Rethe, le juste
Pseudo : Rethe
Âge : Adolescent
Classe/métier : Etude
Hobbies/activités : Faire enrager les gens.
Couleur préférée : Le rouge, la passion.
Opinion sur le forum : Bonne
Comment as-tu connu ce forum ? By SurmontezVotreHandicap.com
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Rethe
Âge : 30
Sexe : I like IT ! ("?" , Sexe indeterminé )
Race : Stryge Blanc, presque
Classe envisagée : Mage, photokinésiste
Ce qu'il aime : La vérité
Ce qu'il n'aime pas : L'injustice
Situation amoureuse : En rêve ?
Code du règlement :
Boute-en-train (validé par Dilon)
Un pouvoir particulier ? J'utilise mon troisième oeil pour utiliser la photokinésie. Ce pouvoir est dirigé par la justice. Si une personne est mauvaise, mon oeil s'ouvrira plus ou moins (Si la personne est plus ou moins mauvaise elle se fera plus ou moins défourailler).
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Je ressemble à un stryge normal quoi, j'ai une aile, une jambe, trois yeux. Je dispose d'un monocle sur mon troisième œil duquel je ne vois pas très bien, car il est souvent à moitié fermé. Depuis petit j'ai un problème de vue. Le passage dans les mines durant mon enfance ne m'a pas trop assisté dans mes capacités visuels. J'ai une tête assez grosse, toujours avec un chapeau haut de forme, solidement attaché. J'ai également une double chaîne en argent autour du coup.
J'ai un bâton de marche, même si mon aile peut remplacer ma jambe manquante. Je préfère à présent utiliser ce bâton offert par la guilde des mages.
Ma musculature n'et pas très prononcé. Je suis très sec, limite squelettique. Mais cette apparence, ne me dérange guère. L'on peut même dire que je m'en fiche et que je ne suis plus à ça près.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
Je pense à mes amis, que pourrions nous faire pour que je puisse dévoiler la vérité aux stryges et qu'ils la prennent en compte. Aider Tungdil à se sortir de sa routine. Je pense à toutes les instructions de la vieille Naga à propos de l'alchimie. À toutes mes anciennes créations, bijoux, armures, armes, j'aimerais refaire tout ça. Je me demande également comment pouvoir améliorer la guilde des mages. Elle aurait besoin de neuf. D'être mieux mise en avant. Les mages sont puissant et disposent de beaucoup de connaissance. C'est pourquoi ils doivent aider la justice en ces périodes obscurs.
Il me faut également avancer mon ouvrage sur cette contrée. Même si elle me parait fort sympathique et que je n'ai pas envie d'en partir. Mais avec mes deux amis cette séparation sera plus simple.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
......Je suis Rethe, voici mon histoire.
......Je suis né une nuit de grands froid. J'avais deux ailes, deux jambes, deux bras, seule ma tête était un peu spéciale hormis sa taille assez imposante, je disposais de trois yeux, ce troisième œil restait clos. Mes ailes commençaient à se développer tardivement. Remarquez elles ne m'auraient pas été d'une grande utilité. Une d'entre elle me fut dés mon plus jeune âge.
Après quoi je fus jetais dans la mine aux "entaché" alors que je n'avais que cinq ans, je n'avais donc pu commettre aucun crime. Je travaillais de la même manière que les autres. Malgré mon jeune âge, je n'étais pas épargné. C'est surement grâce à cette période sombre de ma vie que je n'ai jamais eu peur de l'obscurité. Mon précepteur de la mine était un nain il ne faisait que m'indiquer qu'elles actions effectuer. Il me surveillait, en quelque sorte. Je travaillais chaque jour pour ne pas subir de châtiments supplémentaires. Pendant ma douzième année je perdis ma jambe sous un éboulement, heureusement un vieux nain me vint en aide. Il est mort peu de temps après. À douze ans je fus retiré des mines sous ordre du Purificateur qui avait entendu parler de mon cas et qui se rendit compte de l'injustice de mon bannissement.
......Je finis à l'orphelinat. Tomber de Charybde en Scylla. Cette expression prenait tous son sens. L'Orphelinat était certes une période beaucoup moins exténuante pour le corps. Mais les moqueries et la malices des autres enfants étaient traumatisante. Dans cet orphelinat je me fis traiter comme un moins que rien. Les enfants se jouaient de moi tandis que les adultes éprouvaient plus de la pitié qu'une quelconque compassion. Les prêtres stryges de l'orphelinat tentèrent de m'initier à leurs doctrines. J'avais beaucoup de mal à saisir les principes de leurs rituels. Mais ces gens semblaient bon, ils prônaient des valeurs que je jugeais déjà comme juste. À l'orphelinat nous faisions également des travaux manuel. Dans lesquels j'étais assez doué, malgré mon handicap. J’excellais même dans les métiers, dit Kazhariens (forgeron d'arme, d'armure, fusion d'armes). Pour mes seize ans je sortais de l'Orphelinat. Une libération. La doyenne me toisa du regard avant de me laisser partir en me donna une lettre cacheté.
" - Cette lettre m'a était donné peu de temps après que tu sois arrivé à l'Orphelinat. J'avais pour consigne de ne jamais la lire et de te la donner quand tu serais prêt. Je pense que le moment est arrivé. Bonne chance Rethe. La vie n'est pas un long fleuve paisible. "Je lui retournais un regard sympathique.
° Si seulement tu t'inquiétais des enfants à l'orphelinat leur vie serait bien paisible. °Malgré tout je ne lui en voulais pas. Je n'en voulais à aucun d'entre eux. J'étais plus attristé qu'en colère.
" - Merci madame. Bonne continuation. Veillez à la bonne santé des enfants présents. La vie d'un enfant n'est pas toujours simple.""Papa et Maman"
......Dans cette lettre était indiquait mon vrai nom, la raison de mon bannissement et de mon amputation. Il y avait également au verso, une inscription gribouillé à la dernière minute, que je ne peux laisser dans cet ouvrage. Je vous en expliquerai d'avantage, si vous me rencontrez un jour. Je ne comprenais pas encore l'ampleur de cette information. Je gardais cependant cette lettre pour moi et n'en informais personne, comme me préconisaient mes parents dans celle ci. Pour mes dix-sept ans je postulais à l'armée, dés qu'un des recruteurs me vit et comprit l'ampleur de mon handicap physique que je dissimulais tant bien que mal. Il me fit signe de faire demi tour.
L'armée n'était donc pas faites pour moi. Dans le courant de la même année, j'ouvris un commerce. C'est à ce moment que je pus me spécialisé dans les fusions d'armes. Les Kazhariens tentèrent de m'enrôler mais je refusais leur offre pour une raison qui s'atténuait peu à peu mas je n'étais pas encore prêt. Ma peur du groupe. Je mettais l'idée de rejoindre les Kazharien de côté. À quoi ils me répondirent par une interdiction de pratiquer mon métier en m'accusant de concurrence déloyale. Cette accusation m'amusa dans un premier temps. Sauf quand un juge de la chambre des métiers la considéra comme recevable. Je n'avais donc pas d'autres choix que de fermer boutique.
......À dix-neuf ans j'entrais dans une milice de commerçants. Le système était simple nous défendions les commerçants face à d'éventuels attaque, ou du moins resté en groupes assez conséquents afin de dissuader d'éventuels brigands. À mes vingt ans notre compagnie de commerçant prépara une expédition dans le but de vendre nos créations dans de nouvelles contrée nous quittions donc la tour blanche. Nous partions en direction de Stellaraë, vers l'Ouest.
......Nous avions chacun deux mules, afin de transportait la totalité de nos marchandises. Nous ne passions pas inaperçu. Mais le nombre et l'armement de certains d'entre nous dissuadaient les voleurs. Des potentiels agresseurs ne pouvaient savoir que nous ne disposions pas d'entrainement adéquat pour résister à une attaque organisé. Nous avions franchis les montagnes du Baldor sans difficultés. La tête de file connaissait bien la région, ce qui nous rendait la tâche bien plus aisé. Nous étions à présent dans la foret de sapin, il faisait certes plus tempéré que dans les montagnes mais une impression de froid nous mordant le visage, et, toute partie découverte de notre corps était persistante. Les nuits restaient très froides. La compagnie était soudé, voir une si belle entre aide dans un groupe me débloquait beaucoup je m'ouvrais plus facilement à la discussion. Je ne quittais cependant jamais mes mules. Ne pouvant plus effectuer de fusion d'armes je m'étais reconverti en forgeron, orfèvre.
Je confectionnais de nombreux bijoux et de temps en temps des armes ou armures s'ajoutaient à mes créations. C'est avec mes plus belles œuvres, selon moi, que j'avais chargé mes mules. Nous levâmes le camp dés l'aube, la foret était relativement sombre, et silencieuse. Les animaux nous évitaient. Mon aile sur laquelle je m'appuyais, pour remplacer ma jambe, était branlante ce matin là. Nous nous arrêtâmes après une courte marche afin de resserrer les selles des mules, une d'entre elles était tombé. J'allais vérifier la seconde selle, quand tout à coup, un cri de barbare retentit à mes côtés. Je me relevais aussi rapidement que mes membres me le permettaient. Puis je retournais au sol aussi sec. Il m'avait décoché un crochet. Subitement un mal de tête se déclencha. Ce mal ne venait pas uniquement du coup que je venais de recevoir, ce mal était plus profond. Plus violent. Je sentais les muscles de mon front se tendre. Le temps était comme ralentit durant ma chute. Les muscles se bandèrent, une forte chaleur émanait de mon troisième œil. Je n'étais pas encore tombais au sol, j’analysais la situation le temps était comme suspendu, ma chute s'effectuait très lentement. Dan un dernier effort les muscles de mon front se contractèrent, mon œil s'ouvrit.
Un rayon lumineux s'en échappa et se dirigea droit vers mon assaillant. Il fut percuté de plein fouet, au même moment mon corps tomba lourdement sur le sol. Le temps repris son cours au même moment. Mon ennemi fut projeté contre un arbre. Ses acolytes s'enfuirent apeurés. Pendant un instant je crus que ma compagnie allait les talonner, tant la peur se lisait sur leurs visage maintenant pâle de stupeur. Mais un de nos dirigeant pris rapidement les devant.
" - Rethe, sais tu ce que tu viens de faire ?"Je lui répondis par une négation de la tête. J'étais encore sous le choc, je me tenais la tête.
" - Tu viens de tuer un innocent. Je m'en doute, tu n'en avais pas l'intention. Je ne sais même pas si c'est toi qui a vraiment contre attaqué ce brigand, ou si c'est seulement une punition divine. Mais tu connais tes antécédents, tu ne pourra pas rentrer à la tour. De plus avec cet œil violet. Tu serais envoyé dans les mines."Je compris qu'il ne servait à rien de discuter, il avait raison. Je m'inquiétais de mon œil qui me brûlait, c'était la première fois qu'il se revendiquait et les conséquences en étaient désastreuse. Le stryge me prépara une mule pour que je puisse me séparer de la caravane. Il me conseilla de partir au Nord et me souhaita bonne chance en me donnant quelques provisions.
......J'avais vingt ans, je vivais dans une cabane. J'habitais en lisière de forêt, proche de la fôret de Cashlippe. Ici j'étais loin de tous stryges susceptible de me connaitre. J'appris les principes d'alchimie auprès d'une vieille Naga. Elle squattait dans mon habitation depuis qu'elle était passé dans le coin. Elle m'apprenais les base d'alchimie et m'aidait à agrandir mon logis, en échange je faisais la cuisine, certes une cuisine médiocre mais nourrissante. Elle s'était exilée il y a bien longtemps. Selon elle, la C.O avait mit un contrat sur sa tête pour faire un "entrainement". Je ne savais pas quoi en penser mais mon instinct me disait qu'elle avait un bon fond. Elle me montrait comment confectionnait des poisons mortel et leurs remèdes. Mais également des potions à effet bénéfique pour le corps. Qui étaient quelque fois plus proche de drogues que d'alchimie. Elle me mit en garde contre l'alchimie.
" - Sache que la potion ne dépend pas que des ingrédients, elle dépend également de qui l'a fait."Elle goûtait donc toutes ses potions, avec des remèdes très puissants à cotés d'elle, en cas d'accroc. Je n'ai jamais réussi à produire le moindre poison, même en mélangeant les plantes qui étaient habituellement toxiques, cet attribut ne faisait que rendre les préparation absolument infecte. Beth, Elizabeth de son vrai nom, la naga, se rendait souvent à la ville pour nous réapprovisionner en verrerie. Il faut avouer qu'entre sa parkinson et mon novisme en la matière, il n'était pas aisé de garder nos instrument fragile plus d'un semaine. Je m'amusais bien à ses cotés, malgré notre différence générationnelle.
......À mes vingt trois ans je décidais de partir arpenter Duralas. Qu'est ce qui m'avait soudain donné cette envie de changement. Beth était morte un mois plus tôt. Je l'avais enterré dans les conditions que nous avions convenu. Elle avait senti son heure venue. À présent je me sentais, profondément seul dans cette région. Je repartirais dan l'Ouest de Duralas peu m'importais de croiser de stryges, de toute façon après trois années ils avaient dut oublié mon histoire. Pendant ma vadrouille je fis quelques rencontres. Les gens me semblaient beaucoup plus sympathique à mon égard. Ce n'était plus de la pitié ou du dégoût dans leur regard.
Ils me regardaient comme une personne normale. Je me sentais à l'aise avec eux. Surtout avec un certains sage qui m'appris l’existence d'une guilde de mage. Ce qui m’intéressa beaucoup afin de pouvoir maîtriser mon œil. J'arrivais à la guilde. Les gens semblaient fort intéressants. Certains me semblaient surpuissants. Après une longue discutions avec un des membres, ils m'acceptèrent parmi eux. Je travaillais ma magie à leurs cotés un certains temps. Je finançais ma vie par quelques création que j'effectuais en compagnie d'un forgeron fort sympathique.
L’institut souhaita m'assigner une expédition. Je devais partir dans le Nord. M'habituais à la zone, en apprendre plus sur cette contrée et leur ramener un récit relatant les mœurs des population nordiques et décrivant les créatures. J'acceptais la mission avec joie. Je connaissais déjà la zone et cette excursion me permettrais de me sociabiliser. J'en avais grand besoin même si le temps passé avec les mages m'avait beaucoup apportait. Je fis donc mes bagages pris quelques provisions. Avant de partir un des membres m'offrit un bâton de marche.
" - Il permet d'augmenter l'énergie magique de son possesseur. Bon il n'est pas d'une grande efficacité, mais c'est un début. "Je le remerciais et le serrais dans mes bras. Après quoi je pris la route, fier que des gens m'accordent leur confiance.
......J'avais traversé le désert, une partie des plaines d'aran. Je souhaitais m'établir à Kastallin. Je souhaitais renouer avec la civilisation. En supposant que les gens m'apporteraient beaucoup de connaissances sur les mœurs et l'ambiance locale. De plus j'avais facilement obtenue une habitation. Après seulement quelques jours dans la ville j'avais déjà rencontré deux personnes ayant eux aussi une déficience physique, mais ils étaient fort sympathique. Depuis nous nous voyons souvent, ils se nomment Tungdil et Norich. Nos aventures seront magnifiques et ne seront jamais ralenti par nos handicaps.
Mais... A-t-il un rêve?
Que les gens soient aimant les uns envers les autres et dévoiler mon appartenance.