Une bataille acharné se poursuivaient maintenant depuis deux jours. Sans relâche, les chevalier blancs se battaient contre les chevalier noirs afin de protéger le territoire des dieux. Les deux mondes qui sont en guerre depuis fort longtemps avait enfin livré bataille sans merci et les massacres était presque égaux pour les deux camps. Dieux de la foudre chercha sans cesse ou était le chef des chevaliers noirs. Il était nul part! Il se fâchait de plus en plus qu’ils voyait ses soldats mourir et ses frère et sœur se battre contre des démons. Pourtant, en cherchant du regard, il remarquait que sa femme était elle aussi nul part. Pris de panique le dieux de la foudre entra aux sanctuaires, défonça la porte des anciens cartier du chef des démons. Horrifier, il retrouva sa femme, ensanglanter dans les mains de son pire ennemie. Le sourire aux lèvres, il regarda son ancien frère puis embrassa son épouse.
-Tu n’as pas honte d’envoyer ta femme aux combats alors qu’elle est en gestation? Je dois tout de même te remercier, grâce a toi, mon plan a fonctionner comme sur des roulettes…
sur ces paroles le dieux de la mort disparut dans un coup de vent tout comme ses démons et chevaliers.
Zeus se précipita sur sa bien aimée, le prenant dans ses bras puis tassais les cheveux de son sublime visage. La femme lui sourit en retour puis caressa sa barbe rousse volumineuse.
-Mon amour … que vous a il fait? Souffrez vous? Que fessiez vous avec lui en cet endroit?
-Non je ne souffre pas, pour ce qu’il ma fait, je n’en sais pas plus que vous…. j’étais entrain de me battre aux côté de vos frères et sœurs puis une main ma agrippé et je me suis retrouver ici. Puis quand je me suis réveiller, j’étais dans vos bras…
-Métis… est ce vrais que vous êtes en gestation?
-oui… je le sais depuis peu mais, je ne savais pas comment vous l’aborder…
-Il serait mieux de faire fondre cet enfant… nous ne sa…
-HORS DE QUESTION! Cet enfant est le miens et le tien! Peut importe ce qu’a fait le dieux de la morts… cet enfant mérite de vivre comme tous les AUTRES!
……
9 mois plus tard :
Dans un temps lointain où tout n'était que blanc et paix entre chaque monde, j'y suis née. . La vie était paisibles pour mes sœurs et moi qui était la dernière née. Seulement, j'étais beaucoup différente d'elles. Mes sœurs, aux yeux de mon père, elles étaient parfaite. Ma soeur aînée était doté d'une intelligence parfaite, la stratégie était sa matière. La cadette elle, était doté d'une force fénomenal, je n'ai connue personne à se jours qui a réussi à la vaincre à l'épée ni même à la lances. Moi par contre, je n'avais rien de spécial, ni force, ni intelligence, rien qu'un poids pour mon père. Du moins, c'est ce que me disait mes sœurs. Mes sœurs me détestais déjà de base à cause que j'ai tuer mère à la naissance.. mais je peux rien y faire non ?
A l'âge de 5 ans une sensation m'envahissait, j'avais de l'envie envers mes sœurs. Pourquoi eux ils ont des facultés et pas moi?! C'était injuste ! Puis l'envie de tout me surmontas, tous ce que mes sœurs avait, je le voulais et j'étais prêt à faire tous ce qu'il fallait pour y arriver. seulement, mon père voyant bien que je commettait un pécher, me punis en me torturant... Sale dieux! Comment un père peut- il faire sa à sa propre fille ? Et encore plus à l'âge de 5 ans! Le martyre dureras pendant 4 jours, quartes jours à saigner, à être attacher avec des bandelettes en cuir ornée de pique en métal planté dans mes pognait. 4 long jours sans avoir mangé et en plus avec la puanteur du sang séché sur le plateau en bois auxquels j'y ai resté tous ce temps. Mon dos, recouvert de sang de chaire déchiré et de moisissures me faisais atrocement mal et il n'y avait que quelques minutes de repos, le temps que la personne qui fouette se fasse remplacer. Après ses quatres journées de tortures je resta dans ma chambre pendant plusieurs jours. La douleur ne cessait, je ne pouvais même pas supporter un draps. Mon dos était en compote.
Le lendemain matin je me suis réveillée avec plus aucune douleurs et les cicatrices était disparu. Comment j'ai pu faire sa ? C'est censé être impossible sa non? Je bougeas le bras pour me caresser la tête puis le vase au bout de mon bras éclata. Je lenceas un petit cris de surprise puis défigurait le vase. Sa ne devait qu'être une coïncidence non? Où peut être pas... Je leva mon bras vers la chaise ou je m'assit lorsque je peigne mes cheveux puis elle sait projeter sur le mur. J'avais les tous grand ouvert et un sourire satisfait pouvais se montré sur mes lèvres. Enfin ! Jetais égaux à mes sales sœurs !
Du moment où j'ai eu le droit de m'asseoir à nouveau avec eux à table je m'amusais un peu. Je tira les cheveux de ma sœur aînée et elle accusa la cadette qui était assise à côté d'elle puis la bagarre pris. Mon père frustré leur priva du su-culant souper puis pour la première fois je me retrouvas seul aux côté de mon père. Du moins, pour un petit moment seulement, mon père ayant honte de moi me regardais même pas et surtout, il mignorait complètement....et après on dit que dieux peux pardonner... Il quitta la table d’un air froid puis me retrouva à nouveau seul. Me leva à mon tour puis partis dans les cachots abandonné mais surtout vides.
Malgré qu'ils soient vide, cet endroit était lugubre et l'odeur du renfermée empestait mes narines. Les créatures mythiques ressemblant à des rats grouillait de partout. Je m'assurais que cette endroit était bien insonorisées puis lances une boule télékinétique sur un mur. Le trous était de la grosseur de mon point et un mon petit sourire d'enfants ne pouvais s'effacer de mon visage. Je me suis entraîné dans cet endroit pendant 5 longues années et je l'aurai fait encore plus longtemps si mon père n'aurais pas remarqué ma gourmandise. En effet, plus mes pouvoirs grandissaient, plus sa m'en demandait énergiquement alors, je mangeais, mangeais pour 6 voir 7 personnes. Même si je n'avais plus faim, cette envie de manger surpassais mon envie d'arrêter de manger. Manger, manger et manger! Rien ne comptait plus que cela, si je m'entraînais pas, je mangeais. Frustré par mon agissements, il me punis une seconde fois, mais cette fois si, la martyre dureras plus d'une semaine. En. Plus qu'ils durent plus longtemps, la punition étai encore plus pénibles. Cette fois, j'ai eu le droit à me faire battre, me faire fouetter, me retirer les ongles des doigts et des orteils. Le sang jaillissant et ma bave coulait de ma bouches. Retiens toi, ne montre pas tes facultés je ne cessait de répéter ces mots dans ma tête . La semaine passa, impuissante pour bouger, ce sont les détenteurs de fouet qui m’emmena dans ma chambre. Rendu, avec ma magie, cessa mes douleurs mais laissa mes blessures sur mon corps pour pas qu'on se pose de questions. Une semaine passa dans ma chambre enfermée avec les guérisseurs qui finissais par me guérir puis sortit de ma chambre. Ce soir là, nous recevions le meilleurs amis de mon père.
Mes sœurs étaient habillé d'une ravissante robe alors que moi, j’étais habiller de quelque bout de tissus déchiré. Ayant honte, mon père ordonais aux servantes de m’expulser de la pièces. A partir de ma chambre, je pouvais les entendre rire aux éclats alors que moi, j’étais accroupis en petite boule sous mon lit en pleurant de douleurs. Je brûlais de l’intérieure, ma haine ne faisait qu’augmenter au fil du temps. Je criais de douleur a l’intérieur. Comment pouvait on ignorer un enfant de dix ans qui souffre plus qu’elle ne le devrait?
….
Trois coup sur ma porte me réveilla. Horrifier, je me dirigeas vers la porte puis l’ouvrit. Un homme d’une grandeur surprenante se dressais devant moi, un homme qui me sembla familier.
-bonsoir Akuma.
Je reculas d’un bond, le coeur battant la chamade. Je poussa mes quelques mèches de cheveux hors de mon visage puis scruta le visage de l’homme qui était face a moi.
- Je ne voulais pas te faire peur tu sais?
Je restas silencieuse.
- Bon j’imagine que tu ne diras rien… tant pis pour ma proposition alors…
Sur ces paroles il vira ses talons protéger par son armure en argent puis laissa seulement le bruit de ses pas métalliques derrière lui. Avant qu’il ne disparaisse complètement de mon champ de vision, mes jambes se mit a courir sans même que je le veuille, ma main se dressa aux loin puis attrapa sa manche. Mes larmes ne pouvaient se retenir.
-sors moi d’ici!
Sur ces paroles l’homme me prit t’elle une princesse dans ces bras. La sensation que je ressentis a ce moment précis , je ne pouvais la décrire, qu’elle était ce sentiment?
L’homme qui m’avait recruter, le fils d’un amis de de mon père était nul autre qu’un héros de guerre qui jadis a remporter plusieurs batailles. Il m’entraîna dans son monde hors de porté de mon père. Un monde complètement différent d’où j’avais l’habitude de vivre. Ici, on me traitais bien et on prenait soin de moi.
Mon entraînement intensifs dura 15 ans. Dans ces quinze-ans , j’avais déjà participer a quatre guerres contre des démons et chevaliers noirs, mais la guerre qui se préparaient pour bientôt s’annonçait rude.
……
quelques jours avant le fameux jours.
-Zac…
-oui?
-qu’elle est ce sentiment?
Je disais ces mots tout en regardant un collier avec une pierre vert foncé. Zac se rapprocha de moi.
-a quoi pense tu l’orsque tu regarde ce collier?
- a vos yeux monsieur. Ce collier, je le trouve aussi beau que vos yeux.
- c’est toi qui devras répondre a ta propre question.
Une dame s’approchait vers nous puis, nous dit le prix de se collier. En entendant le prix mon cœur se serra.
-Tant pis je m’en passerai...
nous avons continuer nôtres chemin puis arrivas enfin aux campement ou nous mangions un souper pour pauvres assez amers.
Ce fut durant la nuit que nous nous sommes faites attaquer. Un fois de plus, la guerre s’acharna pendant des heures et des heures. Pratiquement a la fin vers la victoire, je vis un chose horrible. Si horrible que mon corps réagissais d’une manière étrange. Zac venais de s’agenouiller devant un être trois fois plus grand que lui possédant des cornes sur la tête. Je n’avais jamais vue quelque chose d’aussi horrible. Je crias de douleur. Je propulsa Zac hors de porté de ce monstre puis me réfugit dans un tours détruite par une ancienne guerre.
-Zac!!! répondez moi!!! Je vous en pris!!!! Ne me laisser pas!! Vous n’avez pas le droit!!!!
-Ce jours devaient arriver… Akela .. enfuie toi.. sauve ta peau.. ce monstre ne dois pas te trouver… prend cette boites et pars le plus loin que tu peux..
-Hors de question!! Je ne vous laisserez pas pourrir ici! C’est hors de moi!
-Akela.. cet homme ne dois pas te trou...trou..ver…. Pardonnez moi… je ne peux plus vous protégez a présent… alors fuyez..
-NOOOON!!!! JE VOUS L’INTERDIT! Je vous interdit de dire une choses pareille!
-Akuma, je … je vous.., je vous aimes.
sur ces mots, il ferma les yeux pour toujours. La colère m’envahissait, mon corps brûlait une fois de plus et me pensé devenais noirs. Sans trop savoir ce qui se passais, mon corps se mit a se teindre noir. Je me leva puis sortis de la tour, regardais au tour de moi pour visualiser la personne qui avait fait cela a Zac. Une fois dans mon champ de visions, mes jambes me propulsa vers lui d’une vitesse phénoménale. Arrivé vers son tors je lui fila un coup de point ce qui le fut revoler a des kilomètres plus loins mais malgré cela, il apparut dans le temps de le dire… le sourire aux lèvres.
-Je reconnais bien la le pouvoir de ma charmante fille.
- de quoi vous parlez? Je ne vous connais même pas!
Je lui enfila un deuxième coup de point mais cette fois si, il le bloqua d’une seule main. Mon regard vira rouge de rage.
-calme toi, je ne te veux pas de mal.. après tout tu es ma fille…
J’enfilais les coup de point les uns après les autres. Mais en vains, il les bloquas tous sans exceptions puis m’empêchait de bouger.
-Arête je te dis! Laisse moi te montré comment utiliser ce pouvoir! Viens dans mon monde! Tu auras toutes les explications que tu voudras.
-JAMAIS!
Aux même moments, une flèche de foudre traversa mon corps puis celui qui m’empêchait de bouger. Ma bouche cracha du sang puis mon corps tombas par terre suivie de plusieurs tremblement. Mes yeux se ferma petit a petit. Lorsque je repris connaissance je me trouvais dans le brouillard. Le bruit des épée n’avais pas cesser mais pourtant je n’y voyais plus rien. Les seuls choses que je pouvais visualiser était ce cercle rouge qui m’entourais. Un cercle rouge avec des signes qui m’inspirait pas confiance. Est ce que c’était une malédiction? Puis une voix résonna dans ma tête, elle disais des choses incompréhensible comme si c’était totalement une autre langue. J’essayais de me lever mais j’en était incapable, cette voix me cassais les oreilles tellement fort que je perdis encore connaissance.
Je me réveilla dans un lit assez inconfortable, tout ce qui m’entourais était blanc, tellement blanc que cela me fit mal aux yeux. Après quelques regards, je reconnue cette endroit. j’étais chez mon père. Une servant se précipitas vers moi puis me tendit de ses bras du linge nouveaux et propres. Après avoir enfiler la robe noir qu’on m’avait offert je regardais sur la petite table situé a coté du lit. La petite boite que Zac m’avait offert était la. Je la cachas dans ma brassière puis la servante revenu.
- vôtres père vous attends.
Sans un mots, je suivais la servante de près, tête en l’air, avec le menton bien haut. Il était la, assit sur son trône d’or avec mes sœurs a ses côtés qui me regardais encore comme si j’étais un monstre.
-Akuma.. suite aux évènements qui se sont passé durant la dernière bataille nous devons te bannir de ce monde de lumière. Ton sceau dans ton œil s’avèrent celle d’une démone qui c’est dévouer aux mal. Ta mère serait triste de te voir ainsi. Tu me fais honte a moi, a tes sœurs et a toutes la familles. Sur ces mots je te met un sceau a mon tour.
Je me mit a crier de douleurs. Le sceau apparut sur mon épaules. Sa ressemblais a une cicatrice fait par un fer chaud. Je regardas mon père pour une dernière fois.
-peut importe que je soie bannie… sa sera toujours mieux que de rester ici..
sur ces mots, il me transféra dans le monde des humains, un monde totalement différent du miens, un monde ou toutes les créatures cohabite… approchant vers le village le plus proche j’ouvris enfin la boite que Zac m’avait offert. A l’intérieur se trouvait le collier argent avec le sublime diamants vert. Un sourire pouvait s’afficher sur mon visage.