SaigoV1Personnage décédé
Messages : 1671 Expérience : 4937 Âge RP : 24
Politique : 193 - Titres:
Bras-droit de l'Ombre (Faction)
Baron de la Tour Noire (Noblesse)
Analyse de l'adversaire (Spécialisation)
Chasseur invétéré (artefact)
"Performant"
Try Harder (Vainqueur Quizz Dùralas CB 2)
Éradicateur des sables (Event)
Amant Endurant (Event)
Vainqueur de la bataille d'Ishtar (Event)
Chasseur suprême de Pâques
(Event)
Connaisseur suprême
(Event)
Le Cavalier de Dame Fortune (Guilde)
Stats & équipements Vitalité: (2467/2467) Vitesse: 1604 Dégâts: 2078
| Sujet: Une bien sombre lignée Mer 7 Sep 2016 - 0:03 | | | Généalogie de Saigo
- Onze – Père.
- Onze:
Onze est l'Exécuteur-en-Chef, le maître absolu des cachots de la Tour Noire. Guerrier terrifiant de puissance, tortionnaire de génie, légende voire même demi-dieu dans le cœur de tous les Exécuteurs, il est l'incarnation de la peur, comme en témoigne son surnom, « La Mort ». Il ne sort jamais de ses appartements personnels, situés au plus profond des cachots. De même, il ne se sépare jamais de son armure intégrale et de sa faux. Seul ses deux plus proches conseillers sont autorisés à le rencontrer. Pour tout autre être, se voir convié par l'Exécuteur-en-Chef est soit le plus grand des honneurs, soit le dernier arrêt avant la mort.
Onze n'est pas à proprement parler le père de Saigo. Il a conçu ce dernier au cours d'un rituel macabre extrêmement dangereux et sanglant. Dans l'opération, il sacrifia douze Exécuteurs et autant d'ennemis, ainsi que ses propres ailes, dont sa création a hérité. De plus, la Mort a sacrifié la moitié de son espérance de vie dans le but de créer Saigo. Son but : créer un héritier digne de sa légende. Pour que le rejeton se forge un caractère, il fit en sorte qu'il ait à se débrouiller par ses propres moyens, le plus tôt possible.
- Aaron Guzman – Père adoptif.
- Aaron:
Aaron Guzman est le fils Broderick Guzman et de Cathryn Guzman, née Welch. Il n'est personne de vraiment important à la Tour Noire. Lorsqu'il fut en âge d'intégrer l'une des trois factions stryges, il choisit les Adeptes du Dragon, puis la branche des Adeptes du Cri. Ainsi, il passait le plus clair de son temps à parcourir les terres dùralassiennes, prêchant la parole du Dragon Blanc. Cette activité incessante qui l'emmenait à vivre loin de la Tour Noire fut l'une des raisons principales pour lesquelles il fut choisi par Onze. Il ne fut jamais présent pour Saigo, dont il avait secrètement peur, sachant ce qu'il représentait pour l'avenir de la faction la plus sombre de la Tour Noire.
Physiquement, Aaron possède, à l'instar de son « fils », de longs cheveux sombres, bien que tirant un peu sur le bleu sombre. En plus de son tatouage d'Adepte du Cri, situé au creux de sa main, il possède une glyphe draconique sur le bras gauche. Il mesure 2 mètres, et ses ailes ne sont pas impressionnantes en termes d'envergure. Élevé dans la plus pure tradition des stryges noirs, il est d'une loyauté sans faille à la Matriarche Noire, et croit au plus profond de son être qu'il fait partie d'une race supérieure. Comme tout bon stryge noir, il abhorre les stryges blancs, sur lesquels il n'hésite pas à faire usage de sa magie.
Il a rencontré sa femme, Thelma Crane, devenue Thelma Guzman, durant le rite de passage chez les Adeptes du Cri. Depuis, ils voyagent et répandent la bonne parole ensemble.
- Thelma Guzman – Mère adoptive.
- Thelma:
Thelma Guzman, née Crane, est la fille d'Amos Crane et de Coleen Crane, née Koch. Tout comme son mari, elle n'est en rien une personnalité majeure de la Tour Noire. Elle a intégré les Adeptes du Cri en même temps qu'Aaron. Depuis, ils voyagent et prêchent ensemble à travers tout Dùralas. À Saigo, elle ne laissait que de maigres rations de nourriture, jusqu'au quinze ans de l'enfant, date à laquelle elle et Aaron s'embarquèrent dans un périple beaucoup plus long, estimant qu'ils en avaient déjà bien assez fait. Tout comme son mari, Thelma était intimement effrayée par Saigo, qu'elle savait l'héritier de l'incarnation de la Mort.
Mesurant 1m87, ses longs cheveux de jais, son regard sombre et froid, ses lèvres pulpeuse et son teint pâle font d'elle une très belle femme et ce, bien qu'elle soit le plus clair du temps cachée sous les larges vêtements des Adeptes du Cri. En plus de son tatouage draconique, au creux de sa main droite, elle possède plusieurs autres tatouages et glyphes dédiés à Mahriser. Elle n'hésitera jamais à les utiliser sur des stryges blancs.
- Broderick Guzman & Cathryn Guzman – Grands-parents paternels.
Les parents d'Aaron. Ils n'ont jamais daignés s'intéresser à Saigo. Dans un premier temps, ils n'ont même pas été mis dans la confidence par leur fils. Ce n'est que lorsque l'héritier d'Onze atteint les deux ans qu'ils apprirent son existence et ce qu'il était réellement. À partir de là, ils refusèrent catégoriquement de revoir ne serait-ce qu'un cheveu de l'enfant.
Le couple gagnait sa vie en tant que tenancier d'une boutique de tanneur de cuir. Bien qu'ils souhaitaient voir Aaron reprendre la boutique, ils soutinrent ce dernier a embrasser la carrière d'Adepte du Cri. Ils se félicitèrent d'autant plus de ce choix après l'arrivée de Saigo, sachant que la carrière d'Aaron le mènerait aussi loin que possible de l'héritier de Onze.
- Amos Crane & Coleen Crane – Grands-parents maternels.
Tout comme les Guzman, la famille Crane ne s'est jamais intéressée à Saigo. Ils apprirent l'existence de ce dernier quelques semaines après les Guzman, et se sentirent à la fois honorés et terrifiés à l'idée que leur fille ait été choisie par Onze pour « élever » son héritier. En accord avec le désir du légendaire Exécuteur-en-Chef, ils s'appliquèrent toute leur vie à ignorer l'enfant.
Pire, Amos, tenancier d'une petite échoppe de chasse, refusa longtemps de vendre du matériel à Saigo. Lorsqu'il le fit, il s'assura que l'enfant dépense bien plus que le prix normal. De plus, il faisait mine de ne pas le connaître, ce qui ne choqua jamais Saigo, étant donné qu'il n'avait aucun souvenir de son grand-père.
Quand à Coleen, elle travaillait dans une taverne des bas étages de la Tour Noire, ce qui la rapprochait automatiquement de son « petit-fils ». Néanmoins, là où de rares serveurs prenaient l'enfant affamé en pitié, elle le réprimandait sévèrement lorsqu'elle le prenait à quémander de la nourriture, et n'hésitait pas à faire sortir l'enfant à coup de pied au derrière.
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