Dagan tapotait le pierre avec sa pioche. Drôle de bruit. Pas le même qu'avec sa pelle. Ca le perturbait. Mais Dagan retroussa ses manches et se mit à la tâche : un vrai homme ne connaissait nulle peur lorsque aucun ennemi n'était présent.

Il dut toutefois revenir rapidement sur sa résolution quand, plusieurs heures plus tard, il n'avait même pas extrait assez de minerai pour s'offrir une chambre et un repas ce soir là. Même s'il possédait une grande force, il trouvait une motivation certaine en exerçant son métier de fossoyeur ; mais là, creuser de la roche ? Vraiment ? Il n'y avait foutrement rien d'intéressant dans l'exercice si ce n'est la paie. Au moins lorsqu'il enterrait des personnes, il pouvait taper la discute avec les fantômes. Là c'était juste.... chiant.
D'autant plus qu'il n'arrêtait pas de se prendre des remarques des autres mineurs : gamine qu'est ce que tu fous là, c'est pas un endroit pour toi, rentre chez tes parents, tu devrais pas causer du souci à ta famille... BORDEL.

Alors Dagan frappait la roche au hasard, espérant avoir un peu de veine.

Rapport de récolte :

Azura remporte 5 minerais de de fer + 5 points de métier.

Commentaire : bon RP, rien à redire !


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Rapport de récolte :

Alrun remporte 25 minerais de fer

Commentaire : bon RP, rien à redire !


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Rapport de récolte :

Dagan remporte 10 minerais de fer + 5 points de métier.

Commentaire : bon RP, rien à redire !

Un explosion sourde retentit dans la mine de fer.

Rosa relâcha le poing et de la vapeur sous pression sortit de ses articulations. Au fil des semaines, la stryge se rendit compte qu'il lui fallait de moins en moins d’énergie pour briser la roche. Et vu comment elle explose un mur de pierre si facilement, elle imagina facilement les dégâts qu'elle pourrait provoquer sur de la chair.

Mais elle savait que son épée tronçonneuse était faite pour faire encore plus de dégâts. Mais elle savait qu'elle avait atteint ses limites physiques. Si Rose dépassait ses capacités, son corps se paralysait, et elle ne pouvait plus bouger à cause de la surchauffe.

Il lui fallait quelque chose de plus puissant.

Rapport de récolte :

Rose remporte 20 minerais de de fer + 5 points de métier.

Commentaire : bon RP, rien à redire !

J’avais fait ma première descente dans la mine et j’étais bien contente de ce que j’avais réalisé. J’avais pu récupérer quelques minerais de fer et j’avais acquis un peu d’expérience en même temps. Je me décidais de partir à la conquête du fer pour mieux maîtriser ma pioche, mais aussi les différents mouvements que je faisais avec mes bras. La rotation de mon épaule était aussi importante et donc le seul moyen de m’exercer pour le coup, était de continuer à miner autant que je le pouvais. En plus, aller miner était mon métier mais aussi une grande distraction pour pouvoir m’aider à me vider l’esprit. J’aimais bien penser à autre chose lorsque je minais, oublier les problèmes, oublier certains désagréments de la vie, enfin toutes ces petites choses qui vous donnent le mal de crâne à la fin de la journée.

Je respirais un peu et je partais dans la mine sombre et humide pour récupérer du fer. Le fer était vraiment la base de tout ce qu’il y avait dans ce monde pour la fabrication des épées mais aussi des armures. Je m’enfonçais un peu plus que la dernière fois dans la grande mine pour trouver un filon de fer assez conséquent. La mine ne faisait plus peur, je ne ressentais plus ce mal être dans mon cœur… Je marchais avec ma lampe pour trouver ce que je voulais et ce pourquoi j’étais venue aujourd’hui.

Mais bon, ce n’était pas de ma chance aujourd’hui, je ne pus trouver qu’un petit filon. Je haussais les épaules doucement et je commençais mon travail de mineuse avec un sourire aux lèvres. Je mis plusieurs longues minutes pour enfin casser des fragments de filon. Puis, après cela, je décidais de sortir de la caverne pour profiter un peu du soleil et de l’air si pure.

Rapport de récolte :

Azur remporte 5 minerais de de fer + 5 points de métier.

Commentaire : bon RP, rien à redire !

Depuis j’avais commencé mon métier de mineuse, je ne pouvais pas m’empêcher d’aller faire cette occupation qui me rendait heureuse mais qui me vidait efficacement ma pauvre petite tête. Donc, pour me faire plaisir, je décidais de me rendre à la mine pour explorer de nouveaux couloirs et peut-être faire connaissance avec d’autres mineurs, car je n’en avais pas vu un seul depuis que j’étais venue ici. Je croyais qu’il y aurait plus de mondes dans cette mine basique. Ou bien, je ne venais pas à la bonne heure pour rencontrer des personnes, qui pratiquaient le même métier que moi. J’entrais donc dans la mine alors que le soleil venait à peine de se lever. La dernière fois, j’étais venue dans ce lieu en plein milieu de l’après-midi, et je n’avais vu personne autour de moi. Donc, maintenant, je comptais venir au Aurore pour parler et échanger avec des personnes.

Par contre, je décidais de mettre mes ailes blanches dans mon dos pour éviter qu’elles ne se salissent avec la suie et la crasse de ces longs couloirs. Je me disais que je devrais peut-être protéger mes ailes pendant mes combats et je n’avais pas envie d’avoir une aile en moins sur mon dos. Rien qu’à l’idée de penser à cela, des frissons parcoururent mon corps en moins de quelques secondes. J’avais pris avec moi, ma pioche  en fer, pour miner un peu et même pouvoir rester un peu plus longtemps que la dernière fois. Je m’approchais devant l’entrée de la mine, et juste à l’entrée de la mine, je vis une personne… Une drôle de personne … Je m’approchais rapidement avec ma pioche pour me défendre au cas où, car je n’avais pris mon épée courte sur moi. Plus je m’approchais, plus je vis un homme grand et noir dans son aura. Il avait des ailes très étranges et je crois que c’était la première fois que je voyais ce genre d’ailes. L’homme était en train d’étrangler une personne avec une seule main et il le menaçait fortement. Je me demandais de quoi il parlait au juste…  

Je m’approchais de cette personne doucement, pour caresser les ailes noires et connaitre la texture de ces choses. J’étais tellement absorbée par les ailes, que je n’avais même pas fait attention que c’était un homme que j’avais devant moi. J’étais bien discrète et je touchais du bout des doigts ses ailes bizarres avec des yeux pétillants comme si j’avais découvert une nouvelle chose inédite dans ma vie. Puis, je croisais les yeux du jeune homme et je revins à la réalité soudainement. Je fis un bond de plusieurs centimètres pour bien m’écarter de cette personne avant de pousser un cri strident et je me réfugiais à l’intérieur de la grande mine. « Punaise, pourquoi ai-je fait cela au juste ? » J’avais les jambes qui tremblaient comme une malade et je me sentais extrêmement mal pour le coup. J’avais complètement oublié ma phobie des hommes.

A chaque fois que je croyais le regard d’un homme, je ne pouvais pas m’empêcher de pousser des cris d’effrois mais aussi de prendre mes jambes à mon cou pour partir de l’endroit où se trouvaient des hommes. Punaise … Qu’est qu’il s’était passé dans ma tête pour que je m’approche d’aussi près cet homme … Qui était en plus un stryge noir … « Tu as complètement perdu la tête ma pauvre fille… N’oublie pas que les stryges noirs sont tes ennemis de toujours, tu dois les tuer jusqu’au dernier… »  Je n’arrêtais pas de trembler et je restais cacher à l’intérieur de l’entrée de la mine. Mon comportement était vraiment pitoyable … J’en avais bien honte…

Un voleur. Un simple voleur a cru pouvoir me berner. Il a cru être assez doué pour me subtiliser mon minerai. Mais ce qui me met encore plus en colère, c'est qu'il a failli réussir. J'ai trop baissé ma garde, je ne suis pas assez attentif.

Je le prends au cou, j'utilise discrètement ma corruption afin d'augmenter ma force physique, mais même si j'arrive à masquer l'aspect visuel, l'aura-t-elle, est et reste légèrement présente.
Je l’étrangle convenablement, assez pour lui apprendre la leçon, mais pas assez pour le tuer. Je préfère le torturer avant.

Quelque chose me touche une aile. Je balance le voleur un peu plus loin et me retourne. C'est une stryge blanche, apeurée, bruyante... Elle part en direction de la mine et semble vouloir se masquer dans les ombres la caverne.
J'hausse un sourcil. Je me demande si cette stryge est bien consciente de ses actes, ou si elle est juste étrange...
Mon doute persistant lui laisse assez de temps pour complètement disparaître dans la pénombre. Je ne tuerais personne aujourd'hui, ce n'est peut-être pas si mal. Je reprends mon sac et pars en direction d'un marchand.

Je m'étais cachée devant l'entrée de la grotte pour éviter de me faire tuer par le stryge noir, quelle idiote que j'étais. Après une peur rapide de cet homme à cause de ma phobie, une vague de colère et de haine montèrent en moi comme des frissons. A chaque fois que je voyais un stryge noir, je ne pouvais pas m'empêcher de vouloir tuer mon opposé, dans tous les sens du terme. J'essayais de me calmer autant que je le pouvais, car tuer des êtres humains n'étaient pas mon but, ce n'était pas ce que je voulais avoir dans mon esprit pour le restant dans ma vie. Je regardais l'homme aux ailes de velours partir au loin pour revendre ces pierres qu'il avait trouvé dans la mine, donc je devais en conclure qu'il était aussi un mineur et que je pourrais le revoir souvent dans ces mines. Je me grattais le front tout en sachant ce que j'allais faire maintenant, avec cette grande information. Devais je attendre qu'il vienne dans la mine pour que je l'attaque et que je le tue en même temps ? Mais ça, ce n'était pas très loyale, j'aimais bien les duels de face à face et non pas surprise, ce serait la lâche de ma part. Non, je n'étais pas comme cela, cependant, je trouverais bien une autre façon de m'acquérir le cœur de cet être remplit de ténèbres et de sang.

Je chassais le comportement que j'avais eu devant le stryge noir et je décidais de partir dans la mine pour taper un peu sur ce que je voulais: du fer. Je m'enfonçais dans la mine doucement et maintenant, j'étais bien habituée avec le peu de lumière, et je n'avais plus du tout mon coeur qui me faisait mal. Soudain, une personne me donnait un coup de genou derrière mon genou pour me mettre au sol. Ce dernier me prit aussi ma bourse de pièces d'or que j'avais eu du mal à avoir. Il ne me restait pas beaucoup d'argent pour vivre, mais j'en avais assez pour manger de la nourriture. Je me relevais comme une tarée et je décidais de m'aventurer dans la mine pour récupérer mon due! " HEY ! Tu vas me le payer très chère ! Reviens ici immédiatement.  Je te préviens, tu as intérêt à me redonner ma bourse !" Je courrais dans les longs couloirs sombres de la mine pour poursuivre cet individu qui m'avait volé ma bourse. Le problème était que je ne connaissais pas le coin de la mine ... Oups !

Haha. Une mineur qui mine. Haha. Dagan ne s'était jamais faite cette réflexion auparavant. Ce qui était par certains aspects, assez étonnant. Surprenant. Haha. Un petit coup de museau le bouscula, lui rappelant que le temps c'était de l'argent à qu'à délirer comme un vieux dans son coin il terminerait en plus pauvre et sans abri. L'abyssal reprit donc sa pelle en main et la route dans le même mouvement.

"Allons-y Minou, c'est parti mon chou ♪"


"APPELEZ-MOI LE DIRECTEUR !
- Arrête de hurler Dagan. Ton m... lion ne peut pas rentrer dans la mine.
- DISCRIMINATION ! RACISTE !
- Bon. Dagan. Ferme-la.
- D'accord."

L'abyssal, dont le faciès empruntait un air des plus accablés, alla s'excuser au près de son nouveau meilleur ami. Eux deux bouchaient l'entrée des mines depuis dix minutes déjà et l'agacement des autres mineurs commençait à devenir palpable ; et pourtant, ils connaissaient Dagan et ses petits penchants... fouteurs de merde. Mais on l'aimait bien quand même, cette gamine.
Il s'excusa d'un grand sourire comme il avait appris à le faire pour sauver sa peau et après une dernière accolade avec Minou, il entra d'un pas dansant dans les mines.

Rapport de récolte :

Azura gagne 25 minerais de fer, 10 points de métier et 5 points bonus

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Rekhan gagne 25 minerais de fer.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Dagan gagne 10 minerais de fer et 5 points métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Voila que cela faisait des heures et des heures que j'étais dans la mine de la ville de BaldorHeim et cela faisait des heures que je tournais en rond dans la mine pour retrouver le petit voleur qui avait piqué ma bourse de pièce d'or. Mince alors ! J'étais vraiment dans la mouise jusqu'au cou, c'était mes seuls pièces d'or que j'avais aujourd'hui. Il fallait que je le retrouve ! Je courrais encore et encore, mais je ne connaissais pas le chemin, je ne connaissais pas la profondeur de cette mine. Plus je m'enfonçais dans la mine, plus il faisait froid, plus il faisait noir. Le peu de lampes qu'il y avait autour de moi était limité à une ou deux tous les dix mètres. Je m'arrêtais un peu pour respirer et boire quelques gouttes, mais je me rendis compte que je n'avais pas ma gourde sur moi, je l'avais oublié à la maison. Mais non, mais qu'est que j'étais bête! Je m'essuyais le visage doucement avec les vêtements que j'avais sur moi. Je respirais puis je continuais de courir dans les tunnels sans fin et sans lumière au bout d'un moment. Mais dans tous les cas, je devais retrouver mon voleur. "Hey ohhh !! OU ES TU ??? RENDS MOI MA BOURSE !!" 

Je courrais dans la mine soudain, je vis au loin le jeune homme... Je courais comme une folle, je fis un sprint et avec mes ailes blanches, je décollais un peu dans le tunnel pour aller plus vite. Je fis une point de vitesse extraordinaire et je mis mes deux pieds joint pour lui taper dans le dos. Je lui donnais un coup de pied avec une force moyenne et cet homme tomba par terre comme une crêpe. Je me remis debout rapidement en hurlant : " hahaha, je t'avais dit que tu ne m'échapperais pas ! Maintenant, donne moi ma bourse que tu m'as volé à l'entrée de la mine..." Je le regardais puis l'homme se releva doucement et se retournait vers moi avec des yeux remplis de colère. Oups ... Ce n'était pas l'homme que je cherchais, c'était une personne... Je lui souris avec un grand stress et je ne pus m'empêcher de prendre mes jambes à mon cou, car j'avais l'impression qu'il voulait me tuer avec sa pioche bien lourde et bien lumineuse. 

Je déglutinais et je courrais encore une fois à travers la mine tout en cherchant le petit homme. Moi qui voulait miner un peu du fer pour me faire encore un peu de l'argent pour m'acheter une nouvelle arme, une nouvelle faux et peut être un casque aussi. Je courrais encore dans la mine pour trouver cette personne, mais franchement, je n'avais pas envie de passer ma vie à le chercher. Puis soudain : "Alors, tu veux toujours récupérer ta bourse ! Hahahahah ! Viens m'attraper !" - " toi alors ! Reviens ici, sinon je vais te tuer pour de vrai " - " rêve toujours la vieille !"

Aide moi, aide moi. Cette phrase se répetait dans mon esprit. À chaque fois que je clignais des yeux je revoyais cette scène. Quand la gueule de ce Twistar se refermait sur la tête de Mathis. J'avais des frissons. Mes cauchemars s'étaient intensifiés. Il était clair. Quand je me réveillais je sentais les odeurs de la mine, j'entendais le bruit des craquements de la colonne de Mathis, qui se brisait sous les crocs du Twistar. La voix de Mathis m'implorant de l'aider résonnait sans cesse dans ma tête. Entre sa mort et celle de la banshee mon esprit était totalement chamboulé. J'imaginer Julia et Mathis sous la joue d'une seule et même personne, une ombre, indiscernable. Je ne pouvais voir son visage. Ces visions me rendaient fou. Au petit matin, quand je me décidais enfin de me lever, j'étais tremblotant.
Je titubais. Mon ami l'oiseau vint se posé sur mon épaule au peit matin. Sa présence était réconfortante. Il me donnait la force nécéssaire pour me lever, m'habiller manger un morceau de pain. Je n'avais pas très faim. [...]

Voilà que cela faisait des heures que je courrais partout dans la mine pour chercher un petit voleur, qui avait pris ma bourse d’or dans mon sac. Je n’arrêtais pas de courir partout et cela m’épuisait fortement. Mes poumons n’avaient pas l’habitude de respirer autant et mes jambes de courir autant. Bon, vous allez me dire que cela me fera un bon entrainement et cela pourrait mettre utile pendant les longs combats.

Enfin bref, sur le coup, j’avais eu de la chance, car le petit voleur, qui n’était qu’un petit garçon âgé d’une dizaine d’année s’était épuisé à force de courir partout dans la grotte. Alors, j’avais pu le retrouver rapidement et de reprendre ce qu’il m’était dû. Cependant, en voyant le petit garçon dans l’état où il était, mon cœur s’était mis à se battre fortement, et il se serra de même. Le corps du jeune garçon n’était qu’un squelette… Il était si maigre… Ses bras et ses jambes étaient horrible et je ne pouvais pas laisser un enfant dans cet état, cela m’était impossible pour le coup.

Je soufflais doucement et je rangeais ma bourse dans mon sac avant de prendre la parole avec une voix douce et calme : « Cela fait combien de temps que tu n’as pas mangé un bon repas ? Et quel est ton nom ? » - « Arnate, mademoiselle… Cela fait des mois que je n’ai pas mangés, je vole de l’argent aux personnes qui sont bien riches, mais je ne peux récupérer quelques pièces d’or… » Soudain, son ventre gargouilla devant moi et le jeune garçon rougit aussitôt. Je lui souris doucement avant de lui prendre la main : « Qu’est que vous faites ? » - « Je vais t’amener dans une auberge pour tu pourras bien manger et surtout manger à ta faim ! Après nous verrons bien ce que nous ferons … Qu’en dis-tu ? » - « Hum ! » Je lui pris la main doucement pour sortir de la grotte : « Dis moi, comment sors-t-on d’ici au juste ? Je ne connais pas encore bien les mines, hihi ! » Le jeune garçon rit et m’aida à sortir de la grotte, il la connaissait par cœur. A la fin, nous avions pu sortir de la mine et je m’emmenais à l’auberge non loin d’ici pour lui payer un bon repas chaud et discuter un peu avec lui.

Rapport de récolte :

Azura gagne 30 minerais de fer, 10 points de métier et 5 points bonus

Commentaires sur le RP : Rien à redire ! Tu passes Apprentie !

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Rapport de récolte :

DoÖoN gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

J'étais dans la ville. Le temps était grisonant, peu de gens dans les rues, enfin peu de gens pour la ville. Il n'y avait pas de marché aujourd'hui. Le marché était ouvert six jours sur sept. Le maire laissait un jour de tranquilité à sa ville par semaine, qui varier en fonction de l'humeur de son fils.
Je passais devant l'école elle était très bien entretenue, si ce n'est mieux que tout le reste de la ville.Le maire adorait vraiment les enfants, une partie conséquente du budjet de la ville était investi dans l'éducation et l'entretetien de zones pour enfants. Je me rendais à la taverne. J'eus une pointe au coeur en repensant aux moments vécus avec Mathis ici ... J'y trouverais surement Monroe, jouant à des jeux d'argent comme à son habitude.
[...]

La carte pénétra la roche sans un son : et quelques secondes plus tard, une onde parcourait le mur comme un battement sourd. L'arlequine, une fois satisfaite de son sort, le déclencha enfin. La pierre devint poussière, ne laissant apparaitre ci et là que ce qui l'intéressait à savoir le fer résiduel.
Un seau puis deux furent ainsi rapidement remplis.
Si l'Ombre continuait de venir par ici, ce n'était non plus par nécessité de trouver des fonds mais plutôt pour varier un peu ses activités. Gérer des hommes n'était pas difficile depuis le temps qu'elle le faisait -déjà au temps d'Altair. Cependant, elle avait toujours eu l'âme autant réflective que manuelle ; renouer avec le milieu ouvrier lui faisait plaisir.

Mais avec son nouveau rôle, le temps alloué à ces petites activités étaient autant de temps perdu et de risques encourus pour la Congrégation. Autant rendre son escapade utile et rapide.

Rapport de récolte :

Alrun gagne 25 minerais de fer

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

DoÖoN gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

Après ses excursions dans le Sud de Dùralas, Alphonse avait entrepris de visiter les différents endroits du monde avec attention, afin d'en apprendre les recoins et infiltrer les politiques locales. Le deuxième point demandait une certaine délicatesse d'exécution, ainsi préféra-t-il s'adonner pour l'instant au repérage des lieux.

A BaldorHeim, ce fut dans les mines qu'il trouva son bonheur, (outre les orphelinats, ou en échange de quelques pièces les enfants vous vouaient une loyauté à vie indéfectible), puisque celles-ci recelaient moult richesses et que le travail était fort bien payé.
Le caméléon se décida alors à engager conversation avec le propriétaire des lieux, un nain (de façon étonnante), dont la seule réponse à sa demande de travail fut de lui tendre une pelle et une pioche.

"T'as 24H pour faire tes preuves l'écailleux."

Bon. Ce n'était pas un mauvais début, au moins n'avait-il pas essayé de le tuer, et honnêtement il comprenait cette méfiance. Milles personnes devaient affluer en ce territoire prospère, et si le patron devait accorder ne seraient-ce que deux minutes à chacune d'entre elles, son temps serait vite dévoré.

Soit.
Il lui fut accordé un pass pour les mines de fer, là où débutaient tous les nouveaux, dans l'espoir d'accéder un jour aux mines plus rentables. Alphonse n'avait pas vraiment peur de l'échec, et puis il suffisait de tourner la tête pour voir que la concurrence était.. particulière. Une Stryge s'amusait à courir de partout, riant aux éclats, heureuse d'être exploitée. Elle passa devant lui avant de se heurter à une branche qui dut lui fendre le crâne. Levant un sourcil, il laissa malencontreusement tomber sa pioche sur la tête de la jeune femme. Diantre, qu'il pouvait être malhabile!

Continuant chemin, il croisa plusieurs honnêtes hommes attelés à la tâche. Il hocha la tête devant tant de dure labeur et se mit à son tour près d'un mur, qu'il entailla d'un coup de pioche. En fait il n'était pas assez fort pour ça, et le mur lui renvoya son instrument d'un ralliement sourd. Il resta un moment immobile paralysé par son échec cuisant. Il prit place, assit en tailleur, face à ce nouvel obstacle qu'était sa propre force. Il médita longuement avant de décider que la meilleure façon de réussir dans ce métier était soit de tout faire exploser avec des bombes, soit de dérober le travail de quelqu'un.

Ce soir un mineur rentrerait chez lui frustré.

[...]
- Une petite dizaine, tu va finir face à Monroe si tu continue. Ses yeux s'écarquillèrent quand il vit les différentes sacoche à mes cotés. Ce sont tout tes gains?
- Oui ils n'avaient pas d'argent alors ils ont joué en minerai.
- A et bien j'espère qu'ils ne t'ont pas trop dérangé ... Ils peuvent être très lourd.
- J'étais occupé. Jouer me fait penser à autre chose c'est bien.
- Oui j'ai appris pour Mathis je suis désolé. Il était un bon ami à moi. J'en suis profondément touché. Enfin ... Chacun suit son chemin. Bon ... Je te laisse jouer passe une bonne soirée."
Je le remerciais d'un signe de tête et me remettais en selle. En regardant par une fenêtre je pus remarquer qu'il faisait nuit.
J'avais passé beaucoup de temps à jouer. Mais ça avait bien payé, je ne ferais pas ça tout les jours. L'odeur d'alcool ambiante me donnait des nausée et le bruit un mal de tete très important. J'allais donc me désalterer pendant quelques instant le temps que la table finale soit mises en place. Je croisais Monroe qui faisait de même. Il semblait fatigué, alcoolisé, lassé. En clair il n'était pas au meilleur de sa forme. Il me fixa m'adressa un sourrire crispé et se mit à pleurer sur mon épaule.
Monroe, l'homme fort. Même lui ne pouvait supporter la perte d'un ami si proche. Je le réconfortais du mieux que je pouvais.
[...]

Dagan regardait le mur. Il regarda Mate. Mate regarda Dagan, puis le mur, puis la pioche qui lui était tendue.

"Vous n'êtes pas sérieux, chef ?"

C'est qu'il avait la flemme, une de ces flemmes immenses qui vous poussait à réduire les autres en esclavage pour votre propre salut. Et Dagan espérait bien tirer un maximum de profit de son sbire au rabais.
Ce dernier soupira. Il savait que, face à son chef, jamais la raison ne pourrait l'emporter sur ses envies. Il commença donc à lentement se métamorphoser. A grandir. S'allonger. Et quelques cris de douleur plus tard, Mate était devenu un humain -quoiqu'un peu cadavérique mais un humain quand même. Et avec un dernier soupir il se mit à la tâche.
Pendant ce temps, Dagan sirotait un verre d'eau fraîche, laissant ses pensées trainer sur les belles courbes qu'ils avaient entrevues dans un bordel avant de venir.

Rapport de récolte :

Alphonse gagne 5 minerais de fer + 5 points de métiers + 1 saphir bonus.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

DoÖoN gagne 20 minerais de fer et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

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Rapport de récolte :

Dagan gagne 10 minerais de fer et 5 points de métier.

Commentaires sur le RP : Rien à redire !

un peu long et je m'en excuse mais je n'arrivais pas a arrêtez les de enchaînement de l'action sans faire une coupure "cash"




Cela faisait quatre jours que je m'étais fait attaquer par ce voleur, j'avais eu de la chance, dans sa sacoche il avait une émeraude, mais je n'arrive pas à la vendre. Il me fallait retourner aux mines, mais pas dans celles où j'étais allé la dernière fois, d'après ce que j'ai entendu dire, ces mines seraient presque vide et pour trouver des minerais ce n'était possible qu'en s'aventurant en profondeur. Mais je n'étais pas assez fort pour tuer les monstres qui peuplent ses abysses.
Ne voulant pas me faire avoir une seconde fois (enfin presque), je pensais aller demander à un comptoir si ils n'avaient pas du boulot, même à y gagner 40 pour-cent de mon chiffre habituel d'affaire, se serait déjà ça de plus. Je n'avais pas envie de me faire entourlouper encore une fois.
Après quelques heures de recherche et essais non fluctuant, je décidais d'aller boire dans un bar et de fulminer seul ma peine. « Ils me refusent tous car ils veulent une équipe de trois-quatre personnes pour plus d’efficacité. Même en étant un petit peu connus dans le coin grâce a mon évasion de chez l'autre Frankenstein personne ne veux de moi. Ils ont peur que je soit manipulé…. » à bout de patience, comme je ne connaissais pas trop le quartier dans lequel je me trouvais, je demandais mon chemin à un homme qui passait par là:

- Excusez-moi ! Monsieur !

- Que vous faut-il ? Je suis pressé !

- Où est le bar le plus proche ?

- Tssss encore un jeune qui va dépenser salement son argent. Tu n'as pas mieux a faire ? M'enfin c'est pas ma vie, continue tous droit sur dix mètre puis dans un cul de sac à droite il y aura une entrée, finit-il de dire en continuant sa marche.

En me dirigeant vers le bar indiqué par l'homme, je remarquais alors beaucoup de mendiants dans la rue, ce ne devait peut être pas être un très bon bar dans ce genre de quartier. L'alcool ne devait pas être très bon mais au moins, il ne devait pas être excessivement cher donc ça m'allais. Je trouvais enfin l'impasse, puis la porte. De l’extérieur j’entendais une musique piteuse, sûrement de la musique Elfe « pffff », il y avait un écriteaux en bois, en piteux état : « Le comptoir de la boure » . « Tien mais ce n'est pas qu'un bar ça, il font comptoir aussi ». Je rentrais et mes oreilles me confirmaient que c'était bien de la musique Elfe. Sur une scène de fortune, trois Elfes jouaient une musique au final plutôt entraînante. Une femme avec un chapeau en tenue de servante s'approcha de moi et me demanda si je souhaitais manger, boire ou si je venais pour du travail. Je lui répondis positivement pour les deux dernières propositions. Elle me proposa alors une table, à coté de deux Orcs, fort odorant, qui rigolaient comme des gorets. Je demandais à aller à une table un peu plus à l’écart. Suivant mon regard elle me sourit et m'emmena à une table un peut plus au fond. Enfin presque au calme, la serveuse me demanda ce que je voulais. Je lui demandais une pinte de leur alcool le moins chers et une liste des différents travail disponibles ici. Quelques instants après elle revenait avec un breuvage plutôt amère sans pour autant être mauvais. Ce qui me surpris. Il avait un arrière goût sucré très léger, presque discret. Après deux gorgées un nain, avec une barbe tellement touffue qu'elle cachait ses yeux, me rejoignit et entama la conversation :

- Alorrs on cherrche du trrravail jeune homme? Tu est au bon endrroit ! Ici on en as pourr tous les goûts ! Tu cherrche quoi exactement ? son fort accent donnait l'impression de mâcher des cailloux.

-Je suis mineur et je vou...

- Mineur ! Treeès bien ! Tu cherrche quoi ? Ferr, orr, arrgent ?

- Du fer.

- Oui oui ! Trrès bien, trrès bien ! Tu est seul ou accompagner ?  Me demandait-il avec un air de ses personne qui ont une idée derrière la tête.

- Seul.

- Oui oui ! Trrès bien, trrès bien ! Tien voilà une carrte de là où tu dois aller. Sur place il y aurra une maison avec quelqu'un qui t'accompagnerra, tu connais les prrocédures des comptoirrs ?

- Oui. Je présume qu'il se roulera les pouces pendant que, moi, je travaillerai c'est ça ?

- Non ! Bien surr que non ! Cette zone est plutôt dangerreuse, il y a des monstrres plutôt vorraces. Donc il serra ton garde du corrps et tuerra tous ceux qui viendrraient vous gêner.

- Bien, j'irais dès demain. Je vais dormir.

- Je peux vous prroposer un rrepas et une nuit dans notrre établissement grratuitement ?

- Oui, menez moi à ma chambre et faite porter le repas rapidement, s'il-vous plaît, je me lève tôt demain.

-Oui oui ! Trrès bien, trrrès bien !  Il semblait étouffer un rire lorsque je me levais pour le suivre.

Une fois seul dans ma chambre, je laissais toutes mes affaires dans ma besace et me penchais sur la carte qu'il m'avait fournit. C'était dans une montagne proche de la Peracie, je n'imaginais pas que des comptoirs ce seraient autant rapprochés de cette zone maudite. « Ce n'est que deux jours... ça devrais aller. Espérons qu'il ne sorte jamais de son châteaux. » des coups à la porte me firent revenir au présent.

-C'est votre repas monsieur, dit une voie étouffé par la porte.

- Rentrez ! Poser ça sur la table. La serveuse qui m'avait accueilli quelque temps plus tôt entrait. Son petit visage fatigué avait quelque chose d’intrigant. Sans sa fatigue elle devait être belle.

-Merci, puis-je vous posez une question ?

- Oui bien sur. Me répondit-elle en posant mon repas où je le lui avait demander.

- Pourquoi travaillez-vous dans un endroit aussi piteux, vous avais l'air plutôt jolie? Cette femme avait quelque chose qui m'attirais… Mais pourquoi ?

- Et, bien c'est compliqué... je travail ici depuis mon plus jeune age, ma mère m'a vendu alors que je n’était qu'une enfant. Mais je n'aime pas être ici, je suis comme une esclave.

- Pourquoi ne t’enfuis tu pas ?

-Je n'est pas le droit de sortir de la ville, je suis tous le temps suivie lorsque je sort du bâtiment. Mais s'il vous plais ne parler pas de sa, sinon j'aurais des problème.

- Oui... Bien entendu. Cela me désolais... Mais je ne pouvais rien faire.

- Bonne soirée monsieur.

Après son départ et le repas finit, je me mis dans le lit, mais je n'arrivais pas à trouver le sommeil.  Dans la nuit, alors que je somnolais, je me réveillais à cause d'un bruit de chute, je me levais très rapidement et allais dans la grande salle. Une elfe ce fessait tabasser par trois hommes, il y en avait un a l’écart qui regardait la scène. Je décidais d'intervenir et ce même pour une Elfe :

- Et vous ! Arrêtez de suite !

- Qui t'est toi ! T'en veux aussi !? »

Je restais à l'affût de tous mouvement, silencieux je les observer. Les trois hommes me foncèrent dessus, en sortant chacun un couteau. J'esquivais le premiers, donne un coup dans le visage du second et comme je n'allais pas me transformer pour trois faibles, je n'utilisais que la vitesse et la force pour me donner un avantage supplémentaire face à une arme blanche. Je fis alors une clef de bras plus rapide que prévu et disloquais le bras du troisième qui lâcha son couteau. Je le ramassais dans un grognement de loup pour dissuader le premier de tenter quoi que se soit. L'homme à l’écart s’avança, dit aux trois autres de partir avant de s'adressait à moi:

- Tu est donc Verrücter Wolf, je ne pensais pas te voir dans un endroit aussi délabré, tu est pourtant un apprentie Technophile non ?

- Oui c'est bien moi, et, oui j'en suis.

- Je sais que tu est un demi-nain, père nain, mère humaine. Pourquoi aides-tu cette elfe, je pensais que les nains les détesté

- J'ai horreur que l'on agresse une femme, même si c'est une elfe, j'ai des principe qui passe avant une race.

- Si tu dort ici c'est que tu dois bossé pour le patron, je me trompe ? Je restais silencieux, un sourire figé aux lèvres.

- Hum hum….ton impertinence n'est donc pas qu'un mythe.

L'homme sortis sans demander son reste. J'attendis d'être sure qu'il soit dehors avant de me dirigeais vers la femme aux sols. Évanouie, dans le noir, je ne pouvais pas voir son visage. Ne sachant que faire je la portais jusque dans ma chambre et la couchais sur mon lit, avant de m’asseoir sur une chaise à coté du lit et de m'endormir. Lorsque je me réveillais en sursaut, la femme n'étais plus là. Je n'aurais pas sût qui elle était, mais une note était posé sur le lit. Elle disait de ne surtout pas travailler pour ce comptoir et de chercher une équipe pour travailler dans des comptoirs avec une meilleure réputation. L’écriture de cette personne était très raffinée, pas étonnant pour une Elfe, que fessait-elle ici ?
Je rangeais toutes mes affaires, descendais dans la grande salle et vu le nain à la grande barbe en train de nettoyer le sang qui avait du couler du nez du second homme de la veille.
Il m’aperçut et s'approcha de moi :

- Tu n'aurais pas du arrêter les personnes d'hier soir, ce sont les sbires du patron de cet établissement. Tu as de la chance que personne ne soit venus te tuer dans la nuit. Et cette elfe que tu as aidé, ou est-elle ? D'un ton sec, qui lui faisait perdre ce vieil accent.

- Je ne sais pas où elle est, je ne l'ai pas revue, je viens de me levé.

- Très bien, je vais te donner un petit quelques chose a manger et part de suite vers la zone où tu dois aller.

- Je part de suite, je n'ai pas faim.

- Soit.

Je me dirigeais vers la sortie, arrivais dans la ruelle. L'odeur de l'alcool et de vomis empestait la ruelle. J'allais d'un pas décidé vers la sortie de la ville quand je me fît accoster par un homme qui me disait avoir déjà travaillé pour ce comptoir et que ce ne sont que des voleurs, qu'ils font travailler puis menace de te tuer si on ne leur donne pas tous ce qu'on a. «  Normalement, ils t'attendent à la sortie des deux jours » finit-il. Il ajouta qu'il en avait tué plus de la moité mais que depuis il vivait caché. Je le remerciais de ces informations et partis en direction du lieux de rendez-vous qui devait être à quelques heures de marche. Durant le trajet, je me rappelais des événements passés, de la façon dont le nain m'avait parlé de l'elfe et de qui étaient les personnes. J’eus alors le pressentiment que j'allais les revoir.
Enfin arrivé en vus de la colline, que j'avais choisit comme repère de 20 kilomètres de distance du point de rencontre, à l'orée d'une foret, un homme sortit d'un buisson, je m'étais mis sur la défensive près à me battre lorsqu'il leva les mains et m'expliqua qu'il était la personne qui devait me mener à la cabane. Après être arrivé à cette dernière, je lui demandais de m'emmener au plus vite à la mine pour que je puisse commencer à travailler. Arrivé sur les lieux nous vîmes deux hommes postés devant l'entrée.

- Je suis désolé mais, j'ai vu plusieurs éclaireur Perack dans le coin, il faut rester ici jusqu’à demain, ils sont aller dans la mine pour récolter du fer, il est beaucoup trop dangereux d'y aller maintenant.

- Je n'ai que deux jours, je compte miner toute la journée ainsi que la nuit, pour gagner assez.

- Très bien, mais il faudra les prendre en embuscade et tous les tuer car si un seul s’échappe s'en est finit de nous, ils ont un campement de l'autre coté de la montagne.
Je pris la pioche rouillée que j'avais trouvé dans ma première excursion avant de nous dirigeait vers la mine.

- L'entré est garder, on fait quoi ? Je n'ai jamais fait d'embuscade à deux...

- Je vais me transformer en loup et avancer doucement dans leur direction, histoire de faire diversion. Toi, pendant ce temps tu vas les contourner et quand tu attaqueras le premier je sauterais sur le second, d'accord?

- Mais ne vont-ils pas reconnaître ton bras ? Tu viens de chez ce vampire ...

- Non je pense pas, il n'y avait que l’élite dans le château... (enfin j'espère rajoutais-je pour moi même).

Il approuvait d'un mouvement de tête. La transformation fut rapide. Je m'approchais doucement et attirais leur attention. Ils me virent et s'approchèrent de moi. L'homme qui m'accompagnait les contournait, il était extrêmement silencieux pour sa carrure aussi imposante.
Il se redressait et leva sa hache de guerre, s’attaquant à un premier ennemie, je sautais très rapidement à la gorge du second et le tuais. Une fois redevenu humain, on cachait les cadavres plus loin avant d'entrer dans la mine.
Il faut installer des pièges, me dit-il.

- Je ne sais pas en faire .

- Je m'en occupe. Ils contrôlent la zone, d'habitude il n'y en a que quelques un ici, mais là ils sont
beaucoup plus nombreux que d'habitude. Ils veulent faire des stocks pour je ne sais quelle raison. Attendons-les puis tuons les. Les pièges devrais en tuer une grosse partie nous devrons seulement finir les autres.

J’acquiesçais et il commençait à s’affairer.
Pendant ce qu'il me semblais une éternité à attendre, il installait des pièges . Une fois qu'il eu finit, nous nous cachions dans une arrête sombre. J'ai cru mourir dans cette galerie tellement l'attente avait été longue. Au bout d'un moment des bruits de pas et des voix nous parvenaient. On entendit les premiers pièges se déclencher suivit du bruit des chairs tranchés et des cris résonnant dans la mine. On en vit passer un devant nous. Je lui sautais dessus, l’attrapais et le maintenais pour que mon collègue lui tranche la gorge avec une dague. On vit de loin arriver quelques autres personnes qui souhaitaient sortir, mais nous les tuons tous un par un. On ce dirigeaient ensuite vers l'endroit où les premiers pièges étaient posés et trouvions un sac avec très peu de minerais au milieu des cadavres que je planter tous de ma pioche pour être sur qu'ils soient mort.

Je commençais à descendre avec le barbare sur mes talons et entama mon travail sur un pend de mur qui me semblais intéressant. Il me tenait une torche pour m’éclairer car nous étions descendu plutôt profondément. Je mina jusqu’à ce que mon ventre et mes bras soient à bout, l'autre s’était endormie, je le réveillais pour sortir de la mine . Une fois dehors, la nuit était tombé et la lune haut dans le ciel éclairait bien le sol. Je posais les quelques minerais trouvé et demanda où se trouvaient les provisions. Il me demanda de l'attendre à la cabane le temps qu'il regarde si ses collets ont attrapés un lapin ou un autre animal. Après qu'il soit parti, je me mis au vent nocturne qui m'apporta une odeur qui ne m’était pas inconnue, je humer une fois de plus avant de me rendre comte que c'était celle du patrons et de ses sbires, ainsi que celui de la femme elfe. Je fit mine de ne rien sentir venir. Je les vis arriver de loin, le soit disant garde du corps était aller en direction de la montagne, je savais qu'il s’était cacher au dessus de l'entré de la mine prêt à me sauter dessus, les autres se pointaient devant moi. Le chef des sbire me cria :

- Eh ! Le jeuno, je sais que tu as un bon odorat, je ne veux pas te tuer, je pense que tu pourrais être un bon mercenaire dans ma guilde, tu seras bien payer et tu seras nourri, loger, blanchie. Mais….pour cela tu devras la tuer ! »

Il jeta la femme par terre, elle était en haillon, presque nue.  En levant la tête elle me reconnue et commença à pleurer. Je m'approcha doucement d'elle et lui demanda doucement comment elle s’appeler :

-Je m'appelle Lindorië  

Sur le ton le plus apaisant possible je lui promit que je la protégerais. Puis me redressais:

-Je refuse de la tuer, elle est innocente.

- Si tu ne la tue pas, je la tue, puis je te tue toi, de toute façon tu n'as aucun échappatoire, Nexon est au dessus de toi.

Aucun bruit, aucun mouvement, le temps semblait s'étirer, puis d'un coup je sentis l'odeur de ce soit disant Nexon au dessus de moi, j'en déduis qu'il voulait me sauter dessus, je me baissais lui faisant raté son coup de hache qui alla se planter dans le sol. Il la retira et ce mit a coté de l'homme:

- Faite attention maître, il est dangereux, il est vif et fort et très tactique du peu que j'ai vu.

- Ne t’inquiète pas, j'en est tuer des plus coriace !

A peine eut-il finit de formuler sa phrase qu'il me sautait dessus, je l'esquivais facilement. Ce n'est que à ce moment là que je remarquais qu'il avait des griffes à ses doigts. Je sautais en arrière et sur un ton ironique je lui dit qu'il fallait qu'il pense à couper ses ongles, je voulais le provoquer car je savais sa vrais nature. Il était un loup garou, pour je ne sais quelle raison les griffes ne s’étaient pas rétractées lors de sa dernière transformation en humain, ça se sentait. Il retira son manteau, je vis une fourrure sur son corps, même les poils n’était pas rentré, « quelle horreur… »
Je le vit reculer et je me préparais à parer un coup, il prit de l'élan et couru en criant tel un chien enragé :

- CE NE SONT PAS DES ONGLES MAIS DES GRIFFES SALE B****D !!!!!!!!!

- Oh, désoler j'ai cru.

Je parais son coup, le lui en rendis un de mon bras bionique et il tomba, raide comme un piquet, je lui avais percé la gorge grâce a la pression exercé par mon mouvement et sa vitesse, il ce vidé de son sang, sur l'herbe verte de la plaine, ou l'homme se traîne, il se rependît et paresser avoir une teinte noire à cause de la faible luminosité. Puis pour faire peur aux compagnons de l'homme je me transformais en loup et m’avançais doucement vers eux, ils lâchèrent la femme et s'enfuirent en courant en laissant tomber une bourse comme pour me demander de ne pas les tuer, ce que je fit car je devais d'abord m’assurais que Lindorië allait bien.
Elle était étendu au sol, je m'approchais d'elle tout en redevenant humain. Je retirais mon manteau et la couvris, je la releva et la porta jusqu’à la cabane. Je la mit sur le seul lit de fortune disponible dans ce piteux abri.
« Merci infiniment….» me dit-elle d'une voix faible avant de s'effondrait dans un sommeil profond. Je m'assis devant le feu et guetta le moindre bruit provenant de dehors jusqu'au petit matin où je la réveilla :

- Il faut ce levé Lindorië  , ils pourraient être aller chercher du renfort...

- Laisse moi ici, je ne serais qu'un fardeau, je n'aurais pas la force de marcher, j'ai trois cote
cassé , me dit-elle d'une voix faible.

- Soit, je te porterais.

- Merci…. Fini-t-elle avant de s'évanouir.

J'allais chercher ce que j'avais récolté ainsi que le peu de minerais des Peracks et la bourse avec très peu de contenant, je la pris sur mon dos et la porta jusqu’à Baldorheim. Je l'emmenais chez un docteur et m'assurais qu'il s'occupera d'elle et qu'il me préviendrait lorsqu'elle serais rétablie. Je le remercia et sortis du bâtiment. Je cherchais une auberge dans une rue populaire et commanda une chambre, je m’endormis comme un loir et me réveilla le lendemain pour une nouvelle journée pleine de surprise.

Alphonse était arrivé très tôt aux mines pour sa deuxième semaine de travail. La dernière fois, lorsque le lieu était empli de monde en fin de journée, les conditions de travail ne lui permirent pas de trouver un filon convenable et il avait dû se rabattre sur du chapardage. Il détestait voler les gens honnêtes, même s'il aimait encore plus survivre, mais bon, si on pouvait s'éviter des problèmes de conscience, ça serait pas mal.

Il s'avança d'un pas déterminé en direction des mines  de fer, tenant en son poing son sceau non pas emplie d'outils (même s'il y avait, au fond, une pioche), mais d'étranges fioles contenant un liquide bleu tout aussi bizarre. Pour le travail, il portait de pauvres vêtements de lin, très confortables et surtout qui ne craignaient d'être salis. Parce que s'il y a bien un inconvénient à vivre dans la nature, en nomade, c'était de devoir laver tous les matins ses vêtements et de laisser son avenir vestimentaire dans les mains capricieuses de la météo et du destin. On est jamais à l'abri de voleurs.

L'homme-lézard s'enfonçait dans les mines, mais pas trop, parce qu'il restait un être à sang froid et qu'en conséquent, le soleil lui était primordial pour continuer à se mouvoir. (Venant d'un ancien vampire, voilà une déclaration fort ironique, pensa-t-il).
Son choix se porta sur un filon qu'il découvrit en tâtant les murs avec un petit marteau, et dont les échos lui parurent propices à une profitable récolte. Excellent!
Venait ensuite la partie la plus délicate de l'opération. La dernière tentative de minage s'était soldée par une baisse importante de son amour-propre, et surtout, de la preuve qu'il était capable, encore aujourd'hui de se surestimer. Mais; cette fois-ci, il avait bien planifié son coup. En effet, lors d'une excursion dans la Taverne de BaldorHeim, il y avait entendu deux technophiles parler de "l'énergie bleue" cette matière hautement instable, nécessaire à leurs inventions pour fonctionner. Mais, comme on le sait si bien, l'esprit du lézard est rapide, et il préféra la partie "instable" à la mention d'inventions. Ainsi fila-t-il le plus alcoolisé des deux jusqu'à chez lui pour lui dérober juste assez d'énergie bleue, emmagasinée dans des capsules étranges, pour ne pas déclencher ses soupçons.

Il avait ensuite effectué plusieurs tests à partir de la substance. En soi, elle n'était pas si instable que ça, sauf si bien sur on s'amusait à la lancer avec violence sur le sol. Mais, en revanche, une fois répandue et titillée par un peu de magie de feu, elle produisait une explosion équivalente au quantitatif mélange des deux énergies. Bon, la découverte avait couté quelques écailles, mais... Excellent!


Il fendit légèrement la roche avec sa pioche. (de toute façon, il n'était pas capable d'en faire plus). Ensuite, délicatement, il versa juste quelques gouttes d'énergie bleue dedans, avant de créer la plus grosse boule de feu qu'il pouvait, c'est à dire une petite flammèche qui ferait pitié à n'importe qui, et la balança dans l'entaille. L'explosion n'en eut même pas l'apparence. Ce fut comme si, de son plein gré, la roche s'affaissait. En moins de temps qu'il n'en fallait pour dire "richesse", l'homme-lézard remplissait son sac de lin de fer.
Sifflotant, il se dirigea vers la sortie heureux.

"- Hé là, écailleux. Un homme, la trentaine, habits sales, mains ignobles, mes capteurs détectent de la violence émanant de lui. Pauvre paysan. Il va vouloir me voler.

- Si tu essaye de me dérober le fruit de mon travail, je te dirais que ma foi, c'est le karma pour ce que j'ai pu faire. Donc vas-y. Il leva haut ses mains griffues, laissant tomber le sac plein de minerais à ses pieds.

- Vr..vraiment? Oh euh... bah cool! Merci!

L'homme visiblement très heureux, se précipitait dehors avec entrain, jusqu'à s'arrêter soudainement, et tomber à moitié en arrière tout en reculant, comme traîné par une force invisible, le visage rouge virant peu à peu au violet. Son chemin s'arrêta finalement aux pieds d'Alphonse, qui avait la bouche grande ouverte, comme s'il mangeait de l'air.

- Non ce n'est pas vrai sombre fou, le karma peut aller se faire foutre avec moi. En parlant de ça, c'est l'heure des verres à demi prix au bordel, salut."

Le caméléon, redevenant invisible (en totalité cette fois-ci), sortit de la mine en courant à vive allure, afin de mettre le plus de distance possible entre l'homme évanoui après une bonne léchouille et sa personne.
Dieu, que c'était drôle d'être un caméléon!

Rapport de récolte :

Verrücter gagne 5 minerais de fer et 5 points de métier, mais aussi 5 points métier bonus et 1 rubis pour un très bon RP !

Commentaires sur le RP : Ah non, mais tu n'as pas à t'excuser pour un long RP hein ! Limite, c'est simple, si tu fais à chaque fois des RPs comme celui-ci, tu auras toujours le maximum, c'est à dire les ressources de base + de l'expérience bonus + une ressource rare garantie, donc c'est tout benef' pour toi

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Rapport de récolte :

Alphonse gagne 5 minerais de fer et 5 points de métier, mais aussi 1 saphir pour un très bon RP !

Commentaires sur le RP : Très drôle, monsieur le Caméléon !