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- Spoiler:
Code du règlement :
Vêtements propres ? Ah non... 214d8f0d314d3876e41b571ba1bf4e34 (validé par Dougal) !
Prénom et nom : Brönn Menred.
Âge : Bien qu'il semble faire 50 ans, il est en réalité âgé de 42 ans.
♀ ou ♂ : Masculin.
Race choisie : Humain.
Classe envisagée : J'hésite encore entre Rôdeur, Assassin et Voleur. Je verrai au moment venu.
Métier envisagé : Chasseur comme métier " officiel " et alchimiste, juste pour le côté RP.
Pouvoir : Aucun.
Mode hardcore : Non.
Mode de présentation : Voie Standard.
Brönn n'était pas à proprement parler une force de la nature mais il n'avait rien à envier aux autres puisqu'il avait une parfaite condition physique. Du haut de ses cinq pieds et onze pouces ( environ un mètre quatre-vingts ) pour environ cent soixante-cinq livres ( soit soixante-quinze kilos ), on pouvait remarquer que le visage de Brönn était marqué par le temps. Une chevelure ébouriffée, d'un blanc quasiment parfait, protégeait son crâne. Une épaisse barbe blanche recouvrait son visage, laissant apparaître, entre la moustache et le menton de fines lèvres. Ses yeux, d’un bleu azur, étaient encadrés par d'épais sourcils blancs mais aussi par d'imposants cernes.
Niveau vêtements et accessoires, Brönn avait fait simple. Il portait une combinaison en cuir noir composée d'un pantalon, d'une paire de botte et de gant. D'une sorte de plastron à boucle et d'une capuche qui, une fois enlevée, pouvait être confondue avec une écharpe. Il avait une ceinture, en cuir noir également. A sa droite, il y avait une petite sacoche dans laquelle il rangeait quelques pièces d'or, sa pipe, son tabac et sa pierre à aiguiser. De l'autre côté, un fourreau de couleur marron foncé dans lequel une épée, avec une garde en os sculptée d'une tête de loup était rangée. La ceinture servait également à porter deux dagues, croisées de manière horizontal dans le bas de son dos.
Brönn était quelqu'un de très solitaire. Déjà étant petit, il n'arrivait pas à lier des liens d'amitié avec les enfants de son âge. Ça s'arrangeait, petit à petit, en vieillissant, mais il avait toujours le besoin de se retrouver seul pendant de longues heures. Il n'était pas très bavard mais savait parler juste quand cela était nécessaire. Pourtant, il avait parfois le sang vif. Il ne lui suffisait de pas grand chose pour sortir son arme et menacer une personne jusqu'à parfois, la blesser grièvement.
Il était aussi très sûr de lui et parfois même arrogant. Son amour pour l'or avait fait de lui une personne droguée aux jeux d'argent. Certaines personnes pouvaient croire que, contre quelques pièces d'or, Brönn était capable de faire n'importe quoi et c'était vrai. Du moins, il avait quand même des limites. Il ne croyait peut-être pas en la religion, mais il croyait en l'homme et il n'y avait rien de pire selon lui qu'un homme trahissant sa morale. Ainsi, Brönn se gardait le droit de refuser certaines missions, peut importe le montant d'or qu'on lui offrait.
Brönn Menred naquit dans le Sud de Duralas, non loin de Village d'Ishtar, de parents fermiers. Leur maison se situait sur le bord d'un sentier qui donnait sur l'entrée principale du petit village. Il était un fils de la terre. Dès son plus jeune âge, Brönn assistait ses parents dans les tâches agricoles. Il labourait les terres et plantait les graines. Il aimait la couleur dorée que les épis de blé prenaient en poussant sous le soleil. Brönn aidait également ses parents à chasser et à pêcher. Malheureusement, ces activités ne suffisaient pas à nourrir toute la famille. En effet, le Sud de Duralas étant une zone très peuplée, les animaux se faisaient de plus en plus rare. De plus, les alentours du Village étaient également un carrefour commercial, il y avait donc une forte concentration de créatures dont il était préférable de ne pas croiser. Ainsi, il était nécessaire de trouver des activités annexes à celles quotidiennes pour survivre.
Le père de Brönn, en tant que chef de famille, faisait beaucoup d'aller-retour entre sa maison et le village afin d'essayer de récupérer quelques pièces en échange de certaines récoltes. Malgré les multiples disputes qu'il avait eu avec sa femme sur le fait qu'il n'était pas seul et que les problèmes devaient être surmontés grâce au fait qu'ils formaient une famille unie, il considéra qu'il était de son devoir de nourrir sa famille. Ainsi, ayant entendu au détour d'une ruelle d'Ishtar des marins ( ou des pirates, il n'arrivait pas bien à faire la différence dans le noir ), parler du fait qu'ils cherchèrent des « volontaires » pour partir en mer. Il prit la décision de s'engager.
Un soir, dans une taverne d'Ishtar.
Il se tenait debout devant la porte de la taverne. Il remarqua, à travers une petite fenêtre, la lueur du feu qui se reflétait sur les murs. Les bruits qu'il entendait lui laisser croire que l'ambiance devait y être conviviale. Il fit le pas et poussa la porte d'entrée. Une fois dans la taverne, il analysa rapidement l'endroit : une vieille maison à la charpente en bois apparente, d'environ dix mètres de long pour dix mètres de large. Le tavernier se tenait debout, derrière son comptoir, a l'opposé de la porte d'entrée tant dis que les tables tapissaient le reste de la pièce de manière assez aléatoire. Une forte odeur d'alcool planait dans la pièce. Il s'enfonça plus en avant et referma la porte derrière lui. Soudainement, hormis celui du crépitement du feu dans la cheminée, tous les bruits s’arrêtèrent. Les différentes personnes se retournèrent contre lui : des marins, des femmes, des bandits et des pirates. Le village étant leur repère, ça ne l’étonnait pas plus que ça. Alors que les clients de la taverne retournèrent à leurs occupations, le père de Brönn s'avança vers le tavernier et lui demanda :
« Excusez-moi, mon brave, je cru comprendre que les marins cherchaient des volontaires pour partir en mer. J'aimerai me faire enrôler. »Le tavernier leva la tête lentement et montra d'un coup de menton et sans dire mot un homme qui se tenait à une table dans un coin et qui semblait faire passer des entretiens.
« Merci », répondit le père.
Il se dirigea vers l'homme, s'assit en face de lui et demanda la même chose qu'au tavernier :
« J'ai cru comprendre que les marins cherchaient des volontaires pour partir en mer. Je souhaite me faire enrôler. »L'homme leva la tête, s'adossa contre sa chaise, sourit et répondit :
« Des marins ? Ouais, voilà...On va dire ça... ». L'homme regarda ses camarades qui l'entouraient et rigola. Il s'avança vers le père de Brönn, s'appuya contre la table et murmura :
« Nous ne sommes pas des marins, nous sommes des pirates. La plupart des personnes ici sont des pirates. M'enfin...Tu veux toujours t'enrôler ? Ça te fait pas trop peur, vieillard ? » Le père de Brönn se senti un peu bête. Il est vrai que ces personnes avaient plus l'air de pirates que de simples marins. Il fallait choisir rapidement. Il n'aimait pas les pirates, mais c'était pour lui la seule solution qui lui restait pour rapporter de l'argent à sa famille.
« Je m'engage. » , répondit le père.
Le pirate sorti une feuille ainsi qu'une plume et demanda au père de signer. Il s'agissait du contrat d'engagement. Il lui demanda également 5 pièces d'or pour pouvoir les rejoindre.
Le lendemain matin.
Le père de Brönn était rentré chez lui. Dans la pièce principale, sa femme était assise à table, elle l'attendait. Il avait ramené quelques pièces d'or des ventes qu'il avait effectuées. Il raconta alors la soirée qu'il avait passée. Voir son mari s'engager chez les pirates et partir en mer avec eux l'inquiétait énormément. Elle savait pertinemment qu'il y avait de fortes chances pour qu'il ne revienne pas. Mais d'un autre côté, ils n'avaient pas d'autres solutions pour gagner de l'argent.
« Nous partons ce soir, vers minuit. Mais je dois les rejoindre un peu avant. Je vous ferai parvenir quelques pièces d'or à chaque fois. Ça devrait suffire pour que vous puissiez vivre dans de bonnes conditions. » Brönn, lui, était dans sa chambre. Il était allongé sur son lit, mais comme sa porte était entrouverte, il avait entendu toute la conversation. Brönn était peut-être jeune, mais il comprenait le choix de son père. Il se leva quelques heures plus tard, il était seul dans la maison. Ses parents étaient en train de travailler le sol derrière la bâtisse. Brönn s'habilla afin de les rejoindre. Dehors, le soleil brillait comme jamais. La lumière donnait une jolie couleur dorée aux champs de blé. Il rejoignit ses parents et laboura avec eux.
En soirée, vers dix-huit heures.
Quand on labourait les champs, on ne voyait pas le temps passer. Il était presque dix-huit heures et il était temps, pour le père de Brönn, de se préparer quelques affaires afin de partir rejoindre les pirates. La famille était dans la maison, la mère et le fils regardèrent le chef de famille préparer son baluchon. Sur la table de la pièce principale, il y avait un collier avec une tête de loup en os. Le père s'en empara et s'orienta vers Brönn :
« Brönn, viens ici ! J'ai quelque chose pour toi. » Brönn, assez inquiet par le ton grave que son père avait pris, s’exécuta. Il s'avança tête baissée. Son père se mit à sa hauteur en s'agenouillant et commença à lui parler :
« Écoute moi bien, Brönn. La situation n'est pas facile. Partir et essayer de gagner de l'argent est la seule solution que j'ai trouvée pour sauver notre famille. Tu dois comprendre cela. Un jour, toi aussi, tu auras des choix difficiles à faire qui pourront t’amener à te séparer des personnes que tu aimes. Mais tu ne devras pas les oublier. » Le père se leva et prit le collier qui était sur la table. Il regarda Brönn.
« Ce collier était à mon arrière, arrière grand-père. Lui-même, l'a donné à son fils, qui lui même l'a donné également à son fils et ainsi de suite jusqu'à moi. Aujourd'hui, il est à toi. Ne le perds surtout pas. » Brönn prit le collier et l'observa. Une tête de loup, gravée dans un os blanc, pendait au bout d'une chaîne de couleur dorée.
« Merci père », répondit-il en se jetant dans ses bras.
La mère et le fils regardèrent le père emprunter le chemin vers le port d'Ishtar. La mère savait pertinemment qu'elle ne reverrait plus son mari. Brönn, quant à lui, nourrissait l'espoir de le revoir un jour.
Le père de Brönn avait tenu sa promesse. De l'or parvenait à sa famille et ce, de manière assez régulière. S'ils avaient voulu, ils auraient pu arrêter de cultiver leurs terres puisqu'ils avaient bien assez d'argent pour vivre sans se tuer à la tâche. Mais Brönn voulait que tout soit parfait pour le retour de son père. Ainsi, il répéta pendant des années le même rituel. Il resta assit sur une barrière à la sortie du chemin de son village pour attendre de longues heures le retour de son père. Mais il ne vit jamais personne.
En se rendant au village pour vendre quelques ressources, il entendit une conversation entre badauds. Les pirates étaient visiblement rentrés au port d'Ishtar. Brönn était joyeux juste à l'idée de revoir son père. Il se dirigea vert le port et regarda les gens. Il y avait de tout. Des hommes, des femmes, des vieux, des jeunes, des animaux...Mais aucune trace de son père. Brönn décida d'attendre quelques heures
Dans la soirée.
Il faisait maintenant presque nuit. Brönn s'était endormi dans un coin du port entre deux caisses en bois. Il se réveilla et porta la main à son cou afin de vérifier s'il n'avait pas perdu son collier. Le pendentif était toujours là, mais toujours aucunes traces de son père. Les pirates, quant à eux, éraient dans le port tels des mendiants. Leur degré de joyeuseté, si je puis dire, était proportionnel à la quantité de rhum qu'ils avaient du ingurgiter. Brönn se releva et essaya de rejoindre la sortie du village sans se faire remarquer.
« Père... », se répéta-t-il sans cesse.
Brönn avait l'intime conviction qu'il ne reverrait jamais son père. Mais il n'était pas au bout de ses surprises. En approchant de la sortie du village, il se cacha derrière une maison et regarda un groupe de pirate qui revenait d'une « balade ». Les pirates semblaient ivres et se bousculaient entre eux. Ils riaient à gorge déployée. A cause de la distance, Brönn ne comprenait pas ce qu'ils racontaient, mais il arrivait à distinguer certains mots. Celui qui revenait le plus souvent était « Pillage ». Ce mot résonnait dans sa tête et en y réfléchissant, il n'y avait pas beaucoup de monde qui habitait le long de la route qui menait au village d'Ishtar. Puis il ressenti comme une déchirure au plus profond de son être. En plus du sentiment que lui procurait l'idée de ne plus revoir son père, s'y ajouter le sentiment d'avoir perdu sa mère.
Dès que le groupe de pirate s'était éloigné, Brönn sorti de sa cachette. Il était submergé par les différentes émotions qu'il ressentait, il était comme désorienté. Les larmes aux yeux, le point serré comme signe de colère, il courra aussi vite qu'il pu en direction de sa maison. Il s'arrêta en plein milieu du chemin et observa l'horizon. Brönn n'avait pas besoin d'explication pour comprendre d'où venait la fumée noire qui montait au loin derrière les arbres. Il reprit sa course et arriva prêts de la maison familiale, en feu.
« Mère ! », cria-t-il.
Brönn s'approcha, entra dans la maison et affronta les flammes qui se faisaient de plus en plus grosses. Il chercha après sa mère, espérant la trouver en vie. Mais il en était tout autre. Il trouva le corps de sa mère, sans vie, dans un coin de la pièce principale. Il prit le corps et le porta à bout de bras et affronta une nouvelle fois les flammes. Une fois à l'extérieur de la maison, il s'en éloigna de quelques mètres. Il ne devait pas perdre de temps. Un feu de cette ampleur allé attirer des personnes. Brönn décida d'enterrer sa mère juste derrière les champs de blé de sa famille. Il fit un simple trou et y glissa le corps à même la terre. Brönn resta quelques instants afin d'adresser un dernier au-revoir à sa mère. Les larmes coulaient sur ses joues et il prononça :
« Me voilà seul, désormais... ».A peine plus âgé de 15 ans, il était seul, plus rien ne le retenait ici. Brönn décida de prendre la route et de quitter cet endroit.
Aujourd'hui, Brönn est âgé de 42 ans. Son visage était marqué par le temps. Une chevelure d'un blanc quasiment parfait, une épaisse et rugueuse barbe blanche recouvrait son visage. Ses yeux, d’un bleu azur, étaient encadrés par d'épais sourcils blancs mais aussi par d'imposants cernes. Brönn semblait calme, mais son regard traduisait un sentiment de mélancolie. Il était toujours habité par les événements qui s'étaient passés dans sa jeunesse. Cependant, il avait décidé de ne pas chercher à venger la mort de ses parents.
Aujourd'hui, il était une sorte de rôdeur, d'aventurier...Il était tout le temps sur les routes, accomplissant diverses tâches pour certaines personnes. Tâches pour lesquelles il était, d'ailleurs, grassement payé. Il refusait rarement une mission et ne posait aucune question. Enfin sauf une :
« Ça dépend...Votre bourse est plutôt vide...Ou plutôt pleine ? »Ainsi, avec tout l'argent qu'il avait gagné, il avait pu s'offrir de l'équipement dont il ne se séparait jamais. Il avait une combinaison en cuir noire, avec une capuche. Un cheval, noir également. Une petite sacoche dans laquelle il rangeait son tabac et sa pipe, ainsi que sa pierre à aiguiser et quelques pièces de monnaie. En revanche, il n'avait plus le collier de son père. En effet, l'ayant cassé lors d'une mission, il avait préféré récupérer la tête de loup en os pour en faire le pommeau de son épée. Épée qui, d'ailleurs, ne le quittait jamais.
Le fait de souvent voyager avait permis à Brönn de développer de bonnes capacités pour la chasse. Ses longues sessions de chasse dans les plaines et forêts lui avait permis d'acquérir des qualités qui lui étaient bien utiles pour remplir ses contrats : rapidité, discrétion, patience et force. Mais ça lui permettait également de se nourrir sans avoir besoin de dépenser de le moindre argent. Brönn avait également des notions d'alchimie ce qui lui permettait de concocter ses propres remèdes et de se soigner s'il s'était blessé lors d'une mission, par exemple. Enfin, il avait également quelques notions d'astronomie. Venant de parents fermiers, son père lui expliquait le soir que la Lune avait une forte influence sur les récoltes et qu'ainsi, il était important d'apprendre à utiliser les outils que Mère nature mettait à notre disposition. Depuis, Brönn avait appris à lire les étoiles. Il était donc capable de s'orienter dans la nuit noire.
Brönn vit au jour le jour, il n'a donc pas vraiment d'objectifs de vie. Il tient cependant à quelques points :
- Il souhaite entrer dans la faction « La Congrégation de l'Ombre » et y mettre ses capacités à disposition.
- Être riche. Toujours plus riche.
- Voir un dragon.
Pseudo : Zethra.
Âge : J'ai passé la vingtaine !
♀ ou ♂ : Masculin.
Hobbies/Activités : Je suis étudiant et passionné par tout ce qui est Médiéval/Héroic-Fantasy. La majorité de mes occupations tournent autour de cet univers. Ainsi, j'aime lire et jouer aux MMORPG. J'ai fais également un peu de JDR, j'aime l'univers de Donjon & Dragon. Ayant pas mal d'idées qui prennent un peu trop de place dans ma cervelle, j'essaie également d'écrire, de développer mon monde, toujours dans le même univers.
Sinon, je suis également musicien amateur. Je pratique la guitare et le piano depuis que j'ai 7 ans. Depuis, j'aime apprendre à utiliser d'autres instruments.
Couleurs préférées : Hum...Je dirais le vert, le noir ( c'est pas une couleur, je sais... Mais bon, hein... ) et la couleur « lie de vin ».
Opinion sur le Forum : Graphiquement, il est plutôt chouette. Après, je suis nouveau ici. Laissez moi le temps de découvrir un peu plus le forum et si j'ai l'occasion de pouvoir redonner mon avis, j'essayerai d'être constructif.
Comment as-tu connu ce forum ? : Je suis tombé sur ce forum totalement par hasard, en tapant « Forum RP » sur Google.