J'étais arrivé dans une plaine, après la découverte merveilleuse et étonnante de cette "eau solide et froide". Mais bon, je sais que la Nature ne m'a pas encore dévoilé toutes sa beauté, sa magnificence, et je pense que je ne cesserais d'être étonné. J'étais donc parti à ma gauche - l'endroit en montée très  droite et froide ne me plaisait pas- et je me suis trouvé dans une endroit plat, assez vide, juste de l'herbe, de rare végétaux par-ci par-là. Parfois, je passais devant un endroit aménagé par des humains ou autre race, mais très principalement des humains. A ma vue, ils étaient tous terrorisé, se cachant, criant, hurlant, restant immobile, sortant une arme, devenant à vue d'oeil agressif. C'est fou comme les gens répugnent à la simple vue. Certes, je suis méchant, mais à part quelques fois pour m'amuser ou parce que ce comportement m'agaçait, j'ai juste tracer mon chemin. A moins que ma violence se reflète sur mon corps ? C'est fort possible. Enfin bref. Il fallait que je pense aussi à m'acheter une arme. Légère, rapide, si possible. Ayant vécu longuement sous l'eau, je me déplaçais bien plus agilement ici. Et je voulais conserver ma vitesse. Une sorte de corail dure comme celui qui a servi à ce combat mémorable par exemple. Après si il pouvait faire aussi mal à des monstres coriaces tout en ne se cassant pas, ça serait bien. M'enfin. Pour ça, il fallait que je rejoigne un regroupement d'habitant très concentrés en un endroit. J'ai demandé une ou deux fois à des gens, et d'une voix apeuré ou menaçante, on me disait de continuer ma route. Alors je suivit le conseil. Au pire, au bout d'un moment, par le hasard, je tomberais bien dessus, non ? J'étais donc dans les grandes plaines, continuant d'avancer, croisant quelques fois une troupe de bisons, une famille de daim, un cheval aussi sauvage et libre que l'air galopant avec l'ivresse de la vitesse. Les bisons me paraissait robuste et puissant. Les chevaux et daim un peu moins. Un meilleur cible. Mais leur vitesse pourrait me jouer un tour. A peine se sentiraient-ils menacés qu'ils courraient aussi vite qu'un espadon chargeant. Je continuais d'avancer, quand je vis une forme. Je regarda, et vit plus précisément. Ce n'était pas une forme animal, cela semblait plutôt humain. Je partit faire un détour. Non pas de peur, mais je savais que si une autre personne se était apeuré sur mon passage, ou au contraire qu'il devenait menaçant, comme si j'étais un monstre tel ceux que j'ai rencontré dans les Terres Désolées. J'étais en train donc de faire un détour pour être sympathique. Et pour éviter le combat. Mais je me rappela d'une chose. Si on se bat dans une "ville", des gens la protégeant viennent et nous attaquent à plusieurs. Donc mieux vaudrait calmer mes pulsions, que ce soit sur cette personne ou un animal. Donc alors que je partais sur la gauche, je revins vers lui. En m'approchant, je distingua mieux. Ce n'étais pas un humain. C'était un Elfe. Un humain de la Nature. Assez grand -pour une autre race, je parle. Evidemment face à moi, il lui manquait bien dans les environs de 50 centimètre-, et paraissait assez musclé. De long cheveux blanc/gris, en tunique blanche et armure de cuir légère, un carquois à la hanche, et surtout un drôle d'animal voletant autour de lui. Je m'approcha encore plus . Quand l'oiseau me vit, il poussa un cri strident, qui fait que l'elfe se retourna. Je décida de faire une tête normal, dénué de mauvaises ou de bonne intentions. Et pour une fois, c'était vrai. Pour l'instant, je n'avais pas envie de me battre. Bien sûr, cette envie pourrait me reprendre très rapidement, tel un fauve sortant de sa cage quand il le voulait, à son envie. Mais j'attendis sa réaction pour réagir en conséquence.

Je grogna de joie. Enfin une personne pas apeuré ni énervé. Bon, après, il se peut qu'il soit sur ses gardes, mais qui n'est pas sur ses gardes quand un inconnu bien plus grand que vous arrive, avec une tête barbare ? Très peu de personne. Enfin, je regarda l'animal qu'il avait flatter. Il se cachait toujours de ma personne. Il avait l'instinct animal. Si j'avais un flair tel un Loup ,je l'aurais sentis puer la peur. Mais bon, au vu de sa taille, dans la nature il fait bien de se cacher dès le premier possible prédateur. Je respectais assez les elfes car ils aimaient la Nature dans la plupart des cas -contrairement aux hommes la détruisant, la pourrissant jusqu'à la moelle-. Bon, le seul problème, c'est que pas mal sont de vrai pacifique. Mais bon, un peuple parfait, ça existe pas hein... après je sais qu'ils aiment bien la musique aussi. Mais pour l'alcool, juste le vue d'une boisson alcoolisé les fait chavirer pour certains... contrairement aux nains. En fait, le peuple que j'aime le plus est sûrement les Nains. Du combat, de l'argent, de l'alcool, de la fête, tout ce que j'aime. Bon, je dérive là, revenons à ma rencontre. Je regarda l'elfe, et vit ses oreilles pointues -blafarde, comme tout le reste de sa peau-. Ainsi il venait de la contrée de l'autre côté du Monde.... ainsi il avait beaucoup voyager, comme moi. Mais sa dernière phrase m'irrita. Je grogna de façon peu bruyante avant de lui dire :

- Bien le bonjour, elfe. Je suis Erimar. Et qui est-tu pour me dire que je n'ai pas le droit de venir ici, et que je suis un étranger ? Ne viens tu pas de l'autre bout du Monde, comme moi ? Si. Ah, et ta pauvre bête, faudrait lui apprendre à faire plus grande figure. Elle irradie la peur, et semble d'une lâcheté impressionnante et une force aussi ridicule que sa taille. Et pour moi, l'animal est le reflet de la personne à qui il appartient.

Et voilà, c'était sortit. Bon, faudra vraiment que je me calme, si je veux pas me faire tuer... car me battre, pourquoi pas, je dis pas, il se peut que je gagne -non sans blessure évidemment-, mais bon, un jour, je vais tomber sur une personne bien plus forte que moi - oui, ça existe- et je me ferais tuer. Ce qui veut dire plus jamais de combat, plus jamais d'alcool, plus jamais ne serait-ce une note de musique. Tout ça à cause de mon caractère. Mais bon, j'ai raison un peu, il me parle comme si j'étais une bête sauvage, merde !

NéoLéo commence les hostilités.

Erimar : 75
Dégâts : 20
Vitesse : 120

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NéoLéo : 120
Dégâts : 38
Vitesse : 125

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'Attaque - Elfe' :

Le petit animal frôla ma crête. Je ne tenta même pas de le dégager, ce que j'aurais pus faire, mais ce n'était pas mon ennemis. Je sentais déjà l'adrénaline monter en moi, la furie du combat montant. Le combat était mal engagé pour moi. Je n'avais que mes poings, il avait un arc. Même si il se loupait, à chaque coup où je me faisais toucher, c'est comme si j'arrivais à le cogner deux fois. Mais ma furie m'emportant, je ne fuis pas. Et puis il paraissait robuste. M'enfin, le combat était engagé, et puis, j'aime me battre. La défaite ne me gêne absolument pas, et ne me fera jamais perdre mon caractère. Il fit un pirouette - ridicule, on est en combat, pas en cirque- avant de décocher une flèche. Apparemment, vouloir crâner en combat, ce n'est pas la meilleur idée, vu que la flèche ne met toucha pas. Il ne voulait pas me tuer ? Tant mieux, je pouvais donc m'amuser autant que je veux, même quand je serais très mal je pourrais toujours être arrogant et l'insulter. Génial. Je fonça droit devant moi, vers lui, avant de lui envoyer mes trois doigts fermé, formant un gros poing, en direction de son ventre. Je ne voulait pas gagner, je savais que je n'allais pas gagner, mais je veux me battre, lui enfoncer un coup dans les côtes. M'amuser. J'envoya avec toute ma puissance, accompagnant le mouvement avec tout mon corps, ma hanche en rotation, mon muscle se dépliant, avant de venir vers l'elfe. J'allait le toucher. Je voulait le toucher. Je voulait voir l'étonnement, la douleur sur son visage. Un sourire carnassier se colla à mon visage.

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'Attaque - Abyssal' :

NéoLéo commence les hostilités.

Erimar : 75
Dégâts : 20
Vitesse : 120

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NéoLéo : 100
Dégâts : 38
Vitesse : 125

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'Attaque - Elfe' :

Il écarquilla les yeux, tandis que moi je savourais le coup avec délice. Il en profita pour partir en arrière  pour ensuite décocher une seconde flèche. Mais celle-ci, contrairement à la première, rentra en moi, au niveaux de l'épaule gauche. Elle rentra douloureusement, déchirant ma peau, avant de se ficher complètement. Je sentis la douleur en moi. Le coup était violent. Il visait bien et tirait fort. Mais en même temps, l'adrénaline monta en moi. Je tira dessus pour la faire sortir, tout en ressentant une seconde vague de douleur. Je m'en délecta un instant avant de repartir à la charge, le regard fou. J'allais le détruire. Le tuer, puis déchiqueter son corps, pour qu'il n'en reste qu'une charpie difforme, ne rappelant en rien l'être qu'il était auparavant. J'allais prendre son corps, le détruire de mes mains, de mes dents... oui, il fallait que je redonne un coup. Le combat était perdu d'avancer, j'était en train de me vider de moi-même, j'étais sur le point de mourir, mais j'allais redonner un coup aussi, voir plus puissant. Il le fallait. Je n'allais pas m'arrêter et dire tel un esclave ou un soumis qu'il avait gagner. Je ne me le permettrais pas. Je ne me le permettrais jamais. Il fallait continuer, même si on marchait vers la mort, vers la douleur et la souffrance. Il fallait continuer.

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'Attaque - Abyssal' :

Erimar : 28
Dégâts : 20
Vitesse : 120

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NéoLéo : 80
Dégâts : 38
Vitesse : 125

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'Attaque - Elfe' :

NéoLéo gagne le combat, il obtient donc 25 points d'expérience et 18 pièces d'or

Erimar quand à lui gagne 15 points d'expérience et 7 pièces d'or

Une seconde flèche se ficha dans mon dos. Malgré mon envie de me battre, mon corps a une limite, contrairement à mon esprit. J'étais par terre, une flèche fiché dans le dos, une douleur irradiant dans mon corps, une alarme retentissant dans cet incroyable organisme qu'est mon corps. Je sentais la douleur au plus profond de moi, l'endroit central étant cette fameuse flèche. L'autre trou en moi s'était un peu éteint, mais le brasier y restait encore. Au bout d'un moment, je me mit à rire, frénétiquement, avant de cracher du sang tout en ayant un mal de gorge. Je souriais, ne pouvant plus rire. J'étais hilare. Mes poings quant à eux, était fermés, fermés avec force, une telle force que ses poings me faisaient mal. Je ne pouvais que rire de tout ceci. Ce combat était.. . grotesque. Le combat entre un elfe entraîné, disposant d'arme et d'armure contre un monstre sortant de l'eau, découvrant à peine le monde, sans autre arme que sa mâchoire et sa force naturelle, et n'ayant que pour se protéger ses muscles et sa chair. Et pourtant, cette monstruosité que j'étais avait déclenché les hostilités même en ayant remarqué la puissance bien plus haute chez l'ennemi, même si il courait enlacer la défaite. J'attendis la réaction de l'elfe pour réagir en conséquence. Pour l'instant, je souriais, riais et toussais de temps et temps, mes poings fermés dégoulinant peu à peu de sang, étalé par terre tel un daim tué par un chasseur. Je me fichais de sa réaction. Je n'avais ni honte, ni découragement, ni autres réaction que l'hilarité et l'envie de continuer. A vrai dire, le rêver serait un combat très long, avec des blessures égales chez l'un que chez l'autre, et pourtant aucun abandonne, sauf quand il sont en grave danger. Une sorte de guerre, mais entre deux personnes. Pas obligatoirement ennemi, de bons amis peuvent se frapper. Mon âme voulait soulever des montagnes, remonter des cascades, me battre contre une armée, mais mon corps, lui, essayer déjà avec grande peine de se calmer, et sa tâche extrême était de se relever. Oui, avec deux flèches j'étais en piteux état. Il me fallait plus de protection. Et une arme. Je les prendrais en route. Sur cette agglomération d'humain. Il me reste un bout de plaine encore, pour faire de nouvelles trouvailles, avant d'arriver à la ville.

Il me mit une baume sortit de son sac pour me soigner, puis m'arracha la flèche dans le dos. Une dernière éruption du volcan qu'il y avait à l'emplacement de la blessure, avant de commencer à s'éteindre. Il mit une pansement avant de me retourner, puis fit la même chose avec l'autre flèche, que j'avais cassé. Il me regarda avant de me dire quelques paroles. Je rit, prit sa main, me releva avant de lui dire :

- Ecoute moi, elfe, sache que nous n'avons ni le même caractère, ni les même habitudes, politesse ou autre formes. Je ne gère pas mes amis comme toi tu les gèrent. Et plein d'autre chose comme ceci. Nous ne pourrons jamais nous entendre. Alors que toi tu est doux, gentil, raffiné et tout autre connerie aussi niaises les une que les autres, je suis violent, bagarreur, grossier. Juste mon langage. Je pourrais parler simplement que tu pourrais prendre ceci comme une insulte. Et au contraire le tien pourrait me paraître comme un insulte, comme un mépris, comme si j'étais un paysan et toi un noble. Alors que le combat est ma vie, mon loisirs et ma survie, ce n'est juste qu'une envie d'aventure pour toi. Nous ne pourrons jamais nous comprendre, nous ne pourrons jamais être amis. Tu as pris ce combat bien trop au sérieux, alors que moi ce n'était que simple loisirs, que je fais chaque jour, un hobby, une habitude. Tente si tu veux, mais tu auras l'air juste con à mes yeux.

C'est sur cette phrase, tout souriant de mon visage aussi beau qu'une monstruosité des abysses - ce que je suis, mais bon- que je termina ma phrase. Là soit il s'obstinerait et serait le plus grand des imbéciles à mes yeux, soit il comprendrais, et partirais, ou ferais autres chose. M'achèverait. Ce serait une possibilité, oui. Ces elfes, avec leur impression de grandeur, je peux vraiment pas les sacquer. Ils croient que la Nature leur appartient, ce qui est idiot.

L'Abyssal attrapât la main de l'Elfe mais pas comme un signe de paix ou d'amitié; seulement pour ce relever. La "bête" pris alors la paroles:

- Ecoute l'ami, sache que nous n'avons ni le même caractère, ni les même habitudes, politesse ou autre formes. Je ne gère pas mes amis comme toi tu les gèrent. Et plein d'autre chose comme ceci. Nous ne pourrons jamais nous entendre. Alors que toi tu est doux, gentil, raffiné et tout autre connerie aussi niaises les une que les autres, je suis violent, bagarreur, grossier. Juste mon langage. Je pourrais parler simplement que tu pourrais prendre ceci comme une insulte. Et au contraire le tien pourrait me paraître comme un insulte, comme un mépris, comme si j'étais un paysan et toi un noble. Alors que le combat est ma vie, mon loisirs et ma survie, ce n'est juste qu'une envie d'aventure pour toi. Nous ne pourrons jamais nous comprendre, nous ne pourrons jamais être amis. Tu as pris ce combat bien trop au sérieux, alors que moi ce n'était que simple loisirs, que je fais chaque jour, un hobby, une habitude. Tente si tu veux, mais tu auras l'air juste con à mes yeux.

Ces paroles furent le coup de balai qui fit disparaitre toute les espérance de NéoLéo, pour n'en laissé qu'un néant de ... rien.

Il compris alors que tout cela avait été inutile a part peut-être pour s'entrainer. Que tout cela n'avais été qu'une gifle dans dans le visage imaginaire des croyances de l'Elfe envers "l'humanité" de toutes les races. Il ce tut, préférant laissé les choses la ou elle en étaient, au point 0. Il leva simplement un doigt a l'horizontal ou vint ce posé Kiwi sans un bruit, lui aussi.

L'Elfe fit tout de même une révérence et s'en alla paisiblement et calmement vers le désert d'Harena. En direction de Stellaraë.