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     Dodelinant la poutre de soutènement qui lui servait de corps, l’explorateur entra dans la mine de cuivre. Puis, il se rappela que les tunnels habituels n’étaient plus desservis puisque les excavations avaient repris plus loin. Thorek jura alors lourdement contre lui-même et fit le détour nécessaire pour atteindre une zone digne d’intérêt.

     Se laisser aller à des habitudes avait parfois du bon, le temps passait plus vite en un sens alors que l’esprit vagabondait tandis que le corps répétait les mêmes mouvements, encore et encore. Mais cela pouvait aussi vous perdre alors qu’il fallait changer d’endroit justement.

     Quelques minutes plus tard, le nain arrivait enfin sur un des filons qu’il avait repéré quelques semaines plus tôt pour ses collègues. Et Marguerite se mit à chanter de sa voix rocailleuse, comme à son habitude.

J’étais de nouveau en pleine mine, comme à l’époque. Il fallait dire que cela se faisait de plus en plus rare, car j’étais trop souvent en train d’exécuter un contrat pour la Congrégation, accomplir une mission pour le compte de la Matriarche ou en train de me vider la tête et autre chose avec mes compagnons et compagnes de chambre. C’était donc avec un certain plaisir que je me replongeai dans ses dédales de pierre, armé de ma pioche et de ma torche, profitant de la pénombre des lieux et de la tranquillité. Je prenais souvent le coin de la mine le moins fréquenté, d’une part car c’était souvent là qu’on trouvait le plus de ressources, et d’autre part car il n’y avait personne pour venir troubler ma solitude. J’aimais bien le contact des gens, mais parfois être un peu seul ça faisait du bien.

« Tu as tendance à oublier que je suis là, moi, mon frère. »

Ta présence à toi ne me dérange pas, Nalph.

En effet, quand je disais seul, c’était sans compter sur l’omni-présence de Nalphégius, mon jumeau, à qui j’avais grâcieusement offert un corps pour abriter son esprit, son ancien corps ayant été détruit à force de s’enfoncer toujours plus loin dans ses recherches en magie noire. Mais cela ne me dérangeait pas outre-mesure, après tout j’avais vécu toute ma vie avec mon frère et nous avions toujours fait les quatre cents coups ensemble, au grand dam de nos parents qui auraient préféré avoir des enfants plus discrets et obéissants.

« Au diable ses déchets qui se disent être « nos parents » »

Je te le fais pas dire, Nalph.

Ils n’avaient jamais daigné nous accorder plus de temps que nécessaire, ni même s’enquérir de notre santé et de nos problèmes. Le terme de « géniteurs » aurait sûrement été plus correct, même si j’avais encore des nouvelles de temps à autre. Nalph, lui, avait souhaité garder le secret de notre fusion et ne pas en parler à nos parents. Choix que je respectais, et qui aurait de toute façon trop fait jaser pour que ça soit productif de leur révéler.
C’est en repensant à toutes ces choses auxquelles je ne pensais pas assez souvent que je finis ma journée de minage, bien content que la tranquillité des lieux me permette de penser à autre chose que le futur contrat que j’allais exécuter. Même si penser à la prochaine personne qui aura la chance d’être étripée par le Fantôme Sanglant m’ôtait toujours un sourire sadique de satisfaction.

Le vent mordant qui refroidissait l’atmosphère n’empêchait pas les mineurs d’aller et venir des mines. Shaoni se joignit à c’est aller et venu pour entrer dans une des mines de cuivre. Cela faisait un moment qu’elle n’était pas entrée dans une mine et sa bourse avait eu le temps de se vider lentement. Il était temps qu’elle vienne pour gagner quelques pièces. Au moins, sous terre, la djollfuline était à l’abri du vent, rendant l’atmosphère plus agréable qu’à l’extérieur. La luminosité n’était pas beaucoup plus basse qu’à l’extérieur, grâce à l'heure tardive et les épais nuages qui cachaient le soleil.

Shaoni s’aventura plus loin dans la mine, à la recherche d’un bon endroit ou miner. Les mineurs étaient moins présents aujourd’hui, certains devaient sûrement être repoussé par le froid et le vent. Mais il y avait comme toujours quelques mineurs courageux, soit par passion ou par besoin d’argent certainement. La jeune djollfuline avait décider de ne pas laisser le froid l’empêcher de venir aujourd’hui, même si elle n’appréciait pas le froid. Elle finira bien par se réchauffer à l’intérieur des mines en se mettant rapidement au travail.

Rapport de récolte :

Thorek gagne 20 minerais de cuivre. Il remporte aussi 1 saphir.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Valphégas gagne 20 minerais de cuivre ainsi que 5 points de métier. Il remporte aussi 1 rubis.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Shaoni gagne 20 minerais de cuivre ainsi que 5 points de métier. Elle remporte aussi 1 émeraude.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Garzvorgh gagne 20 minerais de cuivre ainsi que 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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     Les teintes orangées de la mine de cuivre accueillirent chaleureusement Thorek et sa lanterne, comme à leur habitude. Mais cette entrée ne provoqua qu’un soupir longuet chez le nain. Il fallait dire qu’il n’aimait qu’assez peu travailler le cuivre. Un métal mou, facilement trouvable et qu’il n’utilisait que très peu lui-même en fin de compte. Il n’y avait bien que les technophiles pour lui trouver le moindre intérêt à son avis.

     Mais une tournée était une tournée et le nain partit nonchalamment récoler le quota habituel.

     Alors que Marguerite, son fidèle outil de travail, se mettait à l’œuvre sur un filon déjà entamé par d’autres, le nain se mit à espérer qu’il trouverait mieux sous le métal cuivré. C’était futile bien entendu, mais il fallait parfois se motiver pour compléter des tâches ennuyeuses au possible.

     Une fois arrivé au bout de sa récolte, l’explorateur roula des yeux. La chance du mineur n’était pas venue cette fois-là non plus. La prochaine fois peut-être ?

Rapport de récolte :

Thorek Sveresson récolte 20 minerais de cuivre.

Commentaires sur le RP : Rien à dire, à bientôt dans nos mines

Cela fait plusieurs jours que je suis partie de Baldorheim, je suis en pleine forêt et à ce que l’ont m’a dit pour atteindre la ville humaine je dois d’abord traversé un immense désert… On m’a mis en garde sur le fait qu’il est dangereux de le traverser tous seul, mais bon… je pense que ça devrait aller, je ne suis plus aussi faible qu’avant et mon voyage initiatique ne fait que commencer.

*HS : Je me remémore ma dernière descente dans les mines avant mon départ *

Pour préparer ce petit voyage, je fis un dernier tour dans la mine de cuivre pour essayer de me faire un peu plus d’argent avec la revente des minerais.
Quand j’y repense… j’ai trouvé un magnifique filon, dommage que la galerie ce soit écroulé avec la moitié de mon butin dans celle-ci.  Mais bon, restons positifs, j’ai pu en récupérer une partie.
J’ai trouver cette galerie par pur hasard, j'allais dans mon coin habituel et je vis un peu de fer, il ne m’intéresser pas plus que sa de le prendre, car il n’y en avait même pas pour cent pièces de cuivre. Mais je le pris quand même, c’était toujours ça.
Quand je commençai à frapper de ma pioche la paroi rocheuse, j’entendis comme un son creux, je trouvai ça étrange, il devait y avoir une petite cavité. En gros le morceau de fer que je voulais extraire devait être encore plus petit que ce que je pensais.  
Je frappai un énorme coup et là, un pan de mur entier s’écroula dans un petit couloir étroit.
On ne voyait pas bien loin dans sa pénombre ambiante.
Intriguer, je sortis une torche de mon sac, l’alluma et je m’engageai dans la cavité.
En faite le couloir n’était pas bien long et faisais à peu près la taille d’un nain et sur tout le long, des poteaux tenais les murs et le plafond, je n’osai pas les toucher de peur qu’ils ce cassent vu le temps qu’ils ont dû rester ici sans être entretenus, une vielle galerie abandonnée en somme.
Elle déboucher sur une grotte et un vieux panneau métallique rouillé par le temps avertissait d’un danger de mort, mais il était tellement vieux que la moitié des écritures qui devais être présente dessus étaient illisible donc je ne savais pas quel étais le danger qui me guettait.
Je m’engageai quand même dans la grotte tout en surveillant bien chaque recoin sombre.  
J’attrape une pose torche murale de mon sac et le fixe sur le mur juste à côté de la sortie et y met ma torche, au moins je saurais par ou fuir si je devais y être contraint.

Je sortis une seconde torche et je l’allumai. J’avançais prudemment et vis que les murs, le plafond et le sol étaient recouverts entièrement de cuivre, fou de joie j’ai commencé a fracassé mon outil d’extraction partout ou je pouvais extraire de gros morceau de ce métal précieux sans faire attention  a l’énorme galerie dans le fond de la grotte d’où provenait un courant d’air.

* clig clig clig clig clig clig *

Je frappai tout ce que je pouvais. Mais c’était sans me douter que quelque chose m’observé depuis plusieurs minutes. Ce n’est que lorsque cette créature me sauta dessus alors que j’avais le dos tourné que je sus quel était le danger de mort présent dans cette galerie.

Un Duggueur, heureusement mon odorat me permit de la sentir venir, car je pus l’esquivé sans difficulté, mais ce qui me faisais le plus peur c’était de savoir s’il était seul ou si d’autre étais dans le coin.
Cette taupe gigantesque et ses semblables doivent utiliser cette grotte pour une raison que j’ignore, et ce, depuis plusieurs de leur génération.

Je regarde tout autour de moi, hume l’air, mais je ne sens l’odeur que de cette bête monstrueuse.
Je cherche du regard ou est la sortie, je jeter un œil la ou j’ai laisser les deux sacs de remplis de cuivre, je ne pourrais en récupérais seulement qu’un , car je ne pense pas pouvoir revenir dans cette petite grotte de sitôt.  
Je décide de me transformer en loup, je cours jusqu’au sac, j’en attrape un dans ma gueule et j'essaie tant bien que mal à le projeter sur la créature pour faire une petite diversion.
Elle prend le sac en pleine face et hurle, je ne sais pas si c’était de douleur ou de colère, mais suite a mon geste elle commença a me charger, j’attrapai le second sac et fonça vers le conduit.
En forme de loup j’arrivai très vite a celui-ci, mais le sac de minerais aller être gênant, je me mis à l’envers pour le tiré et non le poussé.
À peine rentré dans le conduit, la taupe elle, commença a fracassé la paroi de ses griffes acérées, je vis tout autour de moi que le bois qui commencer a fissuré ainsi que la roche, je fis un ultime effort et je me retrouvai enfin dans la galerie principale. Je vis le plafond de cette petite galerie s’effondrait, mais j’entendais toujours le Duggueur qui essayer de passer, je n’attendis pas et pris mes jambes a mon cou et couru vers la sortie.
Une fois à l’extérieur, je continuai mon chemin, jusqu’à ce que l’adrénaline soit retombée et que je m’écroule de fatigue.
Une fois reposé, je rentrai en ville et me garda bien de raconter cette histoire.


Fautes d'orthographe

Fautes :

Rapport de récolte :

Verrücter Wolf gagne 20 minerais de cuivre, 5 points métier et 5 autres en bonus.

Commentaires sur le RP : Courage ! Tes fautes sont surtout dues à des accords : "je suis partie" qui devrait être "je suis parti " ou aux verbes du premier groupe utilisés comme participe au lieu d'infinitf : "je dois d’abord traversé" qui devrait être "je dois d’abord traverser" (remplace le verbe par un du 2è ou du 3è groupe comme finir). À bientôt !
Tu passes Compagnon et tu peux miner du minerai d'argent.

En plein désert

Plusieurs jours sont passés depuis que je suis rentré dans le désert, je dois bien l’avouer, je penser m’être bien préparé… je le penser juste.

Pas assez d’eau, pas assez de nourriture, je devais me rationaliser pour ne pas mourir comme un idiot de faim ou de soif, pour l’eau, je suis plutôt content qu’entre la nuit et le jour la température baisse drastiquement, car cela me permet à l’aide du couvercle en métal d’un récipient que j’aie avec moi de faire condensé l’eau qui s’échappe des entrailles du sable encore chaud pour former des gouttes a sa surface pour ensuite la récupérer, sa ne me fait que peu d’eau chaque nuit, mais heureusement c’est suffisant pour que je puisse tenir.

Mais ce désert n’est pas du tous mort, nombres de caravanes y circulent, mais tout est relatif, le désert est quand même immense donc il est quand même rare d’en croiser une de prés.
De plus l’un des caravaniers m’a proposé un travail temporaire de garde du corps en échange de nourriture et d’eau sur le temps de trajet que je ferais avec eux, j’ai de suite accepté l’offre, mais rien n’est arrivé. Mais avant que nous nous séparions, il m’a offert une gourde et quelques rations.
Ce genre de personne ne doit pas courir les rues de ce monde.

J’ai aussi pu observer une faune plutôt… vivante et agressive pour certaines espèces comme les requins des sables, j’en est vu quelques-uns en train de coursé un cheval tout seul, il avais du s’échapper d’un campement.
Et quand ils l’ont attrapé, même de loin ce n’était pas beau a voir, le cheval ce faisais dévoré vivant, j’entends ses cris de la ou j’étais, le sang commencer a former une flaque dans le sable tellement il ce vider, c’était une vision atroce comme magnifique, mon côté loup-garou aime le sang, mon côté elfe-nain moins, mais sa vue ne me dégoutte pas.

Je marchai encore quelques jours et je finis par atteindre la ville Humaine au centre de ce désert.

Rapport de récolte :

Verrücter Wolf gagne 20 minerais de cuivre, 5 points métier et 1 rubis.

Commentaires sur le RP : On sent l'amélioration, continue comme ça !

Du cuivre, du cuivre et toujours du cuivre

Continuellement en manque d’argent pour acheter mes futures pièces d’équipement, je vais miner, faut bien que je gagne ma croute.

La mine vers laquel je me dirige est peu fréquentée, car vieille et dangereuse à cause de sa vieillesse, mais il suffit de faire attention et tout devrais bien se passer.

Je rentre dans celle-ci dans l’optique de trouver du minerai d’argents, mais c’est sans compter que je n'en trouve pas, étant donné qu’elle a du être vidé de font en comble, je décide donc de m’enfoncer le plus loin possible pour trouver un coin inexploré, je sors une torche pour éclairé mes pas et avance.

Après de longues minutes de marche, je trouve enfin un filon, mais ce n’est que du cuivre, je me contenterais de sa, il y a en plusieurs sur tout le long de ce couloir.

Je sors ma pioche et frappe la paroi, des morceaux se décrochent de celle-ci et je m’empresse de les ranger dans le sac.
Je continue de piocher pendant plusieurs heures jusqu’à ce que mes bras soient fatigués, j’ai extrait une bonne quantité de cuivre. Je reviendrais finir le travail un autre jour.

Je sors, c’est la fin d’après-midi, je rentre donc en ville.

Rapport de récolte :

Verrücter Wolf gagne 20 minerais de cuivre, 5 points métier et 1 rubis.

Commentaires sur le RP : Félicitation pour ton abnégation, tu passes Expert, tu peux désormais aller miner l'or !

Aujourd’hui j’avais pris une décision. Cela faisait une paye que je n’étais plus allé aux mines, surtout parce que je considérais ne rien gagner à aller casser du caillou si ce n’est un peu de force physique. J’avais donc réfléchi à une idée pour rendre l’activité attrayante, et je trouvai finalement quelque chose, avec les conseils avisés de Nalphégius : j’allais me grimer et cacher mon identité pour m’en fabriquer une toute nouvelle lorsque je travaillerais avec les mineurs. M’entraîner à être quelqu’un d’autre, bien que je sois déjà fort doué dans le domaine, ça allait m’être utile pour mes projets futurs.
Enfilant donc ma tenue de mineur salie pour l’occasion, mon casque plein de poussière, mes bottes crasseuses, je me mis face au miroir tout en sortant le matériel de grimage que j’avais acheté il y a peu : quelques coups de charbon noir par-ci, quelques coups de fond de teint sombre par-là, et me voilà un tout nouvel être !

J’étais désormais Physias, humain de la trentaine, baldorheimois de souche, froid et peu bavard. Il dénotait tout à fait avec Valphégas, le bel éphèbe rieur et enjôleur, mais cela me permettait de parfaire mes techniques d’infiltration.
Le premier jour, je pris quelques heures pour aller m’inscrire au registre sous le nom de Physias, d’une écriture peu assurée et plus proche du griffonnage que de la réelle signature. Je pris également la peine d’effacer Valphégas. Savait-on jamais, si quelqu’un m’envoyait une missive pour me rappeler mes obligations.
J’attendis ensuite quelques minutes avant d’être expédié avec un groupe dans un des filons de cuivre. La matinée fut assez ennuyante : je fis mon boulot et joua mon rôle de mineur un peu rustre, n’adressant la parole qu’à trois reprises, en utilisant à chaque fois une interjection ou un unique mot. Mes camarades, comprenant qu’ils étaient tombés sur un taiseux, ne firent pas plus d’effort, pour commencer en tout cas. L’après-midi, l’un des plus extraverti, un jeune abyssal svelte nommé Almir, vint me trouver pour essayer de faire plus ample connaissance, malgré mon semi-silence. Je lui fis comprendre, par bribe, que je n’avais pas besoin de compagnie, mais que s’il insistait pour savoir, j’étais un baldorheimois pur souche et sans famille. L’entretien se finit alors, comme la journée, et je rentrais satisfait de la première impression que j’avais donné. Décidément, c’était grisant de jouer un personnage.

Rapport de récolte :

Valphégas gagne 20 minerais de cuivre ainsi que 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Félicitations, tu passes Compagnon et tu peux maintenant aller miner l'argent.

Elle avait entendu que le cuivre se vendait encore mieux que le fer alors qu’elle venait de vendre le propre fer qu’elle avait récolter, alors sans hésiter elle se dirigea cette fois vers la mine de cuivre. Une fois arriver devant la mine, elle s’enfonça, sans un instant de réflexion, dans les ténèbres de la mine, pioche à la main.

En s’avançant pour trouver un endroit ou miner, elle croisa un sac remplis de cuivre alors qu’il n’y avait pas de mineur à proximité à priori. Cela la fit réfléchir, elle ne voulait pas vraiment perdre son temps dans les profondeurs de la terre aujourd’hui. Peut-être qu’elle pourrait simplement prendre ce sac et repartir… La djollfuline se reprit un instant après, ce sac appartenait à quelqu’un, même si celui-ci était négligeant elle n’allait pas le voler.

Shaoni détourna le regard de ce sac et parti rapidement avant de se laisser tenter, elle comptait bien travailler honnêtement pour avoir quelques pièces d’or.

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    Alors qu’il arrivait dans la mine de cuivre, Thorek remarqua que cette dernière n’avait pas tant changé que cela. Certes, il détectait de temps à autre le passage d’un autre mineur dans la poussière ou l’absence d’un filon qu’il avait préalablement marqué sur ses cartes, mais sans plus.

    Il fallait croire que l’excédent de cuivre à l’hôtel des ventes continuait de faire fuir les mineurs. Quel était l’intérêt d’aller s’échiner à extirper ce minerai s’il n’était pas utile à la société marchande ? Et il restait la crainte qu’un jour on leur refuse tout aussi net le moindre achat de cuivre car les entrepôts seraient pleins !

    M’enfin, pour le moment, cela se vendait et c’était une raison suffisante pour Thorek qui ne souhaitait que reprendre des activités de minage en cet instant. Marguerite, son fidèle outil, siffla donc dans les airs pendant quelques minutes, accompagnant le sifflotement d’un nain guilleret.

Aujourd’hui, le temps était froid. Un froid que Shaoni n’appréciait pas. Elle ne savait pas si c’était dû au fait qu’elle était habituée au temps chaud sur les terres djollfulines ou si elle avait été marqué profondément par la traverser de la banquise même si elle n’était qu’une jeune enfant. Elle supposa que les deux contribuaient à cela. En tout cas, elle se réfugia dans les profondeurs de la terre dans une mine de cuivre, pour retrouver l’air chaud qu’elle préférait même si l’air dans les mines n’était pas l’air le plus pur qu’on pouvait trouver.

Elle en profita pour miner un peu de cuivre. Quelques pièces d’or étaient toujours le bienvenu après tout. L’effort la fit rapidement transpirer, mais cela ne l’empêcha pas de continuer de long heure durant.

Rapport de récolte :

Shaoni gagne 40 minerais de cuivre, 10 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Thorek gagne 20 minerais de cuivre.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Garzvorgh gagne 20 minerais de cuivre et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Cette fois, Shaoni entra dans la mine en même temps qu’autre artisan mineur. Elle ne le connaissait pas et les seules fois où elle avait déjà pu le voir étaient lorsqu’elle vendait ses minerais. Alors qu’elle continuait à descendre sous terre, elle se demanda si elle devait engager la conversation. Cependant, ce fut l’air grognon qu’il affichait depuis qu’elle l’avait croisé qui l’en dissuada. Peut-être l’occasion se représentera-t-elle.

Ce fut donc en silence qu’elle commença à miner. Son esprit seulement consacré sur la tâche qu’elle s’était donné. La djollfuline fut surprise quand elle s’arrêta enfin et constata que l’autre mineur était déjà parti. Sans se préoccuper de cela plus longtemps, elle repartit à son tour en direction de la sortie de la mine, avec son minerai nouvellement acquis.

Rapport de récolte :

Shaoni récolte 20 minerais de cuivre et gagne 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : À bientôt pour de nouveaux minages !

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     En arrivant dans la mine de cuivre, bien plus calme que la précédente, Thorek se fit la remarque que si le fer était très demandé ces derniers temps, le métal de ces lieux ne déméritait pas.

     Les stocks étaient gargantuesques, certes, mais on en consommait de temps en temps d’après les ventes. Et c’était bien souvent quand on pensait qu’une ressource était inépuisable qu’elle finissait par disparaître encore plus vite. Donc, autant ne pas la négliger par prudence en somme… Surtout que ça rapportait toujours plus que le fer.

     Une paroi fut trouvée, une pioche fut brandie, du minerai fut récolté, un dos fut malmené et une croix fut ajoutée sur une carte. Au suivant, la routine n’attendait pas.

Rapport de récolte :

Thorek gagne 20 minerais de cuivre.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !