Ilmarë se protégea du soleil de la main. Une étendue de sable fin et rouge se profilait sur tous les horizons. Un goutte de sueur de plus glissa le long de son visage pour aller s'écraser sur son épaule. Il faisait une chaleur torride et sèche. Les joues de la stryge s'étaient creusées car déshydratées. Le souffle haletant, le visage rouge, et les cheveux au vent, la stryge sourit: jamais elle n'avait été aussi heureuse.
Ses pieds s'enfonçaient l'un après l'autre dans les dunes de sables créant un sillage derrière elle qui témoignait de son passage, mais que le vent eut tôt fait d'effacer en éparpillant les grains sur ses traces. Ilmarë commençait à se fatiguer: Ses jambes lui étaient douloureuses à force de devoir les extirper de ce sable qui semblait vouloir les engloutir. De plus sa réserve en eau tendait à diminuer à une vitesse inquiétante. Elle regarda au loin, toujours pas de trace d'une quelconque civilisation. Elle ne put s'empêcher d'être envahie par le désespoir. Mais où diable était le monde! Elle allait finir par croire que le monde ne tournait qu'autour de Stellaraë si cela continuait ainsi. Jamais je n'aurais dû parti seule à la découverte du monde se dit-elle.  Cependant elle savait qu'elle n'aurait su patienter le temps de trouver des voyageurs avec qui partir, et que sa soif d'aventures aurait triomphé quoiqu'il aurait pu arriver. Elle maudit sa naïveté: comment pouvait-on être aussi impulsive? 

Ilmarë s'arrêta. Cela devait bien faire 4 heures qu'elle marchait dans ce désert... Elle maugréa: Ce désert est comme un petit ami ingrat : on fait de son mieux pour le comprendre mais on obtient rien en retour...
Elle s'assit. Et se releva aussitôt en poussant un cri surpris: le sable brûlant n'avait pas manqué de lui brûler le postérieur. Ilmarë comprenait enfin la vraie signification "d'hostile". Elle jura, elle ne pouvait même pas se reposer ! Aussi elle prit sa motivation à deux mains et continua à marcher. Elle sentait à chaque pas supplémentaire se jambes trembler qui menaçaient à tout instant de lâcher. La stryge eut peur. Et si la mort venait la prendre? Elle frissonna malgré la chaleur ambiante. Sa mort serait incroyablement triste, sans personne pour l'assister, perdue au milieu de nulle part. Peut-être même que personne ne retrouverait son cadavre. Abandonnant soudainement sa marche, elle se figea. Devant elle se dressait un arbre.... un ARBRE! Elle ne fut jamais aussi contente de trouver un arbre. Il n'y en avait pas qu'un... cela ressemblait à ce qu'elle avait lu dans les livres.. Comment cela s'appelait déjà? Ah oui, une Oasis. Elle sourit et à fur et à mesure qu'elle s'approchait pour s'assurer que sa vision était ancrée dans la réalité, son sourire s'élargit. Elle toucha une plante. Une feuille se froissa entre son index et son pouce. Elle poussa un cri de joie. Elle ne mourrait pas aujourd'hui ! Son pied foula le sol fertile et dur. Son deuxième alla rejoindre le premier. Non, elle ne rêvait pas. Elle s'avança sur la verdure, émerveillée qu'une forme de vie puisse subsister dans un milieu aussi hostile..  Le soleil commençait à se coucher, il faisait déjà moins chaud. C'est en scrutant les alentours que la stryge n'en crut pas ses yeux : il y avait de l'eau. Elle n'hésita pas un seul instant et se jeta sur la source pour s'abreuver....

Je venais de quitté l'arène après une victoire et deux défaites, dont une défaite contre une gamine, ce qui toucha particulièrement mon orgueil, mais j'avais prit de l'experiance a regarder les deux individu frapper, même si l'un d'eux avait passer proche de me tuer...

Je marchais dans le désert avec beaucoup de ration d'eau, car après être aller voir Naku, il m'Avait fortement conseiller d'en avoir car il disait ses terres de inhospitalière, très chaude et qu'il fallait être dingue pour vouloir y aller, mais pour ce détail... j'étais dingue et il le savait. Il m'avais souhaiter bonne chance avant de partir.

Je voulais aller la bas car c'était dangereux, si je pouvais le visiter, je pouvais faire n'importe quoi d'autre et n'importe ou. J'avais tellement d'eau que j'en étais lourd, mais je ne devais pas boire trop vite et seulement en petite quantiter pour en avoir jusqu'a me remplir. Sa faisait maintenant plusieurs heure... c'était pas facile... surtout tout seul... c'Est long de voyager ainsi sans parler a personne... je croyais jusqu'a maintenant que la solitude allait me faire, mais non... Le plus grand danger ici était de ne pas savoir s'orrianter en ses terres désolée, franchement, je peux avouer être perdu, mais avec assez d'eau pour survivre... je marcha jusqu'a un arbre... ou plus-tôt une oasis, j'étais content de remplir mes rations d'Eau! Mais de loin, je vie des ailes blanches... Azura ici? surement pas, en tout cas, elle buvais, je m’approcha doucement, avait-elle un préjuger contre les elfes noirs? j'en savais rien, je me placa a genou devant elle et remplis mes nombreuses gourde  en lui disant:

-Salut, que fais tu en des terres aussi hostile?