Nous étions en bien mauvaise posture les précédents assauts de mes amis avaient échoués et je n’étais clairement pas de taille à tuer seul cette abomination.
° Tu n’es pas seul. Je te laisse le champ libre j’attirerai son attention le temps que tes amis se remettent de leurs émotions. Nous avons besoin d’eux je ne suis pas de taille à l’affronter seul.°
° Nous t’assisterons du mieux que nous pouvons. Tu nous as sauvés à plusieurs reprises. Nous te sommes redevables, et nous sommes amis. °
Le seigneur semblait fou de rage, le marteau d’Arutha était toujours fiché dans la gueule de l’animal. Il se rua sur le dévoreur et l’envoya au tapis. J’étais terrorisé. Le dévoreur imposait le respect, voir ce crapaud bien que gigantesque venait d’infliger de sérieux dégât à mon ami. Je décidai donc de lui venir en aide. Je courus, sautais sur l’animal infiltrant mes griffes dans sa chair, il ne semblait pas éprouver la moindre douleur. Je me sentais si inutile.
À ce moment le dévoreur se releva et chargea avec une violence dont je ne le croyais pas capable. Lui qui me semblait si serein en temps normal, s’inquiéter à présent pour sa propre vie. Je descendis de l’animal juste à temps. L’impact fut violent, le crapaud s’écrasa contre un arbre qu’il déracina. J’étais bouche bée c’était un véritable combat de Titan dont je n’étais qu’un simple spectateur. Pendant que le dévoreur occupait notre ennemie, j’allais assister mes deux amis.

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'Attaque - Abyssal' :

Dévoreur attaque à 200 sur Seigneur des marais.
Seigneur des marais attaque à 100 sur Dévoreur.


Les joueurs débutent le tour

Vitesse des joueurs : 530

Arutha ConDoin : 115
Vitesse : 43
Dégâts : 155

Kiloë de Sylfaën : 115
Vitesse : 125
Dégâts : 75

DoÖoN : 165
Vitesse : 252
Dégâts : 30
Bonus : Télépathie : Peut invoquer une créature dont la vitesse est 2x inférieure.

Dévoreur {Créature invoquée} : 900
Vitesse : 110
Bonus : 200

---

Ennemis :

Vitesse du groupe ennemi : 300

Seigneur des marais : 170
Vitesse : 300
Dégâts : 100
Bonus : Rapidité : peut taper 2x sur Arutha.

Nous avions été ridicules Kiloë et moi, nos attaques n’avaient au final été que des simulacres tandis que notre ami l’Abysal muni de simples griffes avait réussi à blesser la créature. Quant au dévoreur il s’était jeté férocement sur la créature, encore plus qu’à son habitude. La créature en question devait évidement lui sembler plus dangereuse que de simples dartiques. Mais, à la violence, l’énorme batracien avait choisit de répondre par la violence. Et l’avait lourdement blessé. Mais cette contre attaque avait eu pour avantage de déloger mon marteau de l’immense gueule de la créature. Je me précipitais sur lui, entrainé par toute ma masse, et le saisissait au passage. Je ressentis le puissant à-coup de l’arme dans mon bras et j’espérais que celui-ci serait démultiplié sur l’immonde créature. Et, enfin mon marteau la percuta, avec une violence inouïe au visage. Faisant sortir un de ses yeux de son orbite. La créature poussa alors un mugissement à faire se réveiller les morts et se cabra, emportant une nouvelle fois mon arme dans son orbite sanguinolente.

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'Attaque - Humain' :

Arutha avait fait un super boulot, mais ça ne suffisait pas.
Le dévoreur et le crapaud se rendaient coup pour coup si bien qu’aucun des deux n’en sortirait vivant s’ils continuaient à ce rythme, nous devions l’assisté je m’élançais sur la bête. Cette fois je visais la glotte, mes lames s’enfoncèrent dans la chair. La créature cria de nouveau elle roula au sol... Je l’avais grandement blessé elle était au seuil de la mort, je n’étais pas si inutile que ça... Mes attaques certes peu puissantes s’étaient révélées plus précises que celle de mes amis. Nous avions aidé le Dévoreur, j’observai le Dévoreur engloutir l’animal, aspirant ses forces vitales... cette vision m’horrifia... mais nous étions à présent quittes.
° Adieu mon ami je ne t’oublierai jamais.°

° Il en est de même pour moi, jeune « homme bleue ».°


Nous le lésâmes à ce succulent repas et nous esquivèrent.
En vue de sortir de ce marais qui nous exaspéré.

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'Attaque - Abyssal' :

Fin du combat.
Les joueurs gagnent 35 points d'expérience et 30 pièces d'or chacun.
Le RP peut continuer.

Le combat c'était soldé sur notre victoire, et ceux malgré mes échecs répétés. Nous avions aidé le dévoreur, nous avions fait ce pour quoi il nous suivait depuis le début. Il pouvait à présent récupérer le territoire qui lui était due. Nous finîmes donc par laisser le dévoreur d’occuper de la carcasse encore chaude du seigneur des marais, et malgré le fait que j’essayais d'éviter cette scène, je finis par entrapercevoir notre compagnon d'un temps gober un œil de la taille de ma main, et ne put réprimer un frisson de dégoût. Nous laissâmes donc ce spectacle morbide derrière nous, non sans faire un adieux chaleureux au dévoreur, et rejoignîmes la forêt de Sylfaën. Il nous fallut plusieurs jours pour revenir la où le dévoreur nous avait enjoins à l'aider.

     Nous ne rencontrâmes aucun ennemi potentielle durant cette période, mis à part quelques dartiques qui, semblait-il, avaient compris notre dernière réprimande. DoÖon avait fortement acquis en vitesse lors de notre périple, et il pouvait désormais rattraper certains animaux pris en chasse. Quand a Arutha, lui avait beaucoup plus de force et d'endurance que lors de notre rencontre, et son puissant marteau lui permettait d'infliger de lourd dégâts a nos adversaire, qui ne se relevaient jamais sans mal d'un de ses coup puissants. Quand a moi, je me spécialisais dans la discrétion, sachant qu'une fois arrivé dans les grandes villes, personne ne voudrait de moi comme employer, la confiance accordé au maudits et personne se prêtant a mon apparence étant quasi innexistante. Mais paradoxalement, j'allais renforcer leurs raisons de le penser.

   Je pensais sincèrement que nous étions tous presses de sortir de ce marais. L'odeur corporelle de chacun commençait à m’inquiéter, et ceux sans aucun rapport avec mes origines. Les rations était limitées à du sanglier boucané, et quand à l'eau, les deux derniers jour se firent avec l'espoir de voir une source a l'entré de la forêt, même si, connaissant l'endroit,je savais qu'il nous fraudais trois jour a compter d'aujourd'hui pour atteindre une source d'eau potable. La fatigue se faisait ressentir, et nous peinions à atteindre notre objectif des trente kilomètres par jours.

   Quand enfin, en pleine après midi du troisième jour, nous atteignîmes l’orrait des bois.