Peu de temps après mon évasion, je me suis séparer de Nakuzorgor, cet orc m'avait aider un nombre incalculable de fois, en me disant au revoir, il m'a demander qu'il sois, pour moi qu'un vague souvenir. Mais, c'était impossible d'oublier ce type, trop longue histoire entre nous deux. Je sortis du village des elfes après avoir remplis ma part du marché, une demi-heure de marche environs, je fis un petit campement, j'étais encore proche de ce village maudit, huit ans de perdus, c'était quelque chose, j'étais très rancunier. Une foi la nuit tombé,, je commença mes activités normal, la pêche via une canne de fortune pour attraper des petits poissons, me faire un feu pour cuir le fruit de ma récolte. Je respirait enfin l'aire de la liberté. J'entendis alors un garde du village crier: «Je sais que tu es en vie Nakuzorgor, reviens ici orc, affronter ton destin!»


Ce salle type voulait la peau de mon frère, il était hors de question que je ne fasse rien. Le garde se rapprocha de mon campement, si jamais il me retrouvait, il allait donner l'alarme a coup sur, Je pris l'une des branche que j'avais taillé, elle était donc très pointue,. Je me plaça en embuscade, comme me le dictait mon instinct d'assassin. Quand l'homme passa a ma porté, j'assomma sa tête nue, il tomba dans les vapes. J'alla ensuite lui planté l'outil dans le cœur quand...

Une nouvelle journée dans les alentours de cette ville, la ville d’Endorial, dans la région de l’ouest de Duralas. Cela faisait deux jours que j’étais dans cette ville et elle me plaisait beaucoup. J’aimais beaucoup cette région verdoyante, dans les forêts immenses, des plantes incroyables, ainsi que des animaux de toutes sortes. La journée dernière, j’avais eu le plaisir de rencontrer une jeune femme au caractère agréable, tendre, mais aussi très spontanée. Elle m’avait aidé à retrouver mon chemin dans ce grand monde, pour que j’aille à bonne destination. Elle m’avait gentiment aidé et j’étais contente de connaitre une nouvelle personne, surtout comme elle. J’espérais vraiment qu’il y avait beaucoup de personnes comme elle, dans ce monde. Mais je n’étais pas si sûre que cela… Je pensais à cela, car mon frère était devenu un entaché, et avait disparu de notre famille. Je chassais ces pensées de mon esprit pour penser à autre chose. Je me promenais encore un peu dans les alentours de la ville, car je voulais en savoir plus sur cet endroit. Par contre, je pense qu’il était temps que je mange un peu avant de recommencer à marcher. Il va falloir aussi que je me trouve une monture pour m’aider dans mon long voyage. Mais je verrais cela bien plus tard, il fallait que je comprenne notre monde où j’étais vraiment coupée du monde à cause de ma famille et de ma race.

Mon ventre gargouillait énormément, et je n’arrivais pas à le faire taire. De plus mes ailes repliée dans mon dos, faisait retourner les têtes des personnes qui me croisait sur leur route. J’avais l’impression qu’il n’avait jamais vue de stryges blanches de leur vie. Je ne me sentais pas à l’aise avec tous ces regards braqués sur moi. La plupart des regards était ceux des hommes, et les hommes n’étaient pas ma tasse de thé. Je respirais à fond, je continuais de marcher. J’avais bien envie de manger du poisson et je me reposais tranquillement avant de reprendre la route. Le soleil était haut dans le ciel, même s’il y allait bientôt commencer à se coucher. J’avais du temps avant de trouver un refuge pour la nuit. Je n’avais pas beaucoup d’argent sur moi, alors je préférais de le garder au maximum avant de le dépenser lorsque j’aurais un métier.

Soudain, j’entendis un bruit étrange venant de ma droite. Je devais rester discrète pour le coup, peut-être que je n’avais pas le droit de regarder cette scène. Je m’approchais doucement derrière un gros buisson et je vis deux hommes. L’un était sur la deuxième, et celui était au-dessus lui, allait lui donner un coup mortelle. Je compris aussi que l’homme qui allait mourir était un grade. Il fallait que j’évite ce drame à tout prix… Je sortis de ma cachette soudainement poussant un hurlement : « Mais qu’est que tu fais ? Arrête-toi tout de suite ! Je ne permettrais pas que tu prennes une vie comme cela ! » Je m’approchais de cet homme pour lui retirer son arme en bois. Lorsque je croisais ces yeux, la peur me paralysa subitement. C’était bon, ma phobie des hommes était de retour et dans la plus mauvaise des situations. Que devais-je faire maintenant ? C’était une bonne question, et je sentais qu’une mauvaise chose allait se passer aujourd’hui avec cette nouvelle personne.

JE sursauta quand elle me cria dessus, comment j'aurais pu faire autrement, je regarda dans sa direction, une Stryges Blancs d'une très rare beauté se tenant devant moi, elle semblait avoir peur de moi, je pourrais certainement la tuer, mais je ne suis pas ainsi, il y a une différance entre un meurtrier et un assassin professionnel, j'avais certe une raison de la tuer, mais je me sentirais mal le reste de mes jours si je devais m'en prendre a elle, surtout qu'elle ne semblait pas venir d'ici et qu'elle n'avait pas demander a être mêler a mes problème de famille, celui que je voulais c'était mon cousin, pas une si ravissante étrangère, surtout qu'elle était une étrangère, car de mon côté, je ne pouvais pas faire ma vie ici sans conséquence de ce genre, je devais partir. Je soupira, enffonca nom outil dans le sol, sans crier, juste dans un soupir, j'avais une maitrise de moi assez surprenante, je traîna le corps de l'elfe plus loin, lui donnant une chance de partir a son retour a lui. Après, je regarda la jeune femme et lui dit:

-Je n'allait pas le faire par choix, si je fais ça, c'Est pour conserver ma liberté, ici, ma vie est gâcher, mon vielle ami Nakusorgor est partie au sein de sa tribu et moi, c'est mon cousin qui m'a mené ici... alors j'ai plus rien a faire, a part faire couler le sang de mon cousin pour apaiser ma fureur. J'aurais pu m’engager dans une armée, mais je suis juste bon a rester dans les ombres et d'infliger tout de suite un coup mortel, je ne serais donc pas utile... Puis pourquoi je te racconte tout ça puisque tu vas partir... Maintenant, part, je ne le turai pas, je te le promet...

La promesse semblait pas trop sincère, mais, c'était un pas vers le bon choix. JE semblais calme et mon hostilité semblait c'être dissiper, je n'étais pas un meurtrier a proprement parler, du moins, pas de cette façon et parler m'avait fait le plus grand bien, même si je croyais qu'elle allait simplement partir. Je m'assis donc sur le sol, sans rien ajouter.

Lorsque j’avais vu cet homme qui allait en tuer un autre, je me disais que je ne pouvais pas rester là, à regarder cette scène. Il fallait que j’agisse et rapidement… Non, voir du sang couler devant moi était comme si j’avais réalisé un crime impardonnable, comme si j’allais devenir une entaché comme mon frère Soren. Je fermais les yeux quelques secondes pour me calmer et prendre mon courage à deux mains.

Lorsque j’avais surgi du buisson pour l’arrêter, l’homme s’arrêta net et me regarda vivement. Il soupira avant de baisser son arme et de l’enfoncer dans la terre sans crier. Je le regardais faire alors que moi, je me demandais ce que j’allais devenir maintenant. Allais-je mourir sous son joug ? Hum bonne question, mais je devais faire vite avant qu’il ne m’arrive malheur. Je n’avais pas envie mourir, loin de là. J’avais trop de choses à réaliser dans ma jeune vie, tellement de chose à voir, tellement de personne à qui parlait et créer des liens pour la vie et me créer des souvenirs qui perduront jusqu’à la fin de ma vie. Puis, le jeune homme prit la parole en me disant que c’était conserver sa liberté qu’il avait dû faire cela, rien de plus. Il me raconta rapidement pour son existence, ce pourquoi il était devenu aujourd’hui, pourquoi il devait faire pour survivre dans ce monde. Je restais loin de lui, et statique, cependant, je l’écoutais jusqu’au bout de sa tirade.

Je m’assis en restant loin de lui encore une fois. Je gardais mes ailes blanches ouvertes en cas de problème pour m’envoler pour quelques mètres de hauteur sans plus et sans pouvoir m’échapper, car je ne pouvais pas voler tout simplement. Puis, je décidais de prendre la parole même si ma phobie des hommes était toujours présente et cela me faisait mal au cœur. Je respirais un bon coup avant de prendre mon courage à deux mains : « Pour…Pourquoi veux-tu que je parte … ? Punaise, je n’arrive même pas à parler devant un homme… Bah euh Bah euh, je veux bien t’écouter si tu le veux. Cela ne me dérange pas. Mais ne t’approche pas de moi !! » J’ouvris mes ailes pour m’envelopper à l’intérieur comme si c’était une grande carapace de protection. Entre deux plumes, je regarde discrètement l’homme.

Que faire ? Mon visage devenait tout rouge, comme un coquelicot. Je m’étais mes mains sur mon visage pour me rafraichir et remettre mes idées en place. C’était plus facile à dire qu’à faire comme toujours. « Je m’appelle Azura, ravie de te rencontrer… Tu t’appelles comment au faite ? » Je restais derrières mes ailes sans le regarder dans les yeux. « Pourquoi veux-tu tuer ton cousin ? Tu sais, tuer n’est peut-être pas la meilleure des solutions pour régler des problèmes dans ce genre. La … La discussion ou la parole peut t’aider à résoudre tout cela. Faire… Faire couler le sang détruira ton âme à tout jamais et il sera complexe de revenir comme avant, mais je doute que tu puisses redevenir ce que tu étais… » Je baissais la tête doucement avant de penser à son frère qui avait pris le mauvais tournant dans sa vie. Et je pensais fortement que je pouvais le ramener à la réalité de notre monde et purifier son âme avant qu’il ne soit trop tard pour lui et pour notre famille.

Je la regarda s’asseoir loin de moi puis elle me demanda de ne pas approcher, c'est noté, je ne ferais rien, même si je ne pouvais pas faire grand chose contre elle, je m'en méfiais pas vraiment, car si elle avait du me neutraliser comme la merde que j'étais, elle était, a ma vue lourdement équipé, mais gentille, très gentille même. Elle voulait savoir pourquoi je voulais qu'elle parte, simple: j'avais besoin d'être seul, mais dans mon cas, être seul était toxique, j'avais passé trop longtemps en isolement cellulaire. Oui, j'avais clairement exprimer mon gout qu'elle parte, mais elle était si jolie... je ferais bien une exception. Je lance la dague très doucement plus proche d'elle en lui disant:

-Je ne comprend pas votre peur a mon égare, vous êtes trop lourdement équipé et sa m'étonnerais qu'une arme en bois s’enfonce dans votre armure ou même qu'elle ai le potentiel de vous enlever la vie, ce que je veux dire est que c'Est moi qui devrais avoir peur de toi et non le contraire. Mais... j'ai trop d'orgueil pour le dire, sauf maintenant,car là, c'est toi qui a peur et que tu m'intrigue.

Je me coucha, en signe de"soumission" , mais que j'étais soumis, mais je voulais lui montrer que je ne lui ferais rien avant qu'elle n'essaye de quoi. Je regarda les branche des arbres, puis les ailes de la jeune ange puis lui dit:

-Si tu t’envole ici, je crois que tu vas te blesser, mais je te conseil de ne pas le faire, tu m'intrigue. Mon nom est Aldran, une petite somme pour celui qui me ramène en prison, mais je ne veux pas y retourner.

Sur mon cousin, elle toucha une corde sensible, mais je ne voulais pas en parler, mais si sa sortais, sa ferais du bien. Je lui répondit:

-C'Est pas que je veux être de mauvaise foie, mais entre assassin, sa ne fonctionne pas ainsi, je ne lui fais plus confiance et je suis limite banni de ma propre patrie a cause de lui, sans tu ce que sais de ne plus approcher ses proches, son peuple et ses amis? voila... c'Est ce qui m'énnerve chez lui. LE tuer? Sa me ramènera pas chez moi, il m'a tout prit, si je veux le tuer pour ne pas lui laisser ce qu'il m'a prit, c'Est tout.

Je souffla après en avoir parler, le coeur un peu plus léger, mais sans plus.

Alors que j’étais loin de cet homme, très loin de lui, plus j’étais de cet homme, mieux je serais en sécurité, je me demandais s’il était si méchant que cela. Je regardais dans ces yeux pour essayer d’en apprendre plus sur lui, mais je trouvais cela bien compliqué pour ma part. Mais j’étais trop loin de lui pour apercevoir la couleur de ces yeux. J’étais toujours entourée de mes ailes blanches, en cas de problèmes avec cet homme. Il devait mériter ma confiance pour que nous puissions partir sur de bonnes bases entre nous. La confiance, comme disait mon père, cela se gagne et ne s’achète pas. Au début de ma vie, je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire par là. Je n’avais pas encore la notion de la valeur d’argent, certaines choses s’échappèrent totalement comme la mort, le sang, la folie, l’argent et diverse chose que j’apprendrais dans ma vie et dans ce monde.

Oui, j’avais toujours vécu entre stryges blancs, je ne connaissais pas grandes choses sur les autres races de mon monde. Bien sur, mon père me parlait souvent des Nagas, des elfes mais plus que tous au monde, il me parlait encore et toujours des stryges noirs. Franchement, je n’avais pas envie d’en rencontrer un aujourd’hui, à l’heure actuelle, car je pense que j’aurais de sérieux problèmes pour ma vie. Je relevais la tête doucement pour savoir ce que faisait cet homme. Je remarquais près de mes pieds, le poignard avec quoi il avait essayé de tuer cet homme. Il voulait me dire qu’il n’avait pas l’intention de me tuer ou de faire quoi que ce soit à mes égards. Je voulais bien le croire mais bon … Il me fallait autre chose pour vraiment le croire. Il me parlait en me demandant pourquoi j’avais peur de lui, alors que j’étais lourdement armée… Je regardais mon armure, mais cet armure était vraiment très fragile, elle ne me permettrait pas d’encaisser un coup d’épée. Il se coucha par terre à même le sol, je penchais la tête doucement et je fis comme lui.

Je mis mes ailes blanches par terre et je posais ma tête sur celle-ci. J’étais dans la même position que le jeune homme. Je me rapprochais un peu mais de quelques centimètres. Puis il me donna un conseil en me disant que je ne devais pas voler dans ce paysage au risque de me blesser sérieusement. Je restais coucher sans rien dire de spécial, j’avais appris quelque chose sur lui : son prénom, Aldran et qu’il était un prisonnier qui s’était enfuit de la prison avec une belle somme d’argent. Hum, l’argent ne m’intéressait pas autant que cela, à part pour vivre un peu et de quoi m’acheter de la nourriture ainsi qu’une armure et une arme pour me protéger et protéger les autres. Il continua de me parler de sa situation, de ce qu’il était devenu aujourd’hui, ce qu’il devait faire pour survivre à certaines personnes et donc il fallait tuer son cousin pour lui faire comprendre son désespoir. Il voulait faire ressentir à son cousin, ce que cela faisait lorsque nous perdions tout autour de nous, lorsque son petit monde change aussi rapidement que le vent.

Que devais-je dire pour le réconforter pour qu’il aille mieux maintenant ? « Je pense que la vengeance n’est pas quelque chose de bien pour toi. Que feras-tu lorsque tu auras enfin tuer ton cousin ? Quel sera ton but après cet objectif à court terme ? Que feras tu de ta vie ? Je pense que tu dos pardonner à ton cousin. Et je pense que le destin a fait prendre une voie, un autre chemin qui serait mieux pour toi, enfin c’est ce que je pense. Si le destin a décidé de me faire perdre mon frère, que j’aimais tant, je pense qu’il y avait une bonne raison qu’il fasse cela. Si mon frère n’était pas devenu un entaché, je pense que je ne serais jamais sorti de ma maison et de ma famille… » Une larme coula sur ma joue, il me manquait terriblement. J’avais l’impression que j’avais un trou au milieu de mon cœur. Je devais le retrouver quoi qu’il arrive pour lui faire changer d’avis et de revenir à la maison…

Ses judicieux conseil me laissait sans mot pour le moment, mais je ne pouvait pas pardonner ce que mon cousin m'avait fait, impossible. Il ne me savait pas libre, mais mort, je pouvais donc le tuer sans trop faire de mal a ma réputation, vue le métier, le fait de le trouver mort pouvait être une vangeance d'un ennemie et non son cousin, celui qui m'avait aider a me libérer m'avait mit dans un sac mortuaire, j'en était ressorti vivant et les pieds devant, pour ce qui est de l'or, je lui avait dit d'aller voir mon cousine t qu'il pourrait avoir de l'or, moi j'étais pas encore partit, mais quelqu'un qui enterre les corps peu être utile pour cacher les preuve, j'avait pas donner ce cadeau a mon cousin par bonne foi, mais pour ne pas avoir des problème avec l'autre type plus qu'étrange, mais a qui j'en devais une. En plus, si mon cousin avait des retard de paye, il risquait de se faire buter, mais se n'étais pas moi, alors sa faisait un peu mon affaire. Je lui dit après plusieurs minutes de réflexion:

-Tes conseils sont pour moi plus précieux que l'or, mais je ne peux pas lui pardonner, c'est impossible la meilleur chose que je peux faire est de partir loin et de ne jamais revenir a moins d'en avoir la force et une très bonne raison, je crois que si mon peuple était assiéger, je n'aurait pas le respect de leur tendre la main en ce moment, a ce point que je les aime plus autant qu'avant, c'est compliqué mais au vue ce que tu me dis, j'aime mieux partir de ce pas, en plus je sais que je ferais une grave connerie qui ve me faire couler six pied sous terre, donc bon. De plus, je te remerci de passer plus de temps avec moi, la compagnie des autres me fait le plus grand bien en se moment

Le jeune homme avait beaucoup réfléchit aux questions que je lui avais posé pour lui trouver une solution convenable. J’aimais bien lui parler, de l’aider dans sa vie. J’avais toujours aimé aider les gens autour de moi, que ce soit pour leur parler ou bien pour les aider dans une quête. Bon, encore une fois, je n’étais pas très forte et je n’avais pas beaucoup d’expérience dans la vie. Franchement, ma mère me disait que j’étais très naïve pour une jeune femme de mon âge, que je devais grandir dans ma tête, que j’étais trop innocente. Que faire pour grandir alors ? Je ne connaissais pas la réponse pour le moment, mais des gens que je rencontrais au cours de ma route pourrait m’aider à évoluer à me mieux connaitre. Je me reconcentrais sur Aldran qui avait repris la parole pour m’expliquer ce qu’il allait faire maintenant.

Il me remerciait pour ces conseils, qu’il les garderait précieusement dans sa conscience mais qu’il ne pouvait pas lui pardonner ce qu’il lui avait fait et qu’il préférait partir loin d’ici pour être tranquille une fois pour toute et de ne jamais revenir dans cette famille même en cas de problème. « Moi, je ne sais pas ce que je ferais concernant cela. Même si je m’étais fait jeter par famille, je pense que j’irai les aider en cas de gros problèmes. Je ne pourrais pas abandonner ceux que j’aimais, même s’ils m’avaient rejeté pour une faute que j’avais faite. Après je dis cela, mais je ne suis pas sure que je le ferais quand même. Je n’ai jamais vécu cela de mes propres yeux, je n’ai jamais connu ce mal. Donc, je ne peux pas trop aider dans ce cas-ci, mais je pense que partir très loin de ces parents, te ferait beaucoup de bien. » Je décidais de me rapprocher un peu de plus en me redressant doucement les ailes et le buste pour me remettre droite. J’avais envie de le connaitre un peu mieux, mais ma phobie des hommes me disaient que je devais rester sur mes gardes au cas où d’un gros problème avec cet homme. Peut-être qu’il avait une autre arme sur lui et il attendait que je me rapproche de lui pour me tuer et pour me manger. Je reculais alors, mais j’avais tellement envie de le voir un peu plus : « Mais de rien pour l’aider, je savais bien que tu avais envie de parler pour aller mieux. Lorsque tu parles à une personne, cela peut mieux à réfléchir et à voir plus clair pour ce que tu dois faire pour demain. Sinon, que fais-tu de ta vie lorsque tu n’étais pas une personne en prison ? Raconte-moi… Je suis curieuse à propos de toi… »

Je lui souris doucement avant de me rapprocher de quelques mètres avec mes ailes pliées dans mon dos. J’aimais bien lui parler, pour une raison qui m’était bien inconnue. Depuis que mon frère avait disparu de la famille, je n’avais plus personne à qui me confiait, à qui parlait pour vider mon cœur et mon esprit. Depuis des années, j’avais tout gardé pour moi-même et tous les secrets que j’avais en moi, n’était jamais sortie. Donc, parler avec lui, je me ferais du bien et je savais que ce n’était pas du temps perdu pour moi. « Je t’en remercie aussi, de rester ici avec moi pour parler un peu. Même si je ne dis rien de spéciale, je suis bien contente de te parler. C’est bizarre, normalement, je n’aime pas et je ne supporte pas de parler à un homme qui m’est inconnue. Je me questionne beaucoup là ! »

Elle me souriait, en faite elle semblait même m'apprécier, ce qui me fit sourire, j'avais jamais regarder une jeune femme de cette manière, chaque foi, j'en dévorait le corps des yeux. Cette foi aussi, mais en lui parlant, je ne sais pas comment dire... c'Est pas pareille. J'étais encore coucher a même le sol, me demandant que faire, j'étais complètement désarmer, tout ce que j'avais était mon armure noir qui servait plus au look qu'autre chose, elle était certe gentille, mais je ne voulais pas voir ma vie se terminer ainsi. Même si j'aurais préférer mourir de ses mains a elle que des mains d'un de ces connard d'elfe passif bouffeur de salade a la con. Je leur vouais maintenant une haine sans fin, j'aimerais voir une horde d'orc leur péter la gueule, sa serait un bien moindre mal pour tout le temps que j'ai perdu a moisir dans les cellule, mais il est aussi vrai que j'ai fait souffrir bien des gens avec mes contrat d'assassina, mais pour ma défense, je n'avais jamais essayer la légaliter, je n'ai aujourd'hui que rester dans les ombres, cette jolie femme était la première personne a mettre une certaine lumière dans ma vie, Nakusorgor aussi, mais il avait fait des choses surement pire que les mienne, je l'ai déjà vu tabasser un autre prisonnier, mais d'une force magistral, nous étions pas de bonne influence l'un pour l'autre. Mais, depuis que je ne le cotoyais plus, il me manquait énormément.

Elle me disais qu'en cas de gros problème, elle irait aider ceux qu'elle aime. Elle ne semblais pas avoir assimiler le fait que je les haïssais, je ne voulais plus jamais entendre parler d'eux, ils pouvaient se faire manger par tout les horde de charognard au monde, sa ne me rendrai pas triste, si ils m'aimait au point ou je les aimaient avant, ils serait venu me sortir de prison, mais jamais ils ne se sont bouger le derrière, alors de la merde si il leur arrivait de la merde, sérieusement...

Pour le fait que j'avais envie de parler, non, j'en avais pas envie, j'en avait besoin, c'est pas pareille et elle aussi me disais des chose sur elle, je prenais le temps de l'écouter, elle était trop gentille avec moi, si je n'aurais pas été aussi perdu dans ma vie, j'aurais cru que autant de bonté cachait de sombre dessin, mais les ailes blanche était tus gentil comme ça selon ce qu'on m'a dit, alors je ne craignait pas trop de lui parler aussi librement. Elle me demandais ce que j'avais fait de ma vie avant la prison... Je ne voulais pas la faire fuir, car je ne pouvais pas non plus lui dire: Yo j'étais un tueur a gage. NON! mais je lui devais au moins la réponse je régléchit dont a une manière de lui dire qui ne la ferait pas fuir, j'aimerais, si possible la garder en campagne d'aventure, surtout mettre mes talent d'assassin au service de quelqu'un d'autre, quelqu'un comme elle qui saurais peser le pour et le contre de mes action, car je n'étais pas l'homme le plus réfléchis.

-Avant que je te donne la réponse, je veux préciser un truc: Je ne faisais jamais ça sans raison, mais pas nécéssiter pour ma famille a l'époque, le fait de ne plus trainer avec eux fait que je ne sais justement plus quoi faire de ma vie. J'étais un tueur a gage, puisque tu m'aide et prend le temps de m'aider dans ma vie personnelle, je crois que tu as le droit de savoir. Avant de me juger, sache que si j'avais de sombre intention, je ne t'aurais rien dit et surtout, je ne traînerais pas désarmer face a toi.

Je soupira, un peu stresser, je ne pouvais pas faire grand chose contre elle, elle était relativement proche et ma seul arme très loin, mais je restais coucher, sans bouger. J'avais un bon fond, mais il était difficile pour moi de bien faire, surtout que le chois qui s'ammenais a moi était: tu t'en vas ou tu fou encore la merde. En plus, je lui avait limite racconter ma vie, j'avais hate de voir si son ouvertur d'esprit pouvait assimiler l'information.

Mon regard était déjà posé sur le jeune homme depuis des minutes maintenant, une bonne demi-heure. Je m’étais rapprochée déjà beaucoup de cet homme, je n’étais plus qu’à quelques mètres de lui, mais je ne me sentais pas en danger comme les autres fois où j’avais rencontré les passants sur ma routes qui me demandait des pièces d’or. Je fuyais comme si j’avais de la peste. Je courrais comme une folle pour m’éloigner d’eux rapidement, mais je compris qu’il y avait beaucoup d’homme sur les chemins et donc je courrais tout le temps.

Cependant avec Aldran, je n’avais pas envie de fuir même si mes jambes n’arrêtaient pas de trembler comme une feuille. Mon cœur ne disait rien de spécial pour l’instant, donc je me disais que peut-être que je pourrais guérir ma maladie, ma phobie avec les hommes. Mais bon, les maladies ne se guérissaient pas comme cela, mais en une fois et s’était terminé pour la vie. Je lui avais osé des questions par rapport à son passé, je voulais en savoir plus, mais peut-être que j’étais trop curieuse vis-à-vis de sa vie. Je recommençais la même erreur que j’avais faite avec Nova, lorsque je lui avais posé beaucoup trop de questions sur sa vie privée. Je mangeais mes lèvres car je me sentais nulle pour le coup, je devais faire attention à ce que je disais, même si je ne comprenais pas tout encore dans ce monde.

Alors que j’étais dans mes pensées dans ses réflexions intenses, l’homme prit la parole pour me répondre, mais cette fois-ci, il n’avait pas fait d’humour, pas comme Nova. Il était assez sérieux pour le coup, et cela me fit peur de le voir avec ces yeux comme ceux qu’il avait maintenant alors qu’il me regardait. Il me prévenait qu’il n’avait pas fait cela pour le plaisir mais pour survivre et gagner de l’argent. Mais qu’est qu’il voulait me dire à la fin ? Et soudain, il me dit qu’il était un tueur à gage, un assassin. Je restais choquer, je ne bougeais plus du tout, j’étais perdue dans mes pensée en me disant que j’étais dans la merde maintenant, puisqu’il pourrait me tuer maintenant. Aldran me disait qu’il aurait pu me tuer sans m’avoir avertir de son métier. Mais il ne l’avait pas fait, donc il n’avait pas envie de me tuer, mais je devais quand même rester méfiante avec lui.

« Je comprends que c’est ton métier pour vivre ou survivre comme tu le souhaites, mais si tu as tué des personnes, cela veut dire que des personnes sont à ta recherche pour te tuer à ton tour. N’as-tu pas peur de mourir du jour au lendemain ? De te dire que tu t’es fait avoir par une personne ? Je comprends que tu ais fait cela, mais maintenant, tu peux faire un autre métier pour te purifier ton âme. Tu n’as pas obligé de faire maintenant, tu peux changer d’identité, prendre à un autre départ et recommencer une autre vie à présent. Tu as le choix mais prend le bon maintenant, sinon… J’ai bien peur que je ne pourrais pas être ton amie bien longtemps. Je n’aimais pas qu’on tue des gens, je n’aimais pas le sang et ce que j’aimais faire dans ma vie, est de faire la justice autour de moi. Mais je ne suis personne aujourd’hui, il faut que je devienne plus forte et plus grande dans ma tête. » Je le regardais dans les yeux, je n’avais pas peur de le regarder droit dans les yeux, je ne détournais pas les yeux pas cette fois-ci. Je respirais un bon coup mais je ne savais pas quoi lui dire d’autres, je me sentais pas l’aise maintenant à l’annonce de ce métier. Cela m’avait froidit dans la conversation. Je devais attendre autre chose de sa part, mais je devais rester calme et silencieux. « Je n’ai jamais tué une personne, je ne connais pas le sang, je ne sais pas ce que c’est de blesser une personne. Je ne me suis jamais battue jusqu’aujourd’hui. Que souhaites-tu devenir pour demain alors ? »

Les joueurs débutent le tour/combat.

vitesse des joueurs : 232

Aldran : 105
Vitesse : 115
Dégâts : 35

Azura : 115
Vitesse : 117
Dégâts : 37

-------VERSUS----------

Renard : 150
Vitesse : 85
Dégâts : 25

J’attendis la réponse du jeune homme qui était devant moi, je ne savais pas quoi penser de ce qu’il était, mais je devais respecter sa décision concernant son choix qu’il avait fait auparavant pour survivre dans ce monde. Je restais à ma place calmement et j’attendis quelque chose de sa part. Puis, je me disais que peut-être une personne ne pouvait pas changer, une personne une fois qu’elle avait pris l’habitude de tuer des personnes, elle ne pourrait pas changer aussitôt de comportement avec les autres dans la société. Hum. Peut-être que cet homme allait essayer de faire quelque chose de sa vie, arrêter de tuer, mais je n’étais pas sur de la finalité de son but. Nous verrons bien lorsque nous le recroiserons un jour dans ce grand monde que je ne connais point. L’homme me dit qu’il allait tout arrêter lorsqu’il était encore le temps, mais qu’il ne savait pas ce qu’il allait faire de sa vie après. Je lui souris calmement avant de lui répondre : « Je pense qu’il est temps de voir autre chose que son passé et de rencontrer des personnes que je vous l’ais dit un peu plus tôt. Vous aurez de grandes chances de trouver une personne qui vous accompagnera dans vos voyages et qui saura bien s’occuper de vous. Quoi qu’il en soit, il se peut que vous changiez du tout au tout et que je pourrais bien de ne vous pas reconnaitre sur le coup. Mais, je pense que vous avez une chance de vous en sortir maintenant alors que … » Soudain, j’entendis quelque chose sortir des buissons, ou des hautes herbes près de nous. Je reculais et j’ouvris mes ailes pour me protéger en cas de problèmes ou d’attaque subite de l’agresseur en question. Je pris mon épée courte pour savoir ce qu’il se passait réellement. Si c’était un agresseur, peut-être que je devrais le prendre par surprise et donc d’attaquer immédiatement avant que ce ne soit plus possible pour nous. Cela pouvait être un animal ? Aussi gros que cela ? Je ne connaissais pas les animaux, j’en avais un peu peur surtout ! Donc, je devais décider de porter une attaque dans le buisson en pensant que cela pourrait être surtout un ennemi dangereux pour nous, enfin surtout pour moi qui était une personne assez faible par rapport à Aldran. Je décidais donc de sauter dans le buisson pour lui porter un coup rapide pour le blesser et pour savoir ce que c’était réellement.

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'Attaque - Stryge B' :

Encore, la sagesse des stryge n'avait aucune borne, elle me proposais même de me faire des amis ailleurs, de changer de vie. Un ou une campagne de voyage, pourquoi pas, même si cette vie m'avait bien plu, je ne parlais pas de la prison, mais bien sur, mais des contrat de famille, j'avais adorer ça, ce n'était jamais monotone, tout était toujours en perpétuel mouvement, aussi le fait de toujours voir ce qu'il se passe autour de nous, d'attendre le bon moment, d'être qu'une lame dans la foule et de mordre comme un serpent avant de disparaître dans l'ombre. Dans mes amis... Nakusorgor, mon pote de cellule, ce gars n'était pas fréquentable, bien que gentil, son tempérament colérique faisait de lui, un Orc dangereux. J'allait lui répondre, mais j'en eu pas le temps, un renard sortis d'un buisson. Azura rata la première attaque et j'en profita pour pour lui planté l'outil en bois que j'avais récupérer dans les côte, je souhaitais de tout coeur que sa suffisse a le faire fuir

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'Attaque - Elfe' :

Renard attaque à 25 sur Aldran.


Les joueurs débutent le tour/combat.

vitesse des joueurs : 232

Aldran : 80
Vitesse : 115
Dégâts : 35

Azura : 115
Vitesse : 117
Dégâts : 37

-------VERSUS----------

Renard : 106
Vitesse : 85
Dégâts : 25

Alors que j’avais entendu du bruit dans les buissons près de nous, je me disais que c’était un ennemi qui nous avait entendus pendant notre conversation et qui voudrait prendre la tête d’Aldran. J’avais décidé de sauter dans le buisson pour attaquer par surprise cette chose. Finalement, j’avais bien raté mon coup et je me retrouvais bien nulle devant l’elfe. Il fallait vraiment que je me maitrise et que je maitrise l’art du combat et de savoir tenir une arme dans mes mains. Mon épée courte était suffisante pour le moment, mais je voudrais bien avoir une faux quelque chose de plus fluide pour moi. Enfin, bref, j’essayais de me remettre des émotions concernant cette action nullissime.

Je remarquais qu’Aldran attaqua l’animal. Oui, car ce n’était pas une personne, mais un renard … Un renard … J’avais eu peur d’un renard, non j’étais complètement folle pour avoir sauté dessus, sans avoir vérifié avant qu’est que c’était… Je mis ma main sur mon visage pour regretter de ce que j’avais fait. Je croyais que cela allait le faire fuir après le coup qu’Aldran avait fait. Mais finalement, le renard décida de nous attaquer comme pour se venger de nos actions. Aldran avait réussi à lui porter un coup dans les côtés, mais le renard riposta en lui donnant un coup de griffe. Ce coup avait été bien porté par l’animal et Aldran ne devait pas être dans un si bon état après ça : « Aldran tu vas bien au moins ? Tu ne l’as pas reçu dans les yeux, j’espère ? » J’attendais un signe du jeune homme, mais je décidais de porter un autre coup pour le maitriser. Je m’élançais vers lui avec un peu plus de confiances, un peu de concentration dans mon épée courte et j’allais lui porter un coup un peu plus fatal que tout à l’heure … Enfin, j’espère réellement que cela allait le faire … Je lui portais un coup et je pus l'avoir enfin. Je lui donnais un coup bien placé sur le dos et je pus entendre le cri du renard. Puis, je me reculais pour savoir ce qu'il allait faire maintenant Aldran.

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'Attaque - Stryge B' :

Je me fis griffer par cet enfoirer de renard, oui sa faisait mal, je lâcha un petit grognement de mécontentement et aussi de douleur, mais je n'était pas pour lui montrer que c'était lui le patron, non c'était moi, j'étais là avant lui! je repris le couteau et lui enfonça dans l’œil question de bien lui faire mal. puis je dis a Azura:

-Oui, ça va, j'ai mal, mais c'Est correcte, merci de t'inquiéter pour moi!

Après, j'aimais mieux être sa cible qu'il cible ma jeune amie qui ne c'était jamais battue, je reccula pas, je ne voulais pas qu'il décide d'égorger l'autre, si quelqu'un devait crever c'était cet enfoiré de renard ou moi, pas elle.

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'Attaque - Elfe' :

Renard attaque à 25 sur Azura.


Les joueurs débutent le tour/combat.

vitesse des joueurs : 232

Aldran : 80
Vitesse : 115
Dégâts : 35

Azura : 90
Vitesse : 117
Dégâts : 37

-------VERSUS----------

Renard : 34
Vitesse : 85
Dégâts : 25

J’avais réussi à toucher le renard qui était rapide dans ces moments, j’étais bien contente de l’avoir touché autant que je le voulais. Je m’étais bien concentrée dans mon combat et je sentais que je manipulais de mieux en mieux mon arme. Plus je bougeais, plus je me disais que mon armure n’était pas si lourde que cela et que j’arrivais bien à réaliser les mouvements que je voulais de base. Aldran s’était fait griffé par l’animal au niveau du visage, mais il fallait bien finalement, je ne devais pas m’inquiéter plus que cela. Il allait bien. De plus, il réussit à porter un coup au renard juste après moi. Je sentais que nous étions proche de la fin, mais je n’étais pas sûr, il était encore vivant, il bougeait encore un peu. Mais l’animal était vraiment assez blessé, cependant il continuait à vouloir se battre contre nous. Je préférais qu’il parte avec la queue entre les jambes, mais il voulait combattre jusqu’à la fin, pour avoir un peu de gloire de nous avoir attaquée.

Mes yeux lui disaient de partir avec qu’on le tue sur le champ. Le renard ne le comprit pas de cette façon et il m’attaqua avec une vitesse que je ne pus éviter sur le coup. Il me mordait l’épaule avec ces dents pointues. Il les planta dans ma chair, bien profondément. Il se retira et je vis du sang qui coulait de mon bras. Oh il allait me le payer ! Mon épaule était un bien engourdi mais je pus quand même porter un autre coup pour qu’il arrête son cirque et qu’on puisse partir tranquillement de cet endroit. Je me précipitais dessus et je le levais bien mon bras gauche avec mon épée courte en espérant que j’allais réussi à le terminer maintenant. Le renard ne bougeait pas à ma venue, j'avais l'impression qu'il n'attendait que cela, mais ce n'était que mon impression... Je sautais dessus et je lui assénais le dernier coup. Et le renard ne bougeait plus maintenant ... Il était mort ... "Voila, nous en avons fini avec le renard ... J'aurais préféré qu'il ne reste pas là et qu'il fuit pour éviter cela ..." Une fois que nous avions fini le combat contre le renard, je pense qu'il était temps que je parte et que je continue mon voyage dans les contrées immenses de notre terre. Je rangeais mon épée courte qui avait plein de sang et je m'approchais du jeune homme. "Je pense qu'il est temps qu'on se sépare ici, mais j'espère qu'on se reverra bientôt ailleurs qu'ici et j'ai hâte de savoir ce que tu seras devenu à la fin. Allez je te laisse !" Je lui souris et je décidais de planer un peu puisque le vent était présent maintenant. Je déployais mes ailes doucement et je partis d'ici avec un sentiment d'évolution et de victoire !

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'Attaque - Stryge B' :

Les joueurs remportent 34 points d'expérience et 29 pièces d'or

Le RP peut continuer.