ce qu'elle voulait et s'en serait pleinement contenté.

- Mais bien sûr, les choses allaient trop bien. Un soir, dans le village, des disparitions inquiétantes commencer à faire leur apparition. Si au départ, les habitants pensèrent que c'était simplement le voisin qui c'est perdu dans les bois, bien vite, une rumeur plus funeste fit son apparition. Au bout de la deuxième disparition, on parla d'individus cagoulé qui enlevaient les gens. Bien sûr, le village commença à s'agiter, mais n'avait pas compris l'ampleur de la situation. Les habitants avaient pour ordre de se cloisonner chez eux. En espérant que cela suffirait à stopper temporairement ses disparitions, le temps de trouver une meilleure solution ou qu'un chasseur de monstre ou d'engeance ne viennent au secours du village en échange de la prime. Ce soir-là, cela semblait marcher, tout le monde avait respecté le couvre-feu et tout le monde était chez soit avant que le soleil ne se soit couché. Circë et Daeron n'avaient pas réussi à trouver le sommeil et était resté éveiller toute la nuit, ils avaient peurs. Tout était calme à l'extérieur, rien ne semblait troublé le calme nocturne, cependant, au milieu de la nuit, de grand bruits dans tout le village se fit entendre. À ce moment-là, des hommes encapuchonnés firent éruption dans la maison. Circë réussie à partir dans la chambre dans sa fille. Elle espérait pouvoir la réveiller et la faire sortir rapidement par la fenêtre pour lui permettre de fuir. Mais les hommes arrivèrent au moment où la petite fille tétaniser venait à peine de sortir de son sommeil. Ils firent sortir Circë et Anju de la maison, Daeron était déjà dehors. Un homme se rapprocha alors de Circë, un homme qui semblait avoir la vingtaine, avec un visage blanc comme un linge, mais des traits fin et un air noble. Il fit soulevait le visage de Circë à son niveau pour l'observer de plus près. Il eut juste un sourire amusé, indiquant à ses hommes que la pêche fut bonne, car dans ce village perdu, ils avaient trouvé une perle rare. Il leur dit d'emmener la jeune femme à part du reste du troupeau. Circë se débattit, hurlant qu'elle irait nulle part sans sa fille. Mais les hommes encapuchonnés ne l'entendait pas comme cela. Circë avait beau se débattre et crier, ils finirent par l'emmener avec eux. Tout ce qu'elle put garder dans les mains, agrippées sur sa fille, fut la poupée qu'Anju serait contre elle la nuit pour se rassurer. Elle fut emmenée à l'écart, on lui mit un sac sur la tête et on la mit dans un chariot. Quand le chariot la emmené à sa destination, elle fut encore déplacée avec force dans une geôle, elle était dans ce qui semblait être une grotte qui, au vu de son voyage, ne devait pas être loin de son village. Serrant la poupée contre elle, Circë qui ne comprenait rien à ce qui venait de se passer, pleurait. C'était il y a 60 ans.  


La nuit tombe sur la route entre Ishtar et Stellaraë. C'est une heure où les braves et honnêtes gens sont couchés depuis longtemps. Le silence de la nuit de pleine lune n'est troublé que par la chasse d'une chouette sur des campagnols et autres rat des champs. Elle vient d'attraper en silence une autre proie avec sa vitesse foudroyante et son regard perçant. Poser sur une vieille souche, elle semble maitresse total sous le ciel nocturne. Pourtant, ce soir, elle n'est pas la plus terrible bête qui rôde. Dans la clairière un peu plus loin, un troupeau de vache paissent paisiblement, aux abords des ruine d'un ancien village. Tout semble si calme et sans danger dans ce lieu a-t-elle point que le gardien du troupeau, un jeune garçon âgé de 16 printemps c'est endormi, son chien à ses côtés veille à sa place. La brave bête fait le travail de son maître, lui offrant ses sens à cet humain en échange de quelque caresse et de nourriture. C'est alors sans raison que le troupeau s'agitent et que le chien se met à aboyer. L'adolescent qui dormait paisiblement se réveille en sursaut. Il lui faut un temps pour qu'il remette ses pensées en ordre et qu'il puisse se lever. Le chien aboi et guide son maître jusqu'à l'endroit où il a senti une odeur étrangère. Sur le sol, se trouve le corps d'une vache qui semblait être vidé de son sang. L'attaque fut précise et rapide, comme s'il s'agissait d'une chouette géante pour qui cette vache n'était qu'un simple campagnol. L'adolescent l'observe et se demande bien quelle créature a put faire une chose pareille. Il a bien entendu quelques histoires sur des créatures suceuses de sang, les vampires, mais il n'en avait jamais vu.
Il observe le village au loin, d'après ce que les anciens lui ont raconté, c'est un endroit qui est maintenant considéré comme maudit. La créature qui a fait cela y venait-elle ? L'idée d'aller visiter ce village lui traversa l'esprit, mais armée d'un simple bâton, cela suffit pour éloigner les loups, mais pas des créatures plus grosse ou plus intelligente.

Dans le village, la végétation a repris le dessus. Cela fait longtemps que la vie humaine la quitter. Plus rien ne semble porter les stigmates de l'attaque qui eut lieu en une nuit et qui avait fait de ce lieu, un endroit maudit. Cependant, en ce lieu inviolé depuis de longues années, une personne seule s'y aventure. Une femme dont la beauté sous la lumière de la lune semble surnaturelle malgré une apparence famélique. Elle est habillée de beaux atours et la tête couverte. Sa chevelure rousse et ses yeux verts sortent de son teint blanc allié à la lumière de la lune qui lui donne une impression encore plus éthéré. Les seuls bruits qu'elle produit sont le bruissement léger de ses vêtements et le frottement du fourreau de cuir de sa dague sur sa ceinture. Elle observe chaque lieu de ce village avec une profonde tristesse, comme si elle l'avait connu dans sa gloire et avait de nombreux souvenirs important qui s'y était inscrit. La femme semble suivre un étrange pèlerinage en ce lieu se stoppant devant une première maison dont le toit c'est écroulé. Elle reste dans le silence à l'observer tristement avant de reprendre son étrange pèlerinage vers une maison à l'écart du village. Cette maison est toute petite et entourée d'un terrain laissait en friche depuis des décennies. Contrairement à la première maison, le toit ne c'est pas encore effondré. Elle reste la encore un temps pour l'observer, avant de sortir sa dague. La femme utilise alors sa lame pour ce faire un chemin dans la végétation et pouvoir pénétrer dans la maison. Une fois à l'intérieur, elle n'y voit que les restes de ce qui fut un salon et une salle à manger, recouvert de végétation. Elle s'assoit contre un mur et sort de son sac une vieille poupée de chiffon qu'elle observe encore tristement avant de se mettre à renifler bruyamment pour finir par pleurer.

En soit, Circë n'a pas vraiment de but précis, en tant que personne opportuniste, elle prendra les opportunités qui s'offrent. Elle a abandonné depuis longtemps tout espoir de pouvoir se venger, tant la crainte de son ancien maître est forte chez elle. Son but est de survivre et de se faire une place, quelle qu'en soit le prix, pour que la mort de sa famille n'est pas été vaine.
Et puis partir à l'aventure est un moyen comme un autre pour ne pas rester dans la torpeur et la souffrance afin d'oublier, tout en découvrant un monde qui lui était jusque là inconnue.