Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : Luna Celebrian
Âge : 16 ans
Classe/métier : Première S
Hobbies/activités : Lire, parler avec des amis, sortir, écrire, écouter de la musique et faire du sport!
Couleur préférée : Le vert.
Opinion sur le forum : je trouve que c'est une très bonne idée de base, que le design est classe, et les gens ont l'air sympa.
Comment as-tu connu ce forum ? Grâce à Idril Calaelen!
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Luna Celebrian
Âge : 19 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Classe envisagée :Je ne sais pas encore
Ce qu'il aime : La franchise, se promener seule avec son cheval, les couchers de soleil.
Ce qu'il n'aime pas : Les mensonges, les êtres manipulateurs.
Situation amoureuse : Célibataire
Code du règlement : WINGARDIUM LEVIOSA
Code validé par DilonEt du coup, tu ressembles à quoi?
Luna est une jeune femme de 19 ans, bien qu’elle fasse plus jeune en raison des traits de son visage qui ont conservé leur aspect enfantin. En l’apercevant de loin dans la rue, la plupart des passants ne lui accorderaient pas la majorité ; c’est peut-être bien sa silhouette qui peut mettre la puce à l’oreille : élancée, fine. Sa démarche est assurée, on sent qu’elle a confiance en elle, ou du moins, c’est ce qu’elle laisse paraître. Une chose est sûre : ses formes sont très révélatrices de son sexe. En la regardant de plus près, ce petit côté enfantin embellit son visage, c’est bien la seule chose qui lui donne cet aspect fragile de petite fille, lui attirant bien des regards de la gente masculine. En effet, elle a le nez aussi fin que les traits de son visage, des lèvres minces mais bien tracées. Cependant, la partie de son joli minois où les gens s'attardent le plus est ses yeux. En effet, ses yeux ont la rare particularité d'être de deux couleurs différentes: l'un est aussi bleu que les mers des îles orientales, mais l'autre est d'une couleur hors du commun, d’un violet profond qui rappelle la plus belle orchidée du royaume. C'est ce détail qui fascine les gens, rendant son regard intense et profond. Cela sort tellement de l'ordinaire qu'elle fut affublée de jolis noms comme Violeta, Letta, ou encore Vilu… Même les petits villages aux alentours avaient entendu parler de la petite fille aux yeux vairons. C’est en croisant ce regard que les gens comprennent que c’est loin d’être une petite fille qui se cache derrière ce visage angélique, mais qu’au contraire c’est une battante qui ne garde pas sa langue dans sa poche et aime dire ce qu’elle pense tout fort. Ne jamais se fier aux apparences, car elles sont parfois trompeuses.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
Luna n’est pas ce que l’on peut appeler une jeune femme qui se laisse marcher sur les pieds. Elle sait imposer sa loi, tout en restant calme et posée. Elle aime prendre soin d’elle du mieux qu’elle peut, surveille ce qu’elle mange, et n’apprécie pas particulièrement l’alcool, l’ambiance des bars etc. Ce qui la rend vraiment heureuse, c’est les promenades à cheval. Sur le dos de sa monture, elle se sent libre et a l’impression que rien n’est impossible. Son esprit aventurier est un véritable atout. En revanche, elle n’apprécie guère le maniement des armes. Si un jour elle est amenée à en utiliser une, ce sera pour elle un exploit ! Luna sait réfléchir avant d’agir, un autre point fort dans son tempérament. Ce n’est pas le genre à foncer tête baissée dans la gueule du loup.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
Personne ne peut deviner son histoire, non personne. C’était un soir d’été, les oiseaux chantaient, les arbres étaient bien verts, le ciel ne comportait pas un seul nuage. Le roi était parti en croisade avec ses plus fidèles chevaliers depuis maintenant quatre mois, laissant la reine seule au château avec des serviteurs. Le silence régnait en maître sur le château, quand soudain un cri de douleur déchira l’atmosphère si tranquille. Des serviteurs couraient dans tous les sens, la plupart allant vers la chambre de leur souveraine. Celle-ci était en train de donner la vie pour la seconde fois, mais contrairement à la première, cet enfant n’était pas désiré. Il est le fruit d’une aventure d’un soir, autrement dit, n’est pas le fils du roi. Le front de Sa Majesté ruisselait de sueur, et elle criait de plus belle. La sage-femme lui demanda un dernier effort, rien qu’un, et ce cauchemar serait enfin terminé. La femme poussa en hurlant de douleur, puis s’arrêta, haletante. Le premier cri d’un nourrisson se fit entendre, la reine soupira et appuya sa tête contre le rebord du lit, essayant de reprendre son souffle. « C’est une fille », souri la sage-femme, lui tendant l’enfant. La mère hésita, puis finalement pris son bébé dans ses bras, une magnifique petite fille brune aux yeux vairons. Lorsque la reine remarqua ce détail, elle prit peur, car après tout seule la lignée royale avait les yeux de couleur violette. Et un des yeux de cet enfant était violet ; l’autre était bleu. Impossible de garder le bébé, si le roi venait à l’apprendre, il chercherait sans relâche l’homme qui avait mis sa femme enceinte et finirais par le tuer, ainsi que la petite fille née de cette nuit torride. C’est pourquoi la souveraine décida de confier sa fille à une nourrice, en dehors de la ville royale. Elle redonna l’enfant à la sage-femme, les yeux perlés de larmes. Pour une mère, c’était la pire des choses que d’abandonner sa propre chaire. Le roi ne revenait que dans trois semaines, ce qui laissait le temps à son épouse de trouver un foyer pour son bébé.
- Mais comment allez-vous l’appeler ? demanda la sage-femme.
- Luna, murmura la reine. Maintenant cherchez moi des nourrices ! Organisez-leur des rencontres avec moi, et pressez-vous : le roi ne doit être au courant de rien, ordonna-t-elle aux serviteurs.
Une semaine s’écoula. Aucune femme ne voulait prendre le risque de cacher l’enfant bâtard de la reine, trop de risques. Plus le temps passait, plus cette dernière désespérait. Deux jours avant le retour du roi, on frappa à la porte de la chambre de la reine.
- Entrez, dit-elle sèchement.
Un serviteur franchi le pas de la porte, tout sourire. Les mots que la souveraine ne s’attendait plus à entendre sortirent de sa bouche : « Nous avons trouvé ». Elle poussa un soupir de soulagement, enfin ! Une femme, âgée d’environ cinquante ans, pénétra dans la pièce. Elle avait des cheveux roux, des yeux bleus et un air rassurant. Son nom était Sheyla.
Après une longue discussion, la nourrice repartit avec la petite Luna. La reine les regardait s’éloigner, avec une larme coulant le long de sa joue.
L’enfance de Luna fut marquée par une pensée bien précise dans la tête de la petite fille : « pourquoi j’ai l’impression de ne pas être comme eux ? ». Effectivement, elle n’était pas ce qu’on peut appeler « populaire ». Elle restait discrète, posée, attentive et réfléchissais avant de parler. Les qualités qu’une reine se doit d’avoir. Les seuls moments où l’enfant se sentait pareil à quelqu’un d’autre, c’était lors des visites de cette « dame noble », chaque semaine. Elle apportait toujours des petits gâteaux, c’était ceux que Luna préférait. Et par la même occasion, donnait de l’argent à la nourrice. Evidemment, cette femme était bien entendu la reine, qui prenait des nouvelles hebdomadaires de sa tendre enfant. Son époux pensait que sa femme allait tout simplement se tenir au courant de ce qui se passait dans les villages alentours. La jeune enfant adorait parler avec cette dame, c’était une habitude. Et quand elle ne venait pas, faute de temps, Luna était triste tout le long de la journée. Car après tout, cette dame était si maternelle avec elle.
Au fur et à mesure, les visites de Sa Majesté se faisaient de moins en moins régulières, le roi commençait à se poser quelques questions et soupçonnait son épouse d’avoir un amant. Quand celle-ci l’apprit, il lui était impossible de continuer à aller voir sa fille chaque semaine. Plusieurs fois elle avait voulu dire à Luna qui elle était vraiment, mais à chaque fois elle se retenait : mieux valait la tenir éloignée de tout cela. Au cours d’une énième visite, la reine attrapa la main de sa fille, en lui disant :
- Tu sais Luna, tu es vraiment une jeune fille formidable. Continue comme ça, et tu deviendras quelqu’un d’important, comme ta…
- Comme ma… ? demanda la jeune femme.
- Non rien. Passe une bonne soirée !
Les mots de la souveraine intriguèrent Luna au plus profond d’elle-même. Cette visite fut la dernière, la mère ne revenu jamais. Sa fille n’arrêtait pas d’y penser. Le jour de ses 18 ans, alors qu’elle se promenait dans le village, elle entendit des trompettes et des tambours quelques rues plus bas. Elle alla voir, et aperçu des cavaliers, semblant entourer un homme en particulier : il portait une couronne. C’était bien le roi, qui faisait les visites annuelles des provinces. L’adolescente essaya de se frayer un chemin pour voir de plus près. Elle n’était plus qu’à quelques centimètres du cortège quand elle trébucha et tomba juste devant le cheval du roi, qui se cabra. Des chevaliers descendirent de leurs montures et la relevèrent.
- Petite effrontée, comment oses-tu perturber le chemin de ton roi ?
- Excuse-toi !
Luna s’exécuta, rouge de honte. Quand son regard croisa celui du souverain, son cœur cessa de battre un instant. Ses yeux étaient violets, et c’était bien la première fois que la jeune fille apercevait quelqu’un qui avait la même couleur d’yeux que son œil de couleur violette. Les cavaliers la poussèrent violemment dans la foule, et le cortège repartit. Pourquoi était-ce le roi qui avait ces yeux-là ? Avait-ce un rapport, quelconque qu’il soit, avec elle ?
Cette rencontre accidentelle, Luna était persuadée que ce n’était pas arrivé par hasard. Elle décida de ne pas en parler avec sa nourrice, car à présent elle était majeure et donc pouvait résoudre ses problèmes toute seule. Ce qui l’aiderait bien, c’est un peu de documentation sur la famille royale. Peut-être que le roi avait un passé commun avec le sien. Fort heureusement, Sheyla (issue d’une famille riche) avait appris à sa petite protégée à lire et à écrire. C’était donc avec l’idée de partir pour la ville royale, là où il y avait la bibliothèque la plus proche, que Luna rentra chez elle le soir. La jeune femme annonça à sa nourrice qu’elle voulait partir pour la ville, histoire de se documenter sur le monde.
- Quoi ? As-tu perdu la tête ? répondit Sheyla. La ville est dangereuse ! Tu n’iras pas.
- Mais pourquoi ? C’est le seul endroit où l’on peut trouver une bibliothèque ! Et j’ai 18 ans ! Je peux donc prendre mes décisions toute seule.
- Comment t’y rendrais-tu ?
- Avec ton cheval, je peux y être en six heures. Je pars demain à l’aube, que ça te plaise ou non. Je serais de retour pour le diner.
C’est ainsi que dès le lendemain, aux premières lueurs du jour, Luna se mit en route. Après de longues heures de voyage, les portes de la ville apparaissaient enfin devant elle, et au loin, le palais royal resplendissait dans la lumière du Soleil. Elle attacha son cheval en dehors de l’enceinte de la ville, mis une capuche sur sa tête puis entra. La bibliothèque n’était pas très loin, elle y arriva en très peu de temps. Une fois à l’intérieur, elle se mit à la recherche de documents sur la famille royale. Ce n’était pas difficile à trouver : le premier rayon était consacré à cela. Elle feuilleta plusieurs ouvrages, mais rien ne l’intéressait dedans. Quand soudain elle tomba sur une page exclusivement sur la famille royale actuelle. Le roi avait bien les yeux violets, c’était « le symbole de la famille royale ». Luna ne comprenait pas, c’est alors qu’elle tourna la page et vis la reine. Elle lâcha le livre, tremblotante, et parti en courant vers la sortie, se rendant compte qu’elle était en danger ici. C’était la « dame noble » qui était dessinée ici, avec de beaux yeux violets. Voilà pourquoi elle venait chaque semaine, voilà pourquoi ses gâteaux étaient les préférés de Luna, voilà pourquoi elle se sentait bien uniquement quand elle était avec elle ! Et l’œil bleu de la jeune femme était réponse à ce pourquoi elle ne vivait pas au palais avec sa mère : le roi n’était pas son père. Elle courait de plus belle, mais quelqu’un l’attrapa par le bras et l’entraîna plus loin, dans l’ombre. Luna se débattait, puis la personne, qui avait la tête recouverte d’un capuchon, lâcha son bras.
- Qui êtes-vous ?! Que voulez-vous ?! Je n’ai pas d’argent sur moi si c’est ce que vous voulez savoir ! cria-t-elle.
L’homme ou la femme retira son capuchon. L’adolescente recula d’un pas.
- V-vous ?
En effet, c’était bien la reine qui se tenait devant elle.
- Pourquoi es-tu venue ? Tu cherches la mort ici ?! Si jamais les gens remarquent tes yeux, ils comprendront que tu es issue de famille royale mais que tu es une bâtarde ! Le roi te tuera !
- Je n’ai jamais demandé à être votre fille, Majesté !
En vérité, Luna était vraiment contente d’avoir sa mère enfin en face d’elle, de savoir qui elle est. Mais d’un autre côté la colère l’emportait sur la joie. Pendant tout ce temps elle ne lui avait rien dit ! Mais elle venait la voir… mais elle n’avait rien dit ! Les pensées se bousculaient les unes les autres dans la tête de la jeune femme. La souveraine soupira.
- Je prenais d’énormes risques pour venir te voir à chaque fois ! Et là te voilà en ville ! Imagine je n’aurais pas été là !
- Parce-que vous saviez que j’allais venir c’est ça ? C’est ma nourrice qui vous a prévenu ? Je ne peux décidemment faire confiance à personne autour de moi, même pas à ma…
Elle s’interrompit, car sa mère venait de la prendre dans ses bras, sans dire un mot, lui caressant doucement les cheveux. De longues minutes s’écoulèrent ainsi. Quand elle relâcha son étreinte, Luna avait les yeux perlés de larmes. La mère déposa un baiser sur le front de sa fille, les yeux humides elle aussi.
- Je dois y aller, le roi va s’interroger. Passe me voir !
- Oui mais où ?
- Aux écuries royales, le roi n’y va jamais et il y a un jeune garçon d’écurie, je vais le mettre au courant comme ça personne ne sera au courant. Tu lui diras que tu viens me voir, et il te conduira à moi. Viens demain !
- Oui mais…
- Je dois vraiment y aller. A demain aux écuries !
La reine revêtit son capuchon, puis reparti, laissant sa fille seule dans la rue.
Le lendemain, Luna vînt comme prévu aux écuries. Le jeune homme l’accueilli aussitôt.
- Je m’appelle Arthur, suivez-moi !
La jeune femme s’exécuta. Dans un petit jardin derrière le bâtiment, sa mère attendait. Elle serra fort sa fille dans ses bras. Elles discutèrent longtemps, très longtemps.
- Comment tu faisais pour ne pas avoir les yeux violets quand tu venais en visite ? demanda Luna.
- Aujourd’hui il existe plein de techniques pour créer des illusions tu sais, ce n’était donc pas difficile.
- Et mon père ? Comment était-il ?
- … Tu sais c’était juste une aventure d’un soir, je ne me souviens pas de lui, je suis désolée.
- …
Au fil des jours, la mère et la fille devenait de plus en plus complices, mais n’avaient pas remarqué que depuis une des fenêtres du château, le roi observait tout. Un beau jour, alors que Luna allait tranquillement aux écuries, ce ne fût pas Arthur qui l’accueilli, mais le roi en personne, accompagné de deux soldats armés. La jeune femme recula d’un pas.
- Eh bien, eh bien… Qu’avons-nous là ! Une jeune bâtarde visiblement vu les jolis yeux vairons qu’elle a! Attrapez-là.
Les soldats lui attrapèrent les bras avec force. Elle essayait de se débattre, mais ses efforts furent vains. Ils la conduisirent dans une grande salle. La reine s’apprêtait à descendre les escaliers débouchant sur cette salle pour retrouver sa fille dans le jardin, mais finalement elle la vit plutôt. Elle s’arrêta en haut des marches, stupéfaite. Le roi la rejoignit en haut.
- C’est quoi, ça ? demanda-t-il, désignant Luna du doigt.
- Ça, comme vous le dites si bien, c’est ma fille.
- Mais, ce n’est pas la mienne ! Comment l’expliquez-vous, très chère ?
- Ce n’était qu’une aventure d’un soir ! Pendant votre voyage en province qui a duré si longtemps !
- Menteuse ! Vous avez conçu cette enfant avant que je parte car je suis parti pendant moins cinq mois, et à mon retour elle devait déjà être née !
- ...
- Eh oui, maintenant à cause de vos bêtises vous êtes devenu la honte de la famille royale ! Vous me faites honte.
- Vous n’étiez jamais là ! Vous ne comprenez jamais rien ! J’en ai assez !
Luna assistait à la dispute, impuissante.
- Soldats, tuez cette gamine qui n’a rien à faire dans ce monde ! ordonna le roi.
L’un des soldats sorti son épée.
- Non vous n’avez pas le droit ! Je vous l’interdis ! Je vous l’interdis !! hurlait la reine
- Assez !! répondit le roi.
Il frappa sa femme, qui recula, dérapa puis tomba dans les escaliers. Luna arrêta de respirer, le moment semblait durer des heures. Arrivée en bas, la nuque de la souveraine se brisa contre la dernière marche de l’escalier, elle atterrit sur le dos, les yeux ouverts mais le regard vide. La jeune fille restait bouche bée, fixant le corps de sa mère, immobile. Une douleur immense s’empara du corps de l’adolescente, qui hurla.
- Noooooooooooooooooon !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les soldats, stupéfaits eux aussi, lâchèrent la fille, qui se précipita vers sa mère. Son cœur ne battait plus. Elle regarda le roi, qui ne bougeait pas.
- Tuez-là ! ordonna-t-il.
Luna se releva rapidement, et couru vers la sortie en jetant un dernier regard sur sa défunte mère. Elle traversa les écuries, monta sur son cheval, et parti au galop. Le roi avait tué sa mère. Il l’avait tué ! La jeune femme était persuadée que c’était sa faute à elle, si elle n’avait pas été en ville pour se documenter, rien de tout cela ne serait arrivé ! Il ne reste maintenant plus qu’une chose à faire : trouver son père avant que le roi ne le trouve. Il était hors de question que cet homme démoniaque détruise tout ce qui lui restait.
Mais... A-t-il un rêve?
Oui, Luna a effectivement un rêve qui va lui permettre de tenir tout le long de sa vie: elle vit avec l'espoir de retrouver son père, et de le protéger de ce roi qui a sauvagement tué sa pauvre mère sous ses yeux. Pour elle il n'est pas question que cette horreur arrive à un autre membre de sa famille.