Nom : Charlotte Roseline III

Âge : 32 ans (les dates anniversaires de mes comptes sont à titre indicatif pour me souvenir de leur avancement dans le temps, elles correspondent à la date de création)

Sexe : Femelle

Race : Humaine maudite

Classe envisagée : Technophile

Métier envisagé : Sculpteur/Pirate

Capacité magique : La malédiction de Charlotte Roseline 1ère du nom : Depuis cette première aïeule, à savoir sa grand mère, chaque fille aînée de la famille reçoit les souvenirs des précédentes Charlotte Roseline après leur mort. Ainsi, Charlotte Rolesine III a les souvenirs de sa mère et de sa grand-mère comme si elle les avaient elle-même vécues. Il ne s'agit là ni d'une possession ni d'esprits mais bien seulement d'une transmission de souvenirs.

Hiérarchie généalogique du pouvoir:

Mode hardcore : Non

Malgré son âge, Charlotte Roseline III a eut la chance d'hériter du physique plus qu'avantageux de sa lignée. De grand yeux bleus clairs viennent soulignée sa coiffe vermeille, ce qui lui donne un physique plutôt rare. Les traits harmonieux de son visage, ses lèvres rebondies, et ses formes plantureuses malgré sa taille de guêpe, feraient quant à elles jalouser plus d'une noble dame dans les cours. Quant à sa taille, en somme toute banale, elle est légèrement supérieure à celle des autres humaines : un mètre septante (ou soixante-dix selon vos préférences).

Vestimentairement, cette pirate a également héritée des goûts de ses aïeules. Elle aime à s'habiller richement, bien que n'en ayant pas encore tout à fait les moyens. Son style en général est celui des pirates, bien qu'il pourrait s'approcher de celui d'un mousquetaire. Ses couleurs dominantes au niveau de l'habillement sont généralement le noir ou le bleu, souvent agrémentée de touche de blanc et brun.

Sa dentition parfaite, son maintien droit ainsi que ses allures féminines font qu'on l'a confondrait volontiers avec une noble. Doute que le nom qu'elle porte ne fait qu'accentuer bien qu'il ne s'agit en réalité que d'une simple famille parmi tant d'autres pour ce qui est des privilèges de sang. Sa voix, quant à elle, est agréable à l'écoute mais est loin d'être aussi suave que son physique ne pourrait le laisser croire. Elle est plutôt à l'image de son caractère, déterminée, forte et assurée.

Pour décrire avec fidélité la psychologie de Charlotte, il serait judicieux de d'abord cité ce qu'elle a hérité de ses aïeules avant de parler de ce qui l'en distingue. En effet, la malédiction de Charlotte Roseline I fait que beaucoup de sa personnalité se fond avec celles-ci. Partageant leurs souvenirs ainsi qu'une éducation sectaire, elle en est vite venue à partager certains de leurs penchants. Autant vous prévenir tout de suite, vous imaginez bien que partagez les secrets les plus intimes, tous les mensonges et toutes les faiblesses de ses ancêtres laisse rarement un esprit saint indemne, il en va de même ici pour notre personnage.

C'est donc une femme qui, à l'image de ses aïeules, ne jure que par deux choses : sa lignée et la quête de la jeunesse éternelle. Pour protéger la survie de l'une et accéder à l'autre, elle serait prête à tout. C'est d'ailleurs dans cette optique que sa mère l'a élevée et qu'elle éleva sa fille. L'une de ses lubies était foncièrement rattachée à l'autre car à travers la malédiction, elles avaient un avant-goût de l'immortalité. Une survivance de leur mémoire dans leur descendance valait toujours mieux que la mort. Charlotte Roseline III est d'ailleurs convaincue que ses ancêtres se sont réincarnées en elle, bien qu'elle vécue en même temps que celles-ci. C'est donc tout naturellement qu'elle aimait sa fille plus que tout, à l'image de sa mère, et qu'elle lui faisait vivre une vie de misère, à l'image de sa grand mère. En outre, nous pouvons dénoter une attirance certaine pour le luxe ainsi qu'une obsession pour la jeunesse et la liberté.

Voilà pour les caractéristiques héritées, passons maintenant à ce qui la distingue de cette lignée maudite et de son caractère en particulier. Si la première du nom ne jurait que par ses caprices et la deuxième par l'amour, on peut considérer que notre Charlotte est ce qu'on peut appelé une bonne vivante. Boire, manger, chanter et partir à l'aventure sont des plaisirs dont elle ne se lasse pas et qui lui font oublié les affreux souvenirs de ces trois longues vies. Si elle sait apprécier ces plaisirs simples de la vie, jamais pourtant elle ne se laissera trop aller devant qui que soit, bien trop obsédée par son image pour cela.

Ses plaisirs favoris? Les spiritueux de qualité, notamment le vin et le rhum, ainsi que les jeux où les enjeux sont élevés bien qu'elle n'accepte pas toujours sa défaite. Enfin, si vous la rencontrez, vous aurez probablement l'impression de parler à un femme déterminée avec un leadership incontestable et une pointe de distinction. Pourtant vous vous rendrez vite compte qu'elle peut être quelques fois étrange et surtout égoïste, mettant ses ambitions et ses rêves avant tout le reste. Sa seule morale est de parvenir à ses objectif par tous les moyens nécessaires, cela implique trahison, coups bas et autres filouteries.

Ce qu'elle ne supporte pas? Les soirées sans alcools, être salie, ne pas être sous son meilleur jour et surtout être sous les ordres de quelqu'un d'autres. Elle est pourtant assez malicieuse que pour cacher ses sentiments si ceux ci ne vont pas dans le sens de ses objectifs, quoi qu'il ne vaudrait mieux pas la pousser à bout. Enfin, elle ne déteste pas spécifiquement les hommes mais les regarde bien souvent avec mépris ou comme de vulgaires outils.

Pour conclure, malgré sa culture assez bonne, ne vous étonnez pas de la voir jurer comme un charretier. Elle reste une pirate après tout et ce depuis trois générations. Cela ne l'empêche pourtant pas de savoir jouer de politesses quand le besoin s'en fait sentir, politesses finissant souvent par un quelconque complot.

Charlotte Roseline, de son vrai nom Henriette Scoune, est la descendante d'une lignée d'ivrognes du Lac Fresha. Elle ne connut pas longtemps le plaisir d'être à leur côté, et c'est sans aucun doutes tant mieux comme en a put en témoigner une certaine stryge bien des décennies plus tard. Là bas, jamais Henriette ne connut la joie, juste les coups, les injures et la soumission. Trop pauvres que pour garder cette enfant à leurs côtés, les Scounes avaient tout bonnement décidés de l'abandonner de la manière la moins humaine qui soit. Ils l'a mirent sur une barque et l'envoyèrent dérivée sur le lac, sans rames, elle n'avait alors que sept ans.

Les choses s'enchaînèrent assez vite par la suite. Elle arriva jusqu'à Ishtar et fut embarquer par le capitaine pirate Dorothy Forbes qui y voyait une main d'oeuvre gratuite et demandant peu d'entretien. Henriette de son côté ne se posa même pas la question. Affamée, fatiguée, désespérée en sommes, elle n'y voyait là qu'un moyen de survie pur et simple.

Il ne fallut pas longtemps pour que le capitaine Forbes comprenne comment manipuler au mieux cette jeune enfant. Comme il n'y avait ni rêve, ni connaissances dans la tête de la petite Henriette, la tâche était simple. Il suffisait de remplir le vide, ce qu'elle fit à grand coup de mythes sur la liberté et des grands mystères de ce monde. Enfin devant la jeune Henriette se trouvait à porter de main une chose dont elle n'appréhendait même pas le concept il y a peu : la liberté.

Jusqu'alors, Henriette n'était toujours qu'une petite chose dans l'équipage. Elle était là pour aider le cuistot, nettoyer le navire, porter les cargaisons et servir le capitaine. C'est âgée de 16 ans qu'elle put enfin se démarquer. En assassinant le chef d'une mutinerie contre Forbes, elle gagna sa place dans l'équipage et put enfin se donner son nom de pirate, tirant un trait définitif sur son passé en radiant de sa vie les Scounes. Elle porterait un nom qui lui rappellerait qui elle veut être, une femme aussi forte et libre que Dorothy Forbes, empli de majesté. Vous l'aurez compris, elle s'appellerait désormais Charlotte Roseline, dit à l'époque Charlotte 'Ruby' Roseline. C'était à présent la favorite du capitaine, elle lui confirait tout ses secrets dont sa science de l'énergie bleue qui lui avait valu sa réputation.

Charlotte se fit vite un nom dans son équipage. Comme elle s'était déjà attirée les grâces de son capitaine ce ne fut pas bien compliqué. Âgée de 21 ans, elle était alors le bras droit de ce dernier lorsqu'elle commença à penser sérieusement à son avenir. Le temps de l'admiration était passé, il était temps à présent pour la jeune pirate de se faire un nom indépendamment de celui de Dorothy Forbes.  Ses ambitions personnelles ne collait plus avec ceux de sa supérieur. Alors que celle-ci s'entêtait à défendre les valeurs de la grande alliance pirate, Charlotte ne pensait qu'à acquérir la suprême liberté. On parlait par là d'eau de jouvence, par ci de pierre philosophale, et encore plein d'autres merveilles dont la plupart ne sont toujours que mythes. Vaincre la mort, acquérir la jeunesse éternelle et toujours vogué à l'âge de ses plus beaux printemps. Jusque là, elle avait entendue parler des vampires qui ne dépérissaient pas avec les ans, mais cela ne lui suffisait pas. Il lui fallait pouvoir jouir du jour et de sa jeunesse comme aux plus beaux moments de sa vie.

Lentement, cela tourna vers l'obsession. Obsession nourrit par une découverte suite à un raid dans les terres désolées. Elle y avait trouvé un livre de magie noire qu'elle garda précieusement en secret. Tout était écrit en une espèce de très ancienne langue commune, où seules certaines règles d'orthographe et de grammaire changeaient. En quelques mois, elle comprit bien vite les tenants et aboutissants de l'affaire. Entre autres maléfices et rituels, il y'avait une malédiction permettant de transmettre une image de son esprit dans celui de sa descendance.

Au bout de quelques mois, elle arriva à rassembler les ressources nécessaires et profita du premier mouillage venu pour s'esseulée et pratiquer cette magie obscure. Il fallait préparer le breuvage dans un milieu très particulier, entourés de bougies noirs, le sang d'un abyssal de la muse traçant un pentacle. Au milieu de ce dernier, un chaudron bouillonnait, rempli d'un millésime elfique. Un à un elle déposa les ingrédients. Deux yeux de chérubin, trois ailes de fée, cinq écailles de kelpi, une tête de gnome, et sept gouttes de son propre sang. Elle proclama alors l'ancienne formule, au même moment la page correspondante du vieux bouquin démoniaque disparu dans des flammes noires. Sa concoction fut prête deux heures plus tard, elle avait la douce odeur de la victoire.

Après cette première étape et âgée de 23 ans, il ne fallut pas une année pour que Charlotte tombe enceinte de Catherine Roseline, la mère de notre héroïne. Protégée durant toute sa grossesse par Dorothy, elle ne se priva pourtant pas de mener une mutinerie à son encontre dès qu'elle fut remise sur pied. Il était temps de passer à la vitesse supérieur et le pouvoir lui servirait de carburant. C'était une cheffe autant respecter que craint, respecter pour son talent et craint par sa paranoïa, chose qui s'explique lorsqu'on a sois même trahit son maître.


L'enfance de Catherine Roseline fut assez particulière. Tout d'abord, la seule vie qu'elle ne connut jamais fut celle de la piraterie, qui plus est en tant que fille de capitaine. Pour sa mère, elle était son plus précieux trésor et elle traita comme telle. Dans leurs actions de piraterie, cette dernière n'hésitait pas à kidnapper quelques savants personnages afin que celui-ci lui enseigne ce qu'il savait. Sa mère lui appris également tout ce qu'il y'avait à savoir sur la piraterie, la science des technophiles et comment devenir une bonne hôte lorsque sa mère serait prête à mourir. Pour cela, elle suivait scrupuleusement un régime afin que son physique soit le plus en forme possible. Pas question de finir dans un corps faible ou fatiguée pour la matriarche. Une des nombreuses fonctions qui incombant à cette jeune enfant, était de garantir la survie de la lignée. Elle tomba enceinte à l'âge de 17 ans d'un homme que sa mère avait elle-même choisit, un jeune flibustier appelé Siméon.

La première du nom, aussi paranoïaque soit-elle, n'avait pas prévue que sa fille tombe amoureuse de cet homme. Voyant les deux amants se rapprocher de jours en jours, elle décida de se débarrasser de lui afin qu'elle n'ait pas à subir les lubies de sa fille une fois décédée. Cet acte égoïste précipita sa chute car Catherine voyant Siméon pendu au mat s'empressa d'allez tirer une balle dans le crâne de sa mère. Au même moment où la vie quittait le corps de Charlotte Roseline 1ère, tous ses souvenirs déferlèrent dans le cerveau de sa fille qui s'écroula sous le choc. L'équipage, frapper par la tragédie de cette jeune fille au final innocente, pris sur lui de s'occuper d'elle durant les premiers jour où Catherine était comme dans le comma. D'un coup, la pauvre devait affronter non seulement la mort de son être aimé et tous les souvenirs de son aïeule comme si il s'agissait des siens. Elle comprit alors toute l'indifférence de cette dernière pour elle, sa satisfaction à la mort de Siméon, son égoïsme profond et par dessus tout, tous les mensonges qui entouraient sa vie. L'esprit affaiblie de la pauvre Catherine à celui de sa mère et une troisième personne naquit de cette union qui n'était ni la mère ni la fille. Elle ressorti de cet état en vociférant des ordres à l'équipage qui ne comprenait pas trop ce qu'il se passait, ils décidèrent de laisser en plan la jeune femme à Isthar. Accompagnée de son enfant, Amélia Roseline, celle qui se fera dorénavant appelée Charlotte Roseline II commençait difficilement sa nouvelle vie.


La vie de l'actuelle héritière de cette sinistre malédiction commença assez mal. Sa mère avait un comportement irationel, plongé dans une espèce de bipolarité, et l'argent manquait. Très vite, elles durent se débrouiller à la dur. Volant, piégeant, mentant, la jeune fille apprit en premier l'art de survivre dans la rue par toutes les filouteries nécessaires. Il n'y avait que sa mère et elle qui comptait à présent, le reste du monde n'était là que pour leur permettre de vivre. Très tôt, sa mère lui dit toute la vérité sur le destin de leur lignée. La deuxième du nom ne comptait pas répéter les mêmes erreurs que la première, morte de la main de sa propre fille. C'est avec ce fardeau, et les devoirs qui en incombait que la jeune femme dut se construire une identité. Avant même qu'elle n'ait eut à fusionner avec le souvenir de ses ancêtres, elle était déjà gourmande de liberté, de luxe et de pouvoir. Leurs rêves, elles se les était appropriée grace au miracle d'une éducation bien dirigée.

Les années passèrent et Amélia finit par tomber enceinte à son tour de sa fille actuelle, Lucie Roseline. C'était, dans l'esprit de sa mère, une bonne chose de faite. De plus, elles avaient finit par accumulé un assez bon pécule depuis leur plus sombre époque. Finit de porter des loques, la science de leur ingénierie, leur culture et leurs magouilles avaient tous finit par payer. Amélia disposait maintenant de capacité qui ferait jalouser tous les mousses des plus grand navire, il était temps de reprendre la mer. La matriarche attendit encore quelques années, le temps que l'enfant ne soit pas un poids, avant de s'engager dans un équipage. Après cela, il fallait encore attendre un catastrophe. Une attaque de pirates ou de monstres marins ayant mal tourné mais laissant le navire intacte. Elles finirent par trouver ce fameux capitaine poissard qui accepta cette petite famille après avoir vu ses meilleurs hommes restant se faire battre à plate couture par les deux jeunes femmes.

Il ne fallut pas longtemps avant que les choses ne se précipitent. Le talent de deux vies de piraterie était contenu dans la caboche de la matriarche. De semaines en semaines, les hommes eux-même se rendaient bien compte de la supériorité, tant en esprit qu'en charisme, de la deuxième du nom. Le capitaine fut déchu sans violence, à la suite d'un simple vote, et s'ensuivi une ère de prospérité pour cette équipage. Leurs calent étaient toujours remplies de rhum, de nourriture et de rhum, mais cela avait un pris. Effectivement, Charlotte II avait une fâcheuse tendance à ne pas respecter ses homologues pirates, ne laissant aucun témoin derrière pour ce genre de prises. Elle n'avait pas le temps pour la politique car la vieillesse approchait à grands pas.

Des années passèrent encore, Amélia Roseline avait alors 32 ans, sa fille 17. Sa mère avait chercher toute sa vie le secret de la jeunesse éternelle en vain, et elle sentait trop bien que cela ne faisait que l'a tourmenter. Elle s'inquiétait de plus en plus de son état mental et de l'image qu'elle renvoyait à l'équipage, lui-même de plus en plus tendu. Mais elle regardait au mauvais endroit. Alors qu'elles mangeaient toutes les trois dans la cabine de la matriarche, Charlotte II se mit soudainement à convulser. Elle vomit du sang et sa fille accourue pour lui venir en aide. Trop tard, elle avait visiblement été empoisonnée et la vie était en train de la quitté. Paniquée, elle chercha du soutien dans le regard de Lucie mais elle n'y vit que l'horreur.

- Qu'as-tu fait?! Finit-elle par dire en pleurant.

La plus jeune héritière soupira et répondit avec nonchalance :

- Je l'ai fait pour vous mère... Vous ne compreniez pas qu'elle projetait de vous tuer?! J'ai juste eut à échanger vos verres. Vous êtes devenue trop vieille, la faiblesse se pointe à l'horizon et elle voulait passer outre cette génération. Ne vous inquiétez pas mère, bientôt vous comprendrez...

Et c'était bien le cas de le dire. Dès que le dernier souffle de vie quitta sa mère, Amélia reçue le même choc que celle-ci 32 ans auparavant. Si elle y avait été mieux préparée, toutes les informations reçues par son aïeule avait doublée d'importance, c'était les souvenirs de deux vies qu'elle devait gérer en plus de la sienne. Et quelles vies, la première étant celle d'une sociopathe, l'autre d'un esprit brisé et obsessionnel. Le souvenir le plus douloureux était de constater que sa mère avait finit par arrêter de l'aimer. Lentement, avec les années et la réussite, l'ego et le cynisme de la première avait prit le dessus sur le souvenir de Siméon et de leur amour. L'équipage eut la politesse de débarquer cette lignée maudite, par respect pour la capitaine qui leur avait fait connaitre la prospérité. Mais Charlotte III ne comptait pas répéter les mêmes erreurs que sa mère qui avait perdu son temps à se lamenter et trouver l'équilibre dans toutes ces pensées. Non, il était temps de prendre les choses en main et de faire de ce nom un vrai sujet de légende, comme il avait été pensée du temps d'Henriette Scoune.

Concernant la jeune Lucie Roseline de tout juste 17 ans, sa mère lui pardonna, ne pouvant que constater la véracité du complot qui s'était dresser contre elle. Notre héroïne la voit comme une fille dévouée et prometteuse mais ses sentiments pour elle sont corrompus par le lien maudit qui les unis. Quant à la vie de celle-ci et son ressenti sur tout ce vécu, ils n'ont pas encore leur place dans cette lignée.

Charlotte III, en plus de s'assurer du bon développement de sa fille, est toujours en quête de tous les indices pour atteindre la jeunesse éternelle dont rêvait Henriette Scoune. Ainsi, elle goûterait à la liberté éternelle et aux plaisirs de la vie de pirate jusqu'à la fin des temps. Etant plus saine et non moins érudite que ses ancêtres, elle pense à jouer un rôle plus important dans l'alliance pirate dont les pouvoirs pourraient lui être utile.