Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : (Vous en avez un. Si, si, en vrai!)
Âge : 17 ans
Classe/métier : Lycéen
Hobbies/activités : Ne pas faire mes devoirs
Couleur préférée : Rouge
Opinion sur le forum : Sympa, permet de s'évader. Loin, loin...
Comment as-tu connu ce forum ? Ben grâce à Arutha du coup
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Tungdil
Âge : J'ai deux cents quarante-sept ans. Et oui je sais je suis vieux, même pour mon espèce.
Sexe : Je suis un homme, Enfin, ce qu'il en reste.
Race : Je fait partis de la fière race des Nains. Mais il est vraie que ma condition ne m'a jamais réellement permis de faire preuve de fierté. Je ne pense d'ailleurs ne jamais avoir été orgueilleux.
Classe envisagée : Je n'envisage pas encore réellement de classe, en vérité, je n’ai jamais réellement été un aventurier, Mais je suis convaincu que ma classe se présenteras spontanément à moi.
Ce qu'il aime : J'ai toujours beaucoup apprécié la musique, de la musique la plus fine composé par les Elfes ou certains humains talentueux, jusqu'à la musique de mon peuple qu'il faut savoir apprécier. D'ailleurs en règle générale, j'apprécie toutes les musiques mêmes les quantiques réalisés par les Striges. Il m'est même arrivé d'apprécier les psalmodie Nagas. J'ai toujours beaucoup apprécié la lumière aussi qui glisse sur moi. Et admirer la peinture, je pouvais passer des heures à la regarder sans me lasser.
Ce qu'il n'aime pas : Je n'apprécie pas vraiment les gens moqueur, depuis le temps et avec mon grand âge j'ai appris à les ignorer mais leurs piques ne sont jamais plaisante.
Situation amoureuse : Je suis seul.
Code du règlement :
Chèvre feuille (validé par Dougal)
Voie Standard ou Voie Spécialisée ? (Précisez l'orientation pour la Voie spécialisée)
{Facultatif} Un pouvoir particulier ? J'aurais bien apprécié en posséder un effectivement. Mais la seule chose qui fait de moi un être exceptionnel c'est ma petite chèvre.
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Êtes-vous beau, moche, un peu des deux ou aucun des deux?
.....Je suis un Nain donc vous vous doutez bien que je ne suis pas très grand. J'ai les yeux verts, très clairs, à tel point que l'on pourrait même penser qu'ils tendent vers le jaune. Je porte parfois des lunettes à force de m'user les yeux sur des traités et de belles peintures dans des pièces parfois sombres. Ma peau n'est pas burinée par le soleil comme est celle de beaucoup de nain, puisque je passe beaucoup de temps à l'intérieur mais je suis tout de même plutôt bronzé. Avec l'âge, les rides ont commencé à apparaître sur mon visage, notamment au coin des yeux à force de sourire et au dessus des yeux à force de froncer les sourcils en lisant des textes écrits petits et en pattes de mouche. Mes cheveux sont blond et très long, ils me descendent jusqu'au milieu du dos et sont très lices. Je suis aussi muni d'une barbe bien fournie mais non tressée, elle reste bien lice ce qui est étonnant puisque je ne suis pas dans la mesure de m'en occuper. Ensuite je n'ai pas grand chose à dire de plus vu que... je n'ai ni bras ni jambe.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
.....Je m'apparente plutôt à une personne calme et sereine. Je ne m'énerve que très rarement, en vérité, je ne m'énerve presque jamais. Peut être est ce due au fait que je ne vois pas grand monde. Je pourrais m'énerver pour ma condition actuelle, mais en vérité, lorsque l'on a mon âge, on commence à s'habituer à la condition dans laquelle on vit qu'elle soit bonne ou mauvaise, surtout si celle-ci dure depuis longtemps. Parfois je suis euphorique lorsque je lit des traités m'apprenant des connaissance parfois oubliés. Mais face à l’inintérêt de l'effet de mes découvertes sur mes amis mon euphorie a tôt fait de retomber. Je tombe parfois même dans une tristesse profonde lorsque je me rend compte qu'à mon âge ces connaissances sont peut être vaines.
.....À quoi bon avoir la connaissance si on va bientôt passer l'arme à gauche. Je n'ai personne à qui léguer mon savoir et personne ne voudrais m'écrire un livre. Parfois, lorsque je pense à ma vie je me dit que je n'ai connu que de brefs moments de joie et de tristesse, entrecoupés de long moments d’inactions. Je n'ai jamais réellement été très utile et cela m’attriste. Mon seul réconfort réside dans la note de fraîcheur que sont mes amis.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
.....Et bien, tout à commencé il y a maintenant deux cents quarante-sept ans. Je ne suis pas né dans une famille riche, je ne suis pas né dans une famille pauvre. Tout commença pour moi comme ça l'a été tout le reste de ma vie. De façon normale. Mes parents étaient aimaient. Ils avaient déjà bien cent soixante ans chacun. Mais ils m’aimaient comme tous les parents aiment leurs enfants. Et ils s’occupèrent très bien de moi. J'étais comme tous les nains, j’aimais les mêmes choses que tout les nains. Je restais définitivement dans la norme. À BaldorHeim je n'étais pas plus connu qu'un autre. J’affectionnais tout de même cette ville et ses habitants. Elle était hétéroclite et c'est ici que je rencontrais mes meilleurs amis qui n'étaient pas tous Nain. Je pense notamment à un Centaure, et à un Strige Noir. J'étais heureux ma vie s’écoulait comme tant d'autres, sans que je soit connu à travers le pays. Pourtant cela ne devrait pas rester ainsi. Tout commença à dégénérer autour de mes soixante dix ans. Je commençais à prendre de l'âge et mes parents moururent. Aux alentours de deux cent trente ans. Mon père mourut le premier, en tombant dans les escalier. Une mort bien triste, il mourut de hémorragie interne qui s'en suivit. Ma mère mourut moins d'un ans plus tard de chagrin. Je pleurais profondément leurs morts à tous les deux. Je me retrouvais à présent seul dans leurs maisons, à soixante dix ans.
.....Mon état de fatigue et de désespoir à ce moment là expliqua peut être pourquoi je me laissais embrigadé dans l'histoire saugrenu qui va suivre. Effectivement, quelques temps après leurs morts je me laissais embarquer dans une bande de fier nains qui n'avaient que pour but premier de se battre pour redorer le blason des nains. Tout cela face à notre ennemis héréditaire; les peaux vertes. Je m'engageais donc dans un groupe d'une trentaine de chasseurs de Troll. Ils étaient redoutables, Notre objectif était d'éliminer les patrouilles de peaux vertes. Seulement les soldats bien sur, parfois nous tombâmes mêmes sur certains qui pillaient des villages. À cette époque nous avions souvent l'occasion d'utiliser le dicton: «Hache qui tranche n'amasse pas rouille.» Les escarmouches étaient nombreuses et peu des nôtres tombaient face aux peau vertes, bien sur nous récoltions beaucoup de blessures mais nous savions les guérir. Je commençais à exceller dans l'art du combat. Je passais sept ans de ma vie à combattre dans cette troupe, nous finîmes même par rejoindre un Throng (armée naine d’une forteresse) de la Kazad la plus proche, nous venions tous de BaldorHeim, pourtant le dirigeant de la forteresse avait repéré notre efficacité. Je passais dix ans à combattre ainsi. Éliminant peau verte sur peau verte, parfois des maraudeur humain, il nous arriva même de croiser des Draw. Pourtant, un matin de la treizième année, notre camps fut réveillé plus tôt que d'habitude. En moins de deux minutes les soixante hommes composant notre troupe furent sur le pied de guerre. Une troupe de deux douzaines de nains approchaient. Une fois à porté de voie nous comprime qu'ils avaient été envoyés par l'ordre de Grimnir. Ils en portaient tous fièrement l'étendard. Il s'agissait de nains tueurs. Ce n'étais pas bon signe.
.....De par mes treize ans de service j'avais atteint un grade moyen, sans réaliser de haut fait, mais en étant toujours présent et prêt à combattre. De fait je fut convoqué dans la tente de commandement par mon supérieur pour écouter ce qu'ils avaient à dire. Un Dragon!!! Un Dragon avait été aperçu dans les environs et s'était attaqué au bétail et on le soupçonnait d'avoir incendié une ferme. Avant qu'il ne fasse plus de dégâts ils devait l'éliminer. Je vis alors le regard du capitaine s'illuminer. Et, estomaqué, je le vit proposer son aide à la troupe. Il voulait de la gloire, et pensait que nous pouvions nous mesurer au dragon. Je pensait que nous allions tous mourir, sans réelle peur, j'étais plutôt triste de voir mes chances de vivre vieux s’amenuiser ainsi, si brutalement. Le reste de la troupe sembla accueillir la nouvelle avec plus d'ardeur, ils étaient tous impatient de combattre la bête. Ainsi, cette nuit la nous bûmes pour nous donner du courage...
.....En plein milieu de la nuit je fut réveillé par les cris d'alarme. Je me réveillais lentement, j'avais trop bue. Je réussi à ouvrir les yeux, j'étais au sol, tout dansait autour de moi. J'étais dans une tente ou l'on entreposait arme et nourriture. Et les ombres vacillait, il y avait le feu, tout brûlait. Le dragon nous avait trouvé le premier. La créature magique avait du comprendre que nous n'étions pas là pour rien. Ainsi, je me relevais péniblement, la tente dans laquelle je me trouvais était en feu, je commençais déjà à suffoquer, pas après pas, j'avançais en titubant, je tentais d'enlever mon casque mais je ne pouvais pas. Je ne portais que le haut de mon armure, et mon bouclier était fermement encré à mon bras. À bout de souffle, je parvint enfin à l'entrée de la tente qui était un vraie brasier. Juste le temps pour moi de voir une aile immense filer ver le levant. Alors... la tente s'écroula.
.....Quelques jours plus tard je me réveillais dans la maison que j'avais quitté quelques années plus tôt. Étendu, je tentais de me relever, un vieil homme était endormi près de moi, sur un fauteuil. Je l'appelais, ma voie n'avait jamais été aussi roque, elle était très grave, même pour un nain. Il se réveillât en sursaut et me regarda fixement. Il était médecin. J'avais été démis de mes fonction de soldat. Et il m'appris sans tact que j'avais perdu tout le bas de mon corps ainsi qu'un bras à la suite de l'accident. L'autre avait été protégé par le bouclier mais étais très abîmé. Puis il partit.
Je fut banquier un certain temps, jusqu'à la perte de mon second bras quelques années plus tard, il ne s'était jamais vraiment remis. Ma vie depuis ce jour fut des plus morose. Attendant qu'un de mes amis vienne me voir, m'emmène une nouvelle œuvre à étudier ou admirer. D'ailleurs mes deux seuls véritables amis, un Stryge et un Centaure de BaldorHeim ne sont guerre en meilleure condition que moi. Mon seul moyen de déplacement étant un chariot tiré par une chèvre.
Mais... A-t-il un rêve?
.....Je n'ai pas vraiment beaucoup d'envie si ce n'est pouvoir faire quelque chose du peu de temps qu'il me reste. Peu être partir, ou revoir cette terreur qui a détruit ma vie monotone, pour la rendre plus ennuyeuse encore.