L'ensorceleur pénétra dans la boutique, une idée derrière la tête. Depuis quelques semaines, il avait dans l'idée de capturer une Manticore, mais cela pouvait être extrêmement risqué. Ce monstre est sans doute la créature la plus violente après les Dragons et les Phénix. Dragnizzo s'avança vers le marchand et demanda un lasso suprême.

- Je crois qu'il m'en reste un.. le voilà. Vous allez chasser un gros monstre hein ?

Le marchand avait la tête d'un homme indigne. Le genre d'homme à qui il ne faut pas confier son enfant pour partir en vacances.

- Non, je vais juste pendre votre femme. Bonne journée !

Dragnizzo jeta une bourse de 200 pièces d'or et partit tranquillement de la boutique.

J'entrai dans la boutique, ignorant superbement la mine intriguée du marchand. Ses propos aussi. Au lieu de quoi, mon regard se promena sur les étalages en quête de mon bonheur ; je le trouvai avec une belle lance fonctionnelle, sans fioritures ni décorations superflues. Rien qui ne serve à autre chose que percer, fendre, découper. Parfait.
Qu'entendais-je ? Des aboiements si je ne me trompais pas... Ou des miaulements ?
Intriguée, je me dirigeai vers l'arrière-boutique où plusieurs cages entassaient divers animaux de race, allant du simple chien au cheval de parade : et parmi tout le bazar sonore que ces bêtes créaient, trois silhouettes félines semblaient observer ce peuple d'un air supérieur.

"Je vous prendrai un de ces chats, fis-je au marchand. Ainsi que la lance de fantassinque je vous ai déposée sur le comptoir."

Garzvorgh pénétra dans la boutique de Kastalinn. Il venait des sombres montagnes de Kanaan. Il avait parcouru l'endroit très vite, après avoir eu une altercation bizarre dans l'auberge, afin de se rendre dans la boutique du coin.
La boutique se trouvait dans l'une des ruelles principales. Quand il entra à l'intérieur, il était entouré d'armes plus tranchantes les unes que les autres. Mais ce n'est pas ce qui l'intéressait.

Il se rendit dans le fond du magasin. Là une porte donnait sur l'extérieur. Il l'ouvrit. Un enclos était, on pouvait y voir des chats d'un côté, des chevaux de l'autre.

Il s'approcha des chevaux. Ils étaient beaux. Il en trouva un particulièrement à son goût. Il se retourna chez le marchand :

- C'est celui qu'il me faut !

[Achat d'un cheval]

Elle est partie sans une arme, et la voilà donc dans de beaux draps, elle allait donc dans une ville au hasard pour trouver de quoi pouvoir s'amuser. Elle trouva rapidement ce qu'elle était venue chercher

" je veux ça (épée chevaleresque) et ça (Cuirasse de Pouk'ay Mon) !"

" Tenez pour vous, ma demoiselle "

" Deux seconde, je vais l'essayer "

" que ... "

Elle sortit de la boutique, prit comme cible le premier passent qu'elle trouva et revernis dans le magasin.

" Je la prends ! "

Sortant la monnaie de sa poche, le marchand resta bouche bée de ce qu'il venait de voir, puis ne reprit la parole que quand elle fut partie de son magasin.

Alrun salua le marchand. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'était venue dans sa boutique : elle y préférait Baldorheim et ses ruelles discrètes, loin des regards. Enfin les affaires qui l'amenaient à Kastallin étaient d'ordre purement professionnel cette fois. Elle était venue trouver l'équipement adéquat afin de remplir un contrat.
Finalement, elle porta son choix sur un lasso de base qu'elle porta au marchand et régla aussitôt en pièces d'or. La petite bourse finissait de tinter sur le comptoir que l'arlequine était déjà repartie...

Fabien entrai dans la boutique, histoire de se préparer afin de mener à bien sa quête.

-Bonjour, marchand. Je t'achète une épée courte.

-Voilà, cela fera 30 pièces d'or.

Fabien donne la somme au marchand, se saisit de l'épée et s'en va.

Djamshid jeta un coup d’œil à la boutique, un œil au beurre noir qui commençait doucement à partir. Quand le barbare avait annoncé à sa tribu qu'il allait partir en quête d'aventure et surtout avant tout en quête de la Congrégation, certains ne l'avaient pas très bien pris. C'était pas dans l'habitude des barbares de quitter sa tribu à part en mourant au combat. S'en était donc suivi une altercation avec Osmoz, un de ses frères de tribu un peu benêt, et il avait réussi à s'en sortir avec un œil au beurre noir en guise d'adieu. Djamshid se remis en place une mèche, par habitude. Maintenant qu'il était libre de toute contrainte, il devait s'équiper convenablement et aller s'entraîner. Mais chaque chose en son temps: d'abord, il faut s'équiper. Djamshid rentra alors dans la boutique, baissant les yeux vers sa maigre bourse. Le marchand, quand à lui, leva les yeux vers le grand homme de deux mètres. Il le dévisagea un instant, s'attardant quelques secondes sur son œil au beurre noir. Pendant ce temps, Djamshid regardait avec intérêt les armures intermédiaires exposée. D'un hochement de tête, Djamshid se décida à en prendre une. La moins chère bien sûre, une modeste armure de fer. Puis il alla vers les armes et posa d'abord son regard sur les épées avant de se mettre à regarder les dagues. Oui, c'était des dagues qu'il lui fallait ! Il s'était entraîné à les manier en secret au nez et à la barbe de sa tribu. Un barbare aux dagues, ce n'est pas crédible. Djamshid compta rapidement l'argent qu'il avait amené. Une trentaine de pièces d'or. Avec l'argent qu'il avait, Djamshid ne pouvait guère espérer mieux que des dagues émoussées. Il en prit une et se retourna vers le marchand qui le surveillait du coin de l’œil. Djamshid le gratifia de son éternel sourire et s'approcha du comptoir.
"J'ai fait mon choix, dit-il d'un air jovial, et ça sera cette armure de fer et cette dague émoussée que voici que j'aimerais acheter !"

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Fabien entra dans la boutique, partit en direction des armures, et essaya une armure de cuir.

-Je vais la prendre, s'il vous plaît.

Puis il se dirigea vers les bottes, et essaya des sandales.

-Ça aussi, s'il vous plaît.

Puis se tourna vers les casques et se saisit d'un casque Wilfish, et l'enfila.

-Et puis ça. Ce sera tout, merci beaucoup.

Il se saisit des objets et partit, laissant les pièces d'ors sur le comptoir, adressant un sourire au marchand.

Mohana regardait à travers la vitrine, elle aperçut de petites boules de poils, ce qui attisa sa curiosité...
Elle poussa la porte de la boutique d'armes, ce qui la fit grincer : pour une entrée discrète, c'était loupé.

Mohana se dirigea directement vers l'objet de sa convoitise : un merveilleux chat aux poils longs, très grand avec de superbes yeux perçant. "Coucou mini-tigre" se dit-elle en sachant que c'était lui qu'elle désirait comme compagnon.

Elle alla au comptoir et tapota sur la petite clochette. Un marchand un peu bourru mais souriant arriva.
"Bonjour monsieur. Je souhaiterais vendre ma [Dague émoussée], mon [Viel Arc] et mon [Armure de Cuir]. J'ajouterai à cela l'achat d'un familier, ce superbe [Chat] ainsi qu'une [Dague de l'assassin]. "

Mohana déposa ses armes et son équipement sur le comptoir.


Edit : + Achat de [Bottes de cuir]

Je passai la porte sur mes deux pattes humaines, soucieuse de ne pas tout renverser dans la boutique : ce serait déjà fort honteux, sans compter que je n'avais les moyens de payer les réparations. Quoiqu'il en soit, j'allai directement voir le marchand. Ma lance tinta sur le comptoir.
N'ayant aucune envie de discuter, je fis un geste de la main pour lui faire comprendre que ceci était destiné à la vente. Après quoi, j'allai choisir une belle épée et échangeai quelques pièces d'or.

Cette lance de fantassin me ferait gagner 65 pièces tandis que l'épée Lectrode m'en couterait 100 pièces. Je lui donnai donc la différence, puis repartis avec un bref salut.

Thorak sortit de la taverne du chat gris pour arrivé devant une échope qui ne payait pas de mine il regardât sa hache émoussée et se dit qu'il lui en faudrait bien une nouvelle. Il entrat dans la boutique et interpelât le marchand.
Holà du marchand, j'aurais bien besoin d'une belle hache !
Le commerçant se frotta les mains en, voyant ce nain qui voulait dépenser de l'or chez lui. Il lui proposa une Hache de Berserker pour la modique somme de mille cinq-cent  Pièces d'or. Thorak regarda sa bourse bien maigre et lui dit je n'ai que quatre-vint dix Pièces d'or et il me faudrait une armure lourde et une paire de chaussures aussi et un casque Wilfish
Il lui proposa donc une hache commune une Armure de plates et une paire de Sandales pour quatre-vint dix Pièces d'or.
Thorak sortit sa bourse et déversa le contenu sur le comptoir.