On peux me dire grand, mais je suis souvent courbé à cause du poids de mes cornes. Cornes de boucs, arrondis sur le point final, où des dessins sont ancrés dessus. Des symboles dont je ne sais guère la signification. Mes yeux sont discrets, toujours aux aguets de quelque chose. Ils sont vairons, l'un est bleue l'autre rouge quand la lune arrive. (sinon habituellement il est marron.) Des longs poils en forme de barbe descends sur mon visage maigre. De grands bras maigres, qui peuvent me permettre de jouer avec les branches de tout arbre. Au bout de cela, des doigts assez grands et maigre avec de longues griffes que j'affectionne particulièrement. Torse bien bâti, grâce à lui, je suis plutôt bel homme. Mais mes pattes me trahisse. Des courtes pattes pliés, pleins de poils, où au bout il y a des sabots fendus.
J'ai les cheveux bruns bouclés, mi long. J'ai horreur de passé sous les ciseaux. J'ai le nez assez pointu et les lèvres extrêmement fines. De longues dents pointus ornent mon sourire.

Je suis un fin observateur, généralement je m'arrête pas au fantasme : je passe à l'action. La colère m'a jamais pris le dessus, sauf dans les heures sombres de mon histoire. Je ne crois pas à l'amour, juste aux histoires. J'admire au loin une jeune femme, à la longue robe, dansant nuit et jour à mes yeux. Je suis calme, mais obsédé par des choses. mais une fois le combat en marche, j'ai un grand sourire sadique sur le visage; le feu doit être mon élément car j'aime me brûler les doigts.
Je recherche une fête pour me dégourdir les jambes. Vous en connaissez une ? Allez Milady ! Allons danser !

Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?

Je ne sais pas où je suis né. Les nains m'ont recueillis quand j'étais un bébé. Ils m'ont vus au loin, assis près du ruisseau, à changer de forme autant que je le souhaitais, mon propre corps. Amusés, ils m'ont pris sous leurs ailes, où j'ai appris à manié le fer. Mais par j'ai trahis mon peuple; et je me suis enfuis vers l'âge de quinze ans. J'ai parcourus les terres, j'ai dormis dans des endroits sordides, où j’usurpais mon identité. J'ai horreur de montré qui je suis. peu de fois; où j'ai raconté mon histoire, les gens ont peur de moi, de ce que je ne vois pas. J'ai appris que je devenais fou au court de ces âges, les soirs de pleines lunes. Mon oeil brun se transformait en rouge, et le sang coulait la nuit. je ne sais pas grand chose de ces nuits : je me souviens de rien. Et puis un jour je l'ai rencontré. Elle était au bord de la rivière. Je ne l'avais pas vu venir. elle tomba nez à nez avec ma forme hideuse. Elle souria, racontant qu'elle avait déjà vu un de mon espèce il y a bien fort longtemps, quand elle était enfant. j'ai passé beaucoup de temps avec elle, où petit à petit je suis tombée amoureux. Mais un jour elle est partie, sans rien me dire. Je n'ai jamais eu de nouvelles d'elles depuis ce jour.
J'adore l'argent, le saviez vous ? j'adore cette forme incroyable que prends l'or; J'adore jouer avec. J'adore les piécettes qui tombent une à une dans mes poches.

Mais... A-t-il un rêve?

Olween : Pour l'instant il ne sait rien. pour l'instant il se cache de tout et de trop de choses; mais son passé le rattrapa. Et un rêve se matérialisera quand il retrouvera son passé.
Siluru : je me fiche de tout, tant que j'ai de l'argent dans ma poche. Que je puisse boire et danser toute la nuit en compagnie de jolie dames.