Pseudo : Ama !
    ge : 26 ans, presque 27 ! (en espérant être dans la bonne tranche d'âge xD) Bientôt 35 maintenant.
   Classe/métier : Aide-soignante x)

   Hobbies/activités : regarder des séries à la c... sur Netflix, jouer avec mon mes fils, tenter de faire des maki x)

   Couleur préférée : Orange !

   Opinion sur le forum : J'ai eu un peu de mal à y naviguer, mais finalement j'ai été conquise ! Complêtement ! (Enfin je peux la poster *-*)

   Comment as-tu connu ce forum ? Je ne sais plus si c'est par un partenaire ou dans un annuaire x)


   


   Nom : Chal'di
    ge : 103 ans 111 ans maintenant.

   Sexe : Féminin

   Race : Elfe/lycanthrope

   Classe envisagée : Virtuose ou Guérisseuse.

   Ce qu'il aime :  La nature évidemment, le bruit de l'eau, les saules pleureurs, le vent, les fruits, les regards silencieux, le calme, la découverte de nouvelle chose, les odeurs, la viande, la musique. Courir sous forme de loup, hurler à la lune, pister du gibier.

   Ce qu'il n'aime pas : La pleine lune, les nains, que l'on se joue d'elle, les personnes qui se font un avis trop rapidement, les objets tranchants, la viande,  ...

   Situation amoureuse : Unie.

   Code du règlement : Carotte râpée - validé par Dilon
   Voie Standard ou Voie Spécialisée ? Standard

   {Facultatif} Un pouvoir particulier ? Anti-douleur : Elle atténue la douleur en approchant ses mains. Elle ne guérit pas mais fait taire la douleur pendant un petit temps, par exemple le temps de recoudre une plaie.  Plus elle garde ce contact longtemps, plus elle se fatigue et ressent des picotements. D'abord sur la paume des mains puis cela remonte dans ses bras.
Sa capacité a bien évolué depuis, aujourd’hui, elle est bien plus endurante lors des soins et réussit à puiser dans ses forces animales pour faire disparaître la douleur. Elle a également remarqué que sa puissance de soin varie également avec la lune.

   

Avant :

Spoiler:

Aujourd’hui :
Amaryelle est physiquement beaucoup plus sur d’elle. Son visage est un peu plus marqué par les années vécues “à la dure” mais n’a pas beaucoup perdu de sa douceur elfique. Ses yeux toujours aussi bleus ne cachent plus sa crainte. Ses cheveux maintenant coupés court au-dessus des épaules ne la dissimulent plus.

Elle sait maintenant parfaitement devenir louve et se connaît par cœur sous toutes ses formes que ce soit celle qu’elle ne contrôlait pas ou celle qu’elle décide maintenant de prendre quand bon lui semble.

Vestimentairement, Amaryelle s’habille bien plus sobrement et porte quelques bijoux : un anneau d’union, et un pendentif sans valeur autre que sentimental. Elle a gardé ses petites manies quand elle se concentre.

   

Spoiler:

Aujourd’hui_ :
Amaryelle est bien plus sur d’elle, elle sait exactement qui elle est, et en est fière. De son caractère passé est resté la douceur, les sourires, l’écoute… Mais aussi la susceptibilité. Ainsi, ceux qui l’ont connu peuvent la retrouver. Mais malheureusement pour eux, elle a également beaucoup cheminé personnellement.

Maintenant qu’elle apprécie la louve en elle, et qu’elle sait parfaitement se contrôler, elle a acquis une certaine confiance en elle qui parfois pourrait la faire passer pour hautaine. Cependant, quand elle ne sait pas, ou qu’elle se trouve en tort, elle sait le reconnaître avec franchise. Bien qu’il peut lui être difficile de l’avouer sur le moment.

La lycanne ne comprend toujours pas le choix de sa mère, mais ne garde aucune rancœur envers elle ou ses grands parents. D’ailleurs, elle s’est totalement détachée d’eux et ne ressent plus leur pression dans ses pensées ou ses actions.

Beaucoup plus à l’aise dans ses pattes, elle sait se contenter de sa propre chasse et ses goûts alimentaires se sont bien affirmés. Finalement, Amaryelle est devenue une Lycanne plus entière et vivante qu’elle pouvait l’être avant.

   

Spoiler:

Ce qu’il s’est passé depuis ma disparition…

Je crois avec le début de mes aventures en dehors des forêts sylfaënnes et mes différentes rencontres, j’avais plus ou moins réalisé que j’étais enchainée… que j’étais une véritable esclave de mes peurs et de la lune. Je ne savais absolument pas qui j’étais, qui était à l'intérieur de moi, la véritable… moi.

J’ai beaucoup erré dans les plaines d’Aràn avant de me résoudre à essayer de trouver les miens. Ceux qui comme moi avaient cette capacité que je considérais comme un handicap alors. Mais ce n’est pas moi qui les ai trouvées. C’est lui qui m’a trouvé. il y a presque huit ans maintenant…

Caleb avait tout du loup solitaire, sans meute. Il voyageait seul, ne se liait pas aux autres et semblait même ne pas chercher de compagnie. Il voyageait en direction du sud-est. Nous nous sommes rencontrés sur le chemin de la forêt de sapin et je pense qu’il a tout de suite compris que je n’étais pas ce que je prétendais être. C’était évident, une haute-elfe qui sentait le chien mouillé…

Au terme de la traversée du désert, alors que nos chemins allaient définitivement se séparer, il était venu m’aborder. Il n’était pas plus grand que moi, j’en avais pas l’impression, il n’était pas bâti comme un ours mais je sentais quelque chose d’attirant chez lui, comme une aura protectrice. Je ne me souviens plus des détails, mais il a réussi à me convaincre de le suivre, et je l’ai fait, sans remords pour tous ceux que je laissais derrière moi. Sans doute m’ont-ils cru morte, et dans un certain sens, j’ai fini par mourir pour renaître.

Nous avons continué longtemps vers l’Est jusqu’à rejoindre un petit campement. Celui-ci m’avait semblé pauvre, peu accueillant et si dépenaillé… Aujourd'hui, évidemment je le verrais sous un œil différent. Un clan, une meute vivait là, au cœur des montagnes du Baldor. Ils n’étaient pas nombreux, mais suffisant pour constituer une véritable meute. Leurs fondateurs, un frère et une sœur, avaient fui il y a bien longtemps les cavernes de Spelunca et s’étaient établies ici, avec leurs descendants, et amis. Parfois, comme moi, d'autres lycan les rejoignaient, mais c’était assez rare.

Je mentirais si je disais que je m’y suis tout de suite senti chez moi, et plus d’une fois j’eu envie de tourner les talons et rentrer chez moi. Mais Caleb avait toujours les mots qu’il fallait, la patience dont j’avais besoin et le courage de supporter autant mes changements d’humeur que mes échecs. J'ai dû mettre presque une année entière avant d’avoir le déclic, avant de réaliser que j’étais chez moi, que c’était là mon paradis. Personne ne me jugeait, personne n’attendait de moi que je sois parfaite. Et ce fût libérateur.

Une dizaine de lunes plus tard, j’étais transformée, pas uniquement physiquement, mais psychologiquement. Je m’acceptais, et je commençais même à m’aimer…. entièrement. C’est là que je me suis unie à Caleb, à ce moment-là que tout à pris un sens positif. Non seulement je n’étais plus la petite elfe bizarre, mais j’étais aimée parce que j’étais entièrement moi, pour ce que j’étais : Une demi-elfe louve, avec mes craintes passées, mes espoirs d’avenir, mes passions...  

Ensemble, nous avons eu trois garçons dont un à rapidement été rappelé à la Lune. Iluann notre premier né, puis Roluann et Domuann sont venu compléter la famille. Domuann n’avait pas la force de grandir, il avait sans doute une malformation interne et je l’ai malheureusement senti tout de suite. Peut-être est-ce pour ça que j’ai peu accompagné Roluann au début de sa vie, toute mon attention était tournée vers ce frère déjà mourant. J’étais guerrisseuse et incapable de le sauver.

Mais j’ai pu, durant sa vie assez courte, apaiser toute ses douleurs. Je dirais que c’est grâce au chaman de notre clan que j’ai totalement survécu à cette partie de ma vie. Et, évidemment à la présence de mon compagnon et mes autres enfants. Il a eu une cérémonie où chacun des membres du clan avait apporté un petit quelque chose.

Aujourd’hui cela fait quatre ans, et bien qu’il soit toujours dans un recoin de mon esprit, mon deuil est fait. Nous n’avons pas eu d’autre soucis, d’autre montagne à franchir. Mais quand son grand-père fut gravement blessé lors d’une chasse, Caleb hérita temporairement des rênes du clan, jusqu’à ce qu’un tournoi, pour nommer un nouvel alpha, fusse préparer.

Nous avions régulièrement des visiteurs, et nous n’avions aucune raison de les chasser. Toujours bien accueillis, nous avions ainsi des nouvelles du reste du monde, bien qu’isolé, nous n’en avions pas toujours en temps réel. C’est pourtant ainsi que nous avions eu vent du changement dans les terres Spelunciennes. Ce n’était qu’un murmure, une hypothèse, mais nombre de vieux loups avaient entendu parler des cavernes, de leurs anciens territoires et c’est donc plutôt par choix collectif que par entêtement du chef de clan que notre meute prit de nouveau le chemin de la civilisation.

C’est ainsi, qu’aujourd’hui, avec ma famille et ma meute, nous retournons sur les terres peuplés de Duralas, que nous renouons avec les autres races mais aussi nos propres frères et soeurs quadrupèdes.

   

Spoiler:

Aujourd’hui, elle souhaite trouver un nouveau lieu pour sa meute afin de ne plus vivre uniquement en autarcie. Elle voudrait voir ses fils de 6 et 4 ans grandir heureux et protégés. Elle aimerait également revoir ses grand-parents pour leur présenter ses enfants mais sait d’avance que ce ne sera pas comme elle l’imagine.

Plus personnellement, elle voudrait en apprendre davantage sur les différentes techniques de soin et de guérison.
   "Les rêves brisés sont le terreau des rêves à venir". Pierre Bottero.