Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : DoÖoN
Âge : 17 ans
Classe/métier : Etudes TS
Hobbies/activités : Les jeux, les filles et les potes :3 (un vrai ado quoi)
Couleurs préférée : Rouge et Noir
Opinion sur le forum : Sympa mais j'ai du mal à comprendre tout
sûrement ma faute mais ça a vraiment l'air sympa quand on est lancé.
Comment as-tu connu ce forum ? Mon cher ami Dilon :3 m'a proposer de le rejoindre.
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : DoÖoN
Âge : 500 ans
Sexe : Masculin (Ouech j'suis un bonhomme)
Race : Abyssal
Classe envisagée : Hésite encore entre Guetteur et Rôdeur.
Ce qu'il aime : Être tranquille, mais il veux d'abord retrouver sa famille.
Ce qu'il n'aime pas : Le Seigneur Tempête qui lui a pris sa famille.
Situation amoureuse : Aime une personne secrètement depuis peu ...
Code du règlement :
Riri - Validé par Dilon Un pouvoir particulier ? Héritera peut être des pouvoirs psychique de son père.
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Plutôt pas mal pour un poisson... Sinon je suis relativement svelte, assez grand. L'on peux voir mes côtes. Mes dents acérés me permettent de déchirer mes aliments... mais également mes ennemis trop récalcitrant. Mes ongles long me permettent de lacéré le visage de mes ennemis. Le visage assez fin le menton en arrière. Les yeux bleus, le corps bleu, les cheveux bleus (et malgré tout ça vous me croyez quand je vous dis que je n’aime pas le bleu...). J’ai un poignard à la ceinture que mon père m’a offert à mon enfance il a plus une valeur sentimentale que monétaire. J'ai également une tâche de naissance rouge à l'arrière du cou et une balafre sur la joue gauche venant d'un entrainement avec mon oncle.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
J'aime la nourriture et tenais beaucoup à mes amis j'espère pouvoir être aussi proche avec des personnes que je l'étais avec mes anciens compagnons dans le repaire. Je suis très extravertie car j'ai besoin d'être proche des gens de discuter avec mais j'ai tout de même besoin de mes moments de solitudes qui me sont indispensable pour faire une introspection de moi même ... je suis également très nostalgique. Je suis habituellement d’un tempérament calme, mais avoir passer plusieurs années avec mon oncle a chambouler ma façon de penser, je peux à présent avoir des excès de colère fulgurant.Je n'oublie jamais mon objectif premier qui est de retrouver ma mère et ma sœur; c'est tout ce qui compte... Espérant qu’elles soit toujours en vie ou sinon, les venger quoiqu’il m’en coûte, mais pour ça je dois amasser des armes et de l’équipement qui me permettra d'au moins égaler mon père. Mais j’aurai également besoin de terminer mon entrainement physique.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
Voici mon journal personnel:
J’écris ceci, car je souhaite laisser une trace à mes descendants montrant l’héroïsme de notre famille, surtout de mes parents.
Je suis le fils de Malrigue et de Dimguelda, ma sœur se nomme Dimitrinca.
Je suis né aux alentours d’Isthar, mais nous nous sommes rapidement éloignés de ce village, car la zone regorgeait de pirates fort peu sympathiques.
J’ai maintenant 500 ans ce qui fait toujours jeune pour notre peuple.
Mon père était un mineur de grande renommée. Il était un des rares abyssaux à souhaiter utiliser une pioche, les autres dédaignant ce travail le jugeant dégradant pour notre race.
Je pense que c’est de lui que me vient ma facilité à manier ce genre d’outils même si cela fait un certain temps que je n’ai plus pratiqué; je pense pouvoir retrouver la main assez rapidement.
Malrigue était avant tout un pacifiste s’opposant à la guerre incessante entre les tempêtes et les muses, il savait très bien que si les tempêtes étaient mis en déroute, les muses arrêteraient rapidement leurs assauts à leur encontre.
L’arme la plus puissante de mon père était sa force de persuasion. Il pouvait enrôler de nombreuse personne en très peu de temps. Grâce à ceci il avait créé une milice afin de : bloquer des convois d’armes, les détruire, mais également falsifier les envoie d’informations entre les généraux des armées, afin d’égarer les troupes guerrières, mais cette action ne pouvait que retarder l’échéance quoi qu’il en soit il accompagnait toujours ses groupes sur le terrain tant qu’il le pouvait, ce qui rassurerait ses hommes, car il avait un talent de télépathie très développé, ce qui lui permettait , d’après ses troupes, d’invoquer des créatures faisant usage d’horrification* d’une telle puissance que les combats avaient rarement lieu.
Mon géniteur voulait limiter le nombre de morts, qu’importe le camp. Mon oncle Irliaque lui était plus radical, il souhaitait éliminer tous les généraux, mais mon père était en désaccord avec cette vision. Selon lui la seule personne méritant la mort était le Seigneur Tempête.
S’être accouplé avec Muse lui avait offert l’éternité ce qui imposait à la milice de mon père, de devoir exécuter Le Seigneur Tempête, afin de mettre fin à son règne de terreur.
Ma mère, Dimguelda était une cuisinière hors pair et savait redonner du courage à la milice avec ses petits plats. Elle récoltait elle-même, accompagnée de ma sœur, les aliments servant à la confection de ces mets succulents.
Ma sœur apprenait chaque geste et écoutait attentivement chaque conseil de notre mère, elle l’aurait facilement égalé, voir surpassé.
Peu de temps après que mon père ait pris le contrôle de la milice, il subit une tentative d’assassinat. Depuis ce moment, il avait exigé que ma mère soit escortée quand elle allait récolter les aliments .
Un jour où le ciel était nuageux et le vent mauvais, ma mère et ma sœur comme à leurs habitudes étaient parties à la cueillette. Tout ce qu’a pu nous ramener un soldat chargé de leur escorte, qui succomba dans les bras d’une guérisseuse, était qu’il avait reconnu l’insigne des Abyssaux tempêtes, quand ma mère et ma sœur furent enlevées.
Mon oncle en devint fou de rage il souhaitait rassembler toute la milice et attaquer de front Le Seigneur Tempête, aveuglé par la colère il ne se rendait pas compte que cette option les entraînerait droit à la mort ou pire s’ils étaient capturés.
Mon père, plus serein, réussi à convaincre mon oncle de ne rien en faire, le sang froid dont faisait preuve mon père me laissait perplexe.
Je ressentais également cette aura d’autorité qui émanait de lui ces hommes l’écoutaient, car il était bon et juste. Ces décisions étaient rarement mauvaises même si jugés trop pacifistes.
Il commença à enquêter sur la disparition de sa femme et de sa fille qui le préoccupait énormément.
Ce qui entraîna une fortification des défenses de notre ville subaquatique donc hors d’atteinte pour une bonne partie des montres.
Les rares créatures marines s’approchant de trop près de nos remparts étaient rapidement repoussées par nos chasseurs qui les laissaient partir librement comme l’exigeait mon père.
Un jour où notre milice devait détruire un convoi, mon père était avec eux, comme à son habitude, afin d’éviter le plus d’effusions de sang possible.
Mais quand seulement une partie du groupe rentra. Je compris qu’ils avaient essuyé une cuisante défaite tous étaient blessés, j’étais persuadé qu’une poignée d’entre eux ne passeraient pas la nuit.
Quand mon oncle arriva à ma hauteur et vit mon regard hagard scrutant la foule à la recherche de mon père, il me pris par l’épaule et m’informa que je devais faire passer un communiquer afin que tout le monde ce rassemble à la place publique.
Malgré mon âge les gens de la ville avaient de l’estime et du respect pour moi, car je représentais indirectement l’autorité de mon père.
Quand je demandais à mon oncle où était mon père il éluda la question et me rappela à l’ordre, j’exécuter donc son ordre. Je me rappelle son regard il n’avait jamais était aussi déterminé, sa voix et son regard allaient de pair.
Quand tous les citoyens furent réunis, mon oncle monta sur l’estrade et prit la parole, là où se tenait habituellement mon père.
Il nous exposa la situation: que la mission avait été un fiasco, que Le Seigneur Tempête c’était allier à Nudin , chef d’une puissante armada pirate, que notre repaire avait était découvert, qu’une armée était en route et que ... notre bien-aimé Malrigue était tombé sous les armes ennemies avec courage se battant jusqu’à son dernier souffle aux côtés de son Teeban, je ressentit toute sa tristesse dans sa voix; et lui la ressentit dans mes yeux ce qui entraîna un silence ...
Il se ressaisit et indiqua que tout le monde devait quitter le repaire et que nous allions nous disperser, car les troupes ennemies étaient trop importantes et que la seule solution était de fuir.
De là montèrent des voix. Je discernais deux groupes différents. Des gens souhaitaient se battre, d’autres voulaient fuir le plus vite possible. Tout le monde s’agiter. Je n’avais jamais entendu une telle cacophonie, même les jours de marché.
Mon oncle reprit la parole d’une voix ferme et assurée.
Je me rappelle de ces mots, de chacun d’entre eux:
" Nous aimions tous Malrigue, il était un bon chef, un bon mari, un bon père et un frère toujours des plus remarquables . Sa dernière volonté fut que nous survivions tous et qu’un jour un groupe nous rassemblerait de nouveau afin que l’on puisse mettre fin à cette Guerre qui a trop duré, mais pour l’instant nous sommes impuissants. L’alliance du Seigneur Tempêtes nous empêche de tenter quelconque manœuvre"
Je n’en revenais pas! Si même lui conseiller la fuite c’est que le combat était une idée impensable.
À ces mots tous les citoyens acquiescèrent.
Je rassemblais donc le nécessaire dans mon bagage tout comme mon oncle. Il m’indiqua que mon père lui avait ordonné de me protéger, que ces dernières paroles étaient pour moi.
Nous nous en allâmes. J’ai passé quelques années avec lui où il m’apprit à me battre notamment à la dague et à la griffe. Il m’a également initié à la télépathie afin de contrôler de petits animaux en revanche il me m’était continuellement en garde sur le fait de ne pas me surestimer, car essayer de contrôler un animal trop puissant pouvait le retourner contre moi et il m’enseigna également la cuisine, du moins ce qu’il en connaissait, car nous n’égalions en aucun point ma mère dans ce domaine; en contrepartie je lui apprenais à prendre plus de temps pour prendre des décisions, à être moins brutale, du moins, à plus réfléchir avant d’effectuer une action.
Après une vingtaine d’années passées dans cette caverne à s’entraîner mon oncle sortie du repaire, il m’informa "qu’un allié qui nous serait d’une aide inestimable viendrait dans la journée".
Je ne saisis pas bien le sens de ses paroles, mais je passais ma journée à m’entraîner à la maîtrise de la télépathie.
Quand il revint, il était suivi d’un homme d’une vingtaine d’années. Il s’appelait Arutha Con Doin ce qui me rappela une histoire de mon père. Il me disait qu’un jour je combattrais aux côtés d’un Con Doin et que ce serait un homme ayant une espérance de vie bien supérieure aux autres et avec un sens de l’honneur bien supérieur à celui d’un humain habituel.
Je remarquais ces habits de qualité, mais en piteux état. Je l’inviter donc à s’asseoir se réchauffer près du feu et à se changer. Je mettais tout de même son équipement de côté; me méfiant de cet homme, malgré les recommandations de mon oncle et le souvenir qui me parvenait de mon père. Ce qui ne m’empêcha pas de l’inviter à partager notre souper.
Durant le repas je remarquais qu’il parlait énormément avec mon oncle, je les écoutais attentivement. Je compris grâce à cette entrevue pourquoi mon oncle avait choisi cet homme. Il faisait partie de la lignée dont m’avait parlé mon père. Puis mon oncle précisa qu’un ancêtre de Arutha avait sauver mon père qui le remercia en offrant une bénédiction à la ligné des Con Doin voilà d’où venait précisément leur longévité et le fait que mon oncle ait choisi cet homme pour nous accompagner.
Au matin je compris que je n’avais plus rien à craindre de cet homme je lui rendis donc son équipement.
Ce matin-là mon oncle avait l’air relativement anxieux. Il m’indiqua que nous allions devoir nous entraîner durement afin de pouvoirs effectuer notre vengeance ultérieurement, il précisa qu’un entrainement dans un lieu protéger et bien au chaud ne suffirait plus. Un vrai entrainement résider dans le fait de vivre sa vie et suivre son chemin. Il nous indiqua donc de rejoindre le continent afin de nous endurcir aussi bien physiquement que psychologiquement. J’étais aux anges je pourrai de nouveau réentendre le bruit métallique de la pioche contre les pierres s’effritant et les minerais se détachant de la paroi. Ressentir l’air frais des plaines, passer par delà les montagnes, s’engouffrer dans les forets pour le simple plaisir de connaitre l’aventure. Mon oncle me sortit de mes songes en me rappelant qu’un guide nous serait tout de même nécessaire, il avait entendu d’un Drow qui pourrait nous accompagner et renforcer notre cause.
À la suite de cette discussion, il me donna mon baluchon dans lequel il avait mis une once d’équipement et une carte puis il m’indiqua où je pourrais trouver cet homme.
Mon oncle nous accompagnerait pour débarquer sur le continent demain matin dès l’aube. Pour l’instant nous devions terminer les préparatifs et nous reposer, car ce serait peut-être notre dernière nuit que nous passions dans un lieu sûr.
Nous partîmes dès l’aube en direction du marais d’hukutav, où nous devions rencontrer le Drow qui nous guiderait durant notre aventure. Cette marche nous pris presque une journée entière heureusement nous ne fîmes aucune mauvaise rencontre.
Arrivais enfin au marais nous aperçue ce Drow je le pensais plus majestueux ... mon oncle également.
C’était un Drow assez grand portant un accoutrement étrange et étant assez distant.
Quand nous nous approchâmes, il parut surpris.Nous lui tendîmes tout de même une poignée de main assurée à laquelle il répondit très mollement.
Il nous assura qu’il nous guiderait malgré les conseils de mon oncle je ne trouvais pas cet elfe très dégourdi, mais une personne de confiance dans notre petite compagnie ne serait pas de trop.
Après cette rencontre des plus atypiques, mon oncle nous laissa et nous partîmes à l’aventure... Pourrons-nous mettre en déroute l’oncle d’Arutha et Le Seigneur Tempête ?
*procédé effrayant les ennemis Mais... A-t-il un rêve?
Seigneur Tempête tu me le paiera ... Qu'importe ce que j'endurerai, je m'endurcirai et te tuerai de mes mains ...