Une mission toute particulière, et pour le compte de la Milice, attendait l'ancien général du Stolenmark. Peut-être, est-ce à cause de son affinité avec les Khazariens ou sa proximité avec Baldorheim, mais Greil se trouvait associé avec un membre des Khazariens pour cette mission. Un grand jeune homme d'un bon mètre quatre-vingt-cinq, d'une stature svelte et musclé rappelant la grâce des elfes tout en y ajoutant un soupçon de sauvagerie. La peau claire, même si moins claire que celle d'Arkos, ce Ragnör, contraste son teint avec des vêtements sombres. Les yeux bleus et les cheveux blancs, le visage de l'elfe des glaces est également parsemé de quelques tatouages. Voici un descriptif assez unique et facilement reconnaissable, surtout en ces lieux. Une seconde personne devait venir en aide à l'ancien général, un Gardien dont le descriptif était pour le moins alambiqué. "Vous le reconnaîtrez quand vous le verrez, du moins s'il arrive à se réveiller à l'heure." Plutôt obscure comme description et montrant un manque flagrant de sérieux. Aussi loin que Greil pouvait s'en souvenir, le seul Gardien que l'ancien général connaissait était Dilon, mais celui-ci n'était clairement pas ce genre de personne. Le Maitre, forgeron d'armes, était quelqu'un de sérieux en tout point et ne correspondait pas à cette trop courte description.

Greil regardait de nouveau l'ordre de mission, tout en marchant dans le sable chaud de la Savane de Tzengah. Il semblerait que les tribus peuplant la Savane soient aux prises avec une quantité d'Exaltés plus élevée que d'habitude. Ces créatures autrefois humaines, devenues les membres d'une armée sans vie aux services d'un nécromancien, semblaient se diriger plus loin que l'épicentre habituel, indiquant que le sorcier les manipulant était en mouvement ou que sa puissance était grandissante. L'ancien général avait donc été envoyé pour enquêter sur le sujet et faire reposer en paix le maximum d'exaltés possibles, les renvoyant à la prospérité de leur civilisation déchue. Le point où trouver Ragnör, et lui prêter main forte, était un Reg, c'est-à-dire un désert de pierres, une surface caillouteuse et de terres craquelées. Ce fut une fois sur les lieux que l'ancien général pouvait voir, debout à coté d'un totem brisé, un homme vêtu d'une tenue du désert. Des habits amples et respirants, celui-ci devait sans doute mieux tenir la chaleur que notre aventurier.

Semblant vaguement coller à la description qu'on lui avait donné, Greil s'approchait de celui qui devait sans doute être le dénommé Ragnör, ignorant que tout deux étaient observés par un Gardien absolument furtif et curieux d'en savoir un peu plus sur la situation et les deux personnes qu'il devait aider.

Ce fut une fois à portée de voix que l'ancien général fut confortée dans sa première idée. L'individu habillé comme un homme du désert était bien le dénommé Ragnör Lüpusànghrën, le Khazarien avec qui notre aventurier devait travailler. Après s'être présenté, le lycanthrope dévisageait le général, détaillant celui-ci du regard tandis que Greil se présentait, amicalement, tout en toisant son interlocuteur. Rien d'agressif, juste que les deux hommes se jaugeaient mutuellement vis-à-vis de la mission, du moins probablement. Ce fut donc de sa voix grave, mais avec des intonations douces que l'ancien général se présenta à son interlocuteur pendant que celui-ci le détaillait

Greil : Effectivement, je suis bien celui que l'on appelle Greil Dalen, du Stolenmark et envoyé par la Milice pour cette mission mais 'Greil' suffira pour le moment. Ravi de vous rencontrer Ragnör Lüpusànghrën, même si je préférerais que ce soit dans d'autres conditions annonçant un futur un peu moins violent. De ce que j'ai compris de mon ordre de mission, les Exaltés sont plutôt du genre coriace et agressifs.

L'ancien général, maintenant proche de l'elfe des neiges atteint de lycanthropie, avait un doute ou plutôt une impression de déjà vu. Il connaissait cette silhouette de visu, mais n'avait pas de familiarités avec cet individu aussi l'ancien général cherchait dans sa mémoire encore à moitié défaillante pour trouver ou il avait aperçu cet homme. La Milice ? Non, ce n'était pas au Nord. Greil avait une notion d'importance, mais aussi de festif attaché à son impression en regardant l'elfe qui semblait trop sérieux pour faire la fête. Notre homme se creusait les méninges sur cette impression quand le Lycanthrope reprit la parole et pointa un lieu non loin d'eux et un peu plus en hauteur. Apparemment, quelqu'un ou quelque chose nous épiait depuis les hauteurs que l'elfe pointait du doigt et ce fut après quelques secondes pendant lesquelles Greil toisait l'endroit désigné par son allié du jour qu'une femme, plutôt grande et à la chevelure longue, sortit de derrière un Totem quelque peu en dessous de là ou notre elfe pointait du doigt. S'approchant d'eux timidement et surprise d'avoir été localisée, la femme au teint mat et dotée d'une armure tribale s'approchait du duo avant de prendre la parole maladroitement et timidement. Visiblement, celle-ci avait du mal avec les mots de la langue commune, probablement habituée à parler uniquement le Swen'jah.

Tribal : Moi ... Envoyé par cheffe Neïwa.. Surveiller vous... Aider vous avec Exaltés.

Sur ce, l'individue tribale lança doucement un cri de guerre et brandissant son bouclier et sa lance, voulant démontrer sa valeur de combattant et essayant de rassurer le duo. Visiblement, les Swen'jah avaient envoyé un excellent soldat et un excellent pisteur, mais certainement également leur pire linguiste. L'ancien général salua donc leur interlocutrice de la savane, choisissant volontairement les mots les plus simples. Le but n'était ni de vexer ni de perdre cet individu après tout. Les avoir comme allié serait plus avantageux que comme ennemis avec les Exaltés dans le coin.

Greil : Bonjour. Merci à toi et à cheffe Neïwa. Greil. Ragnör.

La citation des deux patronymes avait été faite en posant la main droite sur chacun des individus, finissant par montrer le troisième individu de la main, paume vers le haut et avec un air interrogatif. Le langage des signes est universel et la femme tribale devait avoir compris que l'ancien général lui demandait son nom. Ce fut avec un sourire plutôt franc que l'individu répondit simplement un mot, posant sa main sur son propre torse.

Shaka : Shaka.

Ce fut avec cette joie guerrière et le sourire associé que l'ancien général se rappela où il avait vu la silhouette de Ragnör. Une ambiance guerrière, mais festive, un regroupement pour une occasion de Justice et un certain renouveau. Greil avait sans doute déjà aperçu Ragnör à Fort-justice. L'ancien général décidait de lever le doute et se tourna vers son allié Lycanthrope pour lui poser la question.

Greil : Dit moi, Ragnör, tu n'étais pas à Fort-Justice lors de l'inauguration de la renaissance d'Égide par Grabuge ?

Une simple question, une simple interrogation pour lever un simple doute. Si Ragnör est bel et bien un allié ou un ami de Grabuge, alors l'ancien général aura pas mal de chose à lui dire et risque fort d'y découvrir un autre allié potentiel. "L'ami de mon ami est mon ami" comme dirait l'adage, après tout. Et si le chef d'Égide lui fait confiance, alors le chef du Stolenmark aussi.

Ragnör avait doublé les informations que Greil avait transmises à l'envoyée de la tribu de Kothemba. Leur répétant leurs noms et utilisant un langage plus complexe pour quelqu'un ne parlant pas la langue commune. Cela dit, l'elfe ne tarda pas à répondre à l'interrogation du général. La réponse renforçait donc l'impression de Greil concernant celui-ci. Visiblement, celui-ci avait vu juste concernant le lieu où il avait déjà aperçu cette silhouette elfique.

Ragnör : - Ah, vous connaissez donc ce cher Grabuge ! Effectivement, c'est un collègue kazharien apprécié dans nos rangs, et il m'a aimablement proposé de rejoindre sa cause, ce que j'ai accepté. J'étais donc présent lors de l'inauguration, mais seulement sur la fin. Je n'ai pas encore pris connaissance du registre des inscriptions de la compagnie. Mais si vous posez la question, c'est certainement que vous en faites partie également. Je me trompe ?

Greil : Et bien non, vous ne vous trompez pas Ragnör. Je fais également partit d'Égide depuis l'inauguration de celle-ci à Fort-Justice et il me semblait bien vous y avoir aperçu. Moi et Grabuge sommes en bon terme depuis un bon moment maintenant et celui-ci m'avait proposer de les rejoindre. Je suppose que nous pouvons dire que nous sommes en mission ici entre Soldat d'Égide finalement.

Tandis que l'ancien général livrait sa réponse à l'elfe d'Égide, un barrissement lointain se fit entendre. Un éléphant se retrouvait visiblement en difficulté à quelques centaines de mètres de leur position. Peut-être que celui-ci était aux prises avec des exaltés, chose assez probable en ces terres où ils pullulent ou alors il doit se passer quelque chose ayant fâché un éléphant et cela peut avoir des conséquences assez fâcheuses surtout si des innocents sont impliqués. Il faudrait que notre trio aille voir de quoi il en retourne et pour cela Greil proposa simplement au groupe d'aller voir. Se tournant vers Shaka, puis Ragnör, notre homme leur lança simplement sa question. Il était plus simple de se mettre au point plutôt que d'agir chacun de son propre chef. La stratégie de groupe, et l'ancien général le savait, est plus primordiale que les compétences individuelles dans ce type de missions.

Greil : Allons-nous voir ce qui se passe ? Cet éléphant pourrait être en prise avec des Exaltés. Ou pire, des innocents pourraient être en prise avec un éléphant ce qui n'est guère mieux.

Shaka : Éléphant dangereux. Si Éléphant en danger alors ce qui met éléphant en danger encore plus dangereux.

Cela n'était pas rassurant, mais il en fallait plus pour effrayer l'esprit guerrier de la savane, visiblement, car Shaka semblait plus en accord avec l'idée d'aller au moins jeter un œil et au plus, jeter une lance une ou deux fois. Il ne restait que l'avis de Ragnör sur la question avant de se mettre en route. Greil attendait donc la réponse de l'elfe, prenant son bouclier et sa hache discrètement en main. Les loquets de sécurité de Caladbolg et Calacholg étaient toujours enclenchées sur les protections des avants-bras du Général. Pour le moment, il n'y avait pas vraiment de danger, juste de la prudence.

Il semblerait que le général ai vu juste et que le jeune elfe soit effectivement un soldat d'Égide. Cela dit, Ragnör ne semblait pas hostile à l'idée d'effectuer cette mission en temps que soldats d'une même entité plutôt qu'entre représentants de factions différentes. L'ancien général avait également vu l'elfe des glaces approuver son point de vue sur la situation concernant le pachyderme et ils avaient commencé, tous les trois, à se déplacer silencieusement vers la source des bruits et des barrissements.

Arriver en haut d'un surplomb naturel au bout d'une centaine de mètres, notre trio pouvait examiner la scène tout en restant dissimulés. Un éléphant était visiblement en mauvaise situation face à quelques exaltés. Un duo d'humanoïdes pour le moins dangereux avançaient vers le pachyderme, bien décidés à le faire passer de vie à trépas. Armés de lances tribales, de sarisses pour être exactes, les exaltés vociféraient après leur proie dans une langue inconnue du général. Comble du comble, un Esprit tourmenté, un revenant fantomatique, vint se joindre à la fête. Peut-être fut-il attiré par la perspective de voir l'éléphant se faire occire, ou alors est-ce le bruit qui l'avait dérangé. Dans tous les cas, les Exaltés et l'éléphant allaient avoir un ennemi de plus sur les bras.

Greil défourailla sa hache et prit son bouclier en main, d'instinct, tandis que le jeune technophile exposait la situation. Ce combat allait s'annoncer compliqué et prit sur quatre fronts différent.

Ragnör : Visiblement, la scène est assez claire, ou alors je me trompe complètement. Analysons la situation : nous avons un éléphant de la savane, visiblement acculé par deux exaltés, les humanoïdes que nous recherchons. Et comme si cela ne suffisait pas, un esprit venait de rejoindre la bataille. Je pense que notre rôle est simple : protéger l'éléphant de ses agresseurs, tout en le mettant hors d'état de nuire, car il risque de nous attaquer de peur que l'on soit de nouveaux ennemis. Allons-y ?

Shaka : Éléphant Dangereux ! Éléphant attaqué nous par peur !

Greil : Bien. Il va falloir maîtriser l'éléphant, l'esprit et les Exaltés. Nous allons parer au plus urgent. Shaka, tu t'occupes de l'éléphant, si tu peux l'assommer ou l'attirer ailleurs. Ragnör, sans vouloir te commander, je te laisserais bien t'occuper de la créature fantomatique qui nous a rejoint. Je vais essayer d'attirer l'attention des exaltés sur moi. Avec un peu de chance, j'arriverais à en entamer un avant que vous ayez fini.

Inspirant un grand coup, l'ancien général fini par se lever et fonça donc bruyamment sur les Exaltés, attirant l'attention sur lui et laissant le loisir à Ragnör et à Shaka de se placer et de passer à l'assaut d'une manière plus discrète et sans doute plus efficace. Arrivant sur les exaltés d'une manière pour le moins annoncé à l'avance, Greil abattit sa hache sur le fanatique qui la parait facilement de son arme. Répliquant d'un grand coup de bouclier, Greil fit reculer les deux Exaltés d'un pas, attirant leur attention et celle de l'éléphant comme de l'esprit, sur lui et se mettant en position de combat. Il faut espérer que ses alliés ne tardent pas trop, car sinon l'ancien général sera en mauvaise posture.

La bataille faisait rage au sein de la Savane de Tzengah. L'ancien général du Stolenmark, Greil Dalen, s'emploie tant bien que mal à sa tache consistant à occuper les deux exaltés plus qu'il ne les combats réellement. Notre homme avait pour objectif d'essayer de gagner du temps pour laisser Shaka et Ragnör s'occuper de l'éléphant sans le tuer et de l'esprit tourmenté d'une manière plus létale, autant que tuer un mort-vivant puisse être qualifié de létal.

Cependant, l'ancien général devait bien reconnaître avoir été grandement surpris en voyant un invité surprise dévaler la pente où ils se trouvaient précédemment et faire un véritable carton avec des flèches à bout rond. Aussi bon archer de bretteur, cet homme n'était pas inconnu du général du Stolenmark. Il s'agissait d'Arkos et notre homme était officiellement toujours porté disparu. Pourtant, ce n'était pas faute d'avoir fait des recherches, mais il semblerait que notre Rôdeur habituel ne voulait pas être trouvé et sait très bien comment ne pas l'être.

Et pourtant, le voici ayant déjà quasiment assommé un éléphant à lui seul et revêtant toujours son armure d'Ishtar modifiée par Oghren, son arc de Sa Dryade et son épée en argent plus affûtée et brillante que jamais. Sur cette armure, un sceau représentant la faction des gardiens semblait avoir été ajouté. Section Civile, et non Garde Royale visiblement. Un choix guère surprenant au vu du loustic et sa manière de gérer l'étiquette habituelle demandée par les nobles. C'est donc là qu'il était fourré, le Rôdeur stratège du Stolenmark.

Par chance, dans l'état actuel du combat, la longue cape d'Arkos cachait le Sceau de l'Ordre de Greil et notre Maître d'armes ne l'avait pas encore aperçu. C'est qu'il ne faudrait pas que Greil ne fasse un malaise en plein combat, non plus et le Sceau du Stolenmark risque de triturer son cerveau et faire remonter quelques souvenirs un peu avant l'heure. Cela dit, la situation actuelle n'empêchait pas Greil de regarder Arkos avec des yeux ronds plein de surprise, tandis que son ancien subordonné lui lance sa petite pique, en plein dans le feu du combat.

Arkos : Désolé chef, mais on discutera après. T'as deux grand bleus qui méritent plus ton attention que moi, là.

Arkos était porté disparu, considéré comme probablement mort deux minutes avant et la, il se jette dans une mêlée pour aider son ancien général tout en lançant du "on discutera après" ? Visiblement, le Rôdeur n'est toujours pas au point sur les effets de ses actions même si, à l'instant présent, il n'a pas tord. Greil se retourne donc vers les deux Exaltés et ceux-ci semblaient vouloir profiter de cet instant de confusion pour attaquer le maître d'arme dans sa seconde de confusion tandis que Ragnör termine l'installation de son attirail de combat.

Des tourelles et autres équipements technologiques visiblement bien ficelés sont rapidement installés. Plus précisément, une tourelle offensive, un bouclier et un canon cryogénique, en plein désert quand même, allaient composer l'équipement de Ragnör. Un Technophile, hein ? Voilà qui promet d'être intéressant. En général, ces férus de technologies sont bien plus que simplement redoutables et Greil allait pouvoir en voir un combattre de prêt. Ceci risque d'être riche en enseignement.

Dérangé par la tourelle et plus vraiment conscient de ses actes, l'éléphant attaqua celle-ci et la machine répliqua en quelques tirs de suppressions. L'animal fut instantanément assommé par la machine et chuta au sol ce qui fut, un parfait exemple de la puissance de l'armement technologique. Mais l'éléphant n'était pas le seul adversaire et contre toute surprise, l'esprit ne chargea pas le technophile, mais le maître d'arme qui ne put que brasser de l'air pour se débarrasser de son adversaire éthéré.

Le fanatique exalté en profita pour renouveler son attaque et chargea le maître d'arme en pleine confusion face à cet esprit tourmenté, mais le bouclier de Greil réussi à amortir le coup, qui fut tout de même assez redoutable pour que notre homme le sente passer. Reprenant ses esprits, Greil allait parer le second coup du second exalté, mais celui-ci ne vint pas.

Regardant autour de lui, Greil put voir la foudre envahissant les lieux et toucher le rôdeur qui fut temporairement engourdit, paralysé de ses membres et tentant de se maintenir debout. Arkos n'allait pas pouvoir contre-attaquer de suite, chose pour la moins gênante au vu de ses capacités au combat et sa chance habituelle.

L'exalté manquant chargeait Arkos et l'envoya au sol plus d'un mètre plus loin d'un solide coup d'épaule. Levant sa hache pour l'achever, l'exalté se préparait a frapper quand il sentit un énorme poids dans le bas de son dos. Greil, ayant vu l'exalté chargé son subordonné, avait lui-même chargé le mort-vivant bleuté et l'avait plaqué au sol en le saisissant de tout son poids à la ceinture.

Retournant le cadavéreux en le saisissant par l'épaule, Greil colla un sérieux coup de poing du droit en plein visage de la créature animée par nécromancie. Cependant, le poing du général ne toucha pas l'Exalté. Un bouclier magique, comme une aura, venait de voler en éclats, épargnant la créature bleutée d'un coup qui l'aurait très certainement mit définitivement hors d'état de nuire à quiconque.

Shaka tentait d'attirer l'attention du Fanatique, de son côté, laissant au duo un instant de paix et au technophile le temps de choisir et attaquer sa cible.